Nouzilly est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
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Nouzilly | |
![]() L'église Saint-André, XVIe siècle. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Centre-Val de Loire |
Département | Indre-et-Loire |
Arrondissement | Loches |
Intercommunalité | Communauté de communes du Castelrenaudais |
Maire Mandat |
Joël Besnard 2020-2026 |
Code postal | 37380 |
Code commune | 37175 |
Démographie | |
Gentilé | Nouzillais |
Population municipale |
1 244 hab. (2019 ![]() |
Densité | 31 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 32′ 38″ nord, 0° 44′ 41″ est |
Altitude | Min. 75 m Max. 164 m |
Superficie | 40,24 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Tours (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Château-Renault |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | nouzilly.fr/ |
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Nouzilly est située dans la partie sud de la Gâtine tourangelle. Son territoire est très boisé (Bois de Nouzilly au nord, Bois du Mortier au sud et à l'ouest, etc.).
La commune est irriguée de nombreux étangs, sources et ruisseaux. L'une des sources de la Choisille se trouve sur Nouzilly, ainsi que celle d'un des ruisseaux nommés Petite Choisille[1].
Beaumont-Louestault | Saint-Laurent-en-Gâtines | |
Rouziers-de-Touraine | ![]() |
Crotelles |
Cerelles | Chanceaux-sur-Choisille | Monnaie |
Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 34,96 km, comprend trois cours d'eau notables, la Choisille (6,222 km) et le Madelon (0,082 km) et le Mortier (2,193 km), et divers petits cours d'eau dont la Petite Choisille (6,052 km) et la Choisille de Beaumont (0,173 km)[2],[3].
La Choisille, d'une longueur totale de 26,1 km, prend sa source à 149 mètres d'altitude sur le territoire de la commune et se jette dans la Loire à Saint-Cyr-sur-Loire, à 42 m d'altitude, après avoir traversé 8 communes[4]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[5],[6]. Sur le plan piscicole, la Choisille est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].
Le Madelon, d'une longueur totale de 13,5 km, prend sa source dans la commune de Saint-Laurent-en-Gâtines et se jette dans la Brenne à Villedômer, après avoir traversé 4 communes[8]. Ce cours d'eau est classé dans la liste 1[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux[5]. Sur le plan piscicole, le Madelon est également classé en deuxième catégorie piscicole[7].
Le Mortier, d'une longueur totale de 10,5 km, prend sa source dans la commune de Crotelles et se jette dans la Choisille à Cerelles, après avoir traversé 4 communes[9]. Sur le plan piscicole, le Mortier est également classé en deuxième catégorie piscicole[7].
Cinq zones humides[Note 4] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Choisille de Beaumont de la Plotière au Moulin de la Gravelle », « la vallée de la Choisille de la Harlandière au Château de Baudry », « la vallée de la Petite Choisille de Bourdigal à la Roche d'Ambille », « la vallée du Ruisseau du Mortier du Moulin de Madère au Château de Baudry » et « l'étang du Pont Vert »[10],[11].
Nouzilly comme pour la plupart des localités situées dans le centre-ouest à l'intérieur des terres, est sujette a un climat océanique dégradé (Köppen: Cfb) avec quatre saisons bien marquées. Habituellement l'hiver est frais et humide, l'été modérément chaud et légèrement plus sec et les intersaisons (printemps et automne) sont variables entre fraîcheur et douceur, toujours avec une humidité marquée.
Nouzilly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[12],[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,2 %), terres arables (41,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), prairies (1,5 %), zones urbanisées (1,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].
Le territoire de la commune de Nouzilly est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Beaumont, est classée au niveau de risque 3, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 576 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 563 sont en en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996, 1997, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[19].
Une hypothèse traite du camp romain de Nouzilly comme quartiers d’hiver des troupes de César en 57 avant JC puis en 52 ; l’on sait en effet qu’en 52 César envoya deux tribus hiverner chez les Turons sur la frontière des Carnutes ; les fossés de Nouzilly étaient les restes de l’un des vastes camps établis pour la saison. R. Martinet au milieu du XIXe siècle aurait rapporté des traditions : « une tradition très ancienne semble avoir été conservée au bourg de Nouzilly les souvenirs de la splendeur de ce camp qui lui a donné naissance ; cette tradition dit que le bourg …était autrefois une grande ville connue sous le nom de Cité. Il parait que ce village s’était formé près du cimetière des Romains, car on ne peut fouiller la terre au sud du bourg sans trouver des ossements humains. » Il parle aussi de quatre fontaines qui « rappelle que le culte des eaux était commun aux Gaulois et au Romains ». Des défrichements importants eurent lieu dans le parallélogramme du camp qui indiqueraient que Nouzilly remonterait à plus de dix siècles avant l’apparition de son nom dans les documents écrits.[24]
Nouzilly faisait partie d’un groupe de dépendances de l’abbaye Saint-Julien de Tours entre le X et XIIe siècle lors de la reconstruction du monastère entièrement ruiné par les Normands. Selon toute apparence, l’abbaye tentait de se constituer autour de Chanceaux un domaine consistant et homogène ; la donation de la villa de Nouzilly à la fin du Xe siècle en fait preuve. Le domaine de Nouzilly était une propriété allodiale du neveu de l’archevêque de Tours, Ardouin ; il s’appelait Corbon-le-Jeune. La famille puissante occupait un rang important dans le comté et son administration, et les Corbons se dessaisissent au XIe siècle du domaine. La charte de 1064 permettant les moines de jouir de la propriété sera mise en cause en 1238 par le seigneur de Rochecorbon, Guillaume de Brenne, demandant un certain nombre de droits, certains directement contre les dispositions de 1064. Une action forte du diocèse entrainant une excommunication générale du seigneur et de ses complices a permis aux moines d’ainsi racheter leurs droits féodaux. Des riverains s’installèrent pour pratiquer l’agriculture, l’exploitation du bois et l’élevage de moutons. La première église en pierre sera construite dans le cours du XIe siècle ; il en reste des vestiges dans le mur nord repérés durant la restauration de l’église de 1865[25].
Ce n’est pas avant le XIIIe siècle qu’il est possible de se faire une idée de la population nouzillaise. En tète, le seigneur de Rochecorbon qui maintenait une vaste châtellerie : Nouzilly, Chanceaux, Rochecorbon, Reugny, Saint-Ouen-les-Vignes et bien d’autres droits sur Pocé-sur-Cisse, Parcay-Meslay, aux Rochettes, aux Ponts-de-Tours, à Vouvray, Crotelles et Villedômer. Le seigneur intervient à Nouzilly par l’intermédiaire des sas baillis dont les noms sont connus : Gilles de Pocé, André Berruyer, Mathieu le Bocé, Pierre de Linière et Marquier qui devaient avoir chacun une circonscription précise. Deux familles nobles se distingueraient au XIIIe siècle : les Nouzilly au Plessis-l’Ormeau avec sa douve circulaire en eau, l’autre la famille Bocel à la Roche-d’Ambille. Trois autres sont moins solidement assises : les Chesère, les seigneurs de la Garochère et du Moulinet (moulin de Gravot parmi d’autres). On attribuerait 4 à 6 moines au prieuré de Nouzilly qui se soutiennent par l’exploitation des bois.[25]
L’église Saint-André prends son nom d’une histoire au VIe siècle de reliques de saint André qui auraient été apportées en 524 de Bourgogne par un Tourangeau, sans doute en provenance de Constantinople, à l’intention de l’église de Tours. Lorsqu’elle fut construite, elle reçut probablement les reliques de Neuvy et fut ainsi consacrée à saint André. Construite en pierre, ses fondations ont été retrouvées lors d’une restauration en 1865. Elle fut flanquée le siècle suivant d’un large clocher pourvu de quatre contreforts avec quatre statues martelées pendant la Révolution : le roi David (?), saint Pierre, saint Paul et saint André (?). Mais l’église prit son aspect extérieur actuel vers 1540, lorsque fut reconstruit le chœur et le sanctuaire. La nef fut recouverte d’une nouvelle charpente. Une voute en briques fut créée au XIXe siècle. À l’intérieur, sont à noter le bénitier du XVe siècle, et les statues de saint Gilles et saint Roch. L’exploitation des bois fut importante dans la commune. Au XVIIe siècle, une série d’incendies de forêt attirèrent l’attention de Nicolas Esteveau de Lamarche, conseiller du roi, lieutenant des Eaux et Forêts, qui réglementa l’exploitation du bois. Au XVIe siècle, l’extraction de la pierre, en particulier le Turonien, un tuffeau jaune assez dur et fossilifère, se développa avec plusieurs carrières souterraines et à ciel ouvert Pendant la révolution, la nationalisation de biens ecclésiastiques devait transformer profondément la commune, car aux monastères vont se substituer de nouveaux propriétaires qui ne tarderont pas à construire des châteaux et à remanier le paysage au gré de leurs besoins. La vie religieuse de la paroisse ne fut guère troublée avant 1791. Nouzilly fut intégré dans le district de Chateaurenault, Monnaie et Neuvy-le-Roi, et le culte semble s’être maintenu sans interruption, malgré la mutilation des statues du clocher. La totalité des châteaux de Nouzilly (La Roche d’Ambille, la Harlandière, Gué-Chapelle, Charentais et l’Orfrasière[26]) furent construits au cours du XIXe siècle, alors que ses deux anciens manoirs (la Simonnière et Bellefontaine) ont été déclassés et morcelés en logements distincts.[25]
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1945 | 1977 | Pierre Sionneau | SE | Géomètre expert |
1977 | 1989 | André Flament | ||
1989 | 1995 | Michel Sionneau | SE | Ingénieur au CHU de Tours |
1995 | 1997 | Jacques Moreau | ||
1997 | 2001 | Michel Sionneau | SE | Ingénieur au CHU de Tours |
2001 | 2004 | Alain Carrière | ||
2004 | 2008 | Michèle L'Huillier | ||
2008 | 2014 | Antoine Reille | ||
2014 | En cours | Joël Besnard | SE | Retraité Fonction publique |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].
En 2019, la commune comptait 1 244 habitants[Note 7], en diminution de 2,58 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,64 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 075 | 1 000 | 931 | 1 001 | 1 047 | 1 055 | 1 040 | 1 034 | 1 089 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 179 | 1 100 | 1 120 | 1 006 | 992 | 1 027 | 1 030 | 1 014 | 1 031 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 079 | 1 024 | 1 023 | 865 | 829 | 789 | 712 | 721 | 707 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
687 | 669 | 666 | 739 | 1 086 | 1 104 | 1 198 | 1 211 | 1 257 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 250 | 1 244 | - | - | - | - | - | - | - |
Nouzilly se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription d'Amboise.
L'école primaire Jeanne Salmon accueille les élèves de la commune.
La commune de Nouzilly dispose d'une bibliothèque municipale baptisée Nouzilire, qui fait partie du réseau de la Direction Départementale des Bibliothèques et de la Lecture de Touraine[31].
Ses horaires d'ouverture sont :
Tous les deux ans, au printemps[32], la bibliothèque de Nouzilly organise un concours de nouvelles dit « Brèves de Plumes » ; à l'origine annuel et destiné aux seuls habitants d'Indre-et-Loire, ce concours s'adresse désormais à tout francophone relevant des deux catégories : Jeunes (11 à 17 ans) ou Adultes (à partir de 18 ans). La remise des prix a lieu à la rentrée d'automne.
Outre ce concours, Nouzilire organise régulièrement de multiples activités liées à la lecture : « atelier-lecture bébé » le lundi matin, atelier d'écriture un samedi par trimestre, des lectures publiques pour les adultes ou les enfants (par exemple « 1000 lectures d'hiver », avec l'association Livres au Centre, festival des conteurs avec Conteurs en Touraine), etc.[33]
Les équipements sportifs :
Les associations :
![]() |
Les armes de Nouzilly se blasonnent ainsi : D'azur à la tête de cheval de trait d'argent accompagnée de trois coquerelles versées d'or[39]. Utilisé depuis 1985. Création D. Morche, A. Flament (maire). |
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