Montfort-le-Gesnois[mɔ̃fɔʁ lə ʒɛnwa] est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 2 931 habitants[Note 1](les Montgesnois).
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Montfort-le-Gesnois est également le siège de la communauté de communes «Le Gesnois Bilurien». Elle a été chef-lieu du canton de Montfort-le-Gesnois jusqu'en 2015.
La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Haut-Maine.
Géographie
La commune de Montfort-le-Gesnois est située à 17 km à l'est du centre du Mans, à 23 km au sud-ouest du centre de La Ferté-Bernard.
Elle est traversée par l’Huisne.
Communes limitrophes de Montfort-le-Gesnois
Saint-Corneille
Lombron
Connerré
Saint-Mars-la-Brière
Soulitré
Anciennes paroisses
Montfort-le-Gesnois est composé de trois anciennes paroisses:
Montfort-le-Rotrou;
Pont-de-Gennes;
Saussay.
Hameaux, lieux-dits et écarts
Le champ du Codicille
Tuaudières
Urbanisme
Typologie
Montfort-le-Gesnois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[2],[3],[4].
Elle appartient à l'unité urbaine de Champagné, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[5] et 9 385 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Mans, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 144 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,7% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante: forêts (32,1%), prairies (22,3%), terres arables (20,1%), zones agricoles hétérogènes (13,3%), zones urbanisées (10,8%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4%), eaux continentales[Note 4] (0,1%)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Toponymie
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Le nom de la commune a été composé à partir de ceux des communes fusionnées en 1985 de Montfort-le-Rotrou et de Pont-de-Gênes:
Montfort-le-Rotrou dont le nom désigne une « colline fortifiée » faisant partie de l'apanage de la famille de Rotrou, seigneurs de Nogent et de Mortagne, vicomtes de Châteaudun (956-1260) et comtes du Perche (1126-1226); durant la Révolution, cette commune a porté le nom de Montfort-sur-Huisne[12].
Pont-de-Gênes ou Pont-de-Gennes qui tient son nom d'une fondation gallo-romaine appelée Vicus de Genida ou « village de Genida » et où le franchissement de l'Huisne était assuré par un pont romain dont il ne reste qu'une arche[13].
Histoire
Le château de Montfort-le-Rotrou.
Le village de Montfort-le-Gesnois est issu du rapprochement de deux communes: Montfort-le-Rotrou et Pont-de-Gennes le (arrêté préfectoral de fusion simple du [14]).
Seigneurs
Les informations suivantes proviennent principalement de: Julien-Remy Pesche, «Montfort-le-Rotrou», in: Dictionnaire topographique, historique et statistique de la Sarthe, t. IV, Le Mans, chez Monnoyer, 1836, pp.155-159«en ligne», sur books.google.fr.
Comme le nom «Rotrou» l'indique, les premiers seigneurs connus de Montfort[Note 5] sont les comtes du Perche, vicomtes de Châteaudun, sires ou comtes de Nogent et de Mortagne. Plus précisément, on trouve vers 1100 Montfort-le-Gesnois aux mains de Rotrou Ier de Montfort, fils de Rotrou II du Perche, Ier de Châteaudun et frère benjamin d'Hugues III de Châteaudun et Geoffroy II du Perche, puis à ses descendants jusqu'à Jeanne, dame de Montfort-le Rotrou, Vibraye, Bonnétable, Semblançay, ainsi que de Châteaux et Saint-Christophe.
Montfort passe ensuite aux Parthenay car Guillaume VI de Parthenay (vers 1255-1315/1322) épouse Jeanne de Rotrou du Perche, puis aux d'Harcourt car Isabelle de Parthenay, petite-fille de Guillaume VI, Jeanne du Perche-Rotrou, épouse en 1315 Jean IV comte d'Harcourt (mort en 1346 à Crécy), et aux Ferrières car Marguerite d'Harcourt-La-Ferté-Imbault, petite-fille de Jean IV, Isabeau de Parthenay, épouse en 1402 Jean III de Ferrières.
Léonore de Ferrières dame de Montfort-le-Rotrou au XVIesiècle, arrière-arrière-petite-fille de Jean III, Marguerite d'Harcourt, fille de Jean V de Ferrières (mort en 1504), épouse Jacques de Montigny du Fresne (issu en lignée féminine de Pierre Ier comte de Vendôme), puis Christophe de Montberon vicomte d'Aunay. D'où sa fille Jacqueline de Montigny, dame de Montfort-le-Rotrou, épouse en 1537 Paul de Chabot-Jarnac de Clervaux petit-fils de Renaud Chabot, puis François de Daillon de Sautray fils de Jean II Daillon comte du Lude et d'Anne de Bastarnay; sans postérité.
succession, par Catherine-Renée de Ferrières, sœur cadette de Léonore de Ferrières ci-dessus et femme de François II de Pons, à leur fils Antoine seigneur de Pons (1510-vers 1580), cousin germain de Jacqueline de Montigny ci-dessus et père par son 2e mariage avec Marie-Salomé de Montchenu dame de Guercheville; en 1re noces, il avait épousé Anne de Parthenay-Soubise, fille de Jean IV, sœur de Jean V et tante de Catherine de Parthenay-Soubise d'Antoinette de Pons (vers 1560-1632); dame de La Roche-Guyon par son 1er mariage avec Henri de Silly, et marquise de Guercheville), qui épouse 2e Charles du Plessis-Liancourt (mort en 1620). Montfort-le-Rotrou est érigé en marquisat en . Leur fils Roger (1609-1674); x Jeanne de Schomberg fille du maréchal Henri) en hérite, avec son fils Henri-Roger, (mort en 1646), mari en 1643 d'Anne-Élisabeth de Lannoy: parents de Jeanne-Charlotte du Plessis-Liancourt (1644-1669), qui épouse en 1659 son cousin issu de germain François VII de La Rochefoucauld, d'où François VIII (1663-1728). En effet, Gabrielle (morte en 1672=, fille de Charles du Plessis-Liancourt et d'Antoinette de Pons, sœur de Roger ci-dessus et femme en 1611 de François V duc de La Rochefoucauld (1588-1650) était la mère de François VI duc de La Rochefoucauld (1613-1680), le célèbre moraliste auteur des Maximes, mari en 1628 d'Andrée de Vivonne de La Châtaigneraie et père de François VII (1634-1714).
Vers 1660, François VII et Jeanne-Charlotte du Plessis vendent le marquisat de Montfort-le-Rotrou à Louis-Anne de Bresseau, confirmé comme marquis en . Lui succèdent comme marquis de Montfort ses fils Louis-Anne-Antoine, dès 1663 et jusqu'à 1693 au moins, puis Louis de Bresseau, qui épouse Jacquine-Françoise de Courtarvel de Pezé: parents de François, et de Renée/Reine-Louise-Françoise de Bresseau qui hérite du domaine de Montfort-le-Rotrou (partage familial du ) et épouse Claude-Jacques-César comte de Murat[15],[16], né en 1692, fils de Nicolas de Murat comte de Gilbertès qui épouse en 1691 Henriette-Julie de Castelnau (1670-1716). D'où Claude-François de Murat (1732-1803), père de Louis de Murat, père lui-même de Charlotte-Marie de Murat (1788-1842), qui épouse en 1806 Aymar-Tanguy-Raymond-(Jean) de Nicolaÿ-Goussainville[17], frère d'Aymar-François et d'Aymard-Charles-Marie-Théodore: avec postérité.
L’ancienne forteresse féodale connue sous le nom de Montfort-le-Rotrou fait place au début du XIXesiècle à une vaste demeure. En effet, en 1820, le comte Raymond de Murat demande à l’architecte parisien d’élever une grande villa à l’italienne, couverte d’un toit à faible pente. Cet édifice néo-classique est de nouveau remanié à la fin du Second Empire, agrandi et doté de hauts combles, dans un style inspiré de celui du XVIIIesiècle. Le parc paysager est quant à lui redessiné en 1860 par Varé et comprend une orangeraie.
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs de Montfort-le-Rotrou puis de Montfort-le-Gesnois
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Liste des maires avant 1947
Période
Identité
Étiquette
Qualité
?
1841
René Anselme Rivière (1773-1841)
Conseiller général du canton de Montfort-le-Rotrou (1833 → 1836)
1842
1843
Michel Louis Geslin
1843
1848
Adolphe Le Cousturier de Courcy
1848
1852
Marquis Aymard Marie Christian de Nicolaÿ
Propriétaire, conseiller général du canton de Montfort-le-Rotrou (1845 → 1852)
1852
1865
René Habert
1865
1871
Édouard Quelquejeu
1871
1881
Aymard Marie Christian de Nicolaÿ
1881
1882
Édouard Quelquejeu
1882
(après 1902)
Comte Aymard Jean Roger de Nicolaÿ
Conservateur
Conseiller général du canton de Montfort-le-Rotrou (1884 → 1910)
Les données manquantes sont à compléter.
1882
(après 1902)
Comte Aymard Jean Roger de Nicolaÿ
Conservateur
Conseiller général du canton de Montfort-le-Rotrou (1884 → 1910)
Source: Cercle de recherches généalogiques du Perche-Gouët
Sapeur-pompier professionnel, conseiller départemental depuis 2021
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2019, la commune comptait 2 931 habitants[Note 6], en diminution de 3,52% par rapport à 2013 (Sarthe: −0,46%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
756
826
855
871
1 027
1 091
1 025
1 010
1 048
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
957
958
893
907
864
867
872
875
892
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
932
940
930
792
760
802
864
968
964
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
987
1 013
1 218
2 427
2 657
2 884
3 050
3 074
3 044
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 973
2 931
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Le château de Montfort-le-Rotrou, de style italien, domine le bourg, perché sur une butte bordant la prairie de l'Huisne, juste derrière l'église Notre-Dame.
Le pont romain sur l’Huisne, du XVesiècle, inscrit au titre des monuments historiques en 1927[29]. De l’édifice originel de l'an 50 ne subsistent aujourd'hui que quelques arches.
Le parc des Sittelles, à la limite de Soulitré, comprenant l'espace «aqualudique»Sittellia, proposant un ensemble d'installations sportives et ludiques couvert (ouvert l'été), et Loc'Action, parc de loisirs La belle inutile avec kart, moto, quad, pocket-bike sur circuit homologué de 900 m.
La gare de Montfort-le-Gesnois.
Le pont des 24 Heures sur la nationale de Le Mans à Chartres qui permettait le passage sous la route lors de la course du grand prix initiatrice des futures 24 Heures du Mans.
Le château de Montfort-le-Rotrou.
Le pont romain.
Le pont du circuit du Grand Prix de 1906.
Patrimoine religieux
L'église Notre-Dame.
Église Notre-Dame, datée de 1858, située sur l'ancienne commune de Montfort-le-Rotrou, inscrite au titre des monuments historiques en 2007[30].
Église Saint-Gilles, du XIesiècle, située sur l'ancienne commune de Pont-de-Gennes. Dans le cimetière Saint-André, du XIIesiècle, se trouve le tombeau du Croisé.
Prieuré du Pont de Gennes, dit aussi prieuré Saint-Gilles-et-Saint-Victor du Pont-de-Gennes, au pied de Montfort dans le Maine. Fondé, sous l'épiscopat de Hoël du Mans (1045-1097), évêque du Mans (1085-1097), par Agnès, femme de Hugues de Gennes[31]. Il semble que le vocable est changé pour devenir Saint-Gilles-et-Saint-Loup[32],[Note 7]. Ce prieuré dépendait de l'abbaye Saint-Avit-les-Guêpières
Église de Saussay, des XeauXIIesiècles et du XVIesiècle, située sur le hameau de Saussay, inscrite au titre des monuments historiques en 1973[33]. Son architecture est de style roman. Des peintures murales ont été découvertes sous le plâtre dans les années 1980.
Activité et manifestations
Sports
La commune de Montfort-le-Gesnois était traversée en 1906 par le circuit d'une épreuve de 12 heures, aïeule des 24 Heures du Mans[34].
Le circuit de l'époque était: la fourche d'Auvours, Bouloire, Saint-Calais, forêt de Vibraye, Cherré, Connerré et Montfort-le-Gesnois.
Depuis 2011 et l'inauguration de la salle près du stade, le village possède un complexe sportif avec un piste d'athlétisme en intérieur notamment, mais également un dojo de judo et la possibilité de pratiquer divers sport en intérieur tels que le handball, le football ou le basketball.
Manifestations
2edimanche de mai: fête des Vieux Métiers sur l'espace du Pont Romain.
Dimanche de la Saint-Nicolas: cross.
Mi-septembre (à partir de 2010, mi-avril antérieurement): course pédestre 7 km et 15 km ou semi-marathon, le Tour des Sittelles[35].
Personnalités liées à la commune
Louis-Jacques Moreau de la Sarthe (1771-1826), médecin et anatomiste, y est né.
Honoré Broutelle (1866-1929), médecin, poète et xylographe, y vécut.
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de la Sarthe.
Blason
De gueules à deux léopards d'or l'un au-dessus de l'autre.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Notes et références
Notes
Population municipale 2019.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Ils l'avaient sans doute acquis par un mariage, car Montfort n'est pas vraiment situé dans le Perche, même dans ses marges méridionales du Perche sarthois; l'article Bonnétable nous apporte probablement la solution, car il nous apprend que cette localité du Perche sarthois fut d'abord à la famille de Gennes, avant de passer par mariage vers 1080 aux Rotrou du Perche; Montfort, Bonnétable et Vibraye furent aux Rotrou de Montfort, aux d'Harcourt, aux Ferrières, avant de connaître des destins divergents.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
En , Catherine I d'Illiers de Balsac donne procuration à l'étude de maître Michel Mauduit pour visiter les bâtiments, métairies, bordages et closeries du prieuré de Pont-de-Gennes (cf. Archives départementales d'Eure-et-Loir, noE.3464, archives notariales de Michel Mauduit). En , maître Oudard Lange, notaire enregistre la permutation de ce prieuré entre Jacqueline d'Illiers et Claude de Veauce, abbesse de l'abbaye de Bonlieu (cf. Archives départementales d'Eure-et-Loir, no3366).
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«Murat, p. 647», sur Dictionnaire de la noblesse, généalogique, héraldique, historique et chronologique, par François-Alexandre Aubert de La Chenaye des Bois, chez Duchesne à Paris, 1761.
«Nécrologie: M. Paul Gouyet, ancien conseiller général, ancien maire de Montfort-le-Rotrou», Ouest-France,.
«Municipales: Quatre listes en chantier», Ouest-France, «Maire de Montfort-le-Rotrou, M. Ory avait laissé la place à M. Richard en 1986, devenant son premier adjoint.».
«Fusion de Montfort-le-Rotrou et Pont-de-Gennes: Les deux conseils adoptent la convention à l’unanimité», Ouest-France,.
«Municipales: Marcel Ory mène les sortants», Ouest-France, «Paul Richard, maire depuis 1966, a décidé de passer la main [...] Élu maire de Montfort-le-Rotrou en 1983, Marcel Ory s'était effacé devant M. Richard, devenant son premier adjoint lors de la naissance de Montfort-le-Gesnois en janvier 1986.».
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