Montcabrier est une commune française située dans l'ouest du département du Lot, en région Occitanie.
Elle est également dans la Bouriane, une région naturelle sablonneuse et collinaire couverte de forêt avec comme essence principale des châtaigniers.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Thèze et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un espace protégé (les «falaises lotoises (rapaces)») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montcabrier est une commune rurale qui compte 348 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 142 habitants en 1841. Ses habitants sont appelés les Cabrimontiens ou Cabrimontiennes.
Géographie
Commune située dans le Quercy en Bouriane sur la Thèze et sur l'ancienne route nationale 673, entre Fumel et Gourdon.
Communes limitrophes
Montcabrier est limitrophe de six autres communes dont une en Dordogne et une autre en Lot-et-Garonne.
Carte de la commune de Montcabrier et de ses proches communes.
La commune est arrosée par la Thèze un affluent rive droite du Lot.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 2 175 hectares; son altitude varie de 103 à 271mètres[1].
Voies de communication et transports
Accès avec la route départementale 673. Sur la Via Arvernha chemin contemporain du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 12,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Anglars», sur la commune d'Anglars-Juillac, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4°C et la hauteur de précipitations de 796,6 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 33 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[11], à 12,7°C pour 1981-2010[12], puis à 13,1°C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
Un espace protégé est présent sur la commune:
les «falaises lotoises (rapaces)», objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 6,6ha[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17]:
les «coteaux de Montcabrier» (161ha)[18].
Urbanisme
Typologie
Montcabrier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[I 1],[20].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,2% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (63,2%), zones agricoles hétérogènes (31,3%), prairies (5,5%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montcabrier est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Thèze. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993 et 1999[25],[22].
Montcabrier est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[26].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montcabrier.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 68% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 266 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 151 sont en en aléa moyen ou fort, soit 57%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].
Toponymie
Le toponyme Montcabrier, en occitanMontcabrièr, est basé les mots occitanmont issu du latinmontem qui désigne un endroit élevé[30] et sur cabrièr pour une étable ou un parc à chèvres[31].
Histoire
La bastide de Montcabrier fut fondée en 1298 par le sénéchal du Périgord et du Quercy, Guy de Caprary, sous le règne de Philippe le Bel.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[32],[33].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Cahors de la communauté de communes de la Vallée du Lot et du Vignoble et du canton de Puy-l'Évêque.
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2014 dans le Lot.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2019, la commune comptait 348 habitants[Note 6], en augmentation de 1,46% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1841
1846
1851
1856
1861
1866
1872
1876
560
1 142
1 063
1 122
1 072
1 036
991
953
914
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
1921
1926
845
844
849
855
786
663
626
524
530
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
1982
1990
513
485
449
511
403
426
380
352
403
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1999
2005
2006
2010
2015
2019
-
-
-
385
391
397
351
353
348
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SYDED[45].
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 160 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 326 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 580 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 186 personnes, parmi lesquelles on compte 71,4% d'actifs (63,7% ayant un emploi et 7,7% de chômeurs) et 28,6% d'inactifs[Note 8],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 63 emplois en 2018, contre 62 en 2013 et 63 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 122, soit un indicateur de concentration d'emploi de 51,2% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41,7%[I 10].
Sur ces 122 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 35% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 78,3% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7% les transports en commun, 2,5% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 17,5% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
34 établissements[Note 9] sont implantés à Montcabrier au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
34
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
4
11,8%
(14%)
Construction
5
14,7%
(13,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
14
41,2%
(29,9%)
Activités immobilières
2
5,9%
(3,5%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
7
20,6%
(13,5%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
1
2,9%
(12%)
Autres activités de services
1
2,9%
(8,7%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 41,2% du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 34 entreprises implantées à Montcabrier), contre 29,9% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[46]:
Entreprise Bergon-Delteil, exploitation de gravières et sablières, extraction d'argiles et de kaolin (2 688 k€)
JPS Services, conseil pour les affaires et autres conseils de gestion (150 k€)
Pam's, transports de voyageurs par taxis (22 k€)
SARL Salinie, hôtels et hébergement similaire (6 k€)
Agriculture
La commune est dans la «Bourianne», une petite région agricole occupant une partiede l'ouest du territoire du département du Lot[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 47 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 32 en 2000 puis à 26 en 2010[49] et enfin à 12 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 74% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[50],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 618 ha en 1988 à 340 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 13 à 28 ha[49].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La bastide est bien implantée, avec ses rues parallèles qui s'organisent autour d'une place carrée bordée de façades médiévales avec arcades et cornières en encorbellement.
À noter:
des escaliers dans les entremis séparant les habitations.
L'église Saint-Louis du XIIIesiècle a été construite à l'emplacement d'une chapelle romane, à l'initiative de Philippe IV, en l'honneur de la canonisation de saint Louis. Elle fut reconstruite en partie au XIVesiècle. Les parties hautes de la nef et de la sacristie en chevet datent du XVIIIesiècle. L'église fut amputée d'une travée à l'ouest, à la suite d'un incendie, et la façade a été reconstruite à la fin du XIXesiècle[51] Elle domine la place de toute la hauteur de son clocher-mur à six arcatures et son portail rayonnant intégrant une rosace; curieuse porte latérale ornée d'un arc ployé en contrecourbe; l'édifice est inscrit au titre des monuments historiques, d'abord partiellement en 1925, puis intégralement en 2003[52].
Le presbytère surmonté de sa mitre de cheminée ajourée.
La maison dite de la cour de justice avec son échauguette du XVIesiècle.
L'ancienne maison de la jugerie avec sa fenêtre Renaissance date du XVIesiècle. Sa façade est inscrite au titre des monuments historiques en 1925[53].
Vestiges de l'enceinte, remparts, porte fortifiée, tour d'angle.
À proximité:
Castrum de Pestillac, et l'église du castrum de Pestillac. L'église et le château de Pestillac (ruines) ont été inscrits au titre des monuments historiques en 1926[54].
Grotte de Pestillac
Église Saint-Martin de Mazières[55]. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[56].
Église Notre-Dame de Pestillac[57]. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2020[58].
De gueules au bouc bondissant par-dessus un chêne posé au sommet d'une montagne, le tout d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy: Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.117.
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t.2, Librairie Droz, , 1380p., p.1171
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