Moncla (en béarnaisMontclar ou Mouncla) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Moncla (homonymie).
Moncla
Moncla vers 1770 (carte de Cassini).
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement
Pau
Intercommunalité
Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire Mandat
Jean-Paul Lahore 2020-2026
Code postal
64330
Code commune
64392
Démographie
Gentilé
Monclanais
Population municipale
83 hab. (2019 )
Densité
14 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 34′ 57″ nord, 0° 13′ 55″ ouest
Altitude
Min. 106 m Max. 240 m
Superficie
5,83 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives
Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Moncla
Géolocalisation sur la carte: France
Moncla
Géolocalisation sur la carte: Pyrénées-Atlantiques
Moncla
Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Moncla
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Géographie
Localisation
La commune de Moncla se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 42 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 31 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Garlin[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4]:
Projan (2,0 km), Castetpugon (2,3 km), Sarron (3,6 km), Verlus (3,7 km), Portet (3,7 km), Garlin (3,9 km), Saint-Agnet (4,3 km), Baliracq-Maumusson (4,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Moncla fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Le paysage s'organise autour d'un coteau et de deux vallées parallèles, globalement nord-sud. La dissymétrie gasconne des vallées est très nette: la pente à l'ouest est très forte et celle de l'est est douce. Si cette approche succincte est très simple, les détails sont beaucoup plus complexes du fait de nombreux petits ruisseaux qui ont modelé les terres.
Les vallées sont profondes, larges d'un kilomètre et se situent à 90 mètres en contrebas des crêtes. Le profil transversal de cet ensemble débute par un versant exposé à l'ouest, en pente douce convexe, qui s'accélère très brutalement.
En revanche, le versant est présente une faible pente, modelé par le colluvionnement. L'origine de cette dissymétrie très générale dans les vallées gasconnes est très controversée, mais semble être de nature climatique.
À ce schéma assez simple se superpose un micro-découpage par de nombreux petits ruisseaux, plus souvent présents en versant est (cas de la Boulise), qui découpent dans ces serres nord-sud, des crêtes secondaires souvent est-ouest, mais pouvant être orientées de façons diverses. Cette morphologie présente donc des répétitions d'ouest en est et nord au sud dans tout le Vic-Bilh. Ces répétitions sont d'ailleurs reprises par la pédologie.
Hydrographie
On peut noter un réseau hydrographique[7] assez bien développé sur la commune, ainsi que la présence d'une multitude de petites sources. Il y a trois rivières qui passent à Moncla:
le gros Lées: la rivière la plus importante de Moncla qui coule dans la plaine est. Elle prend sa source aux environs de Lembeye (vingt kilomètres au sud-est) et rejoint le fleuve Adour à quelques kilomètres au sud d'Aire-sur-l'Adour (Landes). Il est lui-même rejoint sur la commune par le ruisseau de Lauret;
le grand Lées: provenant de Mascaraas puis de Castetpugon, il traverse Moncla dans la plaine ouest et rejoint le Gros Lées à une dizaine de kilomètres au nord de Moncla;
la Boulise: petit ruisseau qui prend sa source à Mascaraàs et rejoint le Gros Lées à Moncla.
Le faible débit de ces rivières ne permet pas de les utiliser comme source d'irrigation. On peut noter une part de terre drainées très importante en 1988 (220 ha pour 244 ha de terres labourables soit 90%)[réf.nécessaire].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]
Moyenne annuelle de température: 13,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 7,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Mont-Disse», sur la commune de Mont-Disse, mise en service en 1971[13] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[14],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7°C et la hauteur de précipitations de 979,8 mm pour la période 1981-2010[15].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 26 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[17], à 13,4°C pour 1981-2010[18], puis à 13,8°C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21].
Un espace protégé est présent sur la commune:
le «coteau de Garlin», un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels,, d'une superficie de 20,6ha[22].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: les «coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye»[24], d'une superficie de 220ha, présentant des pelouses calcaires riches en orchidées et autres plantes rares régionalement, globalement bien conservées[25],[Carte 1].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 7] est recensée sur la commune[26],[Carte 2]:
les «pelouses à orchidées de Burosse-Mendousse, Castetpugon, Cadillon et Castillon» (86,99ha), couvrant 6 communes du département[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 8],[26],[Carte 3]:
les «coteaux calcaires du Béarn» (461,36ha), couvrant 20 communes du département[28].
Urbanisme
Typologie
Moncla est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[29],[30],[31].
La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (53,7%), prairies (27,1%), forêts (19,2%)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
Bascarie;
Bourdet;
Castéra;
Part Darré;
Part Devant;
Pouey;
Vignes.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la route départementale 143.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Moncla est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez et le Léès. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[37],[35].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Moncla.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 66,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[39].
Toponymie
Le toponyme Moncla apparaît sous les formes
Mont-Clar (1343[40], hommages de Béarn[41]),
Monclar (1385[40], censier de Béarn[42]),
Mont-Claa (1487[40], registre des Établissements de Béarn[43]) et
Monclaa (1548[40], réformation de Béarn[44]).
Moncla fait partie de six structures intercommunales[48]:
la communauté de communes du canton de Garlin;
le SIVU de la voirie de la région de Garlin;
le SIVU du Lées et affluents;
le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Lées;
le syndicat intercommunal des Cinq Rivières.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].
En 2019, la commune comptait 83 habitants[Note 11], en diminution de 17,82% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
307
318
363
305
315
344
355
332
297
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
300
332
306
263
266
259
229
226
194
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
194
179
200
185
167
165
169
149
133
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
120
115
112
91
107
101
101
101
101
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
84
83
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.
Culture locale et patrimoine
La mairie.
Le monument aux morts.
L'église Saint-Étienne.
Statue de la Vierge à l'Enfant.
Château d'eau.
Dans les cahiers du Vic-Bilh (CVB n°1,1975 ), est mentionné un recensement non exhaustif réalisé au XIXesiècle (1880). Ce recensement déclarait que Moncla était alors une commune essentiellement agricole, et surtout viticole, où l'on pouvait également trouver un grand nombre de tissanderies. Le village comptait 266 habitants et 77 maisons. Il y avait également un moulin, 65 fours, une citerne, 5 puits, 28 mares, 2 fontaines et un ruisseau.
Pour ce qui était des productions agricoles, mis à part la viticulture qui était la production végétale dominante, on pouvait aussi dénombrer 17 chevaux (pour tracter les 9 véhicules à deux roues et les 39 à quatre roues), 100 bêtes à cornes, 50 moutons et 40 porcs. Ce recensement est bien moins précis que ceux fournis par l'INSEE actuellement, néanmoins, il est révélateur de la situation professionnelle et notamment agricole du village à la fin du XIXesiècle.
Évolution des surfaces du vignoble:
1820: 65 ha;
1892: 54 ha;
1992: 8 ha.
Une sardinade a lieu au mois d'août.
Patrimoine civil
Il y peu de traces historiques du village, cependant dans les «cahiers du Vic-Bilh», on peut relever la présence d'une voie romaine (CVB n°8 ), d'un château (le château de Moncla[53] date partiellement du XVIIesiècle - CVB n°9), une maison bourgeoise datant de 1830 (Les Vignes)[54], la maison Bascarie, le pigeonnier -poulailler Soues et des retables du XVIIIesiècle.
L'inventaire général du patrimoine culturel a enregistré un castelnau[55], composé d'une enceinte, d'une motte, d'un fossé et d'une basse-cour, datant des XIVe et, semble-t-il, XVesiècles.
Moncla présente un ensemble de maisons et de fermes[56] datant des XVIIIeetXIXesiècles.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Étienne[57] date du XIXesiècle. Elle recèle du mobilier[58], quatre verrières[59], un tableau[60], des statues[61] et des objets[62] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.
Équipements
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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