Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Tarn, le ruisseau du Bramont et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: trois sites Natura 2000 (la «combe des Cades», les «vallées du Tarn, du Tarnon et de la Mimente» et les «gorges du Tarn et de la Jonte») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Ispagnac est une commune rurale qui compte 897 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 937 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Mende. Ses habitants sont appelés les Ispagnacois ou Ispagnacoises.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Sauveur-Camprieu», sur la commune de Saint-Sauveur-Camprieu, mise en service en 1998[7]et qui se trouve à 29 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 8,3°C et la hauteur de précipitations de 1 428,3 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Millau», sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 47 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[11], à 10,9°C pour 1981-2010[12], puis à 11,3°C pour 1991-2020[13].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 11,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5 j
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques: le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[16].
Les Cévennes sont également un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[17],[18].
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[20]:
la «combe des Cades», d'une superficie de 304ha, un habitat très rare pour la région Languedoc-Roussillon et pour les Cévennes en particulier. Le marais calcaire très riche au niveau floristique est installé sur un replat dans la zone de contact granite-grès-calcaire[21];
les «vallées du Tarn, du Tarnon et de la Mimente», d'une superficie de 10 493ha, des habitats pour deux mammifères: la Loutre (Lutra lutra) et le castor[22];
les «gorges du Tarn et de la Jonte», d'une superficie de 41 801ha, englobant le territoire de près des trois-quarts de la population de Vautours fauves des grands causses qui furent l'un des principaux sites français de réintroduction de cette espèce[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24]:
les «Monts Chabrio et Chabrié» (833ha), couvrant 3 communes du département[25];
les «rochers d'Ispagnac et de la Table» (280ha)[26];
le «ruisseau du Bramont, de Nozières au moulin de Pradines» (34ha)[27];
la «vallée du Tarn entre Florac et Saint-Chély» (312ha), couvrant 6 communes du département[28];
le «causse de Sauveterre» (19 759ha), couvrant 11 communes du département[29];
les «gorges du Tarn» (14 434ha), couvrant 19 communes du département[30].
Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 à Ispagnac.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Ispagnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[I 1],[32].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mende, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,6% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,9%), forêts (39,7%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5%), terres arables (4,3%), prairies (3,3%), zones agricoles hétérogènes (3,1%), zones urbanisées (0,6%)[33].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ispagnac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier: le risque de radon[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tarn. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2011 et 2020[36],[34].
Ispagnac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[37]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[37],[38].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ispagnac.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[39]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[40].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 28,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 615 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 53 sont en en aléa moyen ou fort, soit 9%, à comparer aux 14% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[41],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[40].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[42].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Ispagnac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[43].
Toponymie
Le nom de la commune serait issu de celui d'un colon romain surnommé «Ispanus» («L'Espagnol»), lequel aurait fondé une villa, puis le village, vers 50 av. J-C[44]. La terminaison du nom du village en «ac» semblerait confirmer cela: ce suffixe serait issu du gaulois «acos», latinisé en «acum», et désignerait des villas romaines autour desquelles les activités agricoles étaient pratiquées[45].
Histoire
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Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Ispagnac est membre de la communauté de communes Gorges Causses Cévennes[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Florac Trois Rivières. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[46].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Florac, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Florac Trois Rivières pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[47].
Conseiller général de la Lozère (canton de Mende-Sud) de 1982 à 2001 Président du conseil général de la Lozère de 1994 à 1998
2001
mai 2018 (décès)
Michel Vieilledent
LR
juin 2018
En cours
Guylène Pantel
PS
Conseillère départementale du canton de Florac (2015-) Sénatrice de la Lozère (2020-)
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[51].
En 2019, la commune comptait 897 habitants[Note 10], en augmentation de 2,99% par rapport à 2013 (Lozère: 0%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 405
1 765
1 769
1 868
1 885
1 800
1 767
1 918
1 937
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 880
1 795
1 767
1 711
1 769
1 862
1 899
1 815
1 688
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 621
1 676
1 670
1 546
1 511
1 520
1 511
1 016
755
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
690
600
545
598
630
759
831
834
856
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
889
897
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,7%, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (29,7%). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (35,2%) est supérieur au taux départemental (32,5%).
En 2018, la commune comptait 413 hommes pour 480 femmes, soit un taux de 53,75% de femmes, supérieur au taux départemental (50,04%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit:
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 5]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
2,2
90 ou +
6,7
9,0
75-89 ans
13,5
20,4
60-74 ans
17,9
24,4
45-59 ans
20,3
17,7
30-44 ans
14,4
9,3
15-29 ans
10,7
17,0
0-14 ans
16,4
Pyramide des âges du département de la Lozère en 2018 en pourcentage[54]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1
90 ou +
2,6
9
75-89 ans
11,8
20,4
60-74 ans
20
22
45-59 ans
20,6
16,6
30-44 ans
16,4
15,1
15-29 ans
13,6
15,9
0-14 ans
15
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 386 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 773 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 550 €[I 6] (20 420 € dans le département[I 7]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 489 personnes, parmi lesquelles on compte 79,6% d'actifs (67,5% ayant un emploi et 12,1% de chômeurs) et 20,4% d'inactifs[Note 12],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Mende, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 228 emplois en 2018, contre 278 en 2013 et 271 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 336, soit un indicateur de concentration d'emploi de 67,8% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,3%[I 12].
Sur ces 336 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 124 travaillent dans la commune, soit 37% des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 81,2% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,3% les transports en commun, 15% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Bâtiments et lieux publics remarquables
le vieux bourg (sentier d'interprétation et visite guidée sur demande à l'office du tourisme);
le château de Rocheblave près du hameau de Molines.
Bâtiments religieux
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul d'Ispagnac, d'architecture romane datant du XIIesiècle-XVesiècle, visitable, classée monument historique depuis 1920[55]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[55].
Couvent des Ursulines.
Autres
L'usine d'embouteillage des eaux de Quézac peut aussi se visiter[56].
Personnalités liées à la commune
Maître Jules Laget (né le 18 avril 1864 à Ispagnac, décédé en 1949[57]) officier de la Légion d'honneur[58], maire d'Ispagnac (1912-1949), président de conseil général de la Lozère, doyen des bâtonniers de France.
Charles Guéret (1885-1932), poète né à Béziers, son œuvre Les deux Triomphes sur une musique de Déodat de Séverac fut donnée en prologue d'Héliogabale au Théâtre des Arènes, à Béziers, le 21 août 1910.
Robert Barbot, (1904-1992) maire d'Ispagnac de 1949 à 1964[réf.nécessaire]
Justin Jaffard (1791-1854), représentant (député) de la Lozère à l'Assemblée législative, de 1849 à 1851, et né à Ispagnac.
Héraldique
Son blasonnement est: d'argent à un château de trois tours de gueules ouvert, ajouré et maçonné de sable.
Voir aussi
Bibliographie
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Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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