Le Tronquay est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
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Le Tronquay
Mairie-école du Tronquay et son monument aux morts.
Administration
Pays
France
Région
Normandie
Département
Eure
Arrondissement
Les Andelys
Intercommunalité
Communauté de communes Lyons Andelle
Maire Mandat
Dominique Drony 2020-2026
Code postal
27480
Code commune
27664
Démographie
Gentilé
Tronquois
Population municipale
513 hab. (2019 )
Densité
27 hab./km2
Géographie
Coordonnées
49° 25′ 37″ nord, 1° 28′ 46″ est
Altitude
Min. 85 m Max. 179 m
Superficie
19,06 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Rouen (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton de Romilly-sur-Andelle
Législatives
Cinquième circonscription
Localisation
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Le Tronquay
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Le Tronquay
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Le Tronquay
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Géographie
C'est une petite commune située dans le pays de Lyons-Andelle à un peu plus de 100 km de Paris et 30 km de Rouen, dans la forêt de Lyons, la plus grande hêtraie d'Europe. Située sur le plateau limité par l'Andelle et la Lieure, le bourg se trouve à la limite Sud du territoire communal. La commune est occupée par deux zones importantes de forêt, l'une à l'ouest, l'autre au centre-nord.
Le Tronquay possède plusieurs lieux-dits et fermes:
les Célestins. Le fief de la Rosière prit le nom des célestins au milieu du XVIesiècle, lorsque Jeanne Havart[1], épouse de Guillaume V de Bricqueville[2], le vendit aux célestins de Rouen. À la disparition du couvent des célestins en 1783, les biens furent réunis au séminaire Saint-Nicaise de Rouen;
les Cornets;
la Grand-Fray [3] Fief en 1579 de Philippe d'Alcrippe;
la Motte. Élevée selon la tradition lors de la guerre de Cent Ans par les Anglais, elle se composait d'une butte et d'une fortification;
le Fresnay. Au XVIIIesiècle, le Fresnay appartenait en partie à M. de la Garenne;
les Landez;
les Callouettes;
les Brûlins. Ce nom semble indiquer qu'un incendie aurait détruit une partie de la forêt sur laquelle le nouveau fief allait être installé. L'existence du fief est attesté en 1588. Le propriétaire, Martin Anquetil, procureur du roi au Parlement, demande la construction d'un colombier à pied. À la fin du XVIesiècle, début XVIIesiècle, il passe à la famille Hallé. Milieu XVIIesiècle, il devient la propriété de Robert Dieupart, pour appartenir à M. de Limoges au XVIIIesiècle;
le Bâtiment. Le manoir est un logis du XVIIIesiècle et appartenant à cette époque à la famille de Limoges[4], dont deux membres furent abbés de l'Isle-Dieu;
la Garenne. Triège[5] sis au Fresnay, propriété de Thomas d'Aussy, sieur de la Garenne, anobli en 1643. Le manoir appartient en 1753 à la famille Lefranc d'Assignies. La chapelle du XVIIesiècle est aujourd'hui détruite.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]
Moyenne annuelle de température: 10,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Buchy», sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[14] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2°C et la hauteur de précipitations de 901,9 mm pour la période 1981-2010[16].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Rouen-Boos», sur la commune de Boos, dans le département de la Seine-Maritime, mise en service en 1968 et à 20 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,1°C pour la période 1971-2000[18] à 10,5°C pour 1981-2010[19], puis à 11°C pour 1991-2020[20].
Urbanisme
Typologie
Le Tronquay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24],[25].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (42,5%), forêts (41,8%), zones agricoles hétérogènes (5,6%), prairies (4,9%), zones urbanisées (3,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].
Toponymie
Le lieu est mentionné sous la forme latinisée Troncheium vers 1188 (reg. Phil. Aug.),
Trunkeium en 1197 (charte de Gautier, archev. de Rouen), Tronqueium en 1206, Truncheium en 1208, Tronquetum en 1248, Tronqueum en 1250, Trunqueium en 1250 (cartulaire de l’Isle-Dieu), Tronquoy en 1321 (cartulaire de l’Isle-Dieu), Le Tronquoy en 1754 (Dict. des postes), Tronquai-en-Lions 1828 (Louis Du Bois)[28]
La présence de l'article indique qu'il ne s'agit pas d'une formation très ancienne, romane en tout cas: on y reconnait le mot tronc, attesté pour la première fois chez Wace en 1155 (trunc), c'est-à-dire de façon quasiment contemporaine à «Tronquay». Ce terme est issu du gallo-roman *TRUNCU qui remonte au latin truncus «tronc, souche»[29].
Le second élément est le suffixe masculin bien connu -ay (parfois graphié -ey ou -et) et qui «sert généralement à désigner un ensemble d'arbres appartenant à la même espèce» (cf. Le Quesnay, Le Saussay, etc.), sa forme féminine -aye a donné le suffixe moderne -aie (cf. chênaie, saulaie, etc.). Il remonte au gallo-roman -ETU / -ETA.
Il est parfois attesté avec la phonétique plutôt picardede Tronquoy en 1321 (cartulaire de l'abbaye de l'Isle-Dieu) à Le Tronquoy en 1754 (dictionnaire des postes), -oy étant la forme correspondant à -ey / -ay, plus répandue en Picardie et en Wallonie (cf. Le Quesnoy, Le Sauchoy).
La commune est enfin dénommée officiellement en 1828 Tronquai-en-Lions[30].
La signification exacte du toponyme n'est pas claire «l'endroit où il y a des troncs d'arbre»[31], c'est-à-dire, peut-être, une «troncaie» au sens de futaie, même suffixe -aie[32].
Histoire
Vitrail nord du chœur de l'église Saint-Ouen de 1877 qui montre l'archevêque de Rouen délivrant par le privilège de la Fierte Saint-Romain les habitants du Tronquay, emprisonnés à Rouen après la mort du capitaine de la Fontaine du Houx.
D'après les recherches faites par un des curés du Tronquay, la commune a vu son origine à la fin du XIe, début XIIesiècle.
Autrefois, l'église du Tronquay relevait de l'abbaye de L'Isle-Dieu[33]. Une charte du XIIesiècle parle de l'«ancien et du nouveau territoire du Tronquay». En 1206, Mathieu du Tronquay donna plusieurs pièces de terre à cette abbaye, qui possède le patronage de l'église. D'autres familles firent aussi des dons à cette abbaye et le roi Louis VIII de France donna un bois en 1226 où les religieux ont construit une grange aujourd'hui détruite. Le fief du Tronquay appartient de 1411 à 1421 à la famille de Beauvais, puis à celle d'Estouteville en 1438.
La guerre de Cent Ans
Pendant la guerre de Cent Ans, le Tronquay s’est trouvé sous occupation anglaise. C’est de cette époque que daterait la motte. Les habitants du Tronquay étaient devenus très malheureux, d’une part des soldats anglais, et d’autre part à cause de la rapacité des chanoines de Rouen, jamais satisfaits. Il y eut des protestations de la part de la population. Finalement, un arrangement a pu être trouvé.
Le privilège de Saint-Romain
Les paroissiens du Tronquay se défendent en demandant que tout homme d’armes possède un ordre du roi par écrit s’il veut séjourner et loger avec ses troupes sur le territoire de la paroisse (1640)[34]. Le sieur de la Fontaine du Houx a passé outre cet ordre. Il s’installa le dans le pays et pilla le presbytère et d’autres maisons, ainsi que l’église. Devant la demande des habitants de présenter l’autorisation du roi, le capitaine de la Fontaine du Houx lança ses soldats contre la foule. Beaucoup furent tués, des soldats aussi et leur capitaine. Le père de la Fontaine du Houx, le chevalier de Fours prit 18 ou 20 habitants en otage et les autres en résidence surveillée. Ceux qui ont pu fuir se sont réfugiés dans la forêt. Pendant deux ans, la situation stagne, quand les gens du Tronquay ont tourné leur regard vers l’église de Rouen et choisirent d’avoir recours au privilège de Saint-Romain. 15 habitants se constituèrent prisonniers dans la prison de Rouen. Après étude de leur cas, ils furent tous libérés, le privilège de Saint-Romain fonctionna en leur faveur ( et )[35].
Église Saint-Mathurin des Hogues.
La séparation avec Les Hogues
Le défrichement de la forêt se prolonge jusqu'au cours du XVIIIesiècle. À cette époque, c'est monsieur de Belle-Isle qui devint seigneur et patron honoraire du Tronquay. Plus tard, le Tronquay devint propriété royale, puis du comté d'Eu et du duc de Penthièvre, dernier seigneur du Tronquay.
En 1787, Le Tronquay se scinda en deux: Le Tronquay et Les Hogues (pour des raisons d'éloignement). Au début du XXesiècle, il y avait plusieurs sabotiers ainsi que 15 cafés.
Aujourd'hui
Ce petit village paisible garde deux écoles primaires (regroupement scolaire avec les communes environnantes), un garage et des artisans. La fête patronale Saint-Ouen se fait tous les troisièmes dimanches de juin.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2019, la commune comptait 513 habitants[Note 8], en augmentation de 1,18% par rapport à 2013 (Eure: +0,75%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 471
1 392
1 395
1 331
1 225
1 317
1 249
1 194
1 207
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 097
1 059
977
911
880
817
805
723
662
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
603
577
546
488
492
510
465
474
460
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
464
392
403
372
410
391
449
469
485
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
513
513
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Église paroissiale[42] Saint-Ouen[43] (XIIesiècle-XVIesiècle-XVIIesiècle), en rangée de briques et de grès, sacristie en brique de 1776;
plusieurs fermes-manoirs parmi lesquels le manoir de Célestins [44], le manoir du Bâtiment (lieu-dit) [45], le manoir de la Garenne [46] ou encore le manoir des Brûlins [47].
monument celtique dit de la Pierre tournante du Fresnay[48];
motte dite la Butte aux Anglais [49],[50] (près du hameau de la Motte). Les Anglais avaient élevé une butte cernée par un fossé, point d'observation de la route reliant Rouen à Gournay. Site non fouillé et rattaché à la période de la guerre de Cent Ans.
Église Saint-Ouen.
Place.
Mairie et école primaire.
La Pierre tournante.
Butte aux Anglais.
Personnalités liées à la commune
Pierre Guarin (Le Tronquay, 1678 - Saint-Germain-des-Prés, 1729), bénédictin hébraïsant.
Nicolas Brémontier (Le Tronquay, 1738 - Paris, 1809), inspecteur général des ponts et chaussées. Il appliqua le premier en France, le moyen de fixer les sables mouvants par des plantations de pins maritimes. Une stèle est érigée en son honneur et une partie de la RD114 est nommée avenue Brémontier.
Auguste-François-Joseph de Caze (Paris, 1783 - Le Tronquay, 1859). Ancien négociant, il entre à l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen en 1833[51]. Il meurt dans sa maison de campagne le [52].
Éleonor Lebas (Lyons-la-Forêt, 1799 - Le Tronquay, 1872), notaire à Rouen. Il a été ancien adjoint au maire de Rouen et conseiller municipal du Tronquay.
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
dame d'Aussebosc, fille de Georges Havart, vicomte de Dreux, sénéchal héréditaire du Perche et de Antoinette d'Estouteville, de la ligne d'Estouteville
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p.221.
René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Éditions Charles Corlet/Presses Universitaires de Caen, 1993, (ISBN2-905461-80-2), p.260.
François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p.202.
Jadis très influente; c'est aujourd'hui une grande ferme entre Vascœuil et Perruel. L'abbaye de l'Isle-Dieu nommait le curé de la paroisse.
Liste des 15 habitants: Jacques Brémontier, 49 ans du Tronquay; Jean Brémontier, 14 ans de Lorleau; Étienne Anquetil, 46 ans, drapier au Tronquay; François Lorgery, 45 ans, tonnelier; Paul Mesnager, 42 ans, tisserand; Pierre Oliefve, 40 ans, geôlier à Lyons; Georges Delamare, 35 ans, laboureur; Pierre Lorgery, 31 ans, sabotier; Nicolas Boissel, 38 ans, batteur en granges; Étienne Mabire, 25 ans, du Tronquay, avironnier à Rouen; Noël Delamare, 36 ans, charron; Louis Brémontier, 33 ans, tabellion; Jean Drouet, 22 ans, laboureur; Nicolas Brémontier, 24 ans; Jean Picart, 44 ans, toilier.
Daniel Delattre, Emmanuel Delattre, L'Eure, les 675 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 296p. (OCLC52820568)
Commission régionale de Haute-Normandie. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Eure, canton: Lyons-la-Forêt. Paris: Imprimerie Nationale, 1976. 372 pages.
P Duchemin. Notice historique sur Le Tronquay et Les Hogues. Gisors: Imprimerie Echo républicain, 1890. In-16, 120 pages.
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