Mériel est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.
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La commune est longée à l’est par la route nationale 184 (Francilienne) qui permet une liaison directe à la préfecture du département Cergy et à l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle .
La route nationale 184 bifurque avec L'A115 et permet une liaison par voie rapide en direction de Paris via A15
Elle est aussi desservie par un arrêt de bus à la limite avec Villiers-Adam de la ligne Aéroport de Roissy - Cergy Préfecture (ligne 9518)[1]
La commune, malgré un effort de construction entre 2012 et 2017, ne respecte pas les dispositions de l'article 55 de la Loi SRU, qui prescrit que la commune doit disposer d'au moins de 25% de logements sociaux. C'est pourquoi la municipalité de Jean-Louis Delannoy a prévu la construction à partir de 2017 d'un grand projet urbain de 170 logements près de la gare. La moitié de ce programme sera constituée de logements sociaux, ce qui permettra à Mériel de sortir de l'«état de carence», redonnant à la municipalité la maîtrise des permis de construire et évitant d'avoir à payer une pénalité annuelle qui a atteint 44 000 €[3].
Urbanisme
Typologie
Mériel est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[4],[5],[6].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[7] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
Toponymie, étymologie
La mention la plus ancienne connue de Mériel est Meryel en 1487[12].
Selon l'abbé Lebeuf "comme la terre de Meriel touche immédiatement à celle de Méry, il n'est pas extraordinaire que l'on ait donné un nom équvalent à celui de petit Méry, c'est-à-dire un diminutif de Méry même"[12]. Donc Méry + suff. dim. -el.
Histoire
Train des carrières, au début du XXesiècle.Le Pont de Mériel, détruit pendant la Première Guerre mondiale.Carrière à Mériel ayant servi de champignonnière.
Le site de la commune est occupé depuis la période celtique, comme en témoignent des découvertes archéologiques du XXesiècle.
L'abbaye Notre-Dame-du-Val est fondée à proximité en 1125 par des religieux cisterciens. Le hameau de Mériel se forme, et les rois et prélats, attirés par l'abbaye, s'y arrêtent.
Depuis 1530 au moins, l'église du village a pour patron Saint Éloi. Jusque là simple annexe de la paroisse de Villiers-Adam, elle est ensuite érigée en église paroissiale en 1713[12]. Le hameau est une seigneurie qui appartient au XVesiècle aux Orgemont et aux Villiers de L'Isle-Adam. Il reste sous l'influence des châtelains de Stors jusqu'au XXesiècle.
Lors de la Révolution française, Mériel est érigée en commune et, en 1791, compte 360 habitants.
Des habitants du village participent en 1804 à l'arrestation de complices de Cadoudal, ce qui leur vaut une lettre de félicitations de Bonaparte, alors Premier Consul.
En 1806, Louis Antoine Porlier, d'une famille de vignerons connue depuis 1619, est maire de Mériel et cultivateur.
Le lieu-dit le Champ Poirier a vu s'affronter des soldats français et prussiens pendant la guerre franco-allemande de 1870, sans dommage pour la commune.
Afin d'exploiter des carrières de gypse à Villiers-Adam, une ligne de chemin de fer industriel à voie étroite de 0,75 m de large a été implantée le long de la route de Villiers-Adam puis des rues de l'Abbaye et du Port, afin de permettre l'expédition du plâtre au port de Mériel[13].
Les déplacements des habitants et le développement économique du village sont favorisés par la mise en service en 1876 de la gare de Mériel, sur la ligne d'Ermont - Eaubonne à Valmondois.
Le pont de Mériel est détruit pendant la Première Guerre mondiale et reconstruit ultérieurement.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, en 1943-1944, l'armée allemande implante dans les anciennes carrières des ateliers de montage des fusées V1, entraînant un bombardement allié sur la commune.
La commune, lieu de villégiature en bord de rivière proche de Paris, attire au XXesiècle de nombreuses célébrités.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[14], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de L'Isle-Adam de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
La commune fait partie de la juridiction d’instance, de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[16],[17].
Articles détaillés: Liste des cantons du Val-d'Oise, Conseil départemental du Val-d'Oise et Liste des conseillers généraux du Val-d'Oise.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Val-d'Oise.
Articles détaillés: Liste des députés de Seine-et-Oise, Liste des circonscriptions législatives du Val-d'Oise et Liste des députés du Val-d'Oise.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes de la Vallée de l'Oise et des impressionnistes, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2004.
Dans le cadre de l'achèvement de la coopération intercommunale prévue par la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles, cette intercommunalité disparait en 2016 et la commune intègre la communauté de communes de la Vallée de l'Oise et des Trois Forêts [18],[19],[20] dont elle est désormais membre.
Tendances politiques
Article détaillé: Élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise.
Lors du second tour des élections municipales de 2020[21] où le maire sortant, Jean-Louis Delannoy, ne se représentait pas, Mériel est marquée par une triangulaire, remportée par la liste menée par Jérôme François (maire-adjoint sortant) qui a obtenu plus de la majorité absolue des suffrages exprimés (51,78%), devançant de 270 voix la liste menée par Olivier Sigwald (maire-adjoint sortant) et Eric Jeanrenaud, dont l'union au second tour n'a pas permis de cumuler les résultats du premier tour (33,94% au second tour, contre respectivement 22% et 18,31%) et qui a obtenu 5 sièges, et la liste menée par Michel Ruiz (rassemblement de gauche et écologiste, 14,26%), qui a obtenu 2 sièges. Le scrutin a été marqué par 56,78% d'abstention, inférieur au taux national de 59,5%[22]
Article détaillé: Élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2019, la commune comptait 5 168 habitants[Note 4], en augmentation de 6,36% par rapport à 2013 (Val-d'Oise: +4,6%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
378
388
392
385
444
402
403
391
384
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
448
514
543
553
582
599
603
605
681
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
751
847
874
960
1 096
1 314
1 342
1 370
1 676
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
2 028
2 436
3 115
3 351
3 985
4 062
4 402
4 376
4 443
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
5 056
5 168
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
La commune est rattachée à l'unité urbaine de Méry-sur-Oise.
Enseignement
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Écoles maternelles:
École maternelle Château Blanc
École maternelle Bois du Val
École maternelle Henri Bertin
Écoles élémentaires:
École élémentaire Henri Renault
École élémentaire Henri Bertin
Collège:
Collège Cécile Sorel SA
Économie
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Ancienne abbaye Notre-Dame-du-Val, rue de l'Abbaye du Val (RD 9) Classé MH(1947)[35]).
C'est la plus ancienne abbaye cistercienne du Val-d'Oise. Détruite en grande partie en 1845, il ne subsiste que le bâtiment des moines de la fin du XIIesiècle et la galerie nord du cloître, à arcades en plein cintre, reconstruite en 1725 ainsi que des restes de l'église. Le bâtiment des moines, le mieux conservé de l'ensemble, comprend une façade garnie de contreforts et percée de baies plein cintre. Au rez-de-chaussée se succèdent la sacristie, la salle capitulaire, le parloir et la salle des moines. Au 1erétage, le dortoir du XIIIesiècle est l'un des plus beaux de l'ordre cistercien, voûté d'ogives et divisé en travées par huit colonnes[36].
Article détaillé: Abbaye Notre-Dame du Val (Mériel).
Musée Jean-Gabin, 1 place Jean-Gabin: il a été créé par la municipalité en 1992 à la suite d'un don de la famille Moncorgé-Gabin et avec l'aide de son biographe, André-Georges Brunelin. De nombreux souvenirs personnels du comédien (correspondances, photos, costumes, meubles, affiches de films...) y sont présentés, ainsi qu'un documentaire sur le thème: «Le film de sa vie, la vie de ses films»[37],[38] . Sur la place, devant le musée, on y voit le buste de Jean Gabin, sculpté par Jean Marais[39].
Maison de la famille Moncorgé-Gabin, 43 Grande-rue: c'est dans cette maison avec son étroite façade sur la rue que Jean Gabin passa son enfance et la majeure partie de son adolescence. Après ses parents, cette maison fut habitée par sa sœur, Madeleine Moncorgé, épouse de Jean Poésy, boxeur, et continua à être visitée par Jean Gabin [40].
Église Saint-Eloi, rue du Chemin-Vert / rue de l'Église: elle est bâtie sur l'emplacement d'un ancien sanctuaire dont ne subsiste qu'une porte dans le bas de la nef. L'édifice originel fut probablement érigé au XIIIesiècle, mais ne fut jusqu'en 1713 qu'une chapelle annexe de l'église de Villiers-Adam. Quatre tombeaux de l'abbaye Notre-Dame-du-Val furent transférés au printemps 1792 sous les dalles du chœur dont la sépulture de Charles Villiers de L'Isle-Adam (mort en 1535), évêque de Beauvais et commendataire de l'abbaye du Val. Les dalles funéraires furent découvertes en 1981. L'église contient une chaire à prêcher en bois du XVesiècle (provenant de l'abbaye du Val) et trois stalles du XVIesiècle. On peut y voir un christ sur la croix de 1911 de Madeleine Poésy, sœur de Jean Gabin[41].
L'ancienne école Montebello.
Ancienne École Montebello, Grande-rue: depuis sa fermeture en 1902, le bâtiment sert d'habitation. Il est l'œuvre de l'architecte Louis-Charles Boileau (1871-1872), qui a notamment travaillé sur le domaine de Stors à proximité. La construction a été commanditée par les Cheuvreux, propriétaires de Stors avant les Montebello[42].
Pont de chemin de fer de 1876, RD 151: il relie les gares de Mériel et de Valmondois de la ligne d'Ermont - Eaubonne à Valmondois. C'est en même temps un pont routier, qui remplace le bac de Stors à la fin du XIXesiècle[42].
Croix pour Louis-Auguste-Jean Lannes marquis de Montebello, rue Montebello, au nord du village: érigée par les habitants en souvenir du jeune marquis frappé mortellement par la foudre en son emplacement en date du , à l'âge de 38 ans[40].
Moulin de Stors, ou moulin Perrot, rue de Perrot / chemin de Paris: anciennement partie intégrante du domaine de Stors, ce moulin à eau est construit par les moines de l'abbaye du Val à partir de 1525. Sous le Second Empire, le bâtiment est transformé en gentilhommière par l'architecte Louis-Charles Boileau. Il est entouré d'un beau parc à l'anglaise et se situe sur le site classé des marais de Stors (vallée de Chauvry), nés de l'absence d'entretien des étangs créés par les moines. Propriété, comme le château du même nom, des Lannes de Montebello, le moulin voit passer Georges Duhamel et Wladimir d'Ormesson. La famille de ce dernier s'y cache de la Gestapo en 1943-1944. Le moulin principal est agrémenté d'un petit moulin du début du siècle dernier, qui accueillait les invités[43].
Personnalités liées à la commune
Buste de Jean Gabin près du musée, sculpté par Jean Marais.
Jean Moncorgé, dit Jean Gabin, a passé son enfance et son adolescence à Mériel. Né à Paris le , il vécut à Mériel dans une maison de la Grand Rue (au no43), le long du chemin de fer. Il rêvera de devenir conducteur de locomotive, rêve exaucé... en 1938 en tournant le rôle d'un mécanicien dans La Bête humaine de Jean Renoir.
Le musée Jean-Gabin et la bibliothèque municipale.
La maison où vécut Jean Gabin dans sa jeunesse.
Stèle à Jean Gabin.
La famille Lannes de Montebello, anciennement propriétaire du domaine de Stors. Une croix de pierre rue Madeleine-et-Louise-de-Montebello rappelle la mort de Louis de Montebello, frappé par la foudre en 1912.
L'architecte Louis-Charles Boileau, à l'origine des plans du moulin de Stors et de l'ancienne école de la ville.
L'actrice Cécile Sorel vécut à Mériel.
L'auteur dramatique Robert de Flers fit un séjour à Mériel.
L'historien Fernand Braudel a été camarade de classe de Jean Moncorgé à Mériel de ses sept à dix ans.
André Leducq, coureur cycliste, y habita plusieurs années.
L'humoriste Jean Rigaux a longtemps vécu à Mériel. Une allée de Mériel porte son nom.
Mylène Farmer a tourné le clip de "Je te rends ton amour" dans l'abbaye en 1999.
La coco-girl et danseuse, Fenella Masse Mathews, ancienne meneuse du Moulin Rouge et du Crazy Horse, y habite avec son mari, Philippe Masse, guitariste des Forbans. Elle y est professeur de danse de jazz et a en 2008, monté son propre spectacle (Super Trouper For Abba).
Le groupe de death/thrash metal No Return est originaire de Mériel.
Patrimoine naturel
Réserve naturelle régionale du Marais de Stors, à l'extrémité nord du territoire communal (classé réserve naturelle régionale par arrêté n° 09-94 du du conseil régional d'Île-de-France). Il est constitué d'un vallon en bordure de la Forêt de L'Isle-Adam. D'une surface relativement petite (soixante hectares), il se compose d'une mosaïque de paysages et de milieux très sensibles. Le ru du Vieux Moutiers, qui se jette dans l'Oise, est alimenté en amont par les étangs du domaine de l'abbaye du Val (domaine privé). Le marais de Stors est aujourd'hui propriété de l'agence des espaces verts de la région d'Île-de-France, et protégé pour son intérêt remarquable à l'échelle de l'Île-de-France par la richesse de sa faune et de sa flore. Son accès est réglementé[44].
Mériel dans les arts
Article détaillé: Liste de films tournés à Mériel.
Héraldique
Les armes de Mériel se blasonnent ainsi: De gueules à l'abbaye cistercienne d'or, ajourée et maçonnée de sable, accompagnée en chef à dextre d'un rencontre de cerf et à senestre d'un héron, tous deux d'argent; à la champagne d'azur chargée de trois fleurs de lys aussi d'or rangées en fasce; à la devise ondée aussi d'argent brochant sur la partition.
Jean Aubert, La grande histoire du Val d'Oise - Toutes les communes de Ableiges à Wy-dit-Joli-Village, Edijac, (ISBN2-904-675-17-5)
René Botto, Stéphane Gasser et Christophe Gicquelay, «Le patrimoine des communes du Val-d’Oise: Mériel», Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol.I, , p.426-432 (ISBN2-84234-056-6)
Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Marie Persida, «Logements sociaux à Mériel: «nous sortons enfin de l’état de carence»», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
LEBEUF (J.) Histoire du diocèse de Paris: Contenant la suite des Paroisses du doyenné de Montmorency (1757), t. 4, p.196, 217.
Claude Wagner, Les petits trains et les tramways du Val-d'Oise: Du XIXesiècle aux années 2000, Saint-Ouen-l'Aumône, Éditions du Valhermeil, , 250p. (ISBN2-905684-57-7), p.97-104.
«L'agglo de la Vallée de l'Oise vit ses derniers mois», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
Marie Persidat, «Municipales à Mériel: quatre candidats veulent succéder au maire: L’équipe sortante est divisée, l’opposition aussi. Qui tirera finalement avantage de cette situation inédite dans la ville?», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Marie Persidat, «Municipales à Mériel: le sapeur-pompier largement élu lors d’une triangulaire: Jérôme François a séduit plus de la moitié des électeurs de la triangulaire de dimanche. Il se prépare déjà à prendre la suite de Jean-Louis Delannoy», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
«Le PCF rend hommage aux résistants», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
«Passage de témoin pour Vivre à Mériel», VO News 95, (lire en ligne, consulté le ).
Romain Dameron, «Municipales 2020 à Mériel: Jean-Louis Delannoy tire sa révérence: Après vingt-cinq ans de mandat dont douze comme premier magistrat (Dvd) de Mériel, Jean-Louis Delannoy, 76 ans, ancien cadre supérieur chez Ibm, a décidé de ne pas se représenter», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le )«J’ai commencé comme conseiller municipal en 1995. Puis j’ai fait une mandature d’adjoint en 2001 sur la liste de Michel Rigollet. Et j’ai été élu maire en 2008, très curieusement au premier tour alors qu’il y avait quatre listes. En 2014, j’ai été réélu au premier tour avec 66%. J’en suis très fier».
Thomas Hoffmann, «Municipales à Mériel: Jérôme François succède à Jean-Louis Delannoy: Arrivé en tête au premier tour, le commandant des sapeurs-pompiers Jérôme François, a été élu maire de Mériel (val-d'Oise) ce dimanche 28 juin 2020», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Marie Persidat, «Mériel: Jérôme François, aussi à l’aise à la caserne qu’en mairie: Jérôme François, sapeur-pompier chef de groupement au sein du Sdis Val-d’Oise, a été élu lors du second tour des municipales. Il s’appuie sur son expérience professionnelle pour diriger la commune», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Jumelage», sur Mériel (site officiel) (consulté le ).
Cf. René Botto, Stéphane Gasser et Christophe Gicquelay, «Le patrimoine des communes du Val-d’Oise: Mériel», Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol.I, , p.426-432 (ISBN2-84234-056-6); p.426-429.
Anne-Françoise Callandreau, «Gabin, t'as un beau musée, tu sais!. Le souvenir de Pépé le Moko est conservé à Mériel, ville du Val-d'Oise où il a grandi», Libération, (lire en ligne, consulté le ).
Marc Lemonier, Paris des films cultes, éditions-bonneton, 2008, page 167 - (ISBN978-2-86253-436-7)
Cf. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise: Mériel, op. cit., p.432.
Cf. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise: Mériel, op. cit., p.429.
Cf. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise: Mériel, op. cit., p. 431.
Cf. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise: Mériel, op. cit., p.429-430.
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