L'Isle-Jourdain est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
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L'Isle-Jourdain | |
Le viaduc sur la Vienne | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Vienne |
Arrondissement | Montmorillon |
Intercommunalité | Communauté de communes Vienne et Gartempe |
Maire Mandat |
Véronique Wuyts 2020-2026 |
Code postal | 86150 |
Code commune | 86112 |
Démographie | |
Gentilé | Lislois, Lisloises ou Islois, Isloises |
Population municipale |
1 165 hab. (2019 ![]() |
Densité | 197 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 13′ 59″ nord, 0° 41′ 12″ est |
Altitude | Min. 87 m Max. 183 m |
Superficie | 5,92 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Lussac-les-Châteaux |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
La commune de L'Isle-Jourdain est située dans le sud-est du département de la Vienne. à une cinquantaine de kilomètres au sud-est de Poitiers et un peu plus de soixante-dix au nord-ouest de Limoges.
Moussac | ||
Le Vigeant | ![]() |
Adriers |
Millac | Mouterre-sur-Blourde (en un quadripoint) |
La région de L'Isle-Jourdain présente un paysage de vallées et de bocages. Le paysage de bocage dans le département de la Vienne se caractérise par des champs cultivés ou des prés enclos par des haies avec des alignements plus ou moins continus d'arbres et arbustes. Ces haies si caractéristiques contribuent à une meilleure qualité des eaux, permettent son infiltration et protègent ainsi contre l'érosion des sols. Elles constituent des zones de refuge pour la biodiversité. Elles ont, aussi, un rôle de régulation climatique et de nombreux intérêts agronomiques (brise vent, protection du bétail...).
Le terroir se compose[1] :
En 2006, 72 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 4 % pour les surfaces en eau et 24 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2].
La commune est traversée par 5 km de cours d'eau comprenant principalement :
La Vienne bénéficie d’un classement afin de protéger ou de restaurer sa continuité écologique sur le territoire communal : la construction de tout nouvel ouvrage faisant obstacle à sa continuité écologique est interdit et des aménagements devront permettre d’assurer ou de rétablir la libre circulation des poissons migrateurs et le transit des sédiments[3].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le-Vigeant », sur la commune du Vigeant, mise en service en 1991[10] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 776,9 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 48 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[16].
La commune est traversée du nord au sud par la route départementale D11.
L'Isle-Jourdain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,9 %), zones urbanisées (27,3 %), terres arables (20 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), eaux continentales[Note 7] (4,8 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de l'Isle-Jourdain est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne et la Blourde. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2009 et 2010[25],[23]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Vienne "amont" - Section Availles-Limouzine/Valdivienne », approuvé le et par le PPRI « Vienne Communauté de Communes Vienne et Gartempe (CCVG) », prescrit le [26].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 49,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[29].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2016 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[23].
La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade et de Vassivière dans la Creuse, des ouvrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[31].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de l'Isle-Jourdain est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[32].
Le nom de la commune proviendrait du latin Insula Jordani, signifiant littéralement l'île de Jourdain. Le seigneur Jourdain qui vivait vers 1080-1120 a laissé son nom à la petite île située sur la Vienne qui était le cœur de sa seigneurie[33].
La commune serait habitée depuis au moins le IVe siècle.
Le seigneur Jourdain (vers 1080-1115 ?) percevait le péage du pont et vivait dans son château construit sur l'îlot rocheux qui servait de part et d'autre d'appui au pont[34].
L’Isle-Jourdain accueille favorablement les idées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires, mais est scié et brûlé au moment de la réaction royaliste, en 1798[35].
En 1848, avec la Révolution française de 1848 et le retour de la République, un arbre de la liberté est planté : un sapin[36].
Durant la Seconde Guerre mondiale, l’Isle-Jourdain est à l’écart des principaux combats terrestres. Cependant, la guerre aérienne se déroule jusqu’au-dessus du village : en , un Focke-Wulf 190 est abattu en combat tournoyant et s’écrase à L’Isle-Jourdain[37].
De 1940 à 1942, le 72e régiment d’artillerie, régiment de l’Île-de-France de l’armée d’armistice, est cantonné à Issoudun, Dun-sur-Auron et L'Isle-Jourdain[38].
À partir de l’été 1944, le contrôle des airs appartient aux forces alliées, qui font de nombreuses missions de strafing : des chasseurs-bombardiers patrouillent au-dessus des axes de communication à la recherche de cibles d’opportunité. Le , 3 P-38 (doubles-queues) du 479 Fighter group de l'US Air Force bombardent le barrage de Chardes : ils lâchent quatre bombes, dont une tombe dans le lac, une autre rebondit sur le barrage sans exploser, et deux tombent sur la rive (une seule explosant), donc sans faire de dégâts au barrage[39].
Depuis 2015, L'Isle-Jourdain est dans le canton de Lussac-les-Châteaux (no 10) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, L'Isle-Jourdain était dans le canton no 9 de L'Isle-Jourdain, dans la 3e circonscription.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1813 | 1815 | Louis Bonneau | ||
1815 | 1816 | Antoine Blondet-Desbordes | ||
1816 | 1830 | Antoine Lancereau de Boisolivier | ||
1830 | 1831 | René-Paul Poulard-Dupalais | ||
décembre 1831 | mai 1833 | Jean-Étienne Provost | ||
mai 1833 | décembre 1842 | René Géry | ||
janvier 1843 | 1848 | Pierre Blondet-Desbordes | ||
août 1848 | 1863 | Marie-Jacques Rigaud | ||
décembre 1863 | juin 1865 | Marc Augry-Laudonnière | ||
juin 1865 | septembre 1870 | Pierre Daubin | ||
septembre 1870 | 1878 | Louis Guiot de La Rochère | conseiller général | |
février 1878 | 1884 | Amédée Pradeau | ||
mai 1884 | 1889 | Léon Augry-Laudonnière | ||
novembre 1889 | juin 1892 | Henri-Alexandre Cottineau | ||
juillet 1892 | 1911 | Antoine Bézagny | ||
juin 1911 | 1925 | Raymond Prévost-Maisonnay | ||
mai 1925 | 1929 | Louis Maillon | ||
mai 1929 | août 1940 | Pierre Bernardin | ||
août 1940 | décembre 1944 | Paul Augry | ||
décembre 1944 | 1947 | Gustave Martinière | ||
octobre 1947 | février 1952 | Jean Clareton | ||
février 1952 | 1959 | Paul Dechatre | ||
mars 1959 | 1965 | Jean Villoutreix | ||
mars 1965 | 1972 | Paul Guilbard | ||
1972 | 1977 | Hubert Bussac | ||
1977 | 1982 | André Martin | ||
1982 | interim | Robert Jeamet | ||
1983 | 1989 | Pierre Bergouin | ||
1989 | 2014 | Jean-Claude Cubaud | PS | Conseiller général |
2014 | mai 2020 | Jean-Pierre Melon | DVD | |
mai 2020 | En cours | Véronique Wuyts | DVC | Conseillère departementale du Canton de Poitiers-4 |
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
Le syndicat mixte du Pays Montmorillonnais a en gestion les rivières situées sur le territoire communal.
La commune a adhéré à un SAGE (schéma d'aménagement et de gestion des eaux) : SAGE Vienne[40].
La directive-cadre sur l'eau (D.C.E.) adoptée par l’Europe en 2000 impose l’atteinte d’un bon état des eaux en 2015. Afin de respecter ces objectifs, des états des lieux ont été réalisés, des enjeux identifiés, puis des programmes de reconquête ont été élaborés, avec la définition de politiques à conduire et d’actions à mener, pour la période 2010-2015. Ces actions sont définies par unité hydrographiques de référence (U.H.R.), c'est-à-dire par territoire ayant une cohérence hydrographique (bassin versant), de l’habitat et des organismes qui y vivent, hydrogéologique et socio-économique. La commune appartient ainsi à l'U.H.R Vienne Aval[2].
Les eaux usées de la commune sont traitées dans une station d'épuration située sur le territoire communal[41].
Depuis 2014, la commune est signataire de la Charte Terre Saine "Votre commune sans pesticides. La charte Terre Saine Poitou-Charentes invite les communes et les établissements publics intercommunaux à participer à la réduction des pesticides et à la préservation d'un environnement sain en région Poitou-Charentes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].
En 2019, la commune comptait 1 165 habitants[Note 10], en augmentation de 0,34 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
478 | 446 | 528 | 553 | 662 | 687 | 689 | 702 | 714 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
726 | 985 | 1 025 | 952 | 996 | 1 105 | 1 185 | 1 145 | 1 056 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 142 | 1 117 | 1 114 | 1 128 | 1 189 | 1 168 | 1 255 | 1 323 | 1 237 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 251 | 1 265 | 1 223 | 1 336 | 1 269 | 1 287 | 1 238 | 1 225 | 1 161 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 165 | 1 165 | - | - | - | - | - | - | - |
La densité de population de la commune est de 207 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France (INSEE- 2008).
La diminution de 4 % de la population de la commune de 1999 à 2006 s’intègre dans une évolution générale à l’ensemble des communes rurales du département de la Vienne. Les zones rurales perdent de leurs habitants au profit d’une vaste région circonscrite autour des deux grandes métropoles du département : Poitiers et Châtellerault, et plus particulièrement au profit des cantons limitrophes de la préfecture.
Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 1 248 personnes. A cela il faut soustraire les résidences secondaires (25 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 1 223.
Selon la direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt de Poitou-Charentes[46], il n'y a plus qu'une seule exploitation agricole en 2010 contre 3 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 226 hectares en 2000 à 139 hectares en 2010.
L'élevage d'ovins, alors qu'il était important en 2000, a disparu en 2010 (1 855 têtes sur trois fermes en 2000). Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[47].
Sur le territoire de la commune, se trouve une usine métallurgique d'aluminium.
Le plan d'eau, le lac de Chardes, constitué par la retenue du barrage accueillait une base de ski nautique : initiation et pratique du ski nautique, du motonautisme, du baby-ski (pour les 5 à 10 ans), jeux pour enfants.
Le viaduc permet des promenades et le saut à l'élastique.
Le coteau du lac De Chardes présente un intérêt écologique reconnu, et a été ainsi classé en tant que zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[49]
Le lac de Chardes est protégé au titre des espaces naturels sensibles (ENS) et couvre moins de 1 % de la surface communale.
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Blasonnement :
D'argent semé de fleurs de lys de gueules. |
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