Géraudot est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est.
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Géraudot | |
![]() Blason |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Grand Est |
Département | Aube |
Arrondissement | Troyes |
Intercommunalité | Communauté de communes Forêts, lacs, terres en Champagne |
Maire Mandat |
Noémie Brague 2020-2026 |
Code postal | 10220 |
Code commune | 10165 |
Démographie | |
Gentilé | géraudoise, geraudois |
Population municipale |
337 hab. (2019 ![]() |
Densité | 20 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 18′ 34″ nord, 4° 19′ 25″ est |
Superficie | 16,74 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Troyes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Brienne-le-Château |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | geraudot.fr |
modifier ![]() |
Rouilly-Sacey | ||
Dosches | ![]() |
Piney |
Lusigny-sur-Barse | Mesnil-Saint-Père |
Géraudot, autrefois orthographié Gérosdot, est une commune de la Champagne humide située sur les rives du lac d'Orient, cela provenait de la réunion du village à la seigneurie d'Aillefol en 1669 qui relevait de la grosse tour royale de Troyes.
Géraudot est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].
La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac d'Orient, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[6]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[7],[8].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (30,4 %), eaux continentales[Note 3] (24,6 %), forêts (22,8 %), prairies (14,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), zones urbanisées (3,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
La première mention du village ne remonte qu'à la donation de André de Rosson, chevalier du Temple qui fait don en 1220 de ce qu'il possède à Aillefol et Rosson à sa nouvelle confrérie. Sa fille Agnès confirmait cette donation à la commanderie de Bonlieu.
En 1231, sur l'ancienne paroisse d'Aillefol, est fondée la commanderie de l'Hôpiteau par l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem sur des terres vendues par le comte de Brienne Gautier IV.
Le village était une mairie royale.
En 1789, le village dépendait de l'intendance et de la généralité de Châlons-sur-Marne, de l'élection de Troyes. Pour le bailliage, une partie relevait de Troyes et pour partie de Chaumont. Il a aussi été chef-lieu de district du 29 janvier au 29 novembre 1790 avant d'être rattaché au canton de Piney.
Le château, sur la route vers Lusigny a été vendu à Révolution à Henri Clément, puis à Anatole Chanoine en 1851. Ainsi qu'une maison seigneuriale qui appartenait en 1526 à Pierre de Beauffremont au lieu-dit Aillefol et des terres au Haut-du-Porche. Louis II de Vienne obtenait par lettre patente de 1669 le rattachement de cette seigneurie au fief de Géraudot.
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Les armes de la ville se blasonnent ainsi : d’azur à la cotice en barre d’or accompagnée, en chef, d’un petit voilier contourné d’argent et en pointe d’une grue contournée au naturel. |
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Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Joseph Goussin | ||||
Adolphe Grandnom | ||||
Adrien Goussin | ||||
Louis Goussin | ||||
1886 | Adolphe Grandnom | |||
1886 | 1887 | Alexandre Millard | ||
1887 | 1892 | Louis Goussin | ||
1892 | 1900 | Victore Goisier | ||
1900 | 1902 | Hippolyte Goussin | ||
1902 | 1909 | Louis Goussin | ||
1909 | après 1915 | Emile Ferdinand Delarue 1850-1931 | Menuisier | |
mars 2001 | mars 2008 | Marcel Launoy | ||
mars 2008 | mai 2020 | Roland Bernard | DVD | Retraité |
mai 2020 | En cours | Noémie Brague | DVC | Assistante à la Coordination du Parcours Patient Grand Est secteur GHT 3 et 4 |
Les données manquantes sont à compléter. |
Edme Victor Bertrand, général des armées de la République et de l'Empire, né à Géraudot le 21 juillet 1769, mort à Vermandovillers le 15 janvier 1814 des suites d'une blessure contractée à Leipzig. Voir la Liste des généraux de la Révolution et du Premier Empire.
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