Lamaguère (La Maguèra en gascon) est une commune française située dans le sud-est du département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.
Lamaguère
L'église Saint-Michel.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Gers
Arrondissement
Mirande
Intercommunalité
Communauté de communes Val de Gers
Maire Mandat
Jean-Marc Roger 2020-2026
Code postal
32260
Code commune
32186
Démographie
Population municipale
80 hab. (2019 )
Densité
12 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 29′ 33″ nord, 0° 40′ 23″ est
Altitude
Min. 191 m Max. 297 m
Superficie
6,49 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton d'Astarac-Gimone
Législatives
Première circonscription
Localisation
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Lamaguère
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Lamaguère
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Lamaguère
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Lamaguère
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats, la Lauze et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (la «vallée et coteaux de la Lauze») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Lamaguère est une commune rurale qui compte 80 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 290 habitants en 1841. .
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Michel, inscrite en 1974.
Géographie
Localisation
La commune de Lamaguère se situe dans le canton de Saramon et dans l'arrondissement d'Auch, dans la vallée de l'Arrats, à 11 km au sud-ouest de Saramon. Historiquement, Lamaguère fait partie du territoire de l'Astarac[1].
La superficie de la commune est de 649 ha. L'altitude de la commune va de 191 m à 297 m[3].
Lamaguère se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[4].
Voies de communication et transports
Lamaguère est traversée par la route départementale D 40, en provenance au sud de Tachoires et en direction au nord d'Héréchou, hameau de Faget-Abbatial.
Hydrographie
L'Arrats à Lamaguère.
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[5]. Elle est drainée par l'Arrats, la Lauze, le ruisseau de Lantan, le ruisseau de Sarraute et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[6],[Carte 1].
L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[7].
La Lauze, d'une longueur totale de 22,9 km, prend sa source dans la commune d'Aussos et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Gimone à Saramon, après avoir traversé 11 communes[8].
Réseaux hydrographique et routier de Lamaguère.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]
Moyenne annuelle de température: 12,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Auch», sur la commune d'Auch, mise en service en 1985[14] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,1°C et la hauteur de précipitations de 685,4 mm pour la période 1981-2010[16].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Auch», sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 19 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,1°C pour 1981-2010[17] à 13,5°C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: la «vallée et coteaux de la Lauze»[20], d'une superficie de 5 399ha, des coteaux occupés par un maillage bocager plus faiblement représenté dans le fond des vallées alluviales, avec des milieux à orchidées remarquables[21].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[22]:
les «coteaux de la Lauze» (588ha), couvrant 5 communes du département[23];
les «coteaux de l'Arrats» (1 054ha), couvrant 5 communes du département[24];
l'«unité bocagère entre la Lauze et l'Arrats» (803ha), couvrant 5 communes du département[25];
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[22]:
les «coteaux de la Lauze et de l'Arrats» (5 264ha), couvrant 18 communes du département[26].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Lamaguère.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Lamaguère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 1],[28].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (35,8%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,3%), prairies (17%), terres arables (16%), forêts (13,9%)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lamaguère est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lamaguère.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 43 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 43 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 93% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[30].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].
En 2019, la commune comptait 80 habitants[Note 8], en augmentation de 6,67% par rapport à 2013 (Gers: +0,58%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1841
1846
1851
1856
160
142
153
138
266
290
281
265
274
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
254
229
199
193
170
165
139
144
157
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
152
143
129
123
121
117
116
108
100
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
2018
96
82
92
79
66
64
63
75
81
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
80
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
L'école.
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Manifestations culturelles et festivités
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Santé
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Sports
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En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 47 personnes, parmi lesquelles on compte 76,6% d'actifs (72,3% ayant un emploi et 4,3% de chômeurs) et 23,4% d'inactifs[Note 9],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 7]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 17 en 2013 et 16 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 36, soit un indicateur de concentration d'emploi de 38,9% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,6%[I 8].
Sur ces 36 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 39% des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 80,6% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,8% les transports en commun, 5,6% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
5 établissements[Note 10] sont implantés à Lamaguère au [I 11].
Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 20 % du nombre total d'établissements de la commune (1 sur les 5 entreprises implantées à Lamaguère), contre 12,3% au niveau départemental[I 12].
Agriculture
La commune est dans les «Coteaux du Gers», une petite région agricole occupant l'est du département du Gers[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la combinaisons de granivores (porcins, volailles)[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 14 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 9 en 2000 puis à 13 en 2010[40] et enfin à 13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 7% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51% de ses exploitations[41],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 396ha en 1988 à 522ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 28 à 40ha[40].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Michel de Lamaguère (Inscrit MH(1974)): église romane située à l'ouest du village.
Chapelle et site castral de Libou.
Ruines du château de Lamaguère, érigé au sommet du coteau qui domine la vallée de l'Arrats. Acheté en 1174 par l'archevêque d'Auch, Géraud de Labarthe, aux frères Arnaud et Guilhem de Lamaguère (cartulaire noir d'Auch, acte n° 118)[42], le château conserve aujourd'hui « d'immenses pans de vieilles murailles. Quelque méconnaissables qu'ils soient, ces débris n'en offrent pas moins un aspect imposant. Ils forment […] les ruines les plus pittoresques de l’ancien comté d’Astarac.»[43]
Site castral de Loustau, à l'ouest de l'église Saint-Michel. L’enclos fossoyé a constitué le centre seigneurial de Lamaguère à partir de la fin du XVIIe siècle, remplaçant le château localisé sur les hauteurs[44].
Chapelle de Libou avec un clocher-mur
Chapelle de Libou. Le porche
Chapelle de Libou. Monument avec une croix en fer forgé
Salle des fêtes
Monument avec une croix en fer forgé
Statue de l'Immaculée Conception. Sur le socle sont représentés: une ancre (symbole de l’espérance, l'une des trois vertus théologales), le monogramme marial composé des lettres A et M entrelacées, initiales de l’Ave Maria, et le Cœur Immaculé de Marie
Bar extérieur
Personnalités liées à la commune
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Culture populaire
Littérature
L'écrivain Jean d'Aillon y situe le fief de son héros Guilhem d'Ussel.
Voir aussi
Bibliographie
Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol.I: Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460p. (ISBN2-9505900-7-1, BNF39151085)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol.I: Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460p. (ISBN2-9505900-7-1, BNF39151085).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Cyprien Lacave La Plagne Barris (éd.), Cartulaires du Chapitre de l'église métropolitaine Sainte-Marie d'Auch. Cartulaire noir, publiés pour la Société historique de Gascogne, Paris, H. Champion, 1899..
E. Dellon, «Le château de Lamaguère», Revue de Gascogne, , p. 68..
Nicolas Guinaudeau, Fortifications seigneuriales et résidences aristocratiques gasconnes dans l'ancien comté d'Astarac entre le Xe et le XVIe siècle, thèse d’Histoire, sous la direction de Philippe Araguas, Bordeaux, Université Michel de Montaigne - Bordeaux III, , p. 368..
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