Pierrefiche est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.
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Pierrefiche | |
![]() Château de Galinières | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Aveyron |
Arrondissement | Rodez |
Intercommunalité | Communauté de communes Des Causses à l'Aubrac |
Maire Mandat |
Raphaël Bach 2020-2026 |
Code postal | 12130 |
Code commune | 12182 |
Démographie | |
Gentilé | Pierrefichois(e) |
Population municipale |
279 hab. (2019 ![]() |
Densité | 16 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 26′ 40″ nord, 2° 56′ 56″ est |
Altitude | Min. 423 m Max. 787 m |
Superficie | 17,1 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Rodez (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Lot et Palanges |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
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Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le château de Galinières, inscrit en 1928 puis classé en 1988, et l'église Saint-Pierre, inscrite en 1928.
Sainte-Eulalie-d'Olt | Saint Geniez d'Olt et d'Aubrac | |
Palmas d'Aveyron | ![]() |
Saint-Martin-de-Lenne |
Vimenet |
La commune est drainée par le Ruisseau de Serre, le ravin du Mascal, le ruisseau de Coutelle, le ruisseau de Glassac et par divers petits cours d'eau[1].
Le Ruisseau de Serre, d'une longueur totale de 29,4 km, prend sa source dans la commune de Campagnac et se jette dans l'Aveyron à Palmas d'Aveyron, après avoir arrosé 6 communes[2].
La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[3],[4],[5].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
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La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[6]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[8]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 31 km à vol d'oiseau de la commune[9], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 10,7 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[12].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[14] : La « Haute vallée du Lot entre Espalion et Saint-Laurent-d'Olt et gorges de la Truyère, basse vallée du Lot et le Goul », d'une superficie de 5 653 ha, comprend une partie de la vallée du Lot ainsi que deux de ses affluents : la Truyère et le Goul. Le site est remarquable d'une part du fait de la présence de deux espèces d'intérêt communautaire, la Loutre d'Europe et le Chabot, et de plusieurs habitats aquatiques et forestiers d'intérêts communautaires qui se rapportent aux trois entités paysagères du site[15].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Pierrefiche comprend deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] :
Pierrefiche est une commune rurale[Note 4],[19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (61,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,4 %), forêts (26,9 %), terres arables (21,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,9 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), zones urbanisées (2,7 %)[21].
La commune ne disposait pas en 2017 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[22].
Le territoire de la commune de Pierrefiche est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[23],[24].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité moyenne[25].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[23]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[26]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Géorisques[27]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[28],[29].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Pierrefiche est classée à risque faible[31]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[32] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 1, à savoir zone à potentiel radon faible[33].
La commune de Pierrefiche est membre de la communauté de communes Des Causses à l'Aubrac[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Palmas d'Aveyron. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[34].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Lot et Palanges pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[35].
Le conseil municipal de Pierrefiche, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[36] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[37]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[38] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 72,97 %[39]. Raphaël Bach est élu nouveau maire de la commune le [40].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[41]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Des Causses à l'Aubrac[42].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1986 | 1995 | Jean-Claude Luche | DVD | Cadre bancaire Conseiller général |
1995 | 2014 | Jean-Paul Mornet | ||
mars 2014 | mai 2020 | Gérard Majorel[43] | Agriculteur exploitant | |
mai 2020 | en cours | Raphaël Bach[43],[44] | Artisan | |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46].
En 2019, la commune comptait 279 habitants[Note 6], en augmentation de 4,1 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
873 | 443 | 1 807 | 1 739 | 1 765 | 1 761 | 704 | 678 | 665 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
601 | 553 | 540 | 514 | 559 | 530 | 541 | 535 | 528 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
525 | 516 | 477 | 391 | 336 | 322 | 317 | 342 | 269 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
252 | 205 | 203 | 199 | 238 | 273 | 264 | 262 | 268 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
277 | 279 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,0 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (28,8 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (32,8 %) est inférieur au taux départemental (34,3 %).
En 2018, la commune comptait 133 hommes pour 144 femmes, soit un taux de 51,99 % de femmes, supérieur au taux départemental (50,67 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,5 | 90 ou + | 2,1 |
9,0 | 75-89 ans | 11,1 |
24,1 | 60-74 ans | 18,1 |
20,3 | 45-59 ans | 21,5 |
23,3 | 30-44 ans | 17,4 |
7,5 | 15-29 ans | 10,4 |
14,3 | 0-14 ans | 19,4 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,2 | 90 ou + | 2,8 |
10,1 | 75-89 ans | 13,6 |
20,5 | 60-74 ans | 20,5 |
21,1 | 45-59 ans | 20,4 |
16,4 | 30-44 ans | 15,8 |
14,9 | 15-29 ans | 12,3 |
15,9 | 0-14 ans | 14,6 |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 122 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 282 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 210 €[I 6] (20 640 € dans le département[I 7]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 8] | 3,8 % | 8,9 % | 3 % |
Département[I 9] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 167 personnes, parmi lesquelles on compte 76 % d'actifs (73,1 % ayant un emploi et 3 % de chômeurs) et 24 % d'inactifs[Note 8],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 11]. Elle compte 116 emplois en 2018, contre 108 en 2013 et 91 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 126, soit un indicateur de concentration d'emploi de 92,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57 %[I 12].
Sur ces 126 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 34 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 84,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 5,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
46 établissements[Note 9] sont implantés à Pierrefiche au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 15].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 46 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 24 | 52,2 % | (17,7 %) |
Construction | 5 | 10,9 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 1 | 2,2 % | (27,5 %) |
Information et communication | 2 | 4,3 % | (1,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 2,2 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 3 | 6,5 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 7 | 15,2 % | (12,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 3 | 6,5 % | (12,7 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 52,2 % du nombre total d'établissements de la commune (24 sur les 46 entreprises implantées à Pierrefiche), contre 17,7 % au niveau départemental[I 16].
La commune est dans la « Viadène et vallée du Lot », une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aveyron[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 28 | 20 | 15 | 15 |
SAU[Note 12] (ha) | 1 026 | 1 109 | 1 143 | 1 575 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 20 en 2000 puis à 15 en 2010[52] et enfin à 15 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 46 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[53],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 026 ha en 1988 à 1 575 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 37 à 105 ha[52].
Inscrit MH (1928)[54]
Inscrit MH (1928)[55]
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Blason | De gueules, à deux clés d’or, mises en sautoir, cantonnées en 1 d’une tour d’argent, en 2 et 3 d’une croix chrétienne d’or et en 4 d’un menhir fiché sur un rocher se mouvant de la pointe, le tout d’argent. |
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Détails | L’or et le gueules sont les couleurs du Rouergue, province d’appartenance du village.
Les deux clés sont le symbole de Pierre, le saint patron du village. La tour représente le château de Galinières. La croix chrétienne d’or est l’un des éléments des armoiries de l’abbaye de Bonneval, seigneur du château de Galinières et donc du village. Les armes exactes de la communauté sont « d’azur, à une notre Dame d’argent, tenant de sa main dextre et contre son cœur une croix d’or ». La reprise intégrale des armes de famille étant interdite pour les municipalités, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments. Le menhir planté dans le rocher traduit le nom du village. Les ornements sont deux gerbes de blé d’or, mises en sautoir par la pointe et liées de gueules afin d’honorer l’agriculture communale et représente l’ancienne grange aux dîmes. Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable. La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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