Inzinzac-Lochrist [ɛ̃zɛ̃zak lɔkʁist] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
Inzinzac-Lochrist | |
![]() Le Blavet à Inzinzac-Lochrist. | |
![]() Héraldique |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Bretagne |
Département | Morbihan |
Arrondissement | Lorient |
Intercommunalité | Lorient Agglomération |
Maire Mandat |
Armelle Nicolas 2020-2026 |
Code postal | 56650 |
Code commune | 56090 |
Démographie | |
Gentilé | Inzinzacois ou Lochristois |
Population municipale |
6 548 hab. (2019 ![]() |
Densité | 147 hab./km2 |
Population agglomération |
184 853 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 50′ 40″ nord, 3° 15′ 57″ ouest |
Altitude | 72 m Min. 2 m Max. 111 m |
Superficie | 44,67 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Hennebont (banlieue) |
Aire d'attraction | Lorient (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Guidel |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | inzinzac-lochrist.fr |
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Inzinzac-Lochrist se situe en Bretagne, dans le département du Morbihan. Inzinzac-Lochrist, voisine de la ville d'Hennebont, se situe à 20 km de Lorient et à 50 km de Vannes.
La ville, située au cœur de la vallée du Blavet, est membre de la communauté d'agglomération de Lorient Agglo.
Inzinzac-Lochrist est une commune formée par quatre entités : Inzinzac, Lochrist, Penquesten et Kerglaw.
Inzinzac-Lochrist comporte plusieurs quartiers : Inzinzac, Lochrist, La Montagne et Penquesten.
Calan | Lanvaudan | Lanvaudan |
Cléguer | ![]() |
Languidic |
Caudan | Hennebont | Languidic |
La commune est assez vallonnée. L'altitude varie entre 2 mètres au niveau de la dernière écluse du canal du Blavet (écluse de Polvern) et 111 mètres sur le plateau dominant la vallée du Blavet. La vallée du Blavet est profonde d'une soixantaine de mètres et présente à certains endroits des escarpements rocheux. Le bourg d'Inzinzac est situé à mi-pente à une altitude voisine de 75 mètres. Le bourg de Penquesten est situé sur une colline qui culmine à 95 mètres d'altitude. Le bas de Lochrist est situé au niveau du Blavet à une altitude de seulement 2 mètres alors que le haut de Lochrist est situé à une altitude voisine de 65 mètres.
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Le Blavet borde la commune à l'est et au sud. Il y décrit un grand coude.
Dans le cadre de sa trame verte, elle-même intégrée dans la « ceinture verte » de l'agglomération (dans le cadre du SCoT du pays de Lorient), la commune a effectué une requalification des berges et rives du Blavet et d'une friche industrielle (ancien site sidérurgique) ; le Blavet et le « bois de Trémelin » (750 hectares) sont deux des éléments importants de la ceinture verte[1].
Le parc du Bunz, 7 hectares, est l'ancienne propriété des directeurs des Forges. L'ancien château, victime d'un incendie, a été rasé. Le site, appartenant aujourd'hui à l'agglomération, est ouvert au public.
La commune d'Inzinzac-Lochrist est desservie par le réseau CTRL[2] :
Ligne | 14 | Inzinzac-Lochrist - Mané Bihan ↔ Lorient - Gare d'échanges | |
Ligne | 41E | Inzinzac-Lochrist - Mané Bihan ↔ Lorient - Lycées | |
Ligne | 104 | Bubry - Centre ↔ Inzinzac-Lochrist - Les forges |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, mise en service en 1952[9] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 12 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].
Inzinzac-Lochrist est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hennebont, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 22 204 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lorient dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
L'occupation des sols simplifiée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est la suivante : forêts (41,4 %), zones agricoles hétérogènes (27,7 %), terres arables (22,5 %), zones urbanisées (6,1 %), mines, décharges et chantiers (1,6 %), prairies (0,8 %)[22]. Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols détaillée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de cette même base.
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 6,1 % | 272 |
Extraction de matériaux | 1,0 % | 44 |
Décharges | 0,6 % | 28 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 22,5 % | 1010 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 0,8 % | 35 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 26,0 % | 1170 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 1,7 % | 75 |
Forêts de feuillus | 8,0 % | 361 |
Forêts de conifères | 3,5 % | 159 |
Forêts mélangées | 29,8 % | 1342 |
Source : Corine Land Cover[23] |
Le territoire de la commune recouvre quatre agglomérations : Inzinzac, Lochrist, Penquesten et La Montagne (Kerglaw).
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 2 668, alors qu'il était de 2 340 en 1999[I 1].
Parmi ces logements, 92,5 % étaient des résidences principales, 3,6 % des résidences secondaires et 3,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,0 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,6 % des appartements[I 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 80,2 %, en légère hausse sensible par rapport à 1999 (76,4 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était en baisse : 9,3 % contre 11,0 % en 1999, leur nombre ayant diminué de 236 à 230[I 3].
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Les armoiries de Inzinzac-Lochrist se blasonnent ainsi :
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Le nom de la commune en breton est Zinzag-Lokrist.
Comme tous les toponymes se terminant en -ac, Inzinzac dériverait du nom d'un domaine gallo-romain originel (de type fundus) dont le propriétaire devait être un certain Decentius (Sisentius pour Dauzat), anthroponyme latin que l'on retrouvait aussi en Ombrie et Étrurie. Le toponyme peut s'expliquer par l'ancien français censie, « terre grevée de cens », redevance due par les tenanciers au seigneur local[24].
Lochrist : attestée sous la forme latine Locus Christi en 1277. Lokrist en breton.
Comme tous les Lok-, ce lieu vit s'épanouir un établissement religieux dédié au Christ lors du Bas Moyen Âge, postérieur au Xe siècle[25].
Le territoire d'Inzinzac-Lochrist est habité dès le Ve siècle av. J.-C. par les Vénètes.
L'archéologie révèle sur le territoire de la commune, un ensemble de sites à vocation agricole, notamment ceux de Pen-ar-Prat et de Kermat[26]
Au Xe siècle, la paroisse faisait partie de la seigneurie du Kemenet-Héboé puis, après le démembrement de cette dernière, fut la propriété en 1200 d'Hervé de Léon et en 1303 des Templiers. Ceux-ci avaient fondé un établissement qui s'appelle encore le Temple, monastère dont il ne reste aucune trace. Ce couvent passe en 1313 aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui l'annexèrent à leur commanderie du Faouët.
Au XVIIe siècle, la ville est victime d'une terrible épidémie de peste.
Inzinzac, nom traditionnel de la commune, est érigée en commune en 1790 pendant la Révolution française. Elle prend le nom d'Inzinzac-Lochrist en 1969[27].
En 1800, Inzinzac fut placé dans l'arrondissement de Lorient, et annexé en 1801 au canton d'Hennebont[28].
En 1860, la commune prend de l'importance avec la création d'un site industriel métallurgique : les forges d'Hennebont.
En 1889 Benjamin Girard écrit : « Cette commune n'a pris une certaine importance et vu s'accroître sensiblement sa population que depuis la création sur son territoire d'une usine où l'on fabrique de la tôle et du fer blanc. Son voisinage d'Hennebont facilite l'écoulement de tous les produits de cette usine. On remarque dans la dite commune un pont, à cinq arches gothiques. D'Inzinzac dépend la section de Penquesten, où se trouve une chapelle, qui a été érigée en paroisse »[29].
Le monument aux morts d'Inzinzac-Lochrist porte les noms de 145 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale dont trois péris en mer[30]. Il faut y ajouter les 39 soldats dont les noms sont indiqués sur le monument aux morts de Penquesten[31]. Julien Quenoit, sergent au 144e régiment d'infanterie, décédé le à Lagny-le-Sec (Oise) fut décoré de la Croix de guerre[32].
François Rolland, né en 1889 à Inzinzac-Lochrist, soldat au 265e régiment d'infanterie, fut fusillé pour l'exemple le à Saint-Étienne-Roilaye (Oise) pour « refus d'obéissance et outrages à supérieur »[33].
En 1936 les ouvriers des Forges adhérent en masse à la CGTU ; en représailles le patron des Forges, aussi maire d'Hennebont, Camille Herweg, supprime le club de football, mais aussi de gymnastique et de musique, des "Enfants de Lochrist-Hennebont" ; seuls subsistent deux clubs catholiques : la "Garde du Vœu" d'Hennebont et les "Tricolores" de Lochrist. Les ouvriers finissent par trouver un terrain pour y pratiquer le football sur les hauteurs de la commune, dans le quartier de La Montagne, d'où le nom donné au Club : "L'US Montagnarde". Les couleurs choies pour le club furent le bleu et le rouge (comme les chemises bleues et les cravates rouges des "Jeunesses socialistes" à l'époque)[34].
Le monument aux morts d'Inzinzac-Lochrist porte les noms de 11 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[30]. Celui du cimetière de Lochrist indique 16 noms supplémentaires de personnes également mortes pour la France dont ceux de trois résistants décédés dans des camps de concentration en Allemagne : Joseph Arquetoux[35] ; Joseph Mouello[36] et Joseph Yziquel[37]. Sept résistants originaires d'Inzinzac-Lochrist : Henri Le Bobinnec[38], Jean Le Quellec[39], Paul Maguérès[40], Pierre Nicolas[41], Robert Le Novère[42], Maurice Taglafieri[43] et Joseph Le Terrien[44], maquisards du 1er bataillon FTP font partie des 52 résistants[45] tués lors des combats de Kervernen[46] en Pluméliau le . Deux autres maquisards FTP, Eugène Dubois[47] et Yves Le Cloirec[48], furent tués le à la chapelle du Cloître en Quistinic, transformée en infirmerie pour les résistants. Marcel Cadio[49], résistant FTP lui aussi, fut tué le à Penhap en Marzan[50].
Début août 1944, les Alliés américains tentèrent de libérer Lochrist, mais ils furent repoussés par les Allemands, comme à Hennebont.
Un soldat soviétique, Feodor Feodarevitch Kojemiakin, décédé le , est inhumé dans le cimetière d'Inzinzac[51].
Inzinzac-Lochrist fit partie de la poche de Lorient, une zone de résistance nazie mise en place en août 1944, et qui fut libérée tardivement le .
Inzinzac-Lochrist est considérée comme étant une terre de "gauche", plaçant tout le temps les candidats de gauche en tête.
Pour les élections présidentielles, en 2007, Ségolène Royal (PS) 64,03 % des voix contre 35,97 % à Nicolas Sarkozy (UMP). En 2012, François Hollande (PS) obtient 67,60 % des voix, contre 32,40 % à Nicolas Sarkozy (UMP).
En mars 2014, Armelle Nicolas (sans étiquette) est élue Maire, alors que depuis la Libération la Ville a toujours été dirigée par des socialistes.
Pour l'élection présidentielle de 2017, la ville suit la tendance nationale, montrant un rejet des deux principaux partis politiques historiques, le Parti socialiste et les Républicains. En effet, au premier tour, Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon, respectivement candidats de la République en marche et La France insoumise, se retrouvent largement en tête avec 28,38 % des suffrages pour le premier et 24,24 % pour le second. Suit ensuite la candidate du Front national, Marine Le Pen, avec 16,58 %. Benoît Hamon (Parti socialiste) et François Fillon (Les Républicains) ne recueillent respectivement que 10,32 % et 10,30 %. Au second tour, Emmanuel Macron obtient 72,84 % des suffrages contre 27,16 % pour sa rivale frontiste Marine Le Pen, constituant un large plébiscite pour le candidat En Marche. Au niveau national, Emmanuel Macron est élu président de la République avec un score de 66,10 %, résultat légèrement moindre que celui obtenu dans la commune.
La ville d'Inzinzac-Lochrist est administrée par un conseil municipal composé de 29 membres.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
maire en 1835[52] | 1837 (décès) |
Pierre Michel Kerlero de Rosbo (1767-1837) |
Lieutenant de vaisseau Conseiller d'arrondissement | |
mai 1945 | mars 1977 | François Giovannelli (1907-1986) |
SFIO-PS | Comptable aux Forges puis directeur de coopérative |
mars 1977 | mars 2001 | Jean Giovannelli | PS | Professeur, député (1981-1993) |
mars 2001 | mars 2014 | Jean-Pierre Bageot | PS | |
mars 2014 Réélue en 2020[53] |
En cours | Armelle Nicolas | DVD | Fonctionnaire retraitée 6e vice-présidente de Lorient Agglomération |
La ville d'Inzinzac-Lochrist est jumelée avec la ville de Parres en Espagne.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[55].
En 2019, la commune comptait 6 548 habitants[Note 7], en augmentation de 2,88 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 466 | 2 864 | 2 364 | 2 413 | 2 300 | 2 400 | 2 175 | 2 245 | 2 260 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 109 | 2 193 | 2 438 | 2 490 | 2 766 | 2 815 | 2 999 | 3 436 | 3 748 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
4 406 | 4 868 | 4 952 | 4 654 | 4 692 | 4 967 | 4 977 | 5 276 | 5 111 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
5 071 | 4 714 | 5 069 | 5 594 | 5 541 | 5 395 | 5 619 | 5 650 | 6 246 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
6 526 | 6 548 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,2 % la même année, alors qu'il est de 31,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 223 hommes pour 3 303 femmes, soit un taux de 50,61 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,51 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,3 | 90 ou + | 1,0 |
5,7 | 75-89 ans | 8,6 |
17,1 | 60-74 ans | 17,5 |
22,7 | 45-59 ans | 20,5 |
19,6 | 30-44 ans | 19,8 |
13,6 | 15-29 ans | 12,7 |
21,0 | 0-14 ans | 19,7 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,7 | 90 ou + | 2 |
8,1 | 75-89 ans | 11,6 |
19,5 | 60-74 ans | 20,5 |
21 | 45-59 ans | 20,3 |
17,4 | 30-44 ans | 16,5 |
15,6 | 15-29 ans | 13,2 |
17,8 | 0-14 ans | 15,9 |
La commune compte cinq écoles publiques (école Les Lucioles (Lochrist, maternelle), école la Forgerine (Lochrist, primaire), école de Kerglaw (La Montagne), école de la Châtaigneraie (Penquesten) et école Jules Ferry (Inzinzac)) réparties dans les différents quartiers, et deux écoles privées (école Notre-Dame de Lochrist (Lochrist) et école Notre-Dame de Lourdes (Inzinzac)).
Sauf dérogation, les élèves poursuivent leur scolarité au collège Paul Langevin puis au lycée Victor Hugo d'Hennebont.
Insee :
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