Prunet-et-Belpuig Écouter est une commune française, située dans le centre du département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région des Aspres, un minusule territoire roussillonnais compris entre les sillons de la Têt au nord et du Tech au sud qui tire son nom de la nature caillouteuse de ses sols.
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Prunet-et-Belpuig | |
![]() Chapelle de la Trinité | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Pyrénées-Orientales |
Arrondissement | Prades |
Intercommunalité | Communauté de communes de Roussillon Conflent |
Maire Mandat |
Benoît Bonacaze 2020-2026 |
Code postal | 66130 |
Code commune | 66153 |
Démographie | |
Population municipale |
48 hab. (2019 ![]() |
Densité | 2,2 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 33′ 46″ nord, 2° 37′ 32″ est |
Altitude | Min. 353 m Max. 863 m |
Superficie | 21,68 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton du Canigou |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Boulès, l'Ample et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Prunet-et-Belpuig est une commune rurale qui compte 48 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 364 habitants en 1836. Ses habitants sont appelés les Prunet-Puigois ou Prunet-Puigoises.
La commune de Prunet-et-Belpuig se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 27 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 18 km de Prades[2], sous-préfecture, et à 10 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[3], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Amélie-les-Bains-Palalda[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Boule-d'Amont (2,2 km), Saint-Marsal (2,7 km), La Bastide (3,4 km), Calmeilles (4,2 km), Taulis (4,3 km), Caixas (5,3 km), Taillet (5,5 km), Casefabre (6,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Prunet-et-Belpuig fait partie de la région des Aspres. Compris entre les sillons de la Têt au nord et du Tech au sud, ce minuscule territoire roussillonnais tire son nom de la nature caillouteuse de ses sols[5].
Caixas | ||
Boule-d'Amont | ![]() |
Calmeilles |
La Bastide | Saint-Marsal |
Prunet-et-Belpuig se situe au cœur de l'unité hercynienne des Aspres, une unité géologique bien définie qui se compose des roches dures et anciennes datant d'environ 550 millions d'années à environ 350 millions d'années (c'est-à-dire des périodes géologiques de l'Édiacarien, du Cambrien, de l'Ordovicien, du Silurien et du Dévonien)[Carte 1],[Carte 2],[6].
Ces couches anciennes ont été déposées pour la plupart sous forme de sédiments dans des environnements marins parfois profonds et parfois peu profonds. Puis, à partir d'il y a environ 350 millions d'années, toutes ces formations ont été comprimées entre deux continents convergents, au cours de l'orogenèse hercynienne (ou varsique). Pendant cette période de formation d'une chaîne de montagnes, les couches ont été durcies et fortement déformées par des plissements et des failles. Elles ont également été soumises au métamorphisme, donnant un aspect schisteux à plusieurs de ces formations (comme le "schiste noir" (ampélite de l'Édiacarien) avec son affleurement distinctif au col Xatard[Carte 3]).
Ces roches anciennes comprennent, entre autres, des pélites (roches sédimentaires à grain fin métamorphosées), des marbres et des dolomies, des conglomérats et des quartzites. Ces roches sous-tendent aujourd'hui presque toute la commune.
Environ 200 millions d'années plus tard, à partir d'environ 65 millions d'années (Éocène), le bloc hercynien des Aspres s'est retrouvé dans la partie centrale d'une autre zone de construction de montagnes. C'était à l'époque où la plaque tectonique ibérique convergeait avec la plaque eurasienne au nord, provoquant ainsi l'émergence de la chaîne de montagnes pyrénéenne. Aujourd'hui, les Aspres, y compris la zone occupée par la commune de Prunet-et-Belpuig, se trouvent à l'extrémité orientale de la "zone axiale" des Pyrénées.
Parmi les caractéristiques géologiques notables de la commune de Prunet-et-Belpuig, on peut citer les suivantes :
1 - Le mont Helena, qui est situé dans la partie est de la commune et qui marque la limite entre les communes de Prunet-et-Belpuig et Caixas. Il culmine à 774 m d'altitude. Le plateau sommital est un affleurement de calcaires et de marbres du Dévonien moyen et inférieur, situé au-dessus de pentes taillées dans des schistes de l'Ordovicien. En , dans une fissure karstique du mont Helena fut découvert un gisement pliocène. Les fouilles ont exhumé quinze espèces de rongeurs, dont Occitanomys montheleni, nommée d'après ce site[8],[Carte 4].
2 - Montou, au sud et en face de mont Helena, qui est aussi un affleurement de calcaires et de marbres du Dévonien et qui culmine à 780 m d'altitude.
3 - Affleurements de "porphyrite des Aspres", à l'ouest de Mont Helena et de Montner. Cette lave ordovicienne (ryholite et rhyodacite) a été datée d'environ 450 millions d'années.[Carte 5], [9],[Note 2]
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[10],[11].
Le relief est partout vallonné, et abrupt par endroits; mais à une altitude inférieure à 900 mètres. La topographie est typique des Aspres, c'est-à-dire un pays de collines avec des réseaux de vallées assez denses, profondément incisés.
L'altitude varie entre environ 350 mètres (à l'extrémité nord-ouest et sud-est de la commune, dans les vallées du Boulès et de l'Ample) et 857 mètres (sur un interfluve à l'ouest de Saint-Marsal).
Les parties ouest et nord de la commune se trouvent dans le bassin du Boulès, qui descend au nord, vers la vallée de la Têt. La partie sud-est de la commune se trouve dans le bassin de l'Ample, qui descend vers le sud, vers la vallée du Tech.
L'interfluve entre les bassins majeurs de la Têt et du Tech traverse donc la commune. Sur cet interfluve se trouvent certains cols de la route D618 (qui passe par Sant-Marsal vers le nord), dont le col d'en Xatard et le col d'en Fortó. En outre, les vestiges du château de Belpuig se trouvent sur une colline isolée sur cet interfluve, et de ce point, il y a des vues étendues sur les bassins du Boulès et de l'Ample, et vers les hauts plateaux de Mont Helena et Montner.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[12].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Baillestavy », sur la commune de Baillestavy, mise en service en 1972[17]et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[18],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 850,7 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 27 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[21], à 15,7 °C pour 1981-2010[22], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[23].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[24] : les « massifs du Mont Hélène et du Montner » (327 ha), couvrant 3 communes du département[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[24] : le « massif des Aspres » (28 819 ha), couvrant 37 communes du département[26].
Prunet-et-Belpuig est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[27],[I 2],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (89,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), prairies (1,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Le territoire de la commune de Prunet-et-Belpuig est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[30],[31].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[32].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[33].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Prunet-et-Belpuig est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[34].
En catalan, le nom de la commune est Prunet i Bellpuig[35]. Le nom de la commune est issu des noms de deux villages : Prunet d'une part, Belpuig de l'autre.
Prunet apparaît dans un texte de 869 sous la forme Prunetus. Ce mot est constitué du latin pruna (« prune ») auquel est accolé le suffixe collectif -etum, l'ensemble désignant un lieu où les pruniers sont nombreux[36].
Le mot Belpuig est une francisation du catalan Bellpuig. Ce lieu apparaît dans les textes dès 959, mais seulement sous la forme d'une référence à son église dédiée à Saint Pierre. Au XIIe siècle, un château est construit sur une hauteur dominant l'église. En 1241, il est nommé Pulchro Podio (du latin Podium qui désigne un sommet arrondi, et pulcher, « beau »). Les deux noms cohabitent, mais le « beau sommet » prend peu à peu le pas sur le nom de Saint Pierre, l'église étant renommée en église de la Trinité au cours du XVIIe siècle. Le nom est traduit en catalan : bell puig puis calqué sous cette forme en français, le double « ll » mouillé catalan étant remplacé par un « l » simple[36].
Le conseil municipal de Prunet-et-Belpuig a refusé, deux années consécutives, d’approuver les budgets primitifs de la commune et du centre communal d’action sociale.
À la suite de la saisine de la chambre régionale des comptes de Languedoc-Roussillon, ces budgets primitifs 2009 et 2010 ont été réglés par le préfet des Pyrénées-Orientales par arrêtés du et du .
En conséquence, le conseil municipal de Prunet-de-Belpuig a été dissous par décret du [37], paru au Journal Officiel le .
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
mars 1989 | 2001 | Francis Braud | PCF | |
2001 | juillet 2011[39] | Monique Payré | ||
septembre 2011 | en cours | Benoit Bonacaze[40] | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
1365 | 1378 | 1515 | 1553 | 1709 | 1720 | 1730 | 1767 | 1774 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
26 f | 18 f | 11 f | 9 f | 41 f | 40 f | 43 f | 232 H | 43 f |
1789 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
32 f | - | - | - | - | - | - | - | - |
Note :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].
En 2019, la commune comptait 48 habitants[Note 9], en diminution de 9,43 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +3,73 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
273 | 287 | 274 | 277 | 313 | 364 | 344 | 356 | 360 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
350 | 305 | 307 | 303 | 254 | 274 | 244 | 262 | 248 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
219 | 252 | 205 | 163 | 142 | 127 | 92 | 84 | 67 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
63 | 55 | 36 | 37 | 52 | 68 | 59 | 57 | 53 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
49 | 48 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[45] | 1975[45] | 1982[45] | 1990[45] | 1999[45] | 2006[46] | 2009[47] | 2013[48] |
Rang de la commune dans le département | 195 | 207 | 203 | 200 | 196 | 200 | 200 | 206 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 7,3 % | 7,5 % | 19,4 % |
Département[I 6] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 31 personnes, parmi lesquelles on compte 64,5 % d'actifs (45,2 % ayant un emploi et 19,4 % de chômeurs) et 35,5 % d'inactifs[Note 10],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 7],[I 8]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 17 en 2013 et 15 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 15, soit un indicateur de concentration d'emploi de 73,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,7 %[I 9].
Sur ces 15 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 67 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,7 % les transports en commun et 13,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
4 établissements[Note 11] sont implantés à Prunet-et-Belpuig au [I 12]. Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (1 sur les 4 entreprises implantées à Prunet-et-Belpuig), contre 8,5 % au niveau départemental[I 13].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 6 | 3 | 6 | 4 |
SAU[Note 12] (ha) | 107 | 269 | 565 | 337 |
La commune est dans le Conflent, une petite région agricole occupant le centre-ouest du département des Pyrénées-Orientales[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 8]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (six en 1988). La superficie agricole utilisée est de 337 ha[52],[Carte 9],[Carte 10].
Prunet-et-Belpuig a la particularité de ne pas posséder de monument aux morts sur son territoire[53].
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