La Tombe est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
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La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 49 mètres à 86 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 60 mètres d'altitude (mairie)[2].
Hydrographie
Réseau hydrographique
Carte des réseaux hydrographique et routier de La Tombe.
Le réseau hydrographique de la commune se compose de six cours d'eau référencés::
la rivière Auxence (ou la Vieille Seine), longue de 34,18 km[5], affluent en rive droite de la Seine;
le fossé 01 de la Gravière , 1,41 km[6] qui conflue avec l’Auxence;
le canal de Bray à la Tombe, long de 10,12 km[7], ancien canal de dérivation de Bray à la Tombe (désaffecté depuis 1979), et;
le canal 01 de la Commune de la Tombe, cours d'eau naturel de 1,01 km[8] qui confluent avec la Seine.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,87 km[9].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles: le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].
La commune fait partie du SAGE «Bassée Voulzie», en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[11],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de «structure porteuse»[12].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000
- Moyenne annuelle de température: 11,1 °C
- Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C: 3,5 j
- Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,7 j
- Amplitude thermique annuelle[Note 1]: 15,5 °C
- Cumuls annuels de précipitation: 719 mm
- Nombre de jours de précipitation en janvier: 0,8 j
- Nombre de jours de précipitation en juillet: -1,4 j
La commune bénéficie d’un «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[15]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 39 km à vol d'oiseau[16], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour 1981-2010[17] à 11,6°C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»[20],[Carte 1]:
la «Bassée», d'une superficie de 1 403ha, une vaste plaine alluviale de la Seine. Elle abrite la plus grande et l’une des dernières forêts alluviales du Bassin parisien ainsi qu’un ensemble relictuel de prairies humides[21],[22].
la «Bassée et plaines adjacentes», d'une superficie de 27 643ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[23],[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Tombe comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 2],[25],[Carte 2]:
les «bois alluvial de l'Hermitage» (63,5ha), couvrant 2 communes du département[26];
les «Étangs de l'Hermitage à la Tombe» (61,9ha)[27];
les «Noue et bras morts de la Belle Epine» (38,27ha)[28];
la «Rivière Auxence, de Châtenay-sur-Seine à la Confluence» (38,27ha), couvrant 4 communes du département[29];
et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[25],
la «vallée de la Seine entre Montereau et Melz-sur-Seine (Bassée)» (14 216,75ha), couvrant 26 communes du département[30].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
La Tombe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[31],[32],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[34],[35].
Lieux-dits et écarts
La commune compte 29 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[36] (source: le fichier Fantoir).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,6% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (63,6% ), eaux continentales[Note 7] (17,6% ), forêts (14,7% ), zones urbanisées (3,2% ), mines, décharges et chantiers (0,8%)[37].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[38],[39],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[40].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme. Un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes de la Bassée - Montois était en élaboration[41],[42].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 125 dont 98,4% de maisons et 0,8% d’appartements.
Parmi ces logements, 76,7% étaient des résidences principales, 16,1% des résidences secondaires et 7,2% des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 89,4% contre 9,6% de locataires et 1,1% logés gratuitement[43].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la ligne d'autocars No2 du réseau de bus Cars Moreau (Fontaine-Fourches - Montereau-Fault-Yonne)[44].
Toponymie
Le latin chrétien tumba, d'où est issu le mot «tombe», a servi à nommer d'anciens cimetières.
On a découvert, à La Tombe des sépultures de La Tène.
Histoire
Le , après deux mois de difficiles négociations sous l'égide du pape Martin V est signé le traité de La Tombe entre le roi de France Charles VII et le duc de Bourgogne Jean sans Peur. Le traité, qui aurait dû mettre un terme aux dissensions entre Armagnacs et Bourguignons, est rapidement caduc puisque le l'insurrection de Paris ruine les espoirs de paix.
Article détaillé: Guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons.
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Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [46],[47].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de La Tombe ne dispose pas d'assainissement collectif[48],[49].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[50]. La communauté de communes de la Bassée - Montois (CCBM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[48],[51].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [48],[52],[53].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[55].
En 2019, la commune comptait 207 habitants[Note 8], en diminution de 6,33% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
230
238
249
205
218
211
222
250
257
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
275
292
266
254
250
221
212
200
199
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
176
173
183
153
148
120
129
140
151
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
158
160
154
172
194
222
231
231
214
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
228
207
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités
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Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 95, représentant 225 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 21 250 euros[58].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 14, occupant 93 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 64,1% contre un taux de chômage de 10,7%.
Les 25,2% d’inactifs se répartissent de la façon suivante: 10,7% d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 10,7% de retraités ou préretraités et 3,8% pour les autres inactifs[59].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 19 dont 4 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 2 dans la construction, 10 dans le commerce-transports-services divers et 3 étaient relatifs au secteur administratif[60].
Ces établissements ont pourvu 9 postes salariés.
Exploitations agricoles, carrières, sablières.
Agriculture
La Tombe est dans la petite région agricole dénommée la «Bassée» ou «Basse Seine», au sud-est du département[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[61].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30% du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[62]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 7 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 67ha en 1988 à 96ha en 2010[61].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Tombe, observées sur une période de 22 ans:
Évolution de l’agriculture à la Tombe entre 1988 et 2010.
Nicolas Jacquemin (1736-1819), évêque constitutionnel de Guyane, y mourut.
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de Seine-et-Marne.
Blason
Parti: au 1er de gueules à cinq cotices en barre d'argent, au 2d d'azur à une étoile de sept rais d'or au point d'honneur[64].
Détails
Reprend l'écu sculpté sur un mur d'enceinte de l'église, et dont l'origine reste inconnue. Les couleurs ont été reprises des armes de Faremoutiers. Adopté.
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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