Ses habitants sont appelés les Preignacais et Preignacaises[1].
Géographie
Située dans le vignoble de Sauternes sur le Ciron en rive gauche de la Garonne, la commune se trouve à 40 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 5,5 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 9,5 km au sud-est de Podensac, chef-lieu de canton[2].
Il existe une île sur la Garonne à hauteur de Preignac, l'île des Jarres, qui était habitée au XVIIIesiècle,
Situé derrière l'église, se trouve le château Gilette: le propriétaire en est les vignobles Gonet-Médeville existant depuis 1710.
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Toulenne au sud-est, Sauternes au sud-sud-ouest, Bommes au sud-ouest, Pujols-sur-Ciron à l'ouest sur environ 1,5 km et Barsac au nord-ouest; sur la rive droite de la Garonne, se trouve Sainte-Croix-du-Mont au nord-est.
Communes limitrophes de Preignac
Barsac
RivedroiteSainte-Croix-du-Mont
dela Garonne
Pujols-sur-Ciron
Bommes
Sauternes
Toulenne
Transports et communications
La principale voie de communication routière est la route départementale D1113, ancienne RN113 (Bordeaux-Marseille), qui traverse la ville et mène, vers le nord-ouest, à Barsac et Podensac et, au-delà, à Bordeaux et, vers le sud-est, à Toulenne et, au-delà, à Langon. Deux routes départementales commencent à partir de cette D1113 et mènent toutes deux vers le sud-ouest, la D109 vers Pujols-sur-Ciron et la D8e4 vers Sauternes.
L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no3 de Langon, distant de 6,5 km vers le-sud-est.
L'accès no1 de Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 19 km vers le sud.
La commune dispose d'une gare SNCF sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 12,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Sauternes», sur la commune de Sauternes, mise en service en 1896[9] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4°C et la hauteur de précipitations de 825,2 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bordeaux-Mérignac», sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 40 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3°C pour la période 1971-2000[13], à 13,8°C pour 1981-2010[14], puis à 14,2°C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Preignac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].
Elle appartient à l'unité urbaine de Preignac, une unité urbaine monocommunale[19] de 2 154 habitants en 2019, constituant une ville isolée[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22],[23].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,6% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
cultures permanentes (58%), forêts (27,1%), zones urbanisées (6,8%), terres arables (4%), zones agricoles hétérogènes (2,6%), eaux continentales[Note 7] (1,5%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Preignac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne et le Ciron. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1997, 1999, 2009, 2014, 2018, 2020 et 2021[27],[25].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[28]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Preignac.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 1 033 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 033 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 84% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Histoire
Preignac en 1756, Cassini
Plusieurs découvertes archéologiques attribuables à l'antiquité sont recensées par H. Sion[31]:
vers 1830, une nécropole mérovingienne sur la rive droite du Ciron, à Lamothe;
en , Léo Drouyn a signalé des moellons en petit appareil dans les murs de la chapelle;
en 1887, un trésor monétaire dans un vase en terre cuite, au Domaine de Lamontagne;
en 1962, au lieu-dit Guilhem deu Rey, sur le site d'une chapelle rasée, plusieurs fosses-dépotoirs.
L'état de la paroisse au XVIIIesiècle a fait l'objet d'une enquête dont les résultats sont exposés dans l'ouvrage de Jacques Baurein[32]:
La Paroisse est placée dans la juridiction de la Prévôté Royale de Barsac.
Les principaux villages sont: le Bourg, Martin, Jean Doux, Garingue, Faux Bourguet, Lafont Honqueyre, Guilhem Durey, Jean Durieu, Medudons, Rancon, Boutse, Le Pape, Trinquine, Le Haire, Briatte, La Mothe, La Coste, Miselle.
Le port de Preignac est très fréquenté. On y apporte quantité de denrées, soit des landes, soit des paroisses voisines. On y conduit, par la rivière, quantité de bleds du haut pays ce qui alimente un marché hebdomadaire le lundi.
Les murs d'une chapelle détruite, dite de Saint Amand, sont encore visibles près du Ciron.
Le ruisseau Larieu, qui vient de la paroisse de Fargues, n'est formé que par les eaux pluviales.
Les vins blancs sont très renommés et les vignes occupent quasiment tout le territoire, en dehors de quelques zones en pins.
La route de Bordeaux à Toulouse emprunte un pont construit sur le Ciron. Il existe un second pont appelé de Jarnac. Un grand chemin conduit à Villandraut.
L'abbé Baurein signale deux maisons nobles, l'une appelée de Malle, appartenant au marquis de Lur-Saluces, et l'autre, le château de Soudiraut, renommé par la bonté de ses vins. Les eaux d'une fontaine appartenant à ce même château, sont réputées minérales.
À la Révolution, la paroisse Saint-Vincent de Preignac forme la commune de Preignac[33].
Dans son ouvrage sur les Affluents de la rive gauche de la Garonne, Rebsomen donne quelques informations sur les monuments visibles au début du XXesiècle:
le château de Suduiraut dont l'entrée principale est formée d'une avenue de pins francs. Une ligne demi-circulaire de tilleuls enserre une pièce d'eau, constellée de nénuphars, reflète les formes élancées d'un rideau de peupliers. Une large grille sert d'entrée à un petit jardin à la française.
La façade arrière est ornée de balcons en fer forgé Louis XV et d'un fronton triangulaire portant les armes des anciens seigneurs.
Le parc comporte des centaines de caisses d'orangers, un labyrinthe, une pièce d'eau, un vivier, des cèdres, une allée de palmiers, un petit bois de chênes et des châtaigniers plantés en quinconce;
le château de Malle possède des grilles en fer forgé portant des armoiries. Le château est de style Louis XIII avec un pavillon central flanqué de tours rondes à toit en coupole.
À l'intérieur, les salles sont ornementées de cheminées en pierre sculptées.
Les jardins, dessinés à la française, sont étagés avec terrasses, perrons et statues qui rappellent le genre italien;
au nord-ouest du village, en vue de la Garonne, le château des Rochers, avec son corps de logis à un étage.
tout près du pont dit des Chartreux ou des moines, se trouve une haute tour carrée à trois étages et à toit pointu, accolée d'une tourelle, et fortifiée d'une bretèche, qui parait être du XVIesiècle et dépend du château moderne de Rolland.
Héraldique
Les armes de Preignac se blasonnent ainsi:
Écartelé, au premier de gueules au léopard d'or surmonté de trois croissants d'argent ordonnés 2 et 1, au deuxième d'azur à la tour d'argent ajourée de sable à senestre, maçonnée du même et surmontée de deux fleurs de lys d'or, au troisième d'azur à la gabarre contournée équipée et habillée d'argent supportant quatre besants d'or, au quatrième de gueules aux six besants d'or ordonnés 3, 2 et 1; à la croix d'argent, brochant sur la partition, chargée en cœur d'un sauvage de carnation habillé de sinople appuyé sur sa massue de sable, accompagné en chef d'une lettre V capitale, en pointe d'une tête de crosse contournée et aux flancs de deux étoiles, le tout d'or; l'écu enfermé dans une filière d'or.
Les trois croissants représentent une partie des armoiries du château de Malle.
La tour représente les châteaux preignacais.
Les fleurs de lis rappellent qu'en 1566, Charles IX s'arrête à Armajan et anoblit Sauvage.
Le bateau ou gabare rappelle le port de Preignac et les quatre besants d'or représentent des barriques pour la tonnellerie.
Les besants représentent les grains d'or des raisins.
Le sauvage rappelle qu'en 1375, Arnaut de Sauvage occupait la situation de gouverneur de la sénéchaussée de Gascogne.
La lettre V représente la lettre capitale de saint Vincent, patron des vignerons.
La crosse d'évêque représente Léonce, évêque de Bordeaux, qui possédait domaines et maison à «Prinhac» et fit construire l'église de Preignac en la dédiant à saint Vincent.
Les deux étoiles sont un rappel de celles du blason de la famille de Guichener, seigneur d'Armajan, de Lamothe, de Taste, etc. dont l'un des fils devint gendre de Montesquieu.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Preignac appartient à l'arrondissement de Langon depuis le , en lieu et place de celui de Bordeaux, à la suite d'un arrêté préfectoral en date du portant modification des limites d'arrondissement dans le département de la Gironde, et au canton des Landes des Graves depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Podensac.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la neuvième circonscription de la Gironde, représentée depuis 2017 par Sophie Mette (LREM-MoDem).
Intercommunalité
De 2003 à 2016, Preignac appartenait à la communauté de communes de Podensac. Elle a intégré la communauté de communes Convergence Garonne le .
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[35].
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
?
?
Gabriel Reynal
SFIO
Conseiller général du canton de Podensac (1945 → 1951)
Chef d'entreprise retraité Vice-président de la CC Convergence Garonne (2017 → )
mai 2020
En cours
Thomas Filliatre
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].
En 2019, la commune comptait 2 154 habitants[Note 8], en diminution de 0,92% par rapport à 2013 (Gironde: +7,85%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 450
2 666
2 666
2 606
2 738
2 587
2 468
2 563
2 601
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 426
2 550
2 539
2 482
2 582
2 591
2 504
2 534
2 549
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 654
2 733
2 598
2 213
2 280
2 293
2 057
2 065
2 280
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
2 184
2 227
2 096
1 958
1 992
2 026
2 138
2 148
2 179
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 140
2 154
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique
Lieux et monuments
L'Église Saint-Vincent dont la façade du XVIIIesiècle est de style classique et le clocher couvert par un dôme en cuivre, est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1925[44].
son orgue, récemment restauré et agrandi par Bernard Cogez, est une merveille.
Le Château de Malle est une demeure du XVIIesiècle qui produit un cru classé de sauternes depuis 1855. Le château et ses jardins à l'italienne sont classés au titre des monuments historiques depuis 1949[45].
Le Château des Rochers est un domaine viticole du XVIIIesiècle inscrit au titre des monuments historiques depuis 2008[46].
Le Château Suduiraut est domaine viticole produisant un cru classé de sauternes.
Le château des Ormes, situé au nord-ouest du bourg de Preignac, au lieu-dit Armajan, est une demeure Louis XV de noble apparence[47].
Le château Jonka, au lieu-dit Junca, chartreuse du XVIIIesiècle dite girondine, c'est-à-dire bâtie en forme de U et qui regroupe le château, partie centrale qui comporte le logis au rez-de-chaussée avec pavillon central, et les dépendances agricoles terminées chacune par un pavillon à étage, qui forment les côtés de la cour fermée par un bâtiment traversé d'un passage couvert. Les dépendances comportent des écuries, des chais et un cuvier. Les bâtiments sont entourés d'un parc et d'un jardin. La partie la plus ancienne de l'édifice, située à l'extrémité de l'aile gauche date du XVIesiècle. Il produit un vin blanc liquoreux, le sauternes[48].
Entrée sud de la ville (oct.2012)
Façade sud de l'église Saint-Vincent (oct.2012)
L'orgue de l'église Saint-Vincent (2005)
Le château de Malle (fév.2010)
Le château Suduiraut (avr.2012)
La gare de Preignac (juin2011)
Ancien logo (jusqu'en janv. 2009)
Personnalités liées à la commune
Joël Dumé, arbitre de rugby à XV, né en 1959 dans la commune.
Maurice Dubois (1869-1944), peintre, décédé dans la commune.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 24 novembre 2011.
Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 36,3 km pour Bordeaux, 5,1 km pour Langon et 8,6 km pour Podensac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 17 mars 2013.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Hubert Sion, Académie des inscriptions et belles-lettres, Carte archéologique de la Gaule 33-1: La Gironde, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, , 1reéd., 360p. (ISBN978-2-87754-028-5), pp. 248-249..
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