Anciennes mentions[1],[2],[3]: Gissberg (); Uff Güsberg (); Gischberg (); Guischberg près Montbronn (); Guischberg ( et ); Guichberg ( et ); Guchenberg (); Glasberg (); Geisberg (fin du XVIIIesiècle); Glansberg (-); Gueschberg (); Güsberg (); Giesbergerhof (); Guisberg ().
De l’allemand Berg, hauteur, et de l’ancien haut allemand, gouch, de l’allemand Gauch, qui a donné le nom Kuckuck, le coucou, un Gauchsberg, devenu Gaussberg, Geisberg puis Gissberg. En définitive, le nom de Guisberg signifie «montagne du coucou» bien qu'aujourd’hui l’annexe du Guisberg soit devenue le royaume incontesté des chauve-souris[2].
Plusieurs belles croix monumentales sont érigées dans le hameau, ainsi qu'aux alentours. Témoignant de la foi profonde des habitants, elles sont fidèlement entretenues;
Entourée de belles forêts et de vertes étendues, la localité bénéficie d'un magnifique cadre naturel, agrémenté par la présence d'un étang tout proche[3].
Forge
Une forge se situe au XVIIIesiècle sur le ban de Guisberg, entre le hameau et le moulin de la Felsenmühle, appartenant à l'abbaye de Sturzelbronn. Le canton à la droite du moulin est encore appelé Schmälzes sur le plan cadastral, en référence à la forge disparue. Construite sans doute vers , elle n'occupe que peu d'ouvriers jusqu'en 1740 et utilise le minerai de Bining[3].
L'atlas topographique du comté de Bitche de mentionne que: «la maison qui est au bout de la levée du grand étang au bas de la montagne est en ruine. C'était autrefois une forge à fer qui est actuellement abandonnée»[3].
Cultes
Du point de vue du spirituel, le hameau de Guisberg constitue tout d'abord une succursale de la paroisse voisine de Siersthal pendant l'Ancien Régime, dans l'archiprêtré de Hornbach, aujourd'hui en proche Allemagne. Lors de la réforme des circonscriptions ecclésiastiques, entreprise à partir de , le village d'Enchenberg est érigé en paroisse autonome et intégré au nouvel archiprêtré de Rohrbach, calqué sur le canton: les quelques maisons de Guisberg sont alors rattachées à la nouvelle paroisse[3].
Annexes
Bibliographie
(fr) Joël Beck, Rohrbach-lès-Bitche et son canton, Sarreguemines, Éditions Pierron, , 362p.
(fr) Joël Beck, Moulins: huileries, tailleries, scieries du pays de Bitche, Sarreguemines, Éditions Pierron, , 503p. (lire en ligne)
(fr) Joël Beck, Le canton de Rohrbach-lès-Bitche, Éditions Sutton, , 127p.
(fr) Joël Beck, Le Pays de Bitche 1900-1939, Éditions Sutton, , 128p.
(fr) Jean Didier Cochet, Plan local d'urbanisme d'Enchenberg: Rapport de présentation, Laxou, , 82p. (lire en ligne)
(fr) Marie-France Jacops, Jacques Guillaume et Didier Hemmert, Le Pays de Bitche (Moselle), Metz, Éditions Serpenoise, , p.46-48
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