Le Coudray-sur-Thelle est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
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Le Coudray-sur-Thelle est un village périurbain située à l'extrémité nord du plateau du Pays de Thelle, à 8 km au nord de Méru, 29 km au nord de Pontoise, 25 km à l'est de Gisors, 14 km au sud de Beauvais et à 26 km à l'ouest de Creil. Excentré, Le Coudray-sur-Thelle est aisément accessible depuis l'ancienne route nationale 1 (France métropolitaine)`et la sortie de Méru de l'autoroute A16.
De l'extrémité du plateau du Pays de Thelle, on aperçoit le vaste panorama au nord vers le Beauvaisis.
Le territoire communal est largement boisé, avec le Bois des moinses à l'est et le Bois des sablons, qui fait partie du Bois de Rumesnil, à l'est.
La ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers, qui sort de l'extrémité nord du tunnel du Coudray-sur-Thelle[Note 1], contourne les « buttes de Caumont ». La station de chemin de fer la plus proche du village est la Gare de Laboissière - Le Déluge desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et de Beauvais.
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À la sortie nord du tunnel ferroviaire, un écoulement d'eau assez abondant sort du tunnel le long de la voie ferrée: en effet, le plateau du Thelle recueille l'eau de pluie qui s’infiltre et ressort par le tunnel. Autrefois, cette eau constituait une des sources principales du Sillet, petit ruisseau qui traverse Silly-Tillard. Cette source a été détournée lors de travaux SNCF de survoûtage du tunnel fragilisé par les creusements et travaux souterrains des Allemands en 1942 pour y stocker des trains de munitions ou de carburant de missiles V1.
Aujourd'hui ces infiltrations d'eau n'alimentent plus le Sillet, mais courent le long de la voie ferrée, en suivant la pente naturelle (pont de Caumont) pour aller vers Saint-Sulpice.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 10,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Beauvais-Tillé», sur la commune de Tillé, mise en service en 1944[9] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[10],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4°C pour la période 1971-2000[11] à 10,6°C pour 1981-2010[12], puis à 11,1°C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Le Coudray-sur-Thelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,5% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (65,5%), forêts (24,1%), zones urbanisées (10,4%)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 199, alors qu'il était de 191 en 2013 et de 177 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 97,1% étaient des résidences principales, 1,6% des résidences secondaires et 1,3% des logements vacants. Ces logements étaient pour en totalité des maisons individuelles[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Coudray-sur-Thelle en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,6%) inférieure à celle du département (2,5%) mais supérieure à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 93,7% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (93,6% en 2013), contre 61,4% pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
1,6
2,5
9,7
Logements vacants (en%)
1,3
7,1
8,2
Toponymie
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Durant la Révolution, la commune, alors nommée Le Coudray en 1793 puis Le Coudray-Belle-Gueule en 1801, porte le nom de Le Coudray-la-Montagne[21]. Le nom de « Belle-Gueule » vient des profonds ravins au nord de la commune, appelés goulées ou grandes goulées qui ravinent depuis le bord du plateau du Thelle, versant nord face à la plaine du Beauvaisis[22].
En , la commune change de dénomination et devient Le Coudray-sur-Thelle[23],[24].
Le nom de Coudray vient de coudrier qui désigne la variété sauvage du noisetier. Toutes les pancartes des noms des rues représentent d'ailleurs cet arbuste, symbole du lieu.
Histoire
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La commune, instituée par la Révolution française, absorbe fugacement de 1827 à 1833 celle de La Neuville-d'Aumont, malgré les protestations de certains habitants[21],[25]. À cette époque, une partie des habitants fabriquent des éventails et objets de tabletterie de nacre et d'ivoire[26].
Le Coudray-sur-Thelle a vu le creusement d'un tunnel ferroviaire vers 1880, afin de permettre le passage de la ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers entre Méru et Beauvais en passant sous le haut plateau du Pays de Thelle. Ce tunnel est assez long et mesure 1 452 m. L'entrée sud, vers Parfondeval, est située sur la commune du Coudray, en bas de la rue du tunnel. La sortie nord, vers Beauvais, est isolée dans un cadre assez sauvage, face aux buttes de Caumont.
À la fin du XIXesiècle les habitants sont toujours mentionnés pour leur activité de fabrication de brosses et d'éventails[27],[28]. On comptait alors deux cafés[22].
Lors de la Seconde Guerre mondiale, un camp militaire allemand a été édifié (camp «Robinson 1») sur 125ha et comprenant une soixantaine de constructions dont un cinéma, deux piscines, une caserne de pompiers, des terrains de tennis… Des vestiges de ces constructions sont encore visibles dans les bois, dont le blockhaus qui abritait Hermann Goering lorsqu'il venait au Coudray. Le tunnel du Coudray-sur-Thelle où pouvait stationner le train d'Hermann Goering, a subi quelques bombardements alliés en 1944, tout comme de nombreux ouvrages ferroviaires. Les Allemands ont réalisé diverses destructions dans le village et aux abords du tunnel lorsqu’ils abandonnent les lieux[29],[30]
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Noailles[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Chaumont-en-Vexin.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes du pays de Thelle, créée en 1996.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[31], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[32],[33].
La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée provisoirement communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [34].
En 2016, la commune dispose d'une école primaire, qui devrait être mutualisée avec La Drenne, un centre périscolaire avec sa cantine[22].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].
En 2019, la commune comptait 533 habitants[Note 8], en augmentation de 1,52% par rapport à 2013 (Oise: +1,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
144
154
145
149
155
161
158
173
173
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
182
196
187
159
176
180
172
152
155
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
167
175
153
135
151
116
125
106
134
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
102
110
156
203
438
488
502
504
528
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
534
533
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,1%, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,7% la même année, alors qu'il est de 22,8% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 273 hommes pour 266 femmes, soit un taux de 50,65% d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,0
90 ou +
0,4
3,0
75-89 ans
3,1
16,1
60-74 ans
16,9
20,2
45-59 ans
17,2
24,7
30-44 ans
24,1
14,2
15-29 ans
13,8
21,7
0-14 ans
24,5
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[42]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,3
75-89 ans
7,5
15,1
60-74 ans
15,8
20,9
45-59 ans
20,1
19,5
30-44 ans
19,4
17,9
15-29 ans
16,5
20,8
0-14 ans
19,4
Économie
En 2016, il n'existe plus de commerces de proximité au village, qui compte néanmoins plusieurs artisans[22].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Mathurin.
L'église Saint-Mathurin: c'est un petit édifice d'une extrême simplicité, se composant d'un vaisseau unique non voûté, avec un chevet à pans coupés et un petit clocher en charpente assis sur l'extrémité occidentale du toit. Les murs sont en brique, assemblées pour former des motifs décoratifs simples, ce qui permet de situer la construction au XVIe ou XVIIesiècle. La charpente en carène renversée de la nef est le seul élément remarquable de l'église. Contemporaine de sa construction, elle présente des monstres avalant les entraits, et les sablières sont décorées de rinceaux, masques et animaux fantastiques[43],[44].
Vestiges de l'ancien quartier général de la Luftwaffe pendant la Seconde Guerre mondiale, et notamment un abri en béton de taille importante, excentré du village et inaccessible au public[45],[35].
Personnalités liées à la commune
Hermann Göring a séjourné au Coudray-en-Thelle à plusieurs reprises, à compter du , après la Bataille de France de la Seconde Guerre mondiale, dans un blockhaus situé dans un endroit reculé du village. Il y avait établi son quartier général durant la bataille d'Angleterre. Son chef d'état major, Hans Jeschonneck, le secondait. Les Allemands avaient édifié dès 1940 un camp appelé « Robinson 1 » dirigé par le Hauptmann Hans Glismann. Il s'agissait d'un camp destiné aux commandements de la Luftwaffe et aux communications. De nombreux ouvrages édifiés dans les bois, et d'autres souterrains (notamment dans la zone interdite située à droite de la rue du Puits) ont été creusés. De nombreux souterrains existeraient encore dans cette zone, avec certains risques d'effondrement. Un abri souterrain profond de vingt mètres abritait un standard téléphonique performant. Quant à Goering, lors de ses venues, il logeait dans son luxueux train Asia dans le tunnel de la ligne de Beauvais au Tréport, dont l'extrémité à La Neuville-d'Aumont avait été bloquée. Les Allemands réquisitionnaient les fermes et le café-tabac du Coudray, ainsi que le presbytère de La Neuville-d'Aumont, village voisin du Coudray[45],[35].
Ce tunnel ferroviaire, long de 1 454 m porte également le nom de tunnel de Silly-Tillard ou de Parfondeval. Il a été mis à voie unique pour raisons de sécurité à la suite de l'effondrement du tunnel de Vierzy en juin 1972.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Philippe Delattre, «Un sommet du Thelle – Tout savoir sur le village de Le Coudray-sur-Thelle: Vingt-et-unième opus de notre série sur les villages de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la Ruraloise qui vont fusionner», Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no3420, , p.8.
«Décret du 12 janvier 1922 autorisant la commune du Coudray-Belle-Gueulle (Oise) à porter à l'avenir le nom du «Coudray-sur-Thelle», Bulletin des lois de la République française, Paris, nS, vol.14, no313, , p.129 (lire en ligne) sur Gallica.
«Échos», Le Journal, no10704, , p.2 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
«Chambre des députés - Séance publique du 22 mai», Le Courrier français, vol.1829, no143, (lire en ligne, consulté le ), Gallica.
Jacques-Antoine Dulaure, Histoire physique, civique et morale des environs de Paris: depuis les premiers temps historiques jusqu'à nos jours., Paris, Guillaume, , 622p. (lire en ligne), p.395, sur Gallica.
Paul Joanne (dir.), Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies, t.II: C-D, Paris, Hachette et Cie, , 1337p. (lire en ligne), p.1116, sur Gallica.
«Déplacement d'industries», L'Intermédiaire des chercheurs et des curieux, vol.39, , p.774-775 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
Elie Julien, «Au Coudray-sur-Thelle, le quartier général oublié de Goering: Les commémorations du 8 mai ont un retentissement particulier dans la petite commune de l’Oise (500 habitants). Pendant quatre ans, près de 5 000 soldats allemands sont passés dans la base militaire construite ici. Méconnu, le lieu s’abandonne aujourd’hui à la végétation», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Kenya Nicol, «Le Coudray-sur-Thelle, ancien quartier général la Luftwaffe pendant la Seconde Guerre mondiale: Hermann Goering, commandant en chef de la Luftwaffe, avait implanté son quartier général dans le village. Les vestiges des constructions subsistent encore aujourd’hui», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
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