Moissy-Cramayel est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France et rattachée à la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart depuis le .
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Moissy-Cramayel | |
![]() L'église Notre-Dame-de-l’Assomption. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Seine-et-Marne |
Arrondissement | Melun |
Intercommunalité | CA Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart |
Maire Mandat |
Line Magne 2020-2026 |
Code postal | 77550 |
Code commune | 77296 |
Démographie | |
Gentilé | Moisséens |
Population municipale |
17 849 hab. (2019 ![]() |
Densité | 1 249 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 37′ 37″ nord, 2° 35′ 35″ est |
Altitude | Min. 83 m Max. 94 m |
Superficie | 14,29 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Combs-la-Ville |
Législatives | 11e circonscription de Seine-et-Marne |
Localisation | |
Liens | |
Site web | moissy-cramayel.fr |
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L'agglomération se trouve à 31 km de Paris (Porte de Bercy)[1], à 11 km de Melun et à 10 km de Brie-Comte-Robert[2].
Le territoire de la commune de Moissy-Cramayel est entouré de ceux des communes de Lieusaint, Combs-la-Ville, Évry-Grégy-sur-Yerre, Réau et Savigny-le-Temple. Le plan d'intendance n'est pas daté, mais lesdits plans de Seine-et-Marne ont été dressés entre 1777 et 1789, pour le cadastre de Bertier de Sauvigny[2].
Combs-la-Ville | Évry-Grégy-sur-Yerre | |
Lieusaint | ![]() |
|
Savigny-le-Temple | Savigny-le-Temple | Réau |
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[3].
Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,84 km[8].
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[9].
La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[10]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[11].
En 1849, la Compagnie du Paris-Lyon-Méditerranée entreprend la construction de la gare sur le terrain communal de Lieusaint, juste à la limite avec celui de Moissy-Cramayel. Ce n'est que le que la gare prend le nom de Lieusaint-Moissy. Avec l'électrification des lignes, le transport ferroviaire a pris de l'ampleur : doublement des voies, arrivée du RER ainsi que du TGV.
Elle aussi est située sur le terrain de la commune de Lieusaint. Un large réseau, géré par Transdev, couvre le territoire de l'ancienne communauté de communes de Sénart, avec près de 60 lignes basées ou en transfert par cette gare[12].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11,2 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[15]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[16], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[17] à 11,6 °C pour 1991-2020[18].
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19],[20],[21].
Moissy-Cramayel est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[25] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[28],[29].
La commune compte 46 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[30].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,3% ), zones urbanisées (23,5% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (22,5% ), prairies (3% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %)[31].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[32],[33],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Sénartdont l'étude a été engagée en 2013, portée par le syndicat mixte de Sénart Val de Seine (SYMSEVAS)[34].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[35]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 6 771 dont 47,4 % de maisons et 51,7 % d'appartements[Note 5].
Parmi ces logements, 94,8 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 4,3 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 56,6 % contre 42 % de locataires[36] dont, 27,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et, 1,3 % logés gratuitement.
Moissy Cramayel jusqu'au XVIIe siècle, s'appela Moissy l’Evesque en 1750[37], du nom des Evêques de Paris qui en étaient les seigneurs. Vendu en 1643 au seigneur de Cramayel, le village reprend le nom de Moissy Cramayel[38] en 1772[37].
Son étymologie viendrait de Messis (« moisson ») ou Messere (« faire la moisson »). Messia était, chez les Romains, la déesse des moissons[39].
Moissy-Cramayel s'est construit autour de son cœur ancien, le quartier du centre-ville dans le cadre de la ville nouvelle de Sénart. La topologie particulière des lieux a permis de passer en douceur de l'ancien au neuf.
Créée en 1973, la Ville nouvelle de Sénart, regroupait 10 communes et s'étendait sur deux départements : la Seine-et-Marne (Moissy-Cramayel, Cesson, Combs-la-Ville, Lieusaint, Nandy, Réau, Savigny-le-Temple et Vert-Saint-Denis) et l'Essonne (Saint-Pierre-du-Perray et Tigery).
Depuis le , la ville nouvelle de Sénart a fusionné avec les intercommunalités voisines de l'Essonne, Evry et Corbeil au sein d'une nouvelle et grande agglomération "Grand Paris Sud-Seine-Essonne-Sénart" composée de 24 communes et de 337 000 habitants.
Le maire de Moissy-Cramayel est assisté de 8 adjoints[40]. Le conseil municipal est également composé de 10 conseillers délégués[41] et 10 autres conseillers[42].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1789 | 1792 | Jean-Mathurin Lherminot | ||
1793 | 1794 | Jean Spire meunier | ||
1795 | 1800 | Administration du Chef-lieu de canton : Brie-Comte-Robert | ||
1800 | 1812 | Jean Louis Auberge | Propriétaire-Cultivateur | |
1812 | 1816 | Jean Pierre Breger | Cultivateur | |
1816 | 1826 | Jean François Fontaine, marquis de Cramayel | ||
1826 | 1840 | Jean Baptiste Alexis Belesme | ||
1840 | 1845 | Auguste Jozon | Cultivateur | |
1845 | 1855 | Constant Desforges | Cultivateur | |
1855 | 1887 | Magloire Adolphe Vaury | Cultivateur | |
1887 | 1892 | Louis Léon Chandora | Entrepreneur de Drainage | |
1892 | 1906 | Théodore Thomas | Propriétaire | |
1906 | 1916 | Paul Charpentier | Cultivateur | |
1916 | 1940 | Emile Connault | Propriétaire, arboriculteur Maire à la suite de la démission de Paul Charpentier | |
1940 | 1944 | Eugène Langlois | 1er adjoint, faisant fonction de maire | |
1944 | 1947 | Henri Bacquet | Terrassier | |
1947 | 1964 | Pierre Aubergé | Ingénieur agronome | |
1964 | 1965 | Jean Cailleres | ||
mars 1965 | mars 1971 | Philippe-François Bernard | Docteur en médecine | |
mars 1971 | avril 2014 | Jean-Jacques Fournier | PS | Entrepreneur Président du syndicat d'agglomération nouvelle de Sénart (1987 → 2014) |
avril 2014[43] | En cours (au 25 mai 2020) |
Line Magne | PS | Retraitée de la fonction publique territoriale, épouse du précédent Vice-présidente de la CA Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart (2016 → ) Réélue pour le mandat 2020-2026[44] |
La commune, ville de la région d'Île-de-France, en Seine-et-Marne, est rattachée à l'intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart, ainsi qu'au canton de Combs-la-Ville, dans l'arrondissement de Melun.
Dans le cadre de sa politique environnementale, la municipalité de Moissy-Cramayel prévoit un écoquartier, sur 77 hectares, au nord de la commune, dans le quartier de Chanteloup, incluant un parc, inauguré en juin 2019, ainsi qu'une ferme urbaine[45]. Dans la même voie, l'entretien de certains espaces verts se fait par voie de l'éco paturage[46].
Ville | Pays | Période | ||
---|---|---|---|---|
![]() | Bușteni[47] | ![]() | Roumanie | depuis |
![]() | Rosenfeld[47] | ![]() | Allemagne | depuis |
Rosso[47] | ![]() | Mauritanie | depuis |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [48],[49].
En 2020, la commune de Moissy-Cramayel gère le service d’assainissement collectif (collecte et ) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[50].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[51]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[50],[52].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la Communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [50],[53].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[54],[Note 7]
En 2019, la commune comptait 17 849 habitants[Note 8], en augmentation de 1,99 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
600 | 614 | 526 | 517 | 523 | 534 | 510 | 545 | 627 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
609 | 692 | 749 | 800 | 829 | 897 | 922 | 945 | 977 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 020 | 1 054 | 1 025 | 1 065 | 1 086 | 1 238 | 1 222 | 1 331 | 1 372 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 060 | 2 364 | 3 172 | 5 195 | 12 263 | 14 298 | 16 549 | 17 243 | 17 695 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
17 849 | - | - | - | - | - | - | - | - |
Moissy-Cramayel dépend de l'académie de Créteil[57]. La commune dispose de 8 écoles maternelles, et 8 écoles primaires[58] :
Les élèves poursuivent leur scolarité dans la commune, dans l'un des deux collèges, puis le lycée[58] :
Les fanfaronades, Le Troc et puces, Moissy Plage.
La ville dispose d'une salle de spectacle et de cinéma, La Rotonde (construite en 1991 par Witold Zandfos), d'une capacité de 360 places.
Plusieurs praticiens libéraux sont installés dans la commune, tant en médecine générales, qu'en spécialités, ainsi qu'un laboratoire d'analyses médicales, et 5 pharmacies[59].
L'hôpital le plus proche se trouve à Melun.
La ville de Moissy-Cramayel a une équipe de football, l'US Moissy qui est en CFA 2 (5e division national). À Moissy-Cramayel se trouve le plus grand circuit de karting de France, qui est l'un des trois plus grand d'Europe[60].
Les personnes de confession catholique disposent d'un lieu de culte dans la commune, l'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Moissy-Cramayel.
Les musulmans disposent d'une mosquée.
La commune dispose également d'une pagode bouddhiste
Les protestants, juifs, ou orthodoxes doivent se rendre dans les communes limitrophes[61].
Moissy-Cramayel est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[63].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[64]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 7 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 176 ha en 1988 à 160 ha en 2010[63]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Moissy-Cramayel, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[63],[Note 10] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 7 | 4 | 4 |
Travail (UTA) | 28 | 13 | 8 |
Surface agricole utilisée (ha) | 1 235 | 933 | 638 |
Cultures[65] | |||
Terres labourables (ha) | 1 204 | 911 | 610 |
Céréales (ha) | 761 | 537 | 400 |
dont blé tendre (ha) | 581 | 390 | 246 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 150 | 71 | 30 |
Tournesol (ha) | 0 | ||
Colza et navette (ha) | 117 | s | |
Élevage[63] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 186 | 26 | 45 |
![]() |
Les armes de la ville se blasonnent ainsi : tranché au 1) d’or au croissant de sable, au 2) d’azur à la fontaine jaillissante d’argent ; à la cotice d’argent brochant sur la partition.
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