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Mons[1] [mɔ̃s] est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

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Mons

Vue aérienne de Mons.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Fayence
Maire
Mandat
Patrick de Clarens
2020-2026
Code postal 83440
Code commune 83080
Démographie
Gentilé Monsois, Monsoises
Population
municipale
806 hab. (2019 )
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 32″ nord, 6° 42′ 54″ est
Altitude 811 m
Min. 235 m
Max. 1 714 m
Superficie 76,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Roquebrune-sur-Argens
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Mons
Géolocalisation sur la carte : France
Mons
Géolocalisation sur la carte : Var
Mons
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Mons

    Géographie



    Localisation


    Village perché, construit sur un énorme rocher, village fortifié, le village de Mons offre un panorama sur la mer Méditerranée, les îles de Lérins, les Maures et par temps clair, la Corse.


    Géologie et relief


    Le territoire, d'une superficie de 7 663 ha, s'étage du confluent de la Siagne[2] et de la Siagnole à 241 m jusqu'au plus haut sommet du Var, la montagne de Lachens, à 1 714 m. Le village est à 814 mètres d'altitude. Il se trouve à la limite supérieure de culture des oliviers sur la moindre terrasse retenue par des restanques ou faïsses.

    Les gorges de la Siagnole, avec leurs moulins et leurs grottes, sont chargées d'histoire.


    Voies de communications et transports



    Voies routières

    Commune desservie par la départementale 563 depuis Fayence.

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    Transports en commun

    Mons bénéficie du réseau départemental Varlib.


    Lignes SNCF

    La gare la plus proche de Mons se trouve à Grasse (31 km).


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Mons
    La Roque-Esclapon La Bastide, Séranon Escragnolles
    Seillans Saint-Cézaire-sur-Siagne
    Fayence Tourrettes Callian

    Hydrographie


    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :


    Sismicité


    Il existe trois zones de sismicité dans le Var :

    La commune de Mons est en zone sismique de très faible risque Ia[5].


    Urbanisme



    Typologie


    Mons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].


    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7 %), cultures permanentes (2,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), zones urbanisées (1,5 %), prairies (0,6 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].


    Toponymie


    Mons s'écrit Mouns en provençal selon la norme mistralienne[13]. La prononciation locale est /muŋ/.


    Histoire



    Préhistoire


    Les hommes sont présents à Mons depuis la Préhistoire, comme en témoignent de nombreux dolmens ou autres formes de tombes. La première implantation connue s'appelait Avaye[14].


    Antiquité


    Vers le milieu du Ier siècle apr. J.-C., les Romains construisent un aqueduc de 41 567 m qui permet de conduire l'eau des sources de la Siagnole[15] à Fréjus. Il est toujours en fonction dans son trajet sur la commune de Mons[16].


    Moyen Âge


    La première mention de Mons se trouve dans le cartulaire de Lerins, qui mentionne un « Fulco de Mons » (1026-1066) qui paye l'albergue et la cavalcade (1249-1252)[17]

    La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou[21]. Le seigneur de Mons, Francisque de Bollière, soutient le duc d’Anjou dès le printemps 1382, ce soutien étant conditionné à la participation du duc à l’expédition de secours à la reine[22].


    Le Figoun et les Figouns

    Les Figouns[23] de Mons furent accueillis (contre franchises à payer en retour) en deux périodes : 1260 et 1468. Ils provenaient principalement de la région de Vintimille (vallée de la Nervia, de Pigna). En bons maçons, ils participèrent largement à l'édification de la ville et de ses remparts. C'est à leur époque que l'olivier fut introduit dans la région. Ils sont souvent liés à la culture, au commerce et à la préparation des figues (frigoule ou frigoure), d'où leur appellation.

    Le figoun est un mélange non structuré de ligure et de provençal, comme on en retrouve à Escragnolles ou Biot. Les patronymes Bosio, Brosco, Bruzon, Canille, Chappory, Chiappe, Chichon, Durante, Galliano, Machiavello, Massa, Monteverde, Olivero, Parody, Passano, Pisarello, Poggio, Porro, Restano, Risso, Sanguinetti, Traverso, y sont très répandus. Certains Monsois se servent encore du figoun quand ils ne veulent pas être compris par les « estrangers » !

    L'abbé Jean-Pierre Papon[24] (1780) rapporte un des premiers témoignages de ce dialecte : « On croit que c'est l’idiome des Sarrasins : on se trompe, c'est l'ancien oasis de Gênes ». Il fut utilisé jusqu'à la fin du XIXe et a laissé très peu de traces écrites.

    i m'an pillàou
    Grigeur Guignon, a lagna,
    Ou dije che l'avea de lou ben à la campagna.
    I m'an pillaou ca' mea;
    I nous m'an lascaon pa un choun.
    Mi foun entra misero;
    Sa posso me sacatero
    La ca, lou ben & la terro
    Grigneur guignon, est triste
    il dit qu'il avait des biens à la Campagne:
    "on m' a pris ma maison
    on n'y a pas laissé un clou,
    Je suis dans la misère,
    si je puis, je rachèterai le bien,
    et la maison et la Terre."
    ou dije

    En 2007, dans les archives du château de Beauregard, on retrouve une dizaine des feuillets manuscrits anciens, mais impossibles à dater, portant traduction de ce qui semble être des termes de figoun et identifiés par Fiorenzo Toso[25] comme ayant des similitudes avec un patois ancien de la région Nord de Gênes (XVIIe)


    Renaissance



    Période moderne



    Période contemporaine


    La réputation de travailleurs de ses habitants leur avait valu en 1835 le surnom de Chinois de la Provence[28]. En 1970, la création du camp de Canjuers ampute la cité de Mons des territoires de Saint-Marcellin (le blé de Saint-Marcellin était renommé), du Villars et d'une partie des monts du Malay.


    Résistance


    Politique et administration



    Budget et fiscalité 2016


    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[32] :

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 240 [33].


    Liste des maires


    Article détaillé : Liste des maires de Mons (Var).
    Liste des maires depuis 1953
    Période Identité Étiquette Qualité
    1953 1971 Alexandre Valente SFIO Instituteur, syndicaliste
    1971 1977 Ernest Audibert    
    1977 1983 Alexandre Valente PS Instituteur, syndicaliste
    1983 2001 Alfred Rolland    
    2001 2008 Roger Pelassy    
    2008 2020 Eliane Feraud DVG Retraitée de la Fonction publique
    2020 En cours Patrick De Clarens [34]    

    Démographie


    Les habitants de Mons se nomment les Moussencs.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2019, la commune comptait 806 habitants[Note 2], en diminution de 7,14 % par rapport à 2013 (Var : +4,68 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1201 0211 0411 0781 1081 0991 0741 0271 029
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0009731 0031 0051 000889866852764
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    773703731568523452423361298
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    248226239291459671840863866
    2017 2019 - - - - - - -
    817806-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Curés de Mons


    • 1673-1705 : Anglési Laugier
    • 1705-1713 : Jordany
    • 1705-1707 : Rossel
    • 1710-1713 : Jourdan
    • 1713-1736 : Raynaud
    • 1728-1734 : Pélassy
    • 1746-1782 : Jordany
    • 1750-1755 : Pélissier
    • 1782-1825 : Pélacy
    • 1838-1846 : Rebuffel François
    • 1868-1881 : Jean Rebuffel
    • 1884-1891 : Martel[39]
    • 2015 - Aujourd’hui : Dom Martin Bonnassieux

    Jumelages, parrainages



    Patrimoine bâti


     : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. J. P. Brun, Carte archéologique de la Gaule, Le Var 83/2, Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris, 1999, p. 518-523.


    Préhistoire


    Néolithique, Chalcolithique : Castrum, Dolmens, Habitats fortifiés, Tumulus, Tombes en Bloc, Grottes sépulcrales.


    Les habitats fortifiés

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    Dolmens (Chalcolithique) et autre tombes collectives

    Article détaillé : Liste de dolmens du Var.

    Toujours ouvertes vers le couchant, parfois à double chambre (cella), la première pour les dépouilles récentes, la seconde pour les 'réductions'. Les deux sont précédées d'une antichambre. Le nombre des dents retrouvées sur place permet d'évaluer le nombre de sépultures.


    L'âge Celbano

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    Mons fait partie de cette circonscription dépendant de l'abbaye Saint-Victor de Marseille.


    Aqueduc romain de Mons à Fréjus

    Article détaillé : Aqueduc de Mons à Fréjus.

    Des sources vauclusiennes du Neissoun et sa partie initiale

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    À Fréjus dans le domaine de San-Peyre

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    Transition vers le Moyen Âge



    les Castrum

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    Post-médiéval



    Architecture religieuse


    Châteaux

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    Il existe en rive droite de la Siagne, entre la Siagne de la Pare et le Miron, en face du bois des Malines, un lieu-dit Château de l'Enfer où on retrouve quelques pierres perchées en haut d'un piton rocheux. On ne dispose cependant d'aucune information à son sujet.


    Infrastructures


    Aqueduc de Riens ou de Saint-Pierre (XVIe)


    Aqueduc des Ferrages (XVIe)


    Aqueduc de Beauregard (XVIe)


    Petit aqueduc du château de la Lubi (XVIe)


    Passé récent



    Infrastructures


    Sources, fontaines et lavoirs


    les ponts


    La pierre sèche

    La pierre extraite du champ est employée à sec (sans mortier) dans l'habitat temporaire (cabanes, cabanons, bergeries) et dans divers ouvrages (enclos, restanques, apiés, puits couverts, affûts, séchoirs à figues, fours à chaux)[67],[68].


    Cabanes, cabanons, bergeries


    Puits couverts


    Restanques, fours à chaux, graïssiers, etc.


    Les tours-pigeonnier


    Moulins, usines et barrages


    Époque moderne



    La conduite moderne de doublement de l'aqueduc romain dite canal Jourdan (1894)


    Patrimoine naturel



    Grottes[69] et Canyons



    Grottes, avens, réseaux, avens failles, résurgences (près de 150)

    Ajustadous, Canebières, Combrière[70], Esclapon, Peintures, Pestiférés, Peygros, Tranchée...

    C'est dans la grotte des Mouches, sur le Fil[76], que s'étaient réfugiés les déserteurs de la guerre de 1914-1918.


    Pertes et résurgences

    Elles sont trop nombreuses pour être toutes énumérées :


    Faune, Flore, Chasse, Pêche, Protection de la Nature, Natura 2000[77]



    La démarche Natura 2000

    Ainsi, l’Union Européenne a été amenée à adopter deux directives : l’une en concerne les oiseaux, l’autre en concerne certains habitats naturels, pour donner aux États membres un cadre commun d’intervention en faveur de la préservation des milieux naturels et des espèces.


    Le site FR 93 01574-2005 "Gorges de Siagne"

    S’étend des sources du fleuve à Escragnolles à Auribeau-sur-Siagne sur une superficie d’environ 5 300 ha. Au titre de la directive européenne 92/43/C.E.E. dite « Habitats », ce site a été retenu notamment en raison de son complexe de gorges parfois très profondes constituant une zone d’accueil pour de nombreuses espèces. La combinaison de facteurs climatiques et géologiques a permis à la Haute Siagne de conserver son caractère sauvage. Située à un carrefour associant climats montagnard et méditerranéen et substrats calcaire et cristallin, elle se caractérise par une grande diversité biologique pour la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

    On distingue six grands types de milieux naturels sur le territoire de la Haute Siagne :

    Ce site abrite 23 habitats d’intérêt communautaire dont 7 d’intérêt prioritaire avec plus de 80 espèces de la faune protégées (hors oiseaux), une cinquantaine d’oiseaux protégés et 24 espèces végétales protégées.

    Le S.I.I.V.U. "Syndicat Interdépartemental, Intercommunal à Vocation Unique" de la Haute Siagne[78] a été désigné successivement opérateur du site pour élaborer et faire valider le DOCOB, puis animateur pour la gestion du site tant de l’hydrosystème que des milieux terrestres. Il a des comptes à rendre à l’État quant au travail effectué et aux résultats obtenus.


    Les restanques ou faïsses


    L'olivier

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    Le chêne

    Quant au plus gros chêne vert de Mons, il se trouve aux Hauts-Campestres.


    Les figues

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    Le chanvre cultivé à Mons

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    Les fleurs à parfum

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    Truffes (rabasses)[79]

    Attention : brûlé ne signifie pas nécessairement truffière, et il existe des truffières sans brûlé. Ce brulé résulterait d'une action antimitotique et 'coumarine-like' du mycélium, mobilisant les ions K et Ca++. Par ailleurs les murs en pierre sèche, en réverbérant le soleil ont une action adjuvante par leur effet de 'four solaire'. Petit détail : les lapins adorent les truffes !

    Prix moyen du kg de truffes cueillies sur le plateau de Canjuers et vendues sur le marché de Carpentras
    1955 1956 1957 1958 1959 1960 1961 1962 1963
    30 F 30 F 50 F 32 F 40 F 50 F 110 F 200 F 100 F
    Prix moyen du kg de truffes cueillies sur le plateau de Canjuers et vendues sur le marché de Riez
    1955 1956 1957 1958 1959 1960 1961 1962 1963
    28 F 23 F 63 F 40 F 45 F 50 F 80 F 150 F 110 F

    Autres


    Patrimoine intellectuel et humain



    Musées



    Traditions



    Héraldique


    Les armoiries de Mons se blasonnent ainsi[85] :

    De gueules au mouton contourné d'argent grimpant sur un rocher du même semé de touffes d'herbe de sinople au chef cousu d'azur chargé de trois étoiles d'or.



    Personnalités liées à la commune


    Il est impossible de citer tous les membres illustres de la famille de Villeneuve[86],[87],[88],[89],[90], une des plus grandes de France, comptant près de 1 400 membres authentifiés, regroupés en « branches » avant 1900, avec des descendants survivant de nos jours (Ampus, Arcs, Bargemon, Barrême, Bouliers, Beauregard, La Berlière, Bourgogne, Callian, Cananilles, Carros, Clemensane, Clumanc, Esclapon, Espinouse, Flayosc, Granges, Grasse, Gréolières, Hollande, Lascaris, Mons, Montignan, Monvoisin, Oppio, Ramatuelle, Revest, Roque, Russie, Saint-Cézaire, Séranon, Source, Tartonne, Trans, Thorenc, Tourrettes-lès-Fayence, Tourrettes-lès-Vence, Vauclause, Villevieille), et qui a fourni au cours des siècles : ceux de Mons avaient pour fiefs : Avaye, Beauregard, Cananilles, Esclapon, Gaut(d), Pibresson, Saint-Jean, Saint-Marcellin, Saint-Pierre, Tansonive...

    Les Villeneuve sont surtout sur Trans, et dans la région sur Tourrettes. Mons n'a que la branche des Villeneuve de Beauregard et la branche des Villeneuve de Mons et du Gaut.

    Autres personnalités liées à la commune :

    Depuis quelques années, les résidents occasionnels du domaine de la Gray, de multiples nationalités, aux activités professionnelles évoluées, médecins, professeurs, pilotes, se sont passionnés pour Mons, au point de participer à la vie touristique du village.


    Curiosités



    Pour approfondir



    Bibliographie


    Histoire et architecture

    Archéologie

    Patrimoine naturel, faune et flore

    Informations générales


    Articles connexes



    Liens externes


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. Historique sur le site officiel de la commune de Mons
    2. Réseau Natura 2000 « Rivière Siagne et ses gorges», Site FR 9301574
    3. L'eau dans la commune
    4. Le Chautard
    5. Sismicité du Var sur le site de la préfecture.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Louis J S. de Bresc, Armorial des communes de Provence, ou Dictionnaire géographique et héraldique, Paris, Librairie Bachelin-Deflorenne, , 370 p., p. 191.
    14. Dolmens et tumulus
    15. Étienne M. : Les sources de la Siagnole de Mons, Thèse Doct. 3e cycle, 1987, Univ. Sc. et Tech. du Languedoc, Montpellier
    16. Mons : Aqueduc romain de Mons à Fréjus : itinéraire et longueur totale
    17. M. Borréani, Fiche descriptive no 1003, Centre archéologique du Var, Toulon, 2007.
    18. Tremblements de terre en Provence : l’exemple du faux séisme de 1227 en Provence, répertorié dans le catalogue de Rothé (1941)
    19. Histoire et aléa sismique : exemple des faux séismes de 1227 et 1248
    20. BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières), Département Gestion des données Géologiques et Géophysiques. Sources : Risque et Génie Sismique (fichier Sirene) et LDG-CEA (catalogue microsismicité). Édition : LAMBERT (Jérôme), Directeur, Les tremblements de terre en France, Hier, Aujourd’hui, Demain... Éditions BRGM 1997
    21. Moyen Âge, Archives départementales du Var
    22. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 409 et 410 (note 42).
    23. F. Toso F., Da Monaco a Gibralterra : storia, lingua e cultura di villagi e citta-satto génovesi verso occidente, Toso, Le Mani Ed., Genova, 2004, (ISBN 88-8012-282-7).
    24. J.-P. Papon (Abbé), Voyage littéraire en Provence, Lib. Barrois, Paris, 1780, p. 231-232.
    25. Toso, Fiorenzo : Da Monaco a Gibralterra : storia e culture da villagi et città-statto genovesi verso occidente, Le Mani Ed., Genova, 2004, (ISBN 88-8012-282-7) (OCLC 432933722).
    26. M. Germain M., Le siège de Mouns, Parpaillon Éd., Gonfaron, 2000, (ISBN 2-912938-13-9).
    27. Le séisme de 1644
    28. Garcin E.: Dictionnaire historique et topographique de la Provence, chez l'auteur, Draguignan, 1835
    29. février-mars 1944 : Le maquis AS de Mons devient le maquis Vallier avec l’arrivée à sa tête de Gleb Sivirine.
    30. Francs Tireurs et Partisans Français de l’Est Varois…
    31. Mémoire orale, témoignage de Jean-Paul Lambert, le 21 juin 2011, Résistant pour les parachutages SSAP R2) et la vie au maquis de Mons
    32. Les comptes de la commune
    33. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    34. https://www.lemonde.fr/resultats-elections/mons-83080/
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    39. Valente A.: Pour la petite histoire du haut-Var, Mons vous raconte la sienne, Imp. Nouvelle, Saint-Raphaël, 1964
    40. Mons est la ville marraine du Remorqueur Côtier A696 «Buffle», de la Marine nationale
    41. Le Buffle
    42. Parrainage du Buffle
    43. Dolmen de la Colle
    44. Dolmen de Peygros
    45. Dolmen de Saint Marcellin
    46. à l'approche d'un regard (puteus luminae)
    47. « bourg castral d'Avaye », notice no IA83001183, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. Castrum d'Avaye, Lieu-dit Collet de Caillan
    49. « Église paroissiale Saint-Pierre et Saint-Paul », notice no PA00081791, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. Saint-Pierre et Saint-Paul
    51. Inventaire des campaniles en France
    52. Notice no PM83000376, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1535 connue sous le nom de Musane
    53. Notice no PM83000375, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1501 connue sous le nom de Marie Anne Sauveterre
    54. Notice no PM83000374, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1488 connue sous le nom de Vénus
    55. Mobilier de l'église paroissiale Saint-Pierre et Saint-Paul
    56. Conseil Départemental du Var, « Patrimoine religieux », Le Var No 4, hiver 2017-2018, p. 75.
    57. Chapelle Saint-Sébastien, qui abrita la confrérie des Pénitents Blancs
    58. Chapelle Saint-Marcellin, restaurée par le 1er R.C.A.
    59. Sur le pilier droit du porche on peut lire l'inscription suivante, gravée dans la pierre En l'honneur de Notre dame de Pitié 1644
    60. Chapelle St-Roch
    61. Chapelle Saint roch ou / et saint laurent
    62. Monument aux morts de Mons, sur le site mémoires de guerre du Var
    63. Monument aux morts
    64. Mémorial : monument aux morts
    65. Les monuments aux morts du Var : Mons
    66. La Fontaine Dei pu luenchco fouan
    67. Michel Royon, Numérisation des données actuelles de l'inventaire départemental en cours des ouvrages traditionnels en pierre sèche de la campagne varoise, réalisé par les membres de l'A.S.P.P.S.V. (Association pour la Sauvegarde du Patrimoine en Pierre Sèche du Var), Bull. A.S.P.P.S.V., Draguignan, 2004 (6), p. 10-19.
    68. Pierre Sèche.
    69. Créac'h Y.: Inventaire Spéléologique des Alpes Maritimes, Tome IV, chez l'auteur, Nice 1987)
    70. Grotte des Combrières
    71. Grotte des Combrières (Grotte de Mons)
    72. Grotte aux peintures (Grotte Pouveroï)
    73. Grotte des Pestiférés (Baume des échelles)
    74. Grotte d'Esclapon (Du Château d'Esclapon)
    75. Itinéraires archéologiques : Mons
    76. Fichier des cavités du Var
    77. Quertier P., et al.: Guide du naturaliste dans le Var. Libris ed., Patris, 2002, (ISBN 2-907781-58-8).
    78. Les actions du Syndicat Interdépartemental, Intercommunal à Vocation Unique de la Haute Siagne
    79. Aubert C., La politique d'installation des camps militaires : le cas particulier du polygone de tir de Canjuers, Université de Nice-Toulon, faculté de Droit (mémoire de D.E.S. d'administration des collectivités locales), 1984.)
    80. archive
    81. Anonyme : Loup, Élevage :Actes du séminaire technique du 15-16 juin 2006 Aix-en-Provence, Cerpam Ed., Manosque, 2007.
    82. voir : Le loup à Canjuers
    83. Les chiroptères, très nombreux du fait de l'abondance des grottes, des clochers, mais aussi de l'aqueduc romain, font l'objet d'une protection négociée avec Natura 2000 : certaines grottes particulièrement actives en période de reproduction (mois de mai) sont dorénavant interdites d'accès aux spéléologues.
    84. Un Musée à ciel ouvert
    85. Pays de Fayence : Mons, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    86. Juigné de Lassigny E.M. (Le clerc de) Histoire de la maison de Villeneuve en Provence, Lyon, Rey A., Ed., 1901-1902
    87. Régis Valette : Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, 2007
    88. Séréville E., et coll.: Dictionnaire de la noblesse française, 1975
    89. Guerre N.: Noblesse 2001, , 2001
    90. Vaulchier J. (de): Armorial de l'Association d'entraide de la noblesse française, 2004.

    На других языках


    [de] Mons (Var)

    Mons ist eine französische Gemeinde mit 806 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Var in der Region Provence-Alpes-Côte d’Azur. Sie gehört zum Arrondissement Draguignan und zum Kanton Roquebrune-sur-Argens. Die Bewohner nennen sich Monsois oder Monsoises.

    [en] Mons, Var

    Mons (French pronunciation: ​[mɔ̃s]; Occitan: Monts or Mons) is a commune in the Var department in the Provence-Alpes-Côte d'Azur region in southeastern France.
    - [fr] Mons (Var)

    [ru] Мон (Вар)

    Мон (фр. Mons) — коммуна на юго-востоке Франции в регионе Прованс — Альпы — Лазурный берег, департамент Вар, округ Драгиньян, кантон Рокбрюн-сюр-Аржан[1].



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