À l'extrême sud-ouest du département des Vosges et de la Lorraine, Lamarche doit son nom à sa situation à la frontière de la Lorraine, de la Champagne et de la Franche-Comté, dans une zone qui était déjà la limite entre trois peuples gaulois[1]: les Leuques du côté vosgien, les Lingons du côté de la Haute-Marne et les Séquanes en Franche-Comté. Lamarche est située à 16 km de Bourbonne-les-Bains, 17 km de Monthureux-sur-Saône, 20 km de Contrexéville, 23 km de Bourmont, 25 km de Montigny-le-Roi, 32 km de Jussey et 37 km de Neufchâteau.
Le lieudit Aureil-Maison est sur le tracé du sentier de grande randonnée 7.
Communes limitrophes
Communes limitrophes de Lamarche
Tollaincourt
Villotte Martigny-les-Bains
Morizécourt
Romain-aux-Bois
Serécourt
Larivière-Arnoncourt Haute-Marne
Mont-lès-Lamarche
Isches
Relief et géologie
La ville est entourée de mamelons escarpés: le mont des Fourches (500 m) à l'est, le mont Saint-Étienne (477 m) au nord, la côte de Mont (452 m) au sud. À l'ouest, c'est la forêt de Morimond qui forme une barrière traversée seulement par la D 429 en direction de Fresnoy-en-Bassigny.
Voies de communication et transports
Lamarche est sur la ligne ferroviaire à double voie de la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt inaugurée en 1881. Du fait du mauvais entretien et d'une fréquentation faible, le service voyageurs a été interrompu le . Toutefois, il a partiellement repris le grâce à la création d'une liaison Paris– Contrexéville– Vittel[2], fonctionnant les vendredis, dimanches et jours fériés, de début avril à début novembre[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située pour partie dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse et pour partie dans le le bassin versant de la Saône au sein du bassin Rhône-Méditerranée-Corse. Elle est drainée par le Mouzon, le ruisseau Haut Fer, le ruisseau le Flambart, le ruisseau de Romain-Aux-Bois, le ruisseau le Petit Mouzon, le ruisseau de Graveilles, le ruisseau de Gris Fontaine, le ruisseau de la Coutelotte, le ruisseau de la Fontaine Aux Dames, le ruisseau de la Mauve et le ruisseau des Deserts[4],[Carte 1].
Le Mouzon, d’une longueur de 63,3 kilomètres, prend sa source sur le territoire de Serocourt, s’oriente vers l'ouest puis vers le nord peu après avoir quitté les localités de Rocourt et Tollaincourt, jusqu'aux abords de son confluent avec la Meuse[5].
Le ruisseau Haut Fer, d'une longueur totale de 12,8 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Saône à Fignévelle, après avoir traversé six communes[6].
Le ruisseau le Flambart, d'une longueur totale de 18,2 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Meuse à Audeloncourt, après avoir traversé quatre communes[7].
Le ruisseau Haut Fer, d'une longueur totale de 12,8 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Saône à Fignévelle, après avoir traversé six communes[6].
Réseaux hydrographique et routier de Lamarche[Note 1].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Nappe des Grès du Trias Inférieur». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 2] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[8].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Lamarche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,4% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (52,9%), prairies (32,3%), terres arables (9,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5%), zones urbanisées (2,2%)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Toponymie
Anciennes mentions: Marchia (1217 et 1238), La Marche (1301), De Marchiis (1402), La Marche en Barrois (1751), Marchisia (1768), La Marche (1793 et 1801)[16],[17].
La première attestation de la localité est sous le nom de Marchia en 1217, d'une racine germanique marka, «frontière», repris en latin médiéval sous la forme marca ou marchala, de même sens.
Histoire
Lamarche s'est développée au carrefour de deux grandes voies antiques, la voie de Langres à Strasbourg par le Donon, et la voie venant de Besançon qui rattrapait à Nijon le grand axe Lyon - Toul - Metz - Trèves. Située aux marches de la Lorraine et du Barrois, elle fut le siège d'un bailliage du comté de Bar puis une prévôté du duché de Lorraine. Le bourg fut fortifié et protégé par un château qui fut vraisemblablement détruit lors de la guerre de Trente Ans.
En 1424, la défense de Lamarche est organisée. Philippe de Norroy est fait gouverneur de Bassigny par René d'Anjou, duc de Bar car le bailliage est particulièrement exposé aux incursions des routiers anglo-bourguignons en lutte contre Robert de Baudricourt, vassal du dauphin Charles VII. Le , Jean de Vergy aidé d'une garnison anglaise forte de trois cents chevaux, part de la ville Montigny-le-Roi pour se porter au devant de la citadelle de Lamarche. Du 15 au , Philippe de Norroy, aidé de Huart de Mandres bailli de Bassigny, réunit à Lamarche près de 140 hommes d'armes en vue de défendre le pays. Vaincues les troupes ennemies battent en retraite mais ravagent les villages alentour dont Serocourt.
En 1425, les garnisons de Lamarche furent à nouveau renforcées afin de faire face à un nouvel assaut du sire de Vergy. À cet effet, Philippe de Norroy reçoit une somme de 100 livres pour solder des gens de guerre au service du duc.
La Marche a été chef-lieu de district sous la Révolution.
De ce riche passé[évasif], le bourg conserve une église ancienne, de nombreux édifices civils de belle facture, ainsi qu'une belle chapelle romane dans l'écart d'Aureil-Maison[18].
1843[19]: premier cimetière éloigné de l'église, situé à côté du château de la Trinité. On y trouve notamment une chapelle funéraire de la famille de Bourgogne et de la famille de Maussabré, anciens propriétaires du château aux XIXeetXXesiècles.
1927[20]: second cimetière éloigné de l'église, inauguré par le maire Camille Picard, en face du premier cimetière.
Député (1910-1919, 1924-1928, 1932-1936) Conseiller général du canton de Lamarche (1912-1919, 1925-1940)
1940
mars 1945
Henri Laurent
Sans étiquette
Industriel
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977
mars 1989
Jean-Pierre Antoine
Gauche
Principal-adjoint de collège
mars 1989
mars 2001
Gérard Voilquin
Droite
Chirurgien-dentiste
mars 2001
En cours (au 09 août 2020)
Daniel Vagné
Sans étiquette
Artisan-boulanger-patissier
Comptes de la commune
En 2013, le budget de la commune était constitué ainsi[22]:
total des produits de fonctionnement: 570 000 €, soit 536 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 624 000 €, soit 604 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 387 000 €, soit 364 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 555 000 €, soit 522 € par habitant.
endettement: 20 000 €, soit 19 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taux d’imposition Taxe d’habitation: 212,06%
taxe foncière sur propriétés bâties: 9,12%
taxe foncière sur propriétés non bâties: 13,57%
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 30,75%
cotisation foncière des entreprises: 11,70%
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].
En 2019, la commune comptait 858 habitants[Note 5], en diminution de 12,72% par rapport à 2013 (Vosges: −2,86%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1856
1 674
1 554
1 612
1 480
1 625
1 741
1 841
2 029
1 804
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1 832
1 719
1 754
1 783
1 693
1 664
1 651
1 625
1 481
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1 450
1 412
1 161
1 179
1 112
1 151
1 137
1 134
1 209
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
2018
1 201
1 333
1 338
1 258
1 159
1 084
1 062
983
864
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
858
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
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Manifestations culturelles et festivités
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Économie
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Édifices religieux
Église Notre-Dame de l'Assomption de Lamarche, classée aux Monuments historiques en 1997, datant du XIIIesiècle. Orgue de 1842 de Nicolas-Antoine Lété[26],[27],[28],[29], transformé en 1896 par Henri Didier[30].
Hôpital local maison de retraite, avec sa chapelle Saint-Charles-Borromée (4 rue de Bellune).
Les cimetières communaux: le premier de 1843 et le second de 1927 (rue du faubourg de France).
Cimetière israélite[31] de 1849 (rue de la Romaine). Il fait partie du patrimoine juif de Lorraine.
Chapelle Notre-Dame d'Aureil-Maison du XIIesiècle (au hameau d'Aureil-Maison)[32],[33], inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [34].
Calvaires:
Calvaire du chemin de la Maillarde, socle en pierre et croix en bois.
Calvaire de la croix de mission
Ruines de la chapelle du parc ancien couvent des Trinitaires.
Clocher de l'église Notre Dame-de-l'Assomption.
Chevet de l'église Notre Dame-de-l'Assomption.
Hôpital local maison de retraite et sa chapelle Saint-Charles-Borromée.
Chapelle d'Aureil-Maison (vue de devant).
Chapelle d'Aureil-Maison (vue arrière).
Intérieur de la chapelle d'Aureil-Maison.
Cimetière israélite.
Édifices publics
Hôtel de ville (entre les 18 et 20 de la rue du colonel Renard)
École communale (rue de l'école).
Anciennes halles (rue du faubourg de France), transformées en salle des fêtes
Lavoirs[35] construits au XIXe pour suivre les théories de l'hygiénisme:
Fontaine des Sources de 1835 (place Jules Ferry).
Fontaine du Rupt du Mai de 1837 (carrefour rue du Colonel Renard / rue Gambetta).
Lavoir du Grisfontaine de 1838 (carrefour rue St Nicolas / avenue de la Gare).
Lavoir du hameau d'Aureil-Maison de 1848 (carrefour rue de la Bondisse / rue de la Fontaine).
Monument aux morts de 1921[36] (place Jules Ferry); il est surmonté d'une statue de poilu avec les bras croisés de François Cogné.
Monument Victor Perrin (1764-1841), maréchal d'Empire, duc de Bellune (au centre de la place de Bellune agrémentée d'une fontaine). La maison natale de Victor Perrin se trouve presque en face de la place, au 12 rue de Bellune.
Monument Charles Renard (1847-1905), rénovateur de l'aéronautique (sur la place du colonel Renard, rue de Bellune, en face de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption). Œuvre de Paul Theunissen[37]
Gare de Lamarche de 1881 située sur la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt.
Hôtel de ville.
Anciennes halles et ancien hôtel des halles.
Lavoir du Grisfontaine
Édifices privés
Château de la Trinité (XVIIIe, ancien couvent de l'ordre des Trinitaires) devenu château à partir de sa vente en 1791 lors des événements de la révolution française.
Maison Renard[38], située 21 rue du colonel Renard, datant du XVIIIesiècle: maison de famille des frères Charles Renard et Paul Renard.
Hôtel de Bourgogne[39], situé 31 rue du colonel Renard, du début du XVIIIesiècle: immeuble inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du pour sa façade avec un remarquable escalier en fer à cheval et classé au même titre et par le même arrêté pour sa pièce à alcôve avec son décor au rez-de-chaussée et la salle voûtée du sous-sol[40].
Ancien siège du bailliage du Bassigny mouvant, de style classique du XVIIIe (au 10 rue de Bellune) avec une belle façade en pierres sculptées. Une jolie grille ferme une petite cour d'honneur sur le devant.
Château de la Trinité.
ruines de la chapelle.
Maison Renard.
Héraldique
Blasonnement:
D'argent à la grenade de gueules, ouverte d'or, tigée et feuillée de sinople, penchée à senestre.
Commentaires: La présence d'une grenade sur un blason lorrain peut surprendre. D'après le site de la commune, la grenade est un symbole d'unité dans la diversité, les nombreux grains, tous différents, sont enfermés dans un même fruit. Elle pourrait symboliser le repeuplement composite du lieu après la guerre de Trente Ans.
Personnalités liées à la commune
Guillaume de la Marche, fondateur du collège de la Marche à Paris, dont le nom a été donné au collège de Lamarche[41].
Nicolas Carant (1751-1808), né à Lamarche, député des Vosges et maire de Lamarche pendant la Révolution.
Claude-Victor Perrin, dit Victor, (1764-1841), maréchal de France et duc de Bellune.
Charles Joseph Alexandre Baudel-Martinet (1771-1845), maire de Lamarche et député.
Antoine Joly (1838-1917), relieur, né à Lamarche.
Charles Renard (1847-1905), colonel, pionnier de l'aérostation, né à Damblain, a passé une grande partie de sa jeunesse à Lamarche.
Charles Germain, médecin à Lamarche, auteur d'un ouvrage sur le pays et père de François Germain, militaire et enfant de Lamarche[réf.nécessaire].
Hienne Danny, Militaire de l’armée de l’air et de l’espace, commando parachutiste, appelé par ses pairs «Duc de Lamarche» de par sa loyauté et son engagement dans la commune.
Pour approfondir
Bibliographie
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et fortifications de la France au Moyen Âge, Strasbourg, éditions Publitotal, 1978, reprint 1991, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Page 647: Lamarche
Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du Vesiècle à la fin du XVesiècle, Strasbourg, Editions Publitotal, , 495p.
Lamarche p. 456 et Carte n°5 des Vosges, B.38.688.87
Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la région Lorraine
La ligne de partage des eaux entre le le bassin versant de la Meuse et le bassin versant de la Saône est représentée par une ligne verte en tirets-points.
Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Matthieu Michler, Carte archéologique de la Gaule - 88 - Les Vosges, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 2004, (ISBN2-87754-088-X) (BNF40040259), pages 71-72.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, Impr. nationale, 1941
Notice noPM88001143, base Palissy, ministère français de la Culture tribune; buffet d'orgue; partie instrumentale de l'orgue
Notice noPM88001036, base Palissy, ministère français de la Culture Buffet néo-baroque à 3 tourelles
Notice noPM88000501, base Palissy, ministère français de la Culture partie instrumentale de l'orgue
Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677p. (ISBN2-87692-093-X), p.304 et 350 à 353.
Jean-François Michel, Châteaux et demeures de caractère en Vosges, Gérard Louis éditeur, Haroué, 2015, page 138.
«Hôtel de Bourgogne», notice noPA00107191, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Jacques-Maximilien Benjamin Bins de Saint-Victor, Tableau historique et pittoresque de Paris depuis les Gaulois jusqu'à nos jours, vol. 2, p. 245, éd. Vanlinthout et Vandezande, 1830
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