Palluaud est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
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Palluaud est une commune du Sud Charente, limitrophe du département de la Dordogne, située à 11 km au sud-est de Montmoreau et 34 km au sud d'Angoulême.
Elle est aussi à 9 km à l'ouest de Verteillac, 11 km au nord-est d'Aubeterre, 13 km au nord-ouest de Ribérac, 15 km au sud de Villebois-Lavalette, 18 km au nord-est de Chalais et 42 km de Périgueux[1].
Le bourg est traversé par les routes départementales 17 (Villebois - Aubeterre) qui longe la rive gauche de la Lizonne, limite départementale, et la D 78, perpendiculaire, qui va à Montignac-le-Coq. La D 19 qui va en direction d'Angoulême au nord et Saint-Séverin et Aubeterre au sud, passe en limite de commune et longe la crête à l'ouest[2].
La gare la plus proche est celle de Montmoreau, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
La commune compte un petit hameau, la Fresse; au nord-ouest du bourg, et de nombreuses fermes[2].
Communes limitrophes
Carte de Palluaud et des communes avoisinantes.
Palluaud est limitrophe de cinq autres communes dont deux dans le département de la Dordogne. Au sud-est, son territoire communal n'est distant que de 25 mètres de celui de Saint-Paul-Lizonne, également en Dordogne.
Le sol est en grande partie constitué d'un calcaire crayeux du Campanien commun à tout le Sud Charente (Crétacé supérieur).
La vallée de la Lizonne à l'Est est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire, limon mais aussi tourbe. Ce sont d'anciens marécages assainis par des peupleraies et canaux, et dont la terre est noire[3],[4],[5].
Article connexe: Géologie de la Charente.
Le bourg est situé à 77 m d'altitude, peu au-dessus de la Lizonne qui est à 62 m d'altitude. Le point culminant de la commune, 191 m, est à l'ouest, au château d'eau de Bel-Air, sur la crête élevée qui sépare la vallée de celle de la Tude. La commune est peu boisée, sauf sur la crête à l'ouest (bois de chênes et châtaigniers) et la vallée de la Lizonne (peupliers).
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne, au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Lizonne, un bras de la Lizonne, la Pude, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[7],[Carte 1].
La commune est située dans la vallée de la Lizonne, affluent de la Dronne, et fait face au confluent de la Pude avec la Lizonne.
Réseaux hydrographique et routier de Palluaud.
La Lizonne au pont de la RD 78.
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Isle - Dronne». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Article connexe: Climat de la Charente.
Milieux naturels et biodiversité
ZNIEFF
La Lizonne en amont du pont de la RD 78 à Palluaud.
À Palluaud, la vallée de la Lizonne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée «Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes»[10],[11].
Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[10]:
un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes);
cinq insectes dont trois lépidoptères: l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et deux odonates: l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii);
sept mammifères: la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris: le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus);
quatre oiseaux: l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prés (Saxicola rubetra);
trois poissons: le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma);
un reptile: la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[10].
Natura 2000
Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée[12] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 «Vallée de la Nizonne» avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[13]:
sept insectes: l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii);
dix mammifères: la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et huit chauves-souris: la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Petit murin (Myotis blythii) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros);
deux poissons: le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri);
un reptile: la Cistude (Emys orbicularis).
Urbanisme
Typologie
Palluaud est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].
La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (51,6%), zones agricoles hétérogènes (32,1%), forêts (16,3%)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Palluaud est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Palluaud.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 184 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 184 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 81% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].
Toponymie
Les formes anciennes sont Paludibus en 1110[25], Palueu en 1302, Paluello en 1363[26].
L'origine du nom de Palluaud remonte au latinpaludellum, c'est-à-dire palus qui signifie «marais» avec suffixe diminutif -ellum[27]. Le mot occitanpalud dérive aussi directement du mot latin palus/udis[Note 2].
Dialecte
La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[28].
Elle se nomme Palueu en occitan[29].
Articles connexes: Langues de la Charente et Charente occitane.
Histoire
Palluaud était, dès le Xesiècle, une possession de l'abbaye de Saint-Cybard. Au début du XIIesiècle, l'abbaye construisit une église et fonda un prieuré. En 1215 le comte d'Angoulême Aymar y ajouta de nouveaux domaines et le prieuré devient important.
Le prieur était seigneur de la paroisse: il avait droit de haute, moyenne et basse justice sur tout son territoire. En 1450, les religieux de Brantôme lui ayant disputé ce droit sur certaines parties de la paroisse, il en appela au roi et obtint gain de cause. Plus tard en 1684 des lettres patentes lui confirmèrent ce droit, ainsi que de rétablir les fourches patibulaires.
Le prieuré de Palluaud perdit la conventualité vers 1400, et le prieur cessa d'y résider. Dans la première moitié du XVIesiècle, le prieuré fut mis au régime de la commende[30].
Au XVIesiècle, Palluaud a participé à la révolte des Pitauds contre la gabelle qui a secoué les provinces du Sud-Ouest: Saintonge, Bordelais, Angoumois[31].
La Lizonne comportait plusieurs moulins qui ont fait partie des premières papeteries de France dès le début du XVIesiècle[32]. Le moulin de Négre-Mure (ou Negremus), moulin à drap (sans doute fait à partir de la laine des moutons), est converti en moulin à papier en 1516. Il dépendait du prieuré de Palluaud[33],[34].
Article connexe: Papeterie en Angoumois.
Les maisons prieurales furent détruites par les protestants lors des guerres de religion. En 1652, il n'en reste plus que quelques vestiges, dont une vieille tour, dite tour Prisonnière.
En 1750, avec le consentement de l'abbé de Saint-Cybard, le prieuré de Palluaud fut uni au petit séminaire de Périgueux[30].
Avant la Révolution, Philippe de Clairambeau était comte de Palluaud[35].
Administration
La mairie.
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1970
2014
Marcel Lafaye
SE
Chef d'entreprise retraité
2014
En cours
Michel Andreu
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].
En 2019, la commune comptait 221 habitants[Note 3], en diminution de 7,53% par rapport à 2013 (Charente: −0,42%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1841
1846
1851
1856
761
560
753
726
719
662
664
702
703
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
688
699
620
622
547
530
518
504
455
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
455
427
370
352
326
328
319
268
260
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
2015
264
260
273
283
290
289
289
247
234
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
221
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18%, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 42,4% la même année, alors qu'il est de 32,3% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 121 hommes pour 103 femmes, soit un taux de 54,02% d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,7
90 ou +
3,0
16,2
75-89 ans
14,0
24,8
60-74 ans
25,0
28,2
45-59 ans
30,0
10,3
30-44 ans
11,0
9,4
15-29 ans
8,0
9,4
0-14 ans
9,0
Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[41]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1
90 ou +
2,5
8,9
75-89 ans
11,8
20
60-74 ans
20,3
21
45-59 ans
20,8
16,9
30-44 ans
16,2
15,6
15-29 ans
13,7
16,6
0-14 ans
14,7
Économie
Agriculture
La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac «Bons Bois»[42] et de l'AOP Noix du Périgord[43].
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un RPI entre Montignac-le-Coq, Palluaud et Salles-Lavalette. Salles-Lavalette accueille l'école maternelle, et Montignac et Palluaud les écoles élémentaires, avec une classe unique chacune. Le secteur du collège est Montmoreau[44].
Lieux et monuments
L'église paroissiale Saint-Cybard. Elle abrite une cloche en bronze datant de 1650, nommée Catherine Loys et pesant 150 kg, dont l'inscription est «HIS MARIA IEVIS A L'EGLISE DE PALLUAUD PESANT 300 LIVRES QUI A ETE BENITE ET NOMMEE CATHERINE LOYS, ETANT PRIEUR SEIGNEUR DU DIT LIEU, ILLUSTISSIME ABBE MESSIRE LOYS DE LA RIVIERE, CONFESSEUR DU ROY EN TOUS SES CONSEIL, CHANCELIER ET COMMANDEUR DE SES ORDRES ET MINISTRE D'ETART. PARRAIN MONSIEUR DELARIVIERE SON FRERE PRIEUR COMMENDATAIRE DES PIERRE DE LA REOLE ET MARRAINE DAME ESTER DE LIVESNE EPOUSE DE MONSIEUR DE MOYAT GENTILHOMME ORDINAIRE DE LA CHAMBRE DU ROY ETANT VICAIRE PERPETUEL MAITRE JEAN PRALLAT, 1650». Elle est classée monument historique au titre objet depuis 1944[45].
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t.IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1reéd. 1180), 296p. (lire en ligne), p.125
Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426p. (lire en ligne)
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Jean-Hippolyte Michon (préf.Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr.1980), 334p. (lire en ligne), p.55
Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr.Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422p., p.267
Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll.«L'histoire par les documents», , 429p. (ISBN2-903504-21-0, BNF34901024, présentation en ligne), p.174
Henri Alibaux, Les premières papeteries françaises, Audin, , 215p. (lire en ligne), p.72
Pierre Dubourg-Noves (dir.), Histoire d'Angoulême et de ses alentours, Toulouse, Éditions Privat, coll.«Univers de la France et des pays francophones», , 319p. (ISBN2-7089-8246-X, BNF35072424, présentation en ligne), p.127
Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll.«L'histoire par les documents», , 429p. (ISBN2-903504-21-0, BNF34901024, présentation en ligne), p.196
Jean-Hippolyte Michon, Vigier de La Pile et François de Corlieu, Histoire de l'Angoumois. Suivie du recueil en forme d'histoire de ce qui se trouve par écrit de la ville et des comtes d'Angoulême., Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), 1576, 1760, 1846, 160p. (ISBN2-86276-384-5, lire en ligne), xci
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