Les Martres-de-Veyre (Las Mastras en occitan) est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.
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Les Martres-de-Veyre | |
Vue générale du village. | |
![]() Héraldique |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Puy-de-Dôme |
Arrondissement | Clermont-Ferrand |
Intercommunalité | Communauté de communes Mond'Arverne Communauté |
Maire Mandat |
Pascal Pigot 2020-2026 |
Code postal | 63730 |
Code commune | 63214 |
Démographie | |
Gentilé | Martrois |
Population municipale |
3 984 hab. (2019 ![]() |
Densité | 429 hab./km2 |
Population agglomération |
10 761 hab. (2019) |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 41′ 06″ nord, 3° 11′ 26″ est |
Altitude | Min. 323 m Max. 500 m |
Superficie | 9,28 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Veyre-Monton (ville-centre) |
Aire d'attraction | Clermont-Ferrand (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton des Martres-de-Veyre (bureau centralisateur) |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mairie-lesmartresdeveyre.fr |
modifier ![]() |
Située au confluent des rivières Veyre (appelée la Monne par les habitants des Martres) et Allier, la ville des Martres-de-Veyre se trouve, à vol d'oiseau, à 13,4 kilomètres au sud-est de Clermont-Ferrand[1].
La commune a une superficie d'environ 900 hectares et incluait jusqu'en 1875 la commune actuelle de Corent.
La commune présente la particularité de compter de nombreuses sources minérales. On en comptait 39 sur deux kilomètres le long de l'Allier en 1875. Les plus célèbres sont les sources des Saladis, la source Saint Martial et la Font de Bleix.
Huit communes sont limitrophes des Martres-de-Veyre[2] :
Orcet | Le Cendre | La Roche-Noire |
![]() |
Mirefleurs Saint-Maurice | |
Veyre-Monton | Corent | Vic-le-Comte |
La superficie de la commune est de 928 hectares ; son altitude est comprise entre 323 et 500 m[3].
La rivière Allier coule à la limite avec Vic-le-Comte, Saint-Maurice, Mirefleurs et La Roche-Noire. La ville est en rive gauche[2].
La commune est également traversée par la Veyre[2].
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A75, accessible depuis Orcet et Veyre-Monton par les départementales 978 et 225, ou encore par Le Cendre, par les départementales 979 et 8.
Les routes départementales 8 et 225 sont les principales routes qui traversent la ville. La D 8, en provenance du Cendre au nord, contourne la ville par l'est. Un deuxième tronçon, après tronc commun avec les départementales 751 et 225, relie la commune à Veyre (commune de Veyre-Monton) à l'ouest.
Le territoire communal est traversé par les départementales 751 (en direction de Mirefleurs), 751a, 753 (en direction de Soulasse, lieu-dit de Veyre-Monton débouchant sur la RD 786), ainsi qu'une partie de la RD 786[2].
Il existe une gare SNCF dans le centre-ville. Située sur la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes-Courbessac, elle est desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes reliant les gares de Clermont-Ferrand au nord et Vic-le-Comte au sud (certains trains peuvent continuer au-delà de ces gares précitées).
Les Martres-de-Veyre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Elle appartient à l'unité urbaine de Veyre-Monton, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[7] et 10 761 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,2 %), terres arables (24,4 %), zones urbanisées (22,4 %), prairies (6,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,7 %), eaux continentales[Note 3] (4,2 %), cultures permanentes (1,9 %), forêts (0,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
En 2014, la commune comptait 1 904 logements, contre 1 843 en 2009. Parmi ces logements, 89,2 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 82,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 17,6 % des appartements[a 1].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 70,2 %, en hausse sensible par rapport à 2009 (69 %). La part de logements HLM loués vides était de 5,4 % (contre 5 %)[a 2].
Les mentions anciennes de la localité sont: ecclesia S. Martialis in villa Annoilum v. 1020[13], ecclesia Sancti Martialis XIVe siècle[14], Sanctus Martialis 1373[14], Les Martres-de-Vayre v.1757[15], 1799[16], Martres-de-Veyre v. 1850[17].
Le premier nom du village est donc Amnis en ancien occitan, il devient par la suite - après le XIe siècle - Las Mastras[18]. Ce dernier terme vient aussi de l'ancien occitan et désigne des endroits que l'on pensait liés aux « martyrs » des premiers siècles de la chrétienté.
Le terroir de la commune des Martres-de-Veyre est occupé depuis très longtemps, ainsi que l'attestent les résultats des différentes fouilles archéologiques menées sur son territoire ou celui des communes voisines. La plus ancienne attestation relevée à ce jour d'une occupation humaine aux Martres est une station Magdalénienne sise près de l'Allier, à proximité du pont de Longues reliant les Martres-de-Veyre à Vic-le-Comte[19],[20] (actuelle route D225[21]).
La commune montre également quelques traces d'occupation au Néolithique et à l'Âge du bronze. Ces occupations sont probablement à mettre en relation avec les agglomérations de hauteur qui se développent à ces périodes au sommet du puy de Corent[21],[22].
L'agglomération des Martres-de-Veyre apparaît vraiment à l'époque protohistorique et antique, avec un premier habitat structuré sur le site du Bay à l'époque gauloise, daté plus précisément de la Tène D1, vers 150-70 av. J.-C. La durée de vie de cette première agglomération, à vocation probablement commerciale et artisanale est assez courte, elle connaît ainsi une éclipse aux alentours de 80 av. J.-C.
Le secteur des Martres-de-Veyre est réinvesti au lendemain de la conquête romaine et une agglomération pérenne se constitue au lieu-dit « le Lot »[21]. La Via Agrippa de Lyon à Saintes traverse l'Allier à Cournon-d'Auvergne, 7 km au nord. Ce vicus est bien caractérisé par l'archéologie.
Il s'agit pour l'essentiel d'une agglomération artisanale spécialisée dans la fabrication de céramique sigillée[23], travaillant en relation avec le grand centre de production de Lezoux et ses satellites Lubié (près de Lapalisse), Toulon-sur-Allier, Terre-Franche, Vichy et autres ateliers de la Gaule du centre[24]. Outre ses fours de potiers, elle est également connue pour sa nécropole, mal caractérisée mais dont quelques tombes ont livré des vestiges organiques extrêmement bien conservés tels que vêtements et cheveux[25],[26]. Cette agglomération romaine disparaît au IIIe siècle.
Le village actuel des Martres apparaît au XIIIe siècle, cette fois-ci centré sur une butte dominant la Veyre, à proximité de sa confluence avec l'Allier, au nord-ouest du vicus antique.
La commune ds Martres-de-Veyre est membre de la communauté de communes Mond'Arverne Communauté, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le siégeant à Veyre-Monton, et par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[27]. Jusqu'en 2016, elle faisait partie de la communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté[28].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Clermont-Ferrand, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[29]. De 1793 à 1801, elle dépendait du district de Clermont-Ferrand et était même chef-lieu de canton[30].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Martres-de-Veyre pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[29], et de la quatrième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[31].
Le conseil municipal des Martres-de-Veyre, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[32], pour un mandat de six ans renouvelable[33]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 27[34]. Les vingt-sept conseillers municipaux, issus d'une liste unique, sont élus au premier tour avec un taux de participation de 26,33 %[35].
Cinq sièges sont attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Mond'Arverne Communauté[35],[LMV 1].
Le conseil municipal est composé de vingt-sept élus, dont six adjoints, deux conseillers délégués et dix-huit conseillers municipaux[LMV 2].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Hugues Bonjour | ||||
Jean-Baptiste Manlhiot | ||||
Antoine Manlhiot | ||||
François Parades | ||||
Jean-François Parades | ||||
Etienne Paty | ||||
François Parades | ||||
1800 | 1820 | Jacques Bonjour | ||
1820 | 1832 | Antoines Bonjour | ||
1832 | 1855 | Michel Parades-Lagarenne | ||
1855 | 1878 | Antoine Vialessèche | ||
1878 | 1892 | Gilbert Michel | ||
1892 | 1900 | Jean Chouvet | ||
1900 | 1901 | Paul Bodin | ||
1901 | 1904 | Barthélémy | ||
1904 | 1908 | Gilbert Constant | ||
1908 | 1911 | François Berrier | ||
1911 | 1915 | Félix Manlhiot | ||
1915 | 1929 | Antonin Manlhiot | ||
1929 | 1947 | Joseph Page | ||
1947 | 1959 | Alphonse Quinsat | ||
1959 | 1971 | Gabriel Béal | ||
1971 | 1977 | Paul Brun | Droite | Médecin |
Raymond Deval | DVD | Conseiller général du canton de Veyre-Monton (1961-1979) | ||
2007 | Jean-Pierre Decombas | PS | Médecin Conseiller général du canton de Veyre-Monton (1998-2011) Vice-président de la communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté (2000-2011) | |
2007 | Claude Duchet | |||
En cours (au ) |
Pascal Pigot[Note 4],[37] | PS | Employé de banque[LMV 2] Conseiller départemental du canton des Martres-de-Veyre (2015-2017) 1er vice-président de Gergovie Val d'Allier Communauté chargé de l'habitat (2014-2017)[38] Président de Mond'Arverne Communauté (depuis 2017)[LMV 1] |
La commune des Martres-de-Veyre est jumelée avec :
La commune des Martres-de-Veyre dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.
Les élèves débutent leur scolarité dans les écoles maternelle et élémentaire publiques du groupe scolaire Claude-Duchet[39] gérées par la commune, puis au collège Jean-Rostand[39] géré par le conseil départemental du Puy-de-Dôme.
Hors dérogations à la carte scolaire, les lycéens se rendent à Clermont-Ferrand, au lycée Jeanne-d'Arc ou Blaise-Pascal pour les filières générales, au lycée La-Fayette pour la filière sciences et technologies de l'industrie et du développement durable, ou au lycée Sidoine-Apollinaire pour la filière sciences et technologies du management et de la gestion[40].
La commune dépend de la cour d'appel de Riom et des tribunaux judiciaire et de commerce de Clermont-Ferrand[41].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].
En 2019, la commune comptait 3 984 habitants[Note 5], en augmentation de 1,25 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 900 | 2 465 | 3 116 | 2 651 | 3 026 | 2 749 | 2 786 | 2 727 | 2 641 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 640 | 2 527 | 2 508 | 2 509 | 1 794 | 1 688 | 1 754 | 1 780 | 1 740 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 671 | 1 534 | 1 457 | 1 424 | 1 669 | 1 608 | 1 635 | 1 664 | 1 858 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 086 | 2 293 | 2 633 | 2 615 | 3 151 | 3 914 | 3 949 | 3 934 | 3 955 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 984 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,2 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,1 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 920 hommes pour 2 065 femmes, soit un taux de 51,82 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 90 ou + | 1,5 |
5,4 | 75-89 ans | 8,0 |
17,8 | 60-74 ans | 16,8 |
22,8 | 45-59 ans | 22,6 |
18,9 | 30-44 ans | 19,5 |
17,3 | 15-29 ans | 14,7 |
17,3 | 0-14 ans | 17,0 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,7 | 90 ou + | 2 |
7 | 75-89 ans | 10,2 |
17,6 | 60-74 ans | 18,3 |
20,4 | 45-59 ans | 19,5 |
18,5 | 30-44 ans | 17,4 |
18,6 | 15-29 ans | 17,2 |
17,2 | 0-14 ans | 15,5 |
Dans la commune, se tient chaque année[LMV 4] :
La commune compte plusieurs associations sportives parmi lesquelles, un club de football (USMV football), un club de rugby (USMV rugby), un club de basket-ball (Val de Veyre), un club de tennis de table[LMV 5].
En 2014, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 2 564 personnes, parmi lesquelles on comptait 77,7 % d'actifs dont 69,6 % ayant un emploi et 8,2 % de chômeurs[a 3].
On comptait 826 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 1 800, l'indicateur de concentration d'emploi s'élève à 45,9 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 4].
1 641 des 1 799 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 91,2 %) sont des salariés[a 5]. 15,8 % des actifs travaillent dans la commune de résidence[a 6].
Au , la commune des Martres-de-Veyre comptait 199 entreprises : 15 dans l'industrie, 43 dans la construction, 59 dans le commerce, le transport, l'hébergement et la restauration, 31 dans les services aux entreprises et 51 dans les services aux particuliers[a 7].
En outre, elle comptait 221 établissements[a 8].
La commune compte un camping deux étoiles (Font Bleix) ainsi qu'une chambre d'hôtes[LMV 6].
Église Saint-Martial de Limoges apparait dans les textes vers 1020. Sa nef est du XIIe siècle[47]. Ce saint était célébré le 30 juin.
Une médiathèque est installée avenue de la Gare[LMV 7].
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