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La Mulatière est une commune française située dans la métropole de Lyon, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La Mulatière

Hôtel de ville de La Mulatière

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Circonscription départementale du Rhône
Métropole Métropole de Lyon
Arrondissement Lyon
Maire
Mandat
Véronique Déchamps
2020-2026
Code postal 69350
Code commune 69142
Démographie
Gentilé Mulatin(e)s[1].
Population
municipale
6 524 hab. (2019 )
Densité 3 546 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 43′ 43″ nord, 4° 48′ 35″ est
Altitude Min. 163 m
Max. 249 m
Superficie 1,84 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune du pôle principal)
Élections
Métropolitaines Lones et Coteaux
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Mulatière
Géolocalisation sur la carte : France
La Mulatière
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
La Mulatière
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
La Mulatière
Liens
Site web Site Internet de La Mulatière

    Géographie


    Territoire en vert sur la carte.
    Territoire en vert sur la carte.

    Au confluent du Rhône et de la Saône, la commune s'étage de son point le plus haut à 248,85 m au chemin du Grand Roule à son point le plus bas à 162,80 m au carrefour des rues Gabriel-Péri et Barbots. La superficie est de 184 hectares, dont 43 de surface fluviale.

    La commune est située sur le flanc est et sud-est de la colline de Sainte-Foy. Le territoire de la commune est fin et long au Nord puis s'élargit au Sud. On peut distinguer trois types de relief et d'environnement caractéristiques :


    Communes limitrophes


    Lyon 5e
    Sainte-Foy-lès-Lyon N Lyon 2e
    O    La Mulatière    E
    S
    Oullins Lyon 7e

    Voies de communication et transports



    Autoroute

    L'autoroute A7, avec un échangeur au niveau du Pont de La Mulatière, est construite en 1965. Elle longe le Rhône et la Saône à leur confluent. Elle est aujourd'hui déclassée.


    Transports en commun

    Les transports en commun lyonnais (TCL) couvrent la majeure partie de la commune avec sept lignes de bus la traversant et offrant une connexion avec les villes voisines :


    Transport fluvial

    Gérés par VNF (Voies Navigables de France), la Saône et le Rhône sont navigables à La Mulatière par des gabarits d'un tirant d'eau maximal de 130 m (jusqu'à 5 000 t)[2].


    Index des noms de quartiers



    Urbanisme



    Typologie


    La Mulatière est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[6] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (77,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (62,4 %), eaux continentales[Note 3] (23 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,7 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].


    Histoire



    Antiquité


    Sous l'Antiquité, le site était traversé par la voie romaine dite de la Narbonnaise qui reliait Lugdunum (Lyon) à Arelate (Arles). Cette voie romaine, pour sa partie mulatine, se situe à l'emplacement de l'actuel chemin des Fontanières. Le site était un ancien quartier résidentiel romain.


    Moyen Âge tardif


    Le nom de La Mulatière viendrait d'un magistrat lyonnais, Clément Mulat, Consul de Lyon en 1479 - 1480 puis en 1483, qui a donné son nom à une grange, domaine situé entre le chemin des Fontanières et le quai Jean-Jacques Rousseau. À cette époque (et jusqu'au XIXe siècle) le site était bâti de résidences de la bourgeoisie lyonnaise. Le coteau était alors planté de vignes.


    Époque moderne


    La terre de La Mulatière, qui n'a jamais eu le titre de fief, a été achetée par François de Musino en 1585 avant d'être donnée par alliance à Claude-François Fournier au début du XVIIe siècle. Jacques Fontanier en prend possession quelques années plus tard avant de la donner aux Jésuites du Petit-Collège en 1692[13].

    L'appellation Mulatière se rencontre diversement au XVIIIe siècle, notamment dans les expressions les Saulées de la Mulatière et le Port de la Mulatière, propriété des Jésuites.

    La Mulatière est indirectement connue grâce à Jean-Jacques Rousseau qui passa une nuit à la belle étoile sur les berges de la Saône en 1732[14]. La commune lui rendra hommage plus tard en nommant ses berges de Saône quai Jean-Jacques Rousseau.

    La carte de Cassini datant de la fin du XVIIIe siècle mentionne des moulins à eau à la Quarantaine au Nord sur la rive de Saône (actuel quartier des Étroits à cheval sur Lyon), une maison à Fontanières au centre, le Port la Mulatière sur la rive du Rhône, et une maison au lieu-dit les Chassagnes sur la rive de l'Yzeron.

    Un premier pont en pierre est ouvert dans la continuité de la chaussée de Perrache entre Lyon et La Mulatière en décembre 1782. Il est emporté par une crue l'hiver suivant. Il est reconstruit en bois en 1792.


    Époque contemporaine


    Le pont de la Mulatière au début du XXe siècle
    Le pont de la Mulatière au début du XXe siècle

    En 1825, La Mulatière alors devenu "hameau" comptait environ 900 habitants.

    Le , un nouveau pont-rail entre Lyon et Saint-Étienne est ouvert à la circulation. Le 3 avril, 1832, la Compagnie du chemin de fer ouvre la ligne qui relie Lyon à Givors, puis Lyon à Saint-Étienne le 1er octobre de la même année. Cette évolution notable des transports profitera à La Mulatière et contribuera à son essor industriel.

    Une chapelle du nom de Sainte-Marie de l'Assomption est construite en 1835 pour compenser l'éloignement géographique de la paroisse de rattachement de Sainte-Foy-lès-Lyon. Puis, en 1839, cette chapelle est érigée en paroisse succursale. Vers 1850, la population du hameau comptant 1 500 habitants, et l'église deviens alors trop exiguë. Une nouvelle église plus grande fut construite de 1860 à 1863, l'église Sainte-Marie de l'Assomption.

    Les ateliers de métrologie Catenot-Béranger arrivent en 1857 et deviendront l'usine Trayvou à partir de 1877. En 1911, on dénombrait 350 ouvriers produisant chaque année 9 000 balances, 3 800 bascules et plus de 200 ponts à bascules pour voitures ordinaires[15]. L'usine exista jusqu'en 1993.

    La verrerie Bovagnet s'installe dès 1860 sur le site de La Mulatière qui deviendra Mulaty jusqu'en 1931.

    À la suite d'un désaccord au sein de la commune de Sainte-Foy-lès-Lyon entre le bourg historique et le quartier de La Mulatière (plus peuplé), il en résulta la création de la commune de La Mulatière le .

    En 1916, l'actuelle pont ferroviaire de la Mulatière est mis en service. Le pont construit au milieu du XIXe siècle est réservé à la circulation routière. Ce dernier est reconstruit en 1936. Les deux ponts sont endommagés en 1944 lors de la retraite de l'armée allemande. Ils sont remis en service en 1946. Le pont routier est reconstruit en 1966 et doublé par un nouvel ouvrage en 1972 quand les quais du Rhône sont transformés en autoroute.

    Le lycée Assomption s'implante dans l'ancienne demeure bourgeoise de Bellevue en 1919, il est tenue par des religieuses jusqu'en 1976[16].

    Entre 1950 et 1960, le nouveau quartier du Roule sort de terre avec des logements modernes et à loyers modérés.

    La Mulatière intègre la Communauté Urbaine de Lyon (Courly) le , qui deviendra le Grand Lyon.

    En 1970, une nouvelle église conçue par l'architecte Émile Agniel est construite sur le nouveau quartier du Roule, Notre-Dame du Roule. L'église Sainte-Marie de l'Assomption, devenue trop vétuste, est alors abandonnée, puis démolie en 1978.

    C'est en 1989 que s'ouvre au public le jardin de La Bonne Maison.

    Le Grand Lyon disparaît le , laissant la place à la collectivité territoriale de la Métropole de Lyon. La commune quitte ainsi le département du Rhône[17].


    Politique et administration


    Mairie de La Mulatière.
    Mairie de La Mulatière.

    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Rhône.
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    Liste des maires


    Liste des maires successifs depuis 1944
    Période Identité Étiquette Qualité
    Laurent Jars    
    Jean Coudert SFIO  
    Philippe Danilo (1898-1984) UNR puis UDR Représentant
    Député de la 7e circonscription du Rhône (1958 → 1973)
    Conseiller général du canton de Saint-Genis-Laval (1951 → 1964)
    Jean Lebayle RPR  
    Yves Leprince[18] (1931-2015) DVD Médecin généraliste
    Guy Barret (1947- ) RPR puis UMP-LR Médecin hospitalier retraité
    Conseiller communautaire du Grand Lyon
    En cours
    (au 17 septembre 2020)
    Véronique Déchamps (1955- ) DVD Ingénieur,

    Conseillère régionale Auvergne Rhône-Alpes (2021-)


    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1886. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

    En 2019, la commune comptait 6 524 habitants[Note 4], en diminution de 0,03 % par rapport à 2013 (Rhône : +5,39 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
    3 3153 3773 4203 6283 4003 6314 0673 9584 166
    1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999
    3 6743 9374 4017 5888 0737 8867 7167 2966 733
    2005 2006 2010 2015 2019 - - - -
    6 5676 5806 4806 2606 524----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population de la commune est connue grâce aux recensements effectués depuis sa naissance en 1885, après sa séparation d'avec celle de Sainte-Foy-lès-Lyon.


    Enseignement


    La Mulatière est située dans l'Académie de Lyon.


    Enseignement Public


    Enseignement Privé


    Manifestations culturelles et festivités



    Santé


    La commune recense : quatre médecins, trois pharmacies, 10 infirmières, 5 kinésithérapeutes, 1 ORL, 1 orthodontiste, 3 orthophonistes, 1 ostéopathe, 1 pédicure/podologue, 1 psychologue, 1 sage femme, 1 énergéticienne/magnétiseuse et 1 spécialiste de la médecine traditionnelle chinoise[23].


    Social


    Associations culturelles mulatines emblématiques :

    ASCS : Association des centres sociaux et culturels.

    AGICL : Association Culturelle Irmaos Guerreiros Lyon.

    Cercle d'Argent.

    CEPHALO VINUM.

    C'EST LA FAUTE A ROUSSEAU.

    CJC : Club des Jeunes et de la Culture.

    Comité des fêtes.

    Ecole de Musique et de danse SESLM.

    JEUX DEMAIN.

    MUL'A'TERRE.

    LESF : Lumières, Etincelle, Solidarité, Femmes.

    OZEL ART.


    Sports


    Depuis 1952, chaque premier week-end de décembre, La Mulatière est traversée par la "SaintéLyon[24]", une course pédestre nocturne reliant les villes de Saint-Étienne à Lyon en passant par les Monts du Lyonnais.

    La ville est équipée d'un bassin de joutes, sport pratiqué en compétition durant la période estivale[25].

    Associations sportives mulatines emblématiques :

    CASCOL : Club Athlétique Sportif des Cheminots d'Oullins et Lyon, section tir à La Mulatière[26].

    CKLOM : Canoë Kayak Lyon Oullins La Mulatière[27].

    ECM : Éclair du Confluent de La Mulatière, entente bouliste Sainte-Foy / La Mulatière[26].

    FCRM : Football Club du Roule La Mulatière[28].

    GCM : Gymnastique Club de La Mulatière[29].

    SESLM : Société Éducative Sportive Laïque de La Mulatière avec 9 sections sportives : Aïkido, Aïki Taïso, Judo, Gymnastique d'entretien, Volley-ball, Badminton, Boules lyonnaises, Judo, Escalade, et Danse[30].

    TCM : Tennis Club de La Mulatière[31].

    UJSM : Union des Jouteurs Sauveteurs de La Mulatière avec 3 sections sportives : Joute, Natation, et Plongée[32].


    Économie



    Revenus de la population et fiscalité


    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 26 636 €[33].


    Commerces


    La ville dispose de quatre petits centres commerciaux principalement situés autour du centre-ville "le Roule" :

    En outre, un marché est présent au centre-ville sur la place Jean-Moulin les mardis et vendredis matin.


    Industrie


    Deux sites économiques majeurs sont présents sur le territoire de La Mulatière sur 24 ha avec 1700 emplois (en 2013)[34]. Le plus important est le technicentre SNCF (ateliers Oullins-machine). Le second et voisin du premier est la zone d'activités économiques du Pras.


    Tourisme


    L'Aquarium de Lyon constitue un pôle touristique régional important, il connait chaque année 160 000 visiteurs annuels qui viennent observer 5 000 spécimens répartis dans 47 aquariums.

    La Bonne Maison est le second site touristique, de plus faible importance.


    Lieux et monuments



    Patrimoine ferroviaire


    La commune est traversée par une ligne ferroviaire (ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache). On y trouve du nord au sud :


    Lieux de culte



    Autres lieux


    Aquarium du Grand Lyon mur est
    Aquarium du Grand Lyon mur est

    La commune est le siège de l'Aquarium de Lyon situé dans le bas de la cité dans le quartier du Confluent (celui de l'ancienne mairie), le long du Rhône.

    En remontant de l'Aquarium en direction de Sainte-Foy-lès-Lyon, on trouve un terrain d'aventures.

    La Bonne Maison est un jardin privé de roses anciennes, bulbes, clématites, iris et pivoines. Il est classé deux étoiles au Guide Vert (Michelin)[35].

    Le Domaine de Bellerive (XVIIIe siècle et XIXe siècle) dont le parc avec ses installations hydrauliques, son pavillon, son escalier et son mur de clôture sont classés au patrimoine des monuments historiques[36] est situé le long de la Saône sur le coteau de la colline de Sainte-Foy-lès-Lyon. Il s'agit d'un domaine privé.

    Voisin du domaine de Bellerive, le "Petit Fontanière" fut la propriété de la famille Rougier qui lui donne son aspect actuel de 1859 à 1949. À partir de 1979, il est le siège de l'Unité nationale séricicole jusqu'à sa vente par le Conseil général du Rhône en 2011[37],[38],[39].

    Une ancienne écluse située sur la Saône à sa confluence avec le Rhône est visible au niveau de l'ancienne mairie. Elle permettait aux embarcations de franchir le barrage de La Mulatière (situé sur la Saône) entre 1881 et 1966[40]. À cette date, un nouveau barrage plus en aval fut mis en service sur le Rhône à Pierre-Bénite[41], rendant celui de La Mulatière obsolète.

    Le niveau du fleuve ayant monté, les quais de l'ancienne écluse furent rehaussés afin de devenir un bassin de joutes.

    Maison du Confluent (ancienne mairie)
    Maison du Confluent (ancienne mairie)

    L'ancienne mairie (située en contrebas de l'aquarium) conçue en 1895 par l'architecte Henri Moncorger[42] (1852-1930)[43] Elle témoigne de l'architecture typique des mairies du XIXe siècle offrant une symétrie suivant l'axe vertical. Suivant cet axe vertical s'aligne de bas en haut l'escalier d'accès très accueillant et largement évasé à sa base menant à la porte d'entrée elle-même située sous le balcon du maire au-dessus duquel s'établit un cadran d'horloge dans la toiture à inclinaison quasi verticale coiffée d'un petit campanile. Ce bâtiment appartient à la ville et n'est plus utilisé comme mairie depuis l'an 2000.

    Dans le quartier des Étroits (limitrophe avec Lyon 5e), se trouve l'ancienne école communale des Étroits datant de 1893 et implantée dans une ancienne auberge[42].

    Près du centre-ville, on peut remarquer un petit observatoire astronomique qui fut un temps propriété de Pierre Victor Galtier[44].

    Le Pavillon de la Céramique se situe dans le quartier du Roule et montre avec poésie et élégance deux allégories, la Soie et la Céramique.

    Le long du chemin de Fontanières, se trouve un ancien séminaire des Salésiens de Don Bosco qui est dorénavant utilisé comme immeuble d'habitations[42].


    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Blason
    De gueules à une péniche d'argent voguant sur un fleuve ondé du même et d'azur, accompagné en chef d'une tête de mulet d'or[47].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. Gentilé sur le site habitants.fr, consulté le 29/09/2008.
    2. VNF - Voies Navigables de France
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Dictionnaire illustré des communes du département du Rhône - C. Dizain (Lyon) - 1901-1902
    14. Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau - Livre IV
    15. Voyage en France chez Ardouin-Dumazet - 7e série - La Région Lyonnaise - 1911
    16. Histoire du Lycée Assomption Bellevue
    17. Métropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale
    18. « Yves Leprince ancien maire », Le Progrès, (lire en ligne).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    23. Ville de La Mulatière - Santé
    24. SaintéLyon
    25. FFJSN - Fédération Française de Joute et de Sauvetage Nautique
    26. Ville de La Mulatière
    27. FFF - Fédération Française de Football
    28. GCM - Gym Club Mulatière
    29. Ville de La Mulatière
    30. TCM - Tennis Club de La Mulatière
    31. Ville de La Mulatière
    32. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    33. PLU-H du Grand Lyon - réunion publique du 16 avril 2013
    34. Jardin de La Bonne Maison
    35. Ministère de la Culture
    36. Comité du pré-inventaire des monuments et richesses artistiques, Pré-inventaire des monuments et richesses artistiques: La Mulatière, Département du Rhône, .
    37. Sauvegarde et embellissement de Lyon, « La Mulatière ou la quatrième rive du Confluent », Bulletin de liaison n°86, .
    38. Marc Polisson, « Le Petit Fontanière : imbroglio juridique », Lyon People, .
    39. PSS-archi.eu - Architecture - Urbanisme - Aménagement du territoire
    40. Structurae - Barrage de Pierre-Bénite
    41. La Mulatière hier et aujourd'hui chez Publication officielle de la ville de La Mulatière - 2005
    42. wikidata - Henri Moncorger
    43. Académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Lyon - 2015
    44. Bibliothèque Nationale de France
    45. Guichet du Savoir
    46. Blason La Mulatière

    Voir aussi


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    На других языках


    [de] La Mulatière

    La Mulatière ist eine französische Gemeinde mit 6524 Einwohnern (Stand: 1. Januar 2019) in der Métropole de Lyon in der Region Auvergne-Rhône-Alpes. La Mulatière ist Teil des Arrondissements Lyon und gehörte bis 2015 zum Kanton Sainte-Foy-lès-Lyon. Die Einwohner werden Mulatin(e)s genannt.

    [en] La Mulatière

    La Mulatière (French pronunciation: ​[la mylatjɛʁ]) is a commune in the Metropolis of Lyon in Auvergne-Rhône-Alpes region in eastern France.
    - [fr] La Mulatière



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