Plourivo [pluʁivo] est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.
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Plourivo | |
![]() Le manoir de Traou-Nez. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Bretagne |
Département | Côtes-d'Armor |
Arrondissement | Guingamp |
Intercommunalité | Guingamp-Paimpol Agglomération |
Maire Mandat |
Véronique Cadudal 2020-2026 |
Code postal | 22860 |
Code commune | 22233 |
Démographie | |
Gentilé | Plourivotain, Plourivotaine ou Plourivien, Plourivienne |
Population municipale |
2 263 hab. (2019 ![]() |
Densité | 80 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 44′ 41″ nord, 3° 04′ 18″ ouest |
Altitude | Min. 1 m Max. 100 m |
Superficie | 28,35 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Paimpol (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Paimpol |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Elle est jumelée avec la ville de Buttevant située dans le Munster en Irlande.
Plourivo appartient au pays historique du Goëlo.
La commune de Plourivo est situé au nord-ouest du département des Côtes-d'Armor. Elle est délimitée au Nord par la ville de Paimpol, à l'Est par les communes de Kerfot et Yvias, au Sud par le Leff puis à l'Ouest par l'estuaire du Trieux.
Plourivo fait partie de Guingamp Paimpol Armor Argoat Agglomération, du canton de Paimpol, de la Cinquième circonscription des Côtes-d'Armor et de l'arrondissement de Guingamp depuis 2016 (et de l'arrondissement de Saint-Brieuc avant 2016).
Son altitude varie de 0 à 100 m.
Paimpol | ||
Pleudaniel | ![]() |
Kerfot |
Ploëzal | Quemper-Guézennec | Yvias |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lanleff », sur la commune de Lanleff, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 839,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 29 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].
La ligne de chemin de fer Guingamp - Paimpol longe la ria du Trieux et dessert la commune en 3 haltes : Frynaudour, Traou-Nez, Lancerf.
Plourivo est localisée dans la partie médiane du domaine nord armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui est le résultat de trois chaînes de montagnes successives. Le site géologique de Plourivo se situe plus précisément dans l'unité de Saint-Brieuc formé d'un bassin sédimentaire essentiellement briovérien (constitué de formations volcano-sédimentaires) limité au nord-est par un important massif granitique cadomien, le batholite du Trégor, au sud par le décrochement dextre nord-armoricain (faille de Molène – Moncontour)[15], et au sud-ouest le pluton de Lanhélin qui font partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien[Note 6],[16].
L'histoire géologique de la région est marquée par le cycle cadomien (entre 750 et 540 Ma) qui se traduit par la surrection de la chaîne cadomienne qui devait culminer à environ 4 000 m[17] et regroupait à cette époque (avant l'ouverture de l'océan Atlantique) des terrains du Canada oriental, d'Angleterre, d'Irlande, d'Espagne et de Bohême[18]. Cette ceinture cadomienne se suit à travers le Nord du Massif armoricain depuis le Trégor (baie de Morlaix) jusqu'au Cotentin. À une collision continentale succède une période de subduction de l'océan celtique[19] vers le sud-est, sous la microplaque Armorica appartenant alors au supercontinent Gondwana. Des failles de direction N40°-N50°enregistrent un raccourcissement oblique, orienté environ NNE-SSW[20]. Cette tectonique régionale entraîne un métamorphisme à haute température et basse pression. À la fin du Précambrien supérieur, les sédiments briovériens issus de l’érosion rapide de la chaîne cadomienne sont fortement déformés, plissés, formant essentiellement des schistes et des gneiss[21]. Les massifs granitiques du Mancellien (notamment le massif côtier nord-trégorrois, le granite de Plouha, les diorites et gabbros de Saint-Quay-Portrieux), dont la mise en place est liée au cisaillement nord-armoricain[22] scellent la fin de la déformation ductile de l'orogenèse cadomienne[23]. À leur tour, ces massifs granitiques sont arasés, leurs débris se sédimentant dans de nouvelles mers, formant les « Grès rouges » qui se déposent dans le bassin ordovicien de Plouézec-Plourivo, hémi-graben limité au nord par la faille de Trégorrois. L'arénisation[24] des massifs granitiques a vraisemblablement débuté au Pliocène, sous l'action de climats tempérés chauds et humides, et se poursuit encore actuellement mais sous forme atténuée. L'altération a également transformé les roches métasédimentaires en formations argilo-sableuses. Enfin, au Plio-quaternaire, les roches du substratum sont localement recouvertes par des dépôts récents issus de l’action du vent (lœss, limons sur les coteaux), de mouvements et transports sur les versants (colluvions), et des cours d'eau (alluvions)[25]. Les grands traits de l’évolution géologique du Goëlo sont alors fixés.
La région comporte ainsi, au-dessus d'un socle granitique (750-650 Ma), une épaisse séquence volcanique et sédimentaire, elle-même intrudée par de nombreux plutons granitiques (580 Ma) contemporains de la déformation. Elle correspond à la subduction d'un domaine océanique vers le sud-est sous la marge active nord du Gondwana, entraînant un métamorphisme à haute température et basse pression (subduction engendrant un bassin intra-arc ou une zone de chevauchement, les deux hypothèses restant débattues)[26].
Économiquement, les « grès de Plourivo » faciles à extraire et à façonner par suite de leur disposition en bancs parallèles, ont été exploités dans de nombreuses églises du Goëlo septentrional, et ce dès le XIe siècle (« temple » de Lanleff). Ils « offrent, en fait, des granulométries variées : fine, graveleuse, voire conglomératique, ainsi que des colorations diverses, allant du blanc au rouge lie-de-vin en passant par le rose, nuance la plus fréquente[27] ».
Touristiquement, les principaux aspects de la géologie dans cette région peuvent être abordés au cours de balades naturalistes et géologiques qui permettent d'observer sur un espace réduit du territoire, des roches d'âge et de nature différents, témoins de phénomènes géologiques d'ampleur (magmatisme, tectogenèse, métamorphisme, érosion…)[28].
Plourivo est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[29],[30],[31]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paimpol, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[32] et 17 674 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[33],[34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paimpol, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35],[36].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[37]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[38],[39].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,5 %), zones agricoles hétérogènes (32,9 %), terres arables (23,7 %), zones urbanisées (7,4 %), eaux maritimes (2,4 %), zones humides intérieures (0,1 %)[40].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[41].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Plerivou en 1198, Plorivo et Parochia de Plorivou en 1220, Plourivou en 1228, Plurivou en 1235, 1244 et en 1256, Plorivo en 1257, Plorivou en 1263, 1266 et en 1284, Ploerivou en 1271, Plerivou en 1287, Ploeryvou en 1305, Plurivou vers 1330, Plurivo en 1401 et en 1429, Plourivou en 1403, Plurivo en 1429[42], Ploerivau en 1543[43].
La forme actuelle de Plourivo apparaît dès 1652[44].
Son nom vient de l’ancien breton plou qui signifie paroisse et de rivou ou rion[45].
« Propriété en 1198 de l'abbaye de Saint-Rion, cet édifice ne saurait rappeler, comme on l'a parfois avancé, le saint éponyme de la paroisse, saint breton que l'on peut supposer, d'après les graphies anciennes, se nommer *Rivou, même s'il n'est pas attesté par ailleurs, que saint Rion en soit un substitut n'a rien d'impossible »[45].
Plourivo est une ancienne paroisse primitive qui englobait jadis outre le territoire actuel de Plourivo, ceux d'Yvias et de Kerfot. D'après une tradition, Alain Barbetorte aurait attaqué et vaincu sur la lande de Lancerf, en 936 ou 937, les Normands retranchés dans l'enceinte fortifiée de Castel-Auffret et commandés par Incon. Il subsiste d'ailleurs des restes du camp retranché de Castel-Auffret.
Créée par les édits de Louis XVI, la Commune de Plourivo élit sa première municipalité le . Le maire est Nicolas Armez du Poulpry. Il donnera sa démission six mois plus tard, le roi l'ayant nommé à des fonctions incompatibles avec celles de maire.
Plourivo est le berceau de la famille de l'écrivain Ernest Renan (1823-1892). La commune est aussi marquée par la présence de la famille Armez, dont trois membres sont députés du département, ainsi que par la présence de l'homme politique Marcel Cachin, né en 1869 et décédé en 1958, fondateur du Parti communiste français.
Le , une désespérée se jette dans l'étang du Bourg-Blanc, en Plourivo et entraîne dans sa noyade un jeune homme, Magloire Héleu, qui s'était jeté à l'eau pour tenter de la sauver car elle s'agrippa à lui[46].
C'est également sur la commune, au sein du massif forestier de Penhoat-Lancerf, que se trouve l'ancien manoir de Traou-Nez rendu célèbre par l'affaire Seznec. En effet, cette propriété appartenait à Pierre Quéméneur qu'il l'avait acquise en 1920, soit trois ans avant sa disparition, au moment où Guillaume Seznec s'était engagé à le lui acheter. Depuis 1992, la demeure accueille la Maison de l'Estuaire, propriété du Conservatoire du littoral. Le site est desservi par La Vapeur du Trieux grâce à une halte ferroviaire inaugurée en 1994.
Le monument aux Morts porte les noms de 108 soldats morts pour la Patrie[47] :
Propriétaires du château de Bourgblanc[48] qu'ils avaient acheté en 1931 à un paysan qui le délaissait, ils ont tous deux été résistants : la comtesse Betty de Mauduit[49] fut résistante ; membre du réseau Pat O'Leary, elle cacha dans leur château de Bourgblanc une trentaine d'aviateurs alliés en attente d'un convoyage vers l'Angleterre. Elle est décédée le [50].
Son mari Henry de Mauduit gagna en bateau l'Angleterre à partir de Paimpol à bord de l'Aviso, une barque de 7 mètres de long et fut par la suite officier SAS ; parachuté dans les Côtes-du-Nord dans la nuit du 7 au , il anima la Résistance en Bretagne et participa à la libération de Paris. Il fut après la guerre administrateur colonial[51].
Le club de football « Écureuils de Plourivo » est créé en 1971 à l'initiative de la municipalité ; pour choisir le nom du club, les responsables songèrent, comme la commune est étendue et boisée, aux écureuils alors encore nombreux. En 2020 les « Écureuils de Plourivo » ont fusionné avec les clubs des communes voisines de Ploubazlanec et Pléhédel, formant un nouveau club dénommé « Avenir du Goëlo »[52].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
11 mars 2017 | En cours | Véronique Cadudal | DVG-PS | Avocate Conseillère départementale de Paimpol (depuis 2021) Réélue pour le mandat 2020-2026 |
16 mars 2008 | 11 mars 2017 (démission) |
Michel Raoult | EELV[53] | Conseiller à l'emploi en retraite |
23 mars 2001 | 16 mars 2008 | Alain Le Guyader | PS | Ergothérapeute Conseiller général de Paimpol (2004 → 2011) |
22 juin 1995 | 23 mars 2001 | Claude Le Tréou | Instituteur | |
24 mars 1977 | 22 juin 1995 | Pierre L'Hostis (1922-2018) | UG | Ancien officier de la Marine marchande |
17 juillet 1966 | 24 mars 1977 | Jean Goanvic (1903-1986) | ||
10 mai 1953 | 17 juillet 1966 (décès) |
Yves Lagadec | ||
1er octobre 1944 | 10 mai 1953 | Georges Kerbellec | ||
19 mai 1935 | 1er octobre 1944 | Pierre Labbé | ||
19 mai 1929 | 19 mai 1935 | Honoré Janvier | ||
2 juillet 1922 | 1928 | François Prigent | ||
13 décembre 1919 | 2 juillet 1922 | Honoré Janvier | ||
1917 | 13 décembre 1919 | François Prigent | ||
1871 | 1917 | Louis Armez du Ruclé | Député Conseiller général | |
1832 | 1871 | Charles Armez du Ruclé | ||
Juin 1831 | 1832 | Pierre Le Gonidec | ||
7 novembre 1821 | Juin 1831 | Prosper Le Vay | ||
12 août 1821 | 7 novembre 1821 | Joseph Grégoire Ernot | ||
19 juillet 1821 | 12 août 1821 | François Richard | ||
4 décembre 1820 | 19 juillet 1821 | Jacques Nicolas | ||
29 mars 1820 | 4 décembre 1820 | Guillaume Le Gonidec | ||
10 septembre 1815 | 13 décembre 1819 | Ollivier Féger | ||
10 août 1802 | 10 septembre 1815 | Louis Le Vay | ||
20 décembre 1801 | 10 août 1802 | Yves Richard | ||
23 octobre 1801 | 20 décembre 1801 | Yves Le Goff | ||
25 juillet 1790 | 23 octobre 1801 | Louis-Marie Armez du Ruclé | ||
31 janvier 1790 | 13 juin 1790 | Nicolas Armez du Poulpry | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
Pierre l'Hostis qui fut maire pendant trois mandats successifs, a reçu le titre de maire honoraire des mains de son successeur, Claude Le Tréou, en 1997.
Le maire actuel est Michel Raoult (Sans étiquette) et en est à son deuxième mandat.
Tête de liste | Liste | Premier tour | Sièges | |||
---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | |||||
Michel Raoult | Sans étiquette | 645 | 50,31 | 15 | ||
Jeanne Rolland | Sans étiquette | 637 | 49,69 | 4 | ||
Inscrits | 1785 | |||||
Abstentions | 437 | 24,48 | ||||
Votants | 1348 | 75,52 | ||||
Blancs et nuls | 66 | 4,90 | ||||
Exprimés | 1282 | 95,10 |
![]() ![]() Buttevant
![]() Plourivo
|
Plourivo est jumelée avec Buttevant (Irlande) depuis 1998[54],[55].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[57].
En 2019, la commune comptait 2 263 habitants[Note 9], en augmentation de 1,75 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,59 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 150 | 2 210 | 2 423 | 2 201 | 2 305 | 2 463 | 2 431 | 2 401 | 2 434 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 473 | 2 511 | 2 627 | 2 676 | 2 673 | 2 564 | 2 571 | 2 533 | 2 549 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 554 | 2 589 | 2 564 | 2 303 | 2 270 | 2 151 | 2 018 | 2 021 | 1 837 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 891 | 1 869 | 1 933 | 1 927 | 1 932 | 1 973 | 2 072 | 2 106 | 2 190 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 230 | 2 263 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,1 % la même année, alors qu'il est de 32,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 103 hommes pour 1 166 femmes, soit un taux de 51,39 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,7 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,4 | 90 ou + | 0,9 |
7,7 | 75-89 ans | 12,2 |
22,0 | 60-74 ans | 21,1 |
22,5 | 45-59 ans | 23,1 |
14,5 | 30-44 ans | 15,0 |
13,4 | 15-29 ans | 11,4 |
19,6 | 0-14 ans | 16,3 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,8 | 90 ou + | 2,4 |
8,8 | 75-89 ans | 12,4 |
20,4 | 60-74 ans | 20,9 |
20,7 | 45-59 ans | 19,6 |
16,6 | 30-44 ans | 15,8 |
15 | 15-29 ans | 12,9 |
17,7 | 0-14 ans | 16 |
157 entreprises sont implantées à Plourivo dont 147 sièges et 10 établissements. L'effectif moyen de ces sociétés est de 1 employé. La majorité de ces entreprises sont des entreprises dites commerçantes.
L'âge moyen de ces entreprises est de 15,1 ans.
Les secteurs les plus représentés dans les entreprises à Plourivo sont :
La commune compte une école maternelle : l'école de Penhoat et une école primaire : l'école du Bourg.
La commune compte un club de football : les écureuils de Plourivo Football et une base nautique, la base nautique Lancerf.
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