Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Orb, la Mare, le Vernoubrel et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
La Tour-sur-Orb est une commune rurale qui compte 1 279 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux. Ses habitants sont appelés les Tourorbois ou Tourorboises.
Géographie
Localisation
Carte
Cette commune est située dans les Hauts cantons de l'Hérault entre les communes de Bédarieux et du Bousquet. En 2013, elle rejoint le parc naturel régional du Haut-Languedoc.
Communes limitrophes
Communes limitrophes de La Tour-sur-Orb
Camplong
Le Bousquet-d'Orb
Lunas
Saint-Étienne-Estréchoux, Taussac-la-Billière
Dio-et-Valquières
Le Pradal, Villemagne-l'Argentière
Bédarieux
Carlencas-et-Levas
Hameaux
Boubals
Boussagues
Clairac
Frangouille
Le Bousquet de la Balme
Le Mas Blanc
La Plane
Le Ruffas
Sénégra
Saint-Xist
Véreilhes
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 3 065 hectares; l'altitude varie entre 204 et 745 mètres[1].
Le hameau est construit sur de la ruffe (terrain rouge du Permien) et sur du causse (terrains et roches calcaires) d'où la construction du four à chaux: http://www.fourachauxlatoursurorb.fr/.
Hydrographie
La commune est située à proximité de l'Orb.
Communes limitrophes
Communes limitrophes de La Tour-sur-Orb
Camplong
Le Bousquet-d'Orb
Lunas
Saint-Étienne-Estréchoux
Dio-et-Valquières
Le Pradal
Bédarieux
Carlencas-et-Levas
Voies de communication et transports
La commune est accessible en arrivant de Lunas au nord et Bédarieux au sud, par la D 35[2]. Deux lignes de bus venant de Bédarieux desservent également la commune[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[4].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 13,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 13 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 3,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Bedarieux», sur la commune de Bédarieux, mise en service en 1991[9] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,6°C et la hauteur de précipitations de 1 008,6 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Millau», sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 50 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[13], à 10,9°C pour 1981-2010[14], puis à 11,3°C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17].
Un espace protégé est présent sur la commune:
le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[18]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[19],[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[21]:
le «plateau dolomitique de Levas» (655ha), couvrant 4 communes du département[22] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[21]:
le «massif de l'Espinouse» (20 035ha), couvrant 19 communes du département[23];
le «plateau de Carlencas-et-Levas» (6 239ha), couvrant 11 communes du département[24].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à La Tour-sur-Orb.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
La Tour-sur-Orb est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[I 1],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,2% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (50,7%), zones agricoles hétérogènes (20,3%), cultures permanentes (13,4%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,5%), zones urbanisées (3,3%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2%), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7%)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 783, alors qu'il était de 629 en 1999[a 1].
Parmi ces logements, 67,8% étaient des résidences principales, 23,5% des résidences secondaires et 8,7% des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,9% d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,5% des appartements[a 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 79,4%, en légère baisse par rapport à 1999 (81,2%). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) a augmenté: 2,0% contre 0% en 1999, leur nombre ayant diminué de 0 à 10[a 3].
Projets d'aménagements
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Risques majeurs
Le territoire de la commune de La Tour-sur-Orb est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à deux risques particuliers: le risque minier et le risque de radon[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Orb, la Mare et le Vernoubrel. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1990, 1992, 1994, 1995, 1996, 1997, 2006, 2014 et 2019[30],[28].
La Tour-sur-Orb est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 8],[31].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Tour-sur-Orb.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 33,6% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 808 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 570 sont en en aléa moyen ou fort, soit 71%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du Barrage des monts d'Orb, un ouvrage de classe A[Note 9] sur l'Orb, mis en service en 1961 et disposant d'une retenue de 30,6 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[35].
Risque particulier
L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[36]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[37].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de La Tour-sur-Orb est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[38].
Toponymie
Au XVIIIesiècle, le hameau portait le nom de Brousson[39]. L'origine du nom actuel renvoi à l'ancien château de la tour de Patau au XVIIesiècle[40].
Histoire
En 1761, la communauté de Boussagues comprenait Clairac, le Mas-Blanc, le Bousquet Barbal, Saint-Xist, Véreilhes, Sénégra, Alzou, Frangouille, Camplong, Graissessac, Riols, Laroque, Lomastan, Prouvères, l'Airole, Saint-Étienne-Estréchoux, Vérenoux, Marsans d'Alzon.
Les paroisses étaient rattachées au diocèse de Béziers.
En 1790, les paroisses de Saint-Martin de Clémensan et de Saint-Laurent de Feyrerolles sont rattachées à Boussagues. Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée «société populaire» créée en prairial an II[41]; la commune de Graissessac, qui est rattachée à Boussagues au début de la Révolution, comptait elle aussi sa société révolutionnaire, créée en messidor an II, et comptait 76 membres[41].
En l'an II, Camplong, érigée en commune est détachée de Boussagues; Saint-Étienne-de-Mursan, Saint-Étienne-Estréchoux, Saint-Martin de Clémensan et Graissessac lui sont rattachées.
Jusqu'en 1884, le nom de la commune est Boussagues.
Avec le développement du hameau de Latour le centre de gravité de la commune change, provoquant des antagonismes entre les hameaux et rendant la vie municipale intenable. Les hameaux du Mas blanc, Boubals, Le Bousquet de la Balme ont demandé à être érigés en commune[42].
Le , le chef-lieu de commune est transféré du hameau de Boussagues au hameau de La Tour. La commune prend le nom de La Tour-sur-Orb (B.L. 1884, XXVIII-182).
Depuis ce transfert les tensions sont profondes et il faudra attendre 1903 pour que la commune de Latour érige le hameau de Boussagues et Clairac en commune[43]. La décision est adopté par le Conseil Général de l'Hérault en ; la nouvelle commune s’appellera Boussagues[44].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[45].
La Tour-sur-Orb relève du tribunal d'instance de Béziers, du tribunal de grande instance de Béziers, de la cour d'appel de Montpellier, du tribunal pour enfants de Béziers, du conseil de prud'hommes de Béziers, du tribunal de commerce de Béziers, du tribunal administratif de Montpellier et de la cour administrative d'appel de Marseille[48].
Politique environnementale
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Jumelages
Au , La Tour-sur-Orb n'est jumelée avec aucune commune[49].
Population et société
Démographie
Au dernier recensement de 2019, la commune comptait 1 279 habitants.
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1861
1876
1881
1886
1 021
1 165
848
1 041
1 138
1 145
1 181
1 191
990
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1891
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1 089
1 057
1 083
1 086
1 061
1 145
1 221
1 214
1 114
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1946
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
985
991
901
758
812
1 031
1 039
1 050
1 152
Évolution de la population [modifier], suite (3)
2011
2016
2019
-
-
-
-
-
-
1 259
1 270
1 279
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La Tour-sur-Orb dépend de l'académie de Montpellier.
Elle administre une école maternelle et une école élémentaire communales regroupant 126 élèves en 2012-2013[52].
Manifestations culturelles et festivités
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Santé
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Sports
Diverses associations proposent des activités sportives, des abrupts naturels permettent de pratiquer l'escalade.
Cultes
Le territoire de la commune dépend de la paroisse catholique Notre-Dame des Lumières au sein du secteur missionnaire «Orb et Libron» de l'archidiocèse de Montpellier[53],[54]. Cette paroisse ne dispose plus de lieu de culte à La Tour-sur-Orb[55].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 466€, ce qui plaçait La Tour-sur-Orb au 24 074e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[I 4].
Emploi
En 2011, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 769 personnes, parmi lesquelles on comptait 67,4% d'actifs dont 58,8% ayant un emploi et 8,6% de chômeurs[a 4].
On comptait 235 emplois dans la zone d'emploi, contre 289 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 460, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 10] est de 51%, ce qui signifie que la zone d'emploi offre seulement un emploi pour deux habitants actifs[a 5].
Entreprises et commerces
Au , La Tour-sur-Orb comptait 111 établissements: 45 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 11 dans l'industrie, 17 dans la construction, 35 dans le commerce-transports-services divers et 3 étaient relatifs au secteur administratif[a 6].
En 2013, 9 entreprises ont été créées à La Tour-sur-Orb[a 7].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Éléments remarquables
La commune contient quatre monuments et trois objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[56]:
L'église Saint-Cyr et Sainte-Julite de Saint-Xist daté entre le XIIeauXVIesiècle[57]. L’église, la façade et la toiture des bâtiments bordant la cour intérieure avec leurs galeries ont été inscrites au titre des monuments historiques en 1979[57].
l'ancien four à chaux inscrit depuis le , daté du XIXesiècle[58];
La Résidence des abbés de Joncels inscrit depuis le , et daté du XVIIesiècle[59];
L'église Notre-Dame de la Pitié de Boussagues daté entre le XIIeauXVIesiècle[60]. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1988[60];
une statue en pierre, dite de Capimont, représentant la «Vierge à l'Enfant», datée du XVesiècle, située dans l'église de Clairac et classée depuis le [61];
la plaque funéraire de Servens, en marbre, datée du XIIIesiècle, située dans l'église du hameau de Boussagues et classée depuis le [62];
la plaque funéraire de Géraud Ajanesius, en marbre, datée du XIIIesiècle, située dans l'église du hameau de Boussagues et classée depuis le [63].
Église Notre-Dame de la Pitié de Boussagues
Église Saint-Cyr-et-Sainte-Julite de Saint-Xist
Autres lieux et monuments
Pont de Mirande côté amont.
Pont de Mirande côté aval.
Vue du viaduc.
Plan du pont de Brousson (1768)
Parmi les autres lieux et monuments, on peut citer:
le viaduc du XIXesiècle des anciennes lignes graissessac-béziers et Latour sur Orb-Plaisance;
la chapelle Saint-Pierre-de-Brousson de Boubals;
l'église Sainte-Marie de Frangouille;
l'église Saint-Saturnin de Clairac;
l'église de la Trinité de Boussagues du XIVesiècle;
Église de l'Assomption-de-Notre-Dame de La Tour-sur-Orb;
Église Saint-Martin du Mas Blanc;
le « castèl de l'inglès » au Bousquet de la Balme.
le hameau de Boussagues (XIIeauXVIIesiècle) conserve des restes de vieilles bâtisses médiévales, ainsi que deux châteaux avec leurs remparts, et deux églises (dont une en ruine).
Vue générale.
Bâtisse couverte en lauze surplombant le ru.
Maison du bailli du XVIesiècle.
Église de la Trinité de Boussagues. Vue de la nef vers le chevet
Chapiteau de l'église de la trinité.
Église Sainte-Marie de Frangouille
Vue sur le causse.
Vue du donjon roman appelé castelas.
château bas au début du XXesiècle. Les toitures sont couvertes de lauzes de schiste.
Place de la meule avant l'incendie de 1903.
Église Saint-Saturnin de Clairac
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
Les armoiries de La Tour-sur-Orb se blasonnent ainsi:
…
Historiquement, l'ancien territoire de la commune portait ces armes:
Ces armes se blasonnent ainsi:
De gueules, au pairle losangé d'argent et de gueules[65].
Voir aussi
Bibliographie
Albert Fabre, Histoire de Bédarieux et des communes du canton: Camplong, Carlencas et Levas, Graissessac, Faugères, Latour-sur-Orb, Pézènes, Le Pradal, Saint-Étienne-Estréchoux, Nîmes, C. Lacour, , 123p.
Louis Fargier, «Les moulins de la Tour de Brousson (La Tour-sur-Orb)», Les Moulins de l'Hérault, nos26-29, , p.103-112
Annick Jeanjean, «L'usine de chaux de La-Tour-sur-Orb (Hérault): un patrimoine méconnu du XIXesiècle», Cahiers d'Arts et traditions rurales, nos21-22, 2010-2011, p.47-65
André Soutou, «Précisions toponymiques sur trois chartes du Boussagais (commune de Latour-sur-Orb)», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no10, , p.67-75
André Soutou, «La tour de Patau dite Château de l'Anglais (commune de Latour sur Orb)», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no11, , p.47-50
André Soutou, «Le nom de lieu germano-latin Frangouille (Commune de La tour-sur-Orb, Hérault)», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no9, , p.67-76
Fonds d'archives
Fonds: Archives communales de La Tour-sur-Orb (1620-1970) [7,65 ml]. Cote: 312 EDT. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[34].
L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Frank R. Hamlin, Les noms de lieux du département de l'Hérault, éd. abbé A. Cabrol, 1983, p.275 et 390.
Jean-François Dubost, Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795), [lire en ligne], in Annales historiques de la Révolution française, no278, 1989. p.414.
[lire en ligne](délibérations 1862-1877, p.107 délibération no198 et 199)
[lire en ligne] (délibérations 1897-1905, p.85 délibération no217)
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