Londinières est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
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Londinières
La place principale avec l'église Notre-Dame et le monument aux morts.
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Avec les communes environnantes
1: carte dynamique; 2: carte OpenStreetMap; 3: carte topographique; 4: avec les communes environnantes
Londinières est un bourg périurbain normand sitié aux portes du pays de Bray. Elle est située à 15 km au nord de Neufchâtel-en-Bray, 30 km au sud-est de Dieppe et de la Manche, 60 km au nord-est de Rouen et 195 km au nord-ouest de Paris.
Par l'ancienne route nationale 314 (reliant Forges-les-Eaux à Eu) qui la traverse et sa proximité à l'A28, elle constitue un carrefour local relativement important.
Le bourg est le terminus de la ligne de bus Dieppe - Londinières.
La commune est drainée par l'Eaulne, affluent du fleuve côtier normand l'Arques., ainsi que par ses étangs.
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Boissay-sur-Eaulne (à l'ouest de Londinières, sur la rive gauche de l'Eaulne), ancienne commune absorbée en 1823[1];
la Croix;
Grainville.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 10,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 13,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Dieppe», sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[8] et qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9°C et la hauteur de précipitations de 798,2 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Abbeville», sur la commune d'Abbeville, dans le département de la Somme, mise en service en 1922 et à 43 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,2°C pour la période 1971-2000[12] à 10,6°C pour 1981-2010[13], puis à 11°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Londinières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (63,5%), prairies (28,2%), zones urbanisées (4,8%), forêts (2,1%), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 696, alors qu'il était de 669 en 2013 et de 618 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 84,6% étaient des résidences principales, 7,1% des résidences secondaires et 8,3% des logements vacants. Ces logements étaient pour 81,5% d'entre eux des maisons individuelles et pour 18,3% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Londinières en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,1%) supérieure à celle du département (3,9%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 57,7% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (59,2% en 2013), contre 53% pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
7,1
3,9
9,7
Logements vacants (en%)
8,3
8,1
8,2
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Lundinarias, variation Nundinarias en 872-875[22]; Nundinarias en 875[23]; Lundinarias en 1034 environ (Jean Adigard des Gautries, 1958 p. 301)[22].
Il s'agit d'une formation toponymique en -arias, suffixe féminin (-aria) à l'accusatif pluriel. Le premier élément Londin- < Nundin- semble s'expliquer par le latin nundĭnae, nundinārum «marché»[23], d'où le sens global d’«(emplacement) de marché»[24]. Ce lieu était donc occupé par un marché, ce qu'il est d'ailleurs resté[23].
Remarque: le passage de Nundinarias à Londinières s'explique par un phénomène de dissimilation du [n] initial que l'on retrouve dans Longjumeau (Essonne, Nongemellum XIe siècle)[23].
Histoire
L'élément le plus marquant de l'histoire du village est la découverte fortuite, en 1846, par Paul-Henri Cahingt, un fermier et érudit local, accompagné de l'abbé Cochet d'environ 400 fosses taillées dans la craie et qui renfermaient parfois plusieurs corps. Les sépultures étaient orientées ouest-est et disposées en rangées nord-sud. Comparativement aux nécropoles mérovingiennes analogues de Douvrend ou d'Envermeu, le mobilier exhumé est relativement peu luxueux (aucune pièce d'or ou dorée). Dans ce mobilier se trouvent: des plaques boucles en bronze datées du VIIesiècle, des fibules, une abondante céramique (150 pots, des vases, des assiettes) et un peu de verrerie. Le grand nombre d'armes découvertes sur le site et leur type montrent qu'il s'agissait de guerriers francs (avec femmes et enfants): on dénombre pas moins de 130 scramasaxes, une vingtaine de breitsaxes, trois spatha (épées), une quinzaine de haches dont une francisque, des fers de flèches, 75 lances, un umbo de bouclier en fer, etc[25],[26].
La halle dite aux grains (blé, seigle, pois, vesce, lentille, sainfoin...) est édifiée en 1835. Au-dessus sont alors installées la mairie, dans un local de location, et une salle d’audience pour la justice de paix. La Halle au beurre est construite dans un second temps entre le perron de l’église et le monument aux morts. Après la suppression des foires, ce bâtiment a été transformé en l'hôtel-de-Ville[28].
Le circuit de Dieppe sur lequel se sont courus quatre Grands prix de l'ACF passait par Londinières.
La ville a été desservi par la ligne de chemin de fer secondaire Amiens - Aumale - Envermeu de 1906 à 1947.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, elle a subi des bombardements le et le [29]. Elle est décorée de la Croix de guerre 1939-1945 .
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.
Londinières est le siège de la communauté de communes de Londinières, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
La ville accueille[Quand?] une école maternelle (école "les Jeunes-Pousses"), une école primaire, dotée d'une 3eclasse pour la rentrée 2017-2018[38] (école du Tilleul), et un collège (collège Paul-Henri-Cahingt).
Le lycée d'enseignement général le plus proche est celui de Neufchâtel-en-Bray. Il y a aussi un lycée professionnel et agricole à Neufchâtel-en-Bray. Le canton de Londinières possède un lycée d'hôtellerie situé à Smermesnil.
Santé
L'hôpital le plus proche est celui de Neufchâtel-en-Bray. Le CHU le plus proche est celui de Rouen.
La commune dispose[Quand?] d'une pharmacie, de cabinets d'infirmiers libéraux, trois médecins généralistes, un dentiste, un kinésithérapeute, une maison de retraite. Elle dispose également d'une maison pluridisciplinaire de santé.
Grâce à l'aide de la région et du département, qui ont subventionné de 510 000 € l'équipement, la commune, classée déficitaire par l’Agence régionale de santé depuis 2005, s'est équipée en 2016 d'une maison de santé pouvant accueillir jusqu’à 12 praticiens: kinésithérapeutes, généralistes, dentistes[39],[40]...
Équipements sportifs
La commune dispose[Quand?] de plusieurs équipements sportifs tels que deux gymnases (dont un est exclusivement réservé à la pratique du tennis) ainsi qu'un stade de football. La commune est également proche d'un terrain de motocross connu dans la région.
Près de l'étang ont été installé en 2019 six appareils de fitness en libre-service[41]
Autres équipements
Une maison France Services ouvre en 2021 dans les locaux du centre médico-social. Cet équipement, animé par la mutualité sociale agricole, permet d'accéder à des services publics comme la caisse d’allocations familiales, les ministères de l’Intérieur, de la Justice, des Finances Publiques[42]…
Population et société
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].
En 2019, la commune comptait 1 264 habitants[Note 7], en diminution de 4,53% par rapport à 2013 (Seine-Maritime: +0,08%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
739
701
733
997
985
1 059
1 053
1 034
1 012
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 069
1 146
1 141
1 146
1 152
1 116
1 115
1 125
1 139
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 067
1 112
1 088
1 112
1 099
1 117
1 099
1 089
1 123
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
2006
2011
2016
2019
-
-
1 245
1 221
1 170
1 188
1 291
1 271
1 264
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique
Sports
L'Union sportive de Londinières, fondée le a fété en 2022 ses cent ans. A cette occasion, le nouveau stade de la commune a été baptisé stade Laurent-Coquin, du nom du président de ce club de 1999 à 2021[46],[47].
Manifestations culturelles et festivités
Le premier week-end de septembre une fête-foraine s'installe dans le centre bourg[48].
Le jour de l'Ascension une braderie d'importance régionale[réf.nécessaire] est organisée.
Économie
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L'activité économique principale du bourg est l'agriculture. Londinières possède cependant une zone d'activités en cours de commercialisation[Quand?], qui contient quelques entreprises. Notamment SERAPID, entreprise spécialisée dans l'industrie high-tech et dans l'équipement théâtral (élévateur, changement de décors...). Celle-ci embauche environ 80 salariés et a un chiffre d'affaires situé aux alentours de 20 millions d'euros.
La société SERAPID possède une autre antenne en France située à Rouxmesnil-Bouteilles et une autre à Détroit, aux États-Unis.
Culture locale et patrimoine
Le clocher datant du XVIesiècle.Le monument aux morts.
Lieux et monuments
Église Notre-Dame L'église Notre-Dame de Londinières date du XVIesiècle. L’édifice s’écroule sous les bombardements du (allemand) et du (anglais). Il ne reste plus alors que le clocher et le transept nord, fort ébranlés eux aussi, et qu’il faudra d’ailleurs consolider en 1954. Les travaux de restauration débutèrent en 1955. Autrefois placé au centre de l’édifice, le clocher s’inscrit désormais latéralement dans la nouvelle construction. Il abrite trois cloches pesant 1 200 kg, 800 kg et 350 kg dénommées respectivement: Louise-Céline, Marie et Marie-Louise Céline. La nouvelle nef est très vaste et bien éclairée par les grandes baies vitrées latérales. Elle comporte également un vitrail moderne dédiée à la Vierge Marie. L’église compte quelques œuvres d’art: une dalle tumulaire, un très beau Christ restauré, une table de communion, un orgue à tuyaux (construit par la facture d'orgues Roethinger en 1962) et quelques statues anciennes dont un «saint Sébastien» en bois transpercé de flèches.
Le clocher dominant la partie moderne de l'église.
Vue générale de l'église ainsi que la place principale de la ville.
Église Saint-Melaine, à Boissay-sur-Eaulne, en damiers de pierres et de briques roses, avec une toiture d'ardoises et un clocher quadrangulaire massif. Au dessus deu porche se trouve une pierre ornée de la salamandre, symbole de François Ier Ancienne église paroissiale, elle a appartenu à l'Abbaye Notre-Dame du Bec dès le XIIesiècle. Peu fréquentée, car de nombreux habitants étaient protestants, elle tombe complètement en ruines lors d'un orage de 1708. Elle est reconstruite jusqu'en 1758, restaurée ou remaniée en 1771, 1828, 1986 et 1996, à la suite d'un effondrement du sol[49].
Monument aux morts
Personnalités liées à la commune
Paul Henri Cahingt (1825-1914): il réalisa des fouilles de sites du Néolithique, gaulois et mérovingiens sur Londinières et sa région. Il a découvert de nombreux objets[50] dont quelques-uns sont exposés au collège qui porte son nom à Londinières ainsi qu'au musée des Antiquités de Rouen (pour la plus grosse partie).
Henri Cahingt[51] (1856-1943), son fils, professeur au collège de Dieppe, auteur de nombreux ouvrages, né à Londinères.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Abbé Jean-Eugène Decorde, Essai historique et archéologique sur le Canton de Londinières, Neufchâtel-en-Bray, Imprimerie Duval, , 327p. (lire en ligne), p.174.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Charles de Robillard de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique de la Seine-Maritime, 2 t., Paris, 1982 - 1984, p. 568 (lire en ligne sur Dico-Topo)
François de Beaurepaire (préf.Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, Éditions Picard, , 180p. (ISBN2-7084-0040-1, OCLC6403150), p.101.
Isabelle Rogeret, La Seine-Maritime 76, in Carte archéologique de la Gaule, éditions de la Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris 1998.
David Duarte, «400 tombes mérovingiennes découvertes il y a 170 ans: C'est une découverte faite il y a plus de 170 ans. Une nécropole de 400 tombes, datant de l'époque des premiers Francs, à l'endroit même de la colline surnommée «le mont blanc»», Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
«D'un siècle à l'autre à Londinières», Le Réveil édition Bresle Somme Oise, no3707, , p.8.
Norbert Dufour et Christian Doré, L'Enfer des V1 en Seine-Maritime durant la Seconde Guerre mondiale, Luneray, Bertout, , 295p. (ISBN2-86743-179-4), p.98.
«Londinières: la secrétaire de mairie s’en va», Paris Normandie, (lire en ligne).
Cynthia Lherondel, «Après la démission de Michel Huet: un nouveau maire sera élu vendredi 27 avril 2018 à Londinières: Suite à la démission du maire de Londinières, Michel Huet, une réunion de conseil municipal est organisée vendredi 27 avril 2018 pour élire le nouveau maire», Le Réveil, (lire en ligne, consulté le )«Il quitte sa fonction de maire mais il restera conseiller municipal. Il conservera aussi son poste de président à la tête de la Communauté de communes de Londinières. Il a adressé une lettre d’explications d’environ une page aux Londiniérais afin d’expliquer sa décision «et dire que je voulais une transition avec Armelle Biloquet». Son adjointe à la vie sociale et associative, devrait lui succéder. Même si rien n’est acté, comme le confirmait Michel Huet, il y a quelques jours».
Réélu pour le mandat 2014-2020: Cynthia Lhérondel, «64,86% des électeurs ont fait le déplacement aujourd'hui à Londinières pour les élections municipales. Face à eux, une seule liste: celle du maire, Michel Huet.», Le Réveil, (lire en ligne) et «Une équipe municipale rajeunie à Londinières», Paris Normandie, (lire en ligne).
«Armelle Biloquet, élue maire de Londinières à l’unanimité: Armelle Biloquet succède à Michel Huet à la tête de la mairie de Londinières. Elle a été élue à l'unanimité. Une succession logique qui s'est concrétisée vendredi 27 avril», Le Réveil, (lire en ligne, consulté le )«A Londinières (Seine-Maritime), l’ancienne première adjointe, Armelle Biloquet, a pris les rênes de la mairie vendredi 27 avril 2018. Elle a succédé à Michel Huet, démissionnaire. Ce dernier reste cependant conseiller municipal et président de la Communauté de communes de Londinière».
«Municipales 2020. A Londinières, Armelle Biloquet: «Nous essayerons de n'oublier personne»: Armelle Biloquet, a pris les rênes de la mairie le 27 avril 2018. Elle a succédé à Michel Huet, démissionnaire. Elle dévoile les projets qu'elle espère mener entre 2020 et 2026», Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
«Londinières: Armelle Biloquet, élue maire à l’unanimité: Lundi 25 mai 2020, Armelle Biloquet a été élue maire de Londinières à l'unanimité. Ses adjoints sont: Régine Martel, Jean-Marie Dumouchel et Jacques Lecourt», Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
Cynthia Lherondel, «Une nouvelle salle de classe à l’école élémentaire de Londinières pour la rentrée: Pour accueillir dans de bonnes conditions l'ensemble des écoliers à l'école élémentaire, la municipalité a décidé la construction d'une nouvelle salle de classe. La livraison doit intervenir pour la rentrée 2017-2018», Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
Raphaël Tual, «Maison de santé: ils revendiquent un «choix politique»: Deux présidents pour un chantier. En début de semaine, les présidents de Région et du Département étaient à Londinières pour visiter le projet de maison de santé», Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
Cynthia Lherondel, «Pas de matériel, pas de cabinet dentaire à Londinières pour l’instant!: Ouverte depuis le 1 juin 2016, la maison de santé de Londinières devait accueillir une dentiste ce mois-ci. Mais son installation est reportée», Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
Cynthia Lherondel, «A Londinières, six appareils de fitness sont en libre-service près de l’étang: A Londinières, près de l'étang, six appareils de fitness sont désormais en libre accès. Cardio, abdos, pectoraux… Il y en a pour tous les muscles!», Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
«une Maison France services est attendue dans les prochains mois: L’arrivée d’une Maison France Services à Londinières est une affaire de mois. Le dossier avance bien et la Communauté de communes a même déjà opté pour que les locaux du CMS accueillent la nouvelle structure», Le Réveil édition Pays de Bray, no3696, , p.15 (lire en ligne, consulté le ).
Sébastien Aliome, «1922 - 2022: 100 ans d'histoire pour l'US Londinières le samedi 4 juin: Ce samedi 4 juin, le club de football de Londinières va fêter officiellement ses 100 ans. À cette occasion, le stade sera rebaptisé du nom de l'ancien président, Laurent Coquin», Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
«L'US Londinières fête ses 100 ans et rebaptise son stade au nom de Laurent Coquin: L'US Londinières a fêté ses 100 ans autour d'un tournoi de football. Mais c'était aussi l'occasion d'inaugurer le stade au nom de son ancien président: Laurent Coquin», Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
Laurent Hellier, «Ce week-end, Londinières est en fête: La traditionnelle fête de Londinières a lieu ce week-end, les 13 et 14 septembre. Des centaines de participant se préparent à défiler dans les rues de la ville», Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
Cynthia Lherondel, «A Londinières, le hameau de Boissay était une paroisse autrefois: Boissay, hameau de Londinières était autrefois une paroisse. Son nom vient du latin «Buxetum» signifiant «lieu planté de buis». Elle a été rattachée à la commune en 1822», Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
Abbé Jean Benoît Désiré Cochet, La Seine-Inférieure historique et archéologique: Époques gauloise, romaine et franque, Paris, Librairie Derache, , 2eéd., 614p. (lire en ligne), p.594-595.
Claude Féron, «Henri Cahingt», Les présidents des Amys du Vieux Dieppe de 1912 à nos jours, Les Amys du Vieux Dieppe (consulté le ).
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