Maincy est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
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La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,1 km[3].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000
- Moyenne annuelle de température: 11,1 °C
- Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C: 3,1 j
- Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,3 j
- Amplitude thermique annuelle[Note 1]: 15,3 °C
- Cumuls annuels de précipitation: 708 mm
- Nombre de jours de précipitation en janvier: 1 j
- Nombre de jours de précipitation en juillet: 0,4 j
La commune bénéficie d’un «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[6]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[7], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour 1981-2010[8] à 11,6°C pour 1991-2020[9].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[10],[11],[12].
Urbanisme
Typologie
Maincy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[16],[17].
Lieux-dits et écarts
La commune compte 96 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[18] dont le Clos de Beaune, les Coudrays, Trois-Moulins (partagé avec les communes de Melun et de Rubelles).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (40,3% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (40%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (40,3% ), forêts (37,7% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (12,3% ), zones urbanisées (9,2% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4%)[19].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[20],[21],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Région melunaise, dont l'élaboration a été engagée de 2013 à 2015, puis poursuivie à partir de 2017 sur un périmètre différent et porté par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine[22].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[23]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].
Logement
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 769 dont 87,2% de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 12,6% d'appartements[Note 5].
Parmi ces logements, 92,1% étaient des résidences principales, 1,5% des résidences secondaires et 6,5% des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 84,8% contre 13,7% de locataires[24] dont, 0,3% de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et, 1,5% logés gratuitement.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la ligne d’autocars N° 37A (Ozouer-le-Voulgis – Melun) du réseau de cars Transdev[25].
Le village et la commune sont traversés par le sentier de grande randonnée GR 1, entre Melun à l'ouest et Moisenay au nord-est.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Minciacum en 1085[26]; Minciacum en 1218[27]; Minci en 12885[28]; Molendina de Minciaco au XIIIesiècle[29]; Altare de Meinciaco vers 1350 (Pouillé)[30]; Mainci en 1385[31]; Mainsy en 1400[32]; Mainciacum en 1488[33]; Mincy près Melun au XVesiècle[34]; Mancy en 1607[35].
Histoire
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Maincy a été créé au Moyen Âge, comme en témoigne son église romane. C'était le village rattaché au château de Vaux-le-Vicomte, au XVIIesiècle. Auparavant, la manufacture des Gobelins était dans ce village. Elle a été déplacée à Paris par ordre du roi Louis XIV, qui avait évincé Nicolas Fouquet, son surintendant des Finances, et premier propriétaire de Vaux-le-Vicomte.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Melun-Nord[36]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton de Melun.
Intercommunalité
La commune était membre depuis 2008 de la petite Communauté de communes Vallées et Châteaux.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[37], la commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) réunie le a acté au schéma départemental de coopération intercommunale 2016 l'intégration des communes de Limoges-Fourches, Lissy et Maincy à la Communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS)[38], malgré l'opposition de cette dernière[39],[40], désormais membre de la CAMVS.
Politique locale
Afin de protester contre l'intégration de la commune à la Communauté d'agglomération Melun Val de Seine[41], sept des dix-neuf conseillers municipaux démissionnent fin 2016[42], entrainant la tenue le d'élections municipales et communautaires partielles où le maire sortant, Alain Viel, ne se représentait pas[43],[44].
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Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [48],[49].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Maincy est assurée par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [50],[51],[52].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[53]. La communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive à échéance le 31 juillet 2022[50],[54].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [50],[55],[56].
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[58].
En 2019, la commune comptait 1 808 habitants[Note 7], en augmentation de 5,42% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 077
889
891
965
1 029
1 037
986
1 021
1 050
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 031
1 039
1 037
905
993
932
967
1 006
1 010
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
875
822
806
808
854
1 013
1 012
1 056
1 246
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
1 457
1 570
1 510
1 455
1 641
1 706
1 693
1 710
1 702
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 699
1 808
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[59].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités
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Le Village préféré des Français
En 2013, la ville est sélectionnée pour l'émission Le Village préféré des Français en tant que représentante de la région Île-de-France. Elle se classe finalement 22e et dernière.
Économie
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Secteurs d'activité
Agriculture
Maincy est dans la petite région agricole dénommée la «Brie française», (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[60].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30% du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[61]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 139ha en 1988 à 499ha en 2010[60].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Maincy, observées sur une période de 22 ans:
Évolution de l’agriculture à Maincy entre 1988 et 2010.
Jean Alexandre Melchior de Vogüé (1898-1972), résistant français, membre du COMAC et homme d'affaires, mort à Maincy.
Héraldique
Les armes de la ville se blasonnent ainsi: Parti: au 1) de gueules à six fleurs de lis d'argent ordonnées 3, 2 et 1, au 2) d'or à la fasce ondée d'argent, bordée d'azur, accompagnée de trois roues de moulin de sable.
Voir aussi
Bibliographie
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L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100%.
Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Sébastien Blondé, «Intercommunalités: les élus donnent du poids au Grand Melun», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
«Maincy refuse le mariage forcé avec l'agglomération de Melun», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
Sophie Bordier, «Maincy poursuit sa lutte contre son rattachement à l’agglomération de Melun», Le Parisien,édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
Julie Olagnol, «Maincy: les habitants ne veulent toujours pas d’un mariage avec Melun», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne)«Après un démarrage houleux, où le maire Alain Viel a dû se justifier sur son maintien à la tête de Maincy, le futur a pu être abordé. A la question «Qu’est-ce que la CAMVS nous apportera?», Louis Vogel et ses partisans ont évoqué l’«extension des lignes de bus», ou encore «la baisse du prix de l’eau et de l’enlèvement des déchets». Concernant les inquiétudes des habitants, il a été confirmé que «la loi SRU n’engendrerait la construction que d’une quinzaine de pavillons», malgré les calculs du Collectif Maincy rural qui mise sur «une augmentation de 160 logements, ce qui va engendrer une banlieurisation de Maincy à l’instar de Rubelles». Sur les impôts, «la pression fiscale ne va pas bouger l’année prochaine, exceptée pour les entreprises au capital de plus de 100 000 €», assure la CAMVS. Concernant la petite enfance, il a été dit que «cette compétence, tout comme les loisirs, reste attachée à Vallées et Châteaux», l’actuelle communauté de communes».
Sophie bordier, «Maincy: démissions en série au conseil municipal», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
Sophie Bordier, «Maincy: un ticket Galloy-Plaisance aux élections municipales», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne)«Ils suivront de très près l’entrée de Maincy dans la CAMVS, officielle au 1er janvier 2017. «Nous étions contre, cela a été la raison de notre démission. Maintenant, il va falloir négocier au mieux pour nous les effets de ce rattachement». Le hic, selon eux: «Maincy n’aura qu’un représentant sur 73 élus». Ils évoquent la petite enfance et l’urbanisme, compétences suivies par leur ancienne intercommunalité, mais non assurées par la CAMVS. Francis Galloy pointe aussi le tourisme qui revient à la CAMVS en 2017».
S. B., «Maincy: le nouveau maire sera élu le 27 janvier», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne)«L’élection municipale et communautaire partielle, organisée ce 22 janvier, dans cette commune de 1 750 âmes, a mobilisé seulement 460 votants sur 1 350 inscrits (soit 34% de participation). La seule liste en lice, menée par Francis Galloy, conseiller municipal démissionnaire, a recueilli 383 voix, soit 85% des votants».
S. B., «Maincy: Alain Plaisance est le nouveau maire», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne)«Âgé de 69 ans, résidant à Maincy depuis 1977 et retraité de l’industrie électronique, Alain Plaisance a été premier adjoint au maire depuis 2008 jusqu’à sa démission fin 2016, avec six autres conseillers, contestant l’entrée de Maincy dans la Communauté d’agglomération Melun Val-de-Seine».
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