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Mazaugues
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Géographie
Localisation
Mazaugues est une commune rurale du département du Var, située à l'extrémité Est du massif de la Sainte-Baume (1148 m), à 15 km au sud-ouest de Brignoles et 40 km au nord de Toulon. Avec une superficie de 5 379ha, son altitude moyenne est de 450 mètres.
Géologie et relief
La commune est dominée au sud-ouest par le plateau d'Agnis, dont le point culminant, le Mourré d’Agnis[1], s’élève à 919 mètres; le Caramy et l'Issole prennent leur source sur ses flancs.
Le synclinal de Mazaugues est un fossé d’effondrement attribué au Crétacé supérieur. Il renferme des gisements de bauxite et présente du Turonien supérieur de caractère laguno-saumâtre et du Sénonien inférieur[2].
C'est sur le territoire de la commune que les sédiments du Santonien atteignent leur plus grande épaisseur. Ils sont formés par la succession de trois barres de calcaires à rudistes séparées l'une de l'autre par des grès arkosiques grossiers et des argilites sableuses d'origine deltaïque[3].
Le climat y est chaud et tempéré. La classification de Köppen-Geiger[9] des lieux est de type Csb[10].
Sismicité
La commune de Mazaugues est en zone de sismicité 2 (faible)[11].
Voies de communications et transports
Voies routières
D5 depuis Brignoles et D64 depuis La Roquebrussanne[12].
Intercommunalité
Commune membre de la Communauté d'agglomération de la Provence Verte.
Urbanisme
Typologie
Mazaugues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme (PLU)[18] et d'un Plan de prévention des risques technologiques (PPRT)[19]. Elle est par ailleurs intégrée dans le Schéma de cohérence territoriale (SCOT) Provence Verte Verdon[20] 2020-2040, constituant
un périmètre de 43 communes.
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,9% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (74,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,2%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,5%), zones agricoles hétérogènes (3,4%), zones urbanisées (1,2%), prairies (0,8%), mines, décharges et chantiers (0,5%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Transports en commun
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Le réseau régional de transports en commun "Zou!" dessert la commune[23].
Lignes SNCF
Les gares SNCF les plus proches sont:
Lignes Express Régionales (LER).
La gare la plus proche se trouve à Brignoles (TER).
Mazaugues apparaît dans les archives dès le Xesiècle sous le nom de Madaligas, puis de Matalicas et Madalgas au XIesiècle et de Mazalgis et Mazalgas au XIIesiècle. L’origine de ce nom peut être germanique (grandes invasions du Vesiècle)[24].
Le nom de la commune est Maougo en provençal[réf.nécessaire].
Ses habitants sont appelés les Mazauguais.
Histoire
Préhistoire et Antiquité
La présence de l’homme au Néolithique est attestée sur le territoire de Mazaugues avec les abris-sous-roche ornés de peintures schématiques[25] dans les gorges du Caramy[26]. Plusieurs traces d’habitat de l’âge du fer avec des enceintes préhistoriques ont été découvertes au Castellas de la Tête du Baou et sur le site de l’oppidum de Meynarguette[27].
L’occupation romaine a laissé des vestiges abondants sur la commune avec des fragments de dolia, de tuiles à rebord et d'amphores, et des débris de vases samiens, sur le site de l'ancienne villa Matalica à Saint-Victor et dans les quartiers de Saint-Gall et La Venelle[28].
Moyen Âge
Vue du château féodal de Mazaugues.
À partir du Xesiècle, le castrum de Mazaugues appartient aux vicomtes de Marseille et figure dans le cartulaire de l’abbaye Saint-Victor[29], parfois sous l’ancien nom de Mazalgas[30]. Le château féodal et une église sont construits au XIIesiècle sur le promontoire rocheux[28].
La seigneurie passe ensuite entre les mains de la famille d'Agoult[31] au XIIIesiècle et de la famille de Montauban[32] au XIVesiècle. Au XVesiècle et au XVIesiècle, elle est la propriété de la famille de Castellane;
entre 1583 et 1665, les Castellane-Mazaugues[33] fournissent huit chevaliers à l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
Au XVIesiècle, l'église est agrandie avec une deuxième abside mais la population commence à quitter le vieux village pour s'installer dans la plaine sur les bords du Caramy[28]. Au XVIIesiècle et au XVIIIesiècle, la famille de Castellane et la famille de Thomassin[34] se partagent le fief de Mazaugues et possèdent leurs demeures dans le nouveau village.
En 1777, une grande fontaine[35] est construite sur la place près du Caramy et en 1784, c'est l'horloge et son beffroi hexagonal qui sont érigés contre l'ancienne maison commune[28].
Révolution française
Durant l’été 1789, les coseigneurs de Mazaugues émigrent à l'étranger. En 1790, leurs biens sont encadastrés, les forêts sont déclarées biens nationaux et les terres agricoles sont soit vendues, soit affermées.
En août 1790, les habitants de Mazaugues conduisent manu militari au Directoire de Toulon le curé Véran qui désapprouve la Constitution[36]; même s'il est très vite libéré, le curé ne veut plus retourner au village.
Après la Révolution française
La construction de l'église paroissiale débute en 1808 à l'intérieur du village.
En 1839, la petite commune de Meinarguette est rattachée à Mazaugues qui connaît ainsi un accroissement territorial[37].
À la suite du coup d’État du 2 décembre 1851, Mazaugues fait partie des communes insurgées[38] et une vingtaine d’hommes se rendent à Tourves le pour assister à l’installation d’une commission insurrectionnelle[39]. Des Mazauguais sont arrêtés, condamnés et dépossédés, mais ils seront indemnisés par la République en 1882[40],[41].
En 1883, un nouveau bâtiment regroupe l'école, la mairie et la poste. Et à cette époque, pour des raisons de salubrité, la partie du Caramy qui passe dans le village est canalisée et recouverte.
Le monument aux morts pacifiste de Mazaugues.
Durant la Seconde Guerre mondiale, douze Mazauguais composent le Comité local de libération qui s’occupe des tâches de résistance et prépare la libération[42].
Entre 1942 et 1944, une ancienne mine de bauxite sert de cache à un poste émetteur clandestin et à des armes parachutées pour le maquis[43].
Les glacières
Glacière Pivaut.
À la fin du XVIIesiècle, les nombreuses sources et le climat particulièrement frais par endroits favorisent l’implantation des glacières et donnent naissance à l’artisanat de la glace qui consiste à stocker jusqu'à l'été la glace naturelle formée l'hiver dans les bassins de gel. Le massif de la Sainte-Baume abrite une vingtaine de ces réservoirs à glace[44],[45].
Il y a sur le territoire de la commune pas moins de dix-sept glacières qui alimentent en glace Toulon, puis Marseille, durant tout le XIXesiècle; c'est pourquoi le Musée de la glace est implanté à Mazaugues[46]. Les visiteurs y sont amenés à remonter le temps et à découvrir comment l'homme a exploité, commercialisé et utilisé la glace. La plus grande de toutes est celle de Pivaut, classée monument historique[47], qui peut être visitée en compagnie d'un guide.
Les mines de bauxite
À partir de 1899, Mazaugues est un des hauts lieux de l’extraction de la bauxite avec dix sites exploités par l’Union des bauxites et la Société d’électro-métallurgie française. Certaines mines atteignent 300 mètres de profondeur[48].
Durant près d’un siècle, le village vit au rythme de l'exploitation des mines. Les mineurs en ressortent couverts de poussière rouge de bauxite, ce qui leur vaut le surnom de Gueules Rouges.
En 1914, les trois principaux sites sur la commune emploient près de huit-cents ouvriers. La dernière mine de Mazaugue ferme en 1985[49].
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[53]:
total des produits de fonctionnement: 956 000€, soit 1 048€ par habitant;
total des charges de fonctionnement: 880 000€, soit 965€ par habitant;
total des ressources d’investissement: 331 000€, soit 363€ par habitant;
total des emplois d’investissement: 105 000€, soit 115€ par habitant.
endettement: 1 358 000€, soit 1 489€ par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 11,53%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 20,00%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 93,24%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00%;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018: médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation: 21 060€[54].
Politique environnementale
La commune fait partie du nouveau parc naturel régional de la Sainte-Baume, créé par décret du [55].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[57].
En 2019, la commune comptait 868 habitants[Note 3], en augmentation de 1,17% par rapport à 2013 (Var: +4,68%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
400
456
473
578
611
617
625
584
576
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
524
580
554
601
593
561
519
543
531
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
521
579
592
533
525
521
510
385
364
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
338
365
331
359
461
511
613
673
801
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
868
868
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
Médecins à La Roquebrussanne, Méounes-lès-Montrieux, Tourves,
Pharmacies à La Roquebrussanne, Signes, Méounes-lès-Montrieux,
Hôpitaux à Nans-les-Pins, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.
Cultes
Culte catholique, Paroisse de l'Issole[64], Diocèse de Fréjus-Toulon.
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture
Mazaugues tire ses ressources de l’agriculture, de l’élevage et du tourisme, fait partie du territoire Provence Verte et de la communauté de communes du Val d'Issole.
La coopérative vinicole et oléicole et moulin à huile dits la Clairvoyante[65] La clairvoyante[66].
Tourisme
La commune occupe une position centrale au sein du futur parc naturel régional de la Sainte-Baume[67].
Commerces
Le programme de développement économique du village est basé sur la protection et l’usage des eaux souterraines[68] (maraîchage biologique, spiruline, pisciculture).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église.
Le patrimoine religieux:
Église paroissiale Saint-Christophe: elle abrite un triptyque de la Vierge à l'Enfant qui a été classé au titre des monuments historiques[69].
Le monument aux morts pacifiste[70], dédié aux Enfants de Mazaugues victimes de la guerre[71], représente un poilu sans armes.
Les ruines du château [73] et de l'église datent du Moyen Âge[74].
Le musée de la Glace peut être visité ainsi que la glacière de Pivot, inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[75].
Les Sauts du Cabri [76] et les abris-sous-roche peints datant du Néolithique.
Les vestiges du pont du Diable[77] datent du Moyen Âge classique.
Les fontaines et lavoir.
L'eau dans la commune: fontaines et lavoir.
Le lavoir.
Le patrimoine naturel:
Le vaste plateau d’Agnis comporte de nombreux rochers aux formes mystérieuses.
Le cirque des Escarettes est un impressionnant cirque calcaire qui domine la commune.
Les gorges du Caramy, réputées pour ses douze sources, présentent des lieux remarquables[78] comme la baume de Saint-Michel[79],[80], les Sauts du Cabri[81].
Personnalités liées à la commune
Charles Fabre (1880-1977), instituteur et maire de Mazaugues[82],[83], aménage le square du monument aux morts pacifiste en 1935 et est l’initiateur de la délibération: À bas toutes les guerres! Vive la République universelle des travailleurs! Ardent soutien du Front populaire, il fait ajouter un an plus tard les deux plaques suivantes: L’union des travailleurs fera la paix du monde (Anatole France) et L’humanité est maudite, si, pour faire preuve de courage, elle est condamnée à tuer éternellement (Jean Jaurès)[84].
Elléon de Castellane-Mazaugues, (né à Mazaugues le , mort à Udine le ) est un ecclésiastique qui fut le dernier évêque de Toulon de 1786 à 1790.
Henriette Vincent, née Ragou le 29 décembre 1920, maire de Mazaugues de 1983 à 1995. Médaille d'honneur des Maires de France et médaille du Sénat[85].
Héraldique
La commune de Mazaugues porte[86]:
De sable, à une maison d'argent[87].
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Le Mourre d'Agnis doit son nom à la forme de sa partie la plus à l'ouest: un museau d'agneau. Au sommet trône la Quille du Tillet, une sorte de tour pyramidale haute de 4,30 m et percée de part en part par un regard qui permet de viser l'alignement de Signes sur Mazaugues. Elle figure sur la carte de Cassini ou carte de l'Académie, la première carte topographique de France, dressée au XVIIIe siècle.
Jean Philip, Les formations à Rudistes de Provence, Laboratoire de géologie historique et de paléontologie, Université de Provence Saint-Charles, Marseille, 1973.
Le Crétacé supérieur de la Sainte-Baume, Bureau de recherches géologiques et minières, Notice de la carte géologique de Cuers, 1973.
La carte de Köppen-Geiger est la carte de référence en matière de zonage géo-climatique. Elle indique l'hydrologie, la géographie, la biologie, la climatologie.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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Philippe Hameau, Un sanctuaire de la Préhistoire récente: les gorges du Carami, Archéologia, octobre 2001.
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Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, début du Vesiècle à la fin du XVesiècle, Éditions Publitotal, 1987.
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