La Bastide-d'Engras est une commune française située dans le nord-est du département du Gard, en région Occitanie.
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Tave, la Veyre, le ruisseau de la Brives. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 («le Valat de Solan») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
La Bastide-d'Engras est une commune rurale qui compte 200 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 451 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Bastidains ou Bastidaines.
Géographie
Localisation
Commune située au sein de la communauté de communes Pays d'Uzès et proche de Saint-Laurent-la-Vernède et Pougnadoresse
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 13,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 14 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 5,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 3,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Cavillargues», sur la commune de Cavillargues, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7°C et la hauteur de précipitations de 825,1 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Nimes-Courbessac», sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 30 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 14,8°C pour la période 1971-2000[11], à 15,1°C pour 1981-2010[12], puis à 15,6°C pour 1991-2020[13].
Voies de communications et transports
Voies routières
La commune est traversée par la Départementale 211.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: «le Valat de Solan»[16], d'une superficie de 58ha, présentant une intéressante diversité d'habitats naturels sur une superficie réduite[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[18]:
le «domaine de Solan» (58ha), couvrant 2 communes du département[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[18]:
le «plateau de Lussan et Massifs Boisés» (37 159ha), couvrant 40 communes du département[20].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à La Bastide-d'Engras.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
La Bastide-d'Engras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[21],[I 1],[22].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,5% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (56,3%), cultures permanentes (25%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,2%), zones agricoles hétérogènes (5,3%), zones urbanisées (3,7%), terres arables (3,3%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de La Bastide-d'Engras est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Tave. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1998 et 2002[26],[24].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Bastide-d'Engras.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[27]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 67,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 158 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 158 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 90% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1983[24].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de La Bastide-d'Engras est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[30].
Toponymie
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Histoire
Moyen Âge
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Époque moderne
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Révolution française et Empire
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Époque contemporaine
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Politique et administration
Tendances politiques et résultats
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1995
2014
Jean-Marie Blanchard
DVG
2014
En cours
Pascal Gisbert
DVG
Retraité Fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.
Budget et fiscalité 2016
Mairie de La Bastide-d'Engras
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[31]:
total des produits de fonctionnement: 211 000 €, soit 992 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 175 000 €, soit 821 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 115 000 €, soit 541 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 132 000 €, soit 619 € par habitant.
endettement: 194 000 €, soit 910 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 11,15%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 15,44%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 45,05%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00% ;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014: Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation: 19 218 €[I 4].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2019, la commune comptait 200 habitants[Note 8], en diminution de 3,38% par rapport à 2013 (Gard: +2,08%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
400
328
369
376
423
422
428
451
392
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
416
395
373
360
362
374
344
320
316
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
280
292
290
264
254
217
238
212
211
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
206
201
179
178
177
191
211
214
208
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
196
200
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 88 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 178 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 460 €[I 5] (20 020 € dans le département[I 6]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 115 personnes, parmi lesquelles on compte 75,2% d'actifs (66,3% ayant un emploi et 8,9% de chômeurs) et 24,8% d'inactifs[Note 10],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 10]. Elle compte 37 emplois en 2018, contre 41 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 78, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,8%[I 11].
Sur ces 78 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 32 travaillent dans la commune, soit 42% des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 62,5% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,2% les transports en commun, 3,9% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 28,4% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
16 établissements[Note 11] sont implantés à la Bastide-d'Engras au [I 14].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,3 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 16 entreprises implantées à La Bastide-d'Engras), contre 30% au niveau départemental[I 15].
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 27 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 24 en 2000 puis à 12 en 2010[45] et enfin à 12 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 56% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61% de ses exploitations[46],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 248ha en 1988 à 119ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 10ha[45].
Duché-d'uzès (AOC) Vins et découvertes au cœur de la Vallée du Rhône[47].
Culture locale et patrimoine
Édifices religieux
Chapelle Saint-Jean d'Orgerolles du XVesiècle.
Chapelle Saint-Jean de La Bastide-d'Engras.
Église Saint-Jean de La Bastide-d'Engras, et ses deux tableaux du XVIIesiècle sont inscrits au titre des monuments historiques.
Monastère de Solan[48],[49]. Ce monastère orthodoxe qui accueille uniquement des moniales est placé sous le vocable de la Protection de la Mère de Dieu[50].
René de La Croix de Castries, comte de Castries, dit René de Castries[55], duc de Castries[56], né le au château de la Bastide-d'Engras et mort le , est un historien et un académicien français.
Héraldique
Article connexe: armorial des communes du Gard.
Les armes de La Bastide-d'Engras se blasonnent ainsi:
Librairie Hachette et société d'études et de publications économiques, Merveilles des châteaux de Provence, Paris, Collection Réalités Hachette, , 324p.
Préface du Duc de Castries vice-président de l'Association des Vieilles maisons françaises : Languedoc méditerranéen: La Bastide d'Engras, Solidement ancré dans le roc..., pages 272 à 275
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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