Gonfaron, village du Centre Var situé à 10 km de Le Luc, à 22 de Le Thoronet, à 24 de Brignoles et à 44 de Toulon[1], est membre de la communauté de communes Cœur du Var.
Le village est adossé à la colline de la Roquette, à environ 200 m d'altitude. Il est niché au pied du massif des Maures dont la face Nord et les crêtes culminantes, Notre-Dame-des-Anges et la Sauvette, dominent la région, à l'extrémité ouest de la plaine des Maures.
Sismicité
La commune est située en zone 2, sismicité faible[4].
Hydrographie et les eaux souterraines
La commune est traversée par l'Aille, un affluent de l'Argens, ainsi que par plusieurs de ses affluents[5], et ses 5 ruisseaux: de la Nasque, des Bourganières, de Front Fraye et de la Haute Sauvette[6].
Ressource en eau des contreforts de la Sainte-Baume
Dans le secteur Cœur du Var, les communes de Gonfaron, Les Mayons, Le Cannet des Maures, Le Luc et Le Thoronet, appartenant au territoire Cœur de Var, n’ont pas été intégrées au secteur «Ouest Cœur de Var». Ces cinq communes sont desservies par le syndicat d’Entraigues, dont les ressources en eau relève d’un autre contexte géographique.
Le secteur «Ouest Cœur de Var» regroupe six communes (Cabasse, Flassans-sur-Issole, Besse-sur-Issole, Pujet-Ville, Carnoules et Pignans)[7].
Climat
Le climat de la commune est classés Cfb dans la classification de Köppen et Geiger: méditerranéen et montagnard[8].
La commune est traversée par l'autoroute A57. la sortie la plus proche est la 11, entre Carnoules et Pignans. La route départementale RD 97, reliant Le Luc à Toulon, passe par le centre du village.
Transports en commun
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou! (ex Varlib). Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un «service de transports à la demande» (TAD), réseau régional Zou![9].
Lignes SNCF
La gare de Gonfaron est desservie par les TER Provence-Alpes-Côte d'Azur, sur la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille.
Intercommunalité
Gonfaron est membre de la communauté de communes Cœur du Var de 37 829 habitants, créée en janvier 2002[10].
Les onze communes composant la communauté de communes en 2012 sont (par ordre alphabétique):
Gonfaron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].
Elle appartient à l'unité urbaine de Gonfaron, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[14] et 15 006 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Luc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
La commune est dotée d'un plan local d'urbanisme[19],[20].
Elle a une superficie de 4 042 ha. Actuellement, la partie «village» bâtie sur la colline se compose de petites rues et ruelles entrecoupées d'escaliers ou de porches qui conduisent immanquablement vers la chapelle Saint-Quinis. La partie basse entoure la nationale et la place de la Victoire. C'est là que se situe la majorité des commerces et l'animation.
Tout autour et plus au sud, il y a d'abord des «quartiers» de résidences entourées de jardins. Plus loin, dans les campagnes, de nouveaux lotissements se construisent jusqu'au pied du massif des Maures.
En matière d'urbanisme intercommunal, qui fixe les orientations générales et objectifs, la commune de Gonfaron fait partie intégrante du schéma de cohérence territoriale (SCoT) de la communauté de communes Cœur du Var[21],[22].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,7% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (47,4%), cultures permanentes (27,6%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,3%), zones agricoles hétérogènes (8,2%), zones urbanisées (4,6%), terres arables (0,9%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Gonfaronus, Gonfanonus (bas latin), Gonfanonem (1039), Confanone (1062), Gonfarone (1341), Gonfaron (1793). Son nom en provençal est Gonfaron (écriture classique) et Gounfaroun (écriture mistralienne) et leur prononciation identique avec le -r intervocalique roulé presque comme un -l.[25]
Histoire
Préhistoire
Les premières traces d'habitat sur la commune ont été retrouvées dans deux grottes, de la colline de la Roquette. Elles remontent à l'âge du bronze. Proche de ses grottes se trouvent les restes d'un oppidum ligure[26].
Antiquité
Des traces d'occupation romaine, datant de 100 av. J.-C., ont été retrouvées le long de la route reliant Gonfaron à Flassans-sur-Issole[26].
Moyen Âge
Le village faisait partie de la seigneurie de Pignans. En 1481, Charles V d'Anjou, alors comte de Provence, désigne Louis XI comme héritier. À son décès, la commune, comme l'ensemble de la Provence, est alors rattachée à la France[26].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans le Var.
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Chef d'entreprise BTP 3e vice-président de la CC Cœur du Var (2014 → 2020) 1er vice-président de la CC Cœur du Var (2020 → ) Réélu pour le mandat 2020-2026
Budget et fiscalité 2020
Mairie de Gonfaron.
En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[32]:
total des produits de fonctionnement: 4 102 000 €, soit 937 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 3 869 000 €, soit 883 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 514 000 €, soit 117 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 596 000 €, soit 136 € par habitant.
endettement: 1 271 000 €, soit 290 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 19,90%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 18,42%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 73,82%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00%;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018: Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation: 19 640 €[33].
Jumelages
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Politique environnementale
Une nouvelle station d'épuration d'une capacité de 6350 équivalent-habitants a été réalisée[34],[35],[36],[37].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].
En 2019, la commune comptait 4 329 habitants[Note 3], en augmentation de 1,31% par rapport à 2013 (Var: +4,68%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 102
1 295
1 323
1 399
1 596
1 673
1 810
1 773
1 882
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 101
2 491
2 457
2 480
2 339
2 175
2 085
2 577
2 524
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 555
2 232
2 241
2 048
2 115
2 164
2 035
1 706
1 627
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
1 752
2 133
2 308
2 277
2 566
2 805
3 481
3 713
4 107
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
4 302
4 329
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Un centre de santé comptant trois médecins généralistes, kiné, infirmières, ostéopathes, podologue, pédicure est implanté dans la commune[44].
Pharmacies à Gonfaron, Pignans.
Hôpitaux à Le Luc, Pierrefeu-du-Var, Bormes-les-Mimosas.
Centre hospitalier intercommunal Toulon-La Seyne-sur-Mer.
Hôpital privé Toulon Hyères-Saint Jean[45] à 43 km.
Cultes
La paroisse catholique romaine de l'Immaculée Conception est une paroisse du diocèse de Fréjus-Toulon, son curé est le père Krzysztof KLYSIAK[46].
La mission anglicane méthodiste du Christ-Roi (The Anglican Methodist Mission of Christ the King) est une congrégation anglicane confessante de tradition Basse Église, francophone et anglophone, fondée le 22 septembre 1998; elle est administrée par un pasteur: le révérend Emmanuel Briglia-Audibert[47]. Elle est membre de l'Église Méthodiste Épiscopale de France et du Fellowship of Confessing Anglicans[48]. Elle est installée à Gonfaron depuis 2009[48].
L'industrie de liège dans le massif des Maures[54].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Village des tortues
Une guide du village des tortuesTortue d'Hermann faisant l'objet d'un sauvetage par la station d'observation et de protection sur un site en chantier (Les Arcs-sur-Argens, printemps 2010).
La commune est connue pour son Village des tortues, siège de la Station d'Observation et de Protection des Tortues et de leurs milieux et centre d'étude et de conservation de la tortue d'Hermann, qui se trouve dans cette commune et draine de nombreux touristes. Le lieu accueille divers équipements tel que la clinique des tortues, les écloseries, les nurseries ou divers enclos[55]. Ce village est dû à Bernard Devaux, ancien journaliste, naturaliste, professionnellement reconverti dans les années 1980 dans l'étude et la protection de l'animal sauvage le plus symbolique de la nature du Massif des Maures: la tortue d'Hermann. L'intense activité touristique du Village des tortues qu'il a fondé aux abords de la commune est une source économique majeure pour la région et l'une des plus importantes contributions mondiales à l'étude des tortues dans leur milieu naturel[56].
Les principaux monuments
Le patrimoine religieux
L'Église de Saint-Jacques de Cagnosc. Il n'en reste qu'un pan de mur. Elle daterait du XIesiècle;
L'église Immaculée-Conception» consacrée en 1865[57],[58]et sa cloche de 1674[59];
La chapelle Saint-Quinis: reconstruite plusieurs fois, l'actuelle date de 1849[60], et sa cloche de 1645[61];
La commune est surtout connue pour la légende de l'âne volant. Cette légende lie le village à saint Quinis, son saint patron. La chapelle qui surplombe le village porte d'ailleurs le nom de chapelle de Saint-Quinis. La mention de «Âne volant» est reprise tant dans des enseignes de magasin que des noms d'associations locales.
La fête de l'âne volant se fête en avril. En fin de journée, l'âne édifié à cette occasion est brûlé. Au cours du temps, plusieurs versions de la légende son nées. La légende la plus réputée est celle-ci: le village est surmonté par une chapelle portant le nom de son saint patron, saint Quinis. La tradition voulait que les habitants se réunissent pour une procession vers la chapelle, il était donc demandé aux habitants de nettoyer les rues par lesquelles passerait le cortège. En 1645, un Gonfaronnais «grincheux» refusa, on ne sut jamais pourquoi, de faire cette besogne de propreté et s'écria simplement: «Si saint Quinis trouve le passage trop sale, il n'aura qu'à sauter par-dessus!». Selon certains, il ajouta quelques propos désobligeants.
Le pays où les ânes volent dans le caveau de dégustation de la cave.
La municipalité fit procéder d'autorité au travail nécessaire. La fête eut lieu dans la joie et la bonne humeur, mais l'incident resta pourtant dans la mémoire des habitants... Quelque temps après, le vieil homme revenant de la campagne sur son âne, descendait les pentes de la Carnaraute (nom local de la montagne qui domine Gonfaron au nord). Or sa bête, énervée par les taons, prit soudain une allure précipitée. À tel point que, quittant son chemin, elle fit un vol plané au-dessus du ravin tandis que son piteux cavalier était projeté rudement sur le sol. Connue aussitôt, sa mésaventure fit la joie et la risée de tout le pays, et chacun de s'écrier: «C'est bien fait, saint Quinis l'a puni, son âne a volé».
Cette légende, quelle qu'en soit la version retenue, est directement liée à une expression familière, «à Gonfaron les ânes volent / à Gounfaroun leis ai volon», destinée à indiquer à son interlocuteur que l'on n'en croit rien, que l'on n'est pas dupe de ce qui vient d'être dit. L'expression d'origine en provençal joue sur l'homophonie entre Gounfaroun et gounfaloun ou gounfaroun, mot qui signifie bannière. Et une bannière vole dans le vent, comme l'âne de la légende[86],[87].
La vie de saint Quinis
Maître-autel de la cathédrale Saint-Quenin à Vaison-la-Romaine.Abside triangulaire de la chapelle de saint Quenin à Vaison-la-Romaine.
Saint Quinis, patron de Gonfaron, est né à Vaison-la-Romaine (Vaucluse) vers l’an 500. On le nommait "Quenin" ou "Quinidius" (en latin). Ses parents étaient chrétiens, très pieux et son père occupait un poste important à la municipalité. Sa mère fit un jour un pèlerinage à Arles et là, elle entendit une voix lui annonçant qu’elle aurait un fils qui serait évêque et ferait beaucoup de conversions de pécheurs et de miracles[88].
Quinis fut baptisé à sa naissance et élevé dans la religion chrétienne par de très bons maîtres. Très bon élève, il apprit en classe: la grammaire, le latin, le calcul, la musique. Quand il fut plus grand, l’évêque de Vaison l’envoya compléter son instruction au monastère des Îles de Lérins(îles en face de Cannes), qui existe toujours. Les moines y tenaient une école très connue et très bonne où l’on formait des savants, des prêtres et même des évêques[89].
Quinis partit donc et passa par Avignon, Brignoles, Besse-sur-Issole, Gonfaron. Il traversait les villes et les campagnes, couchant chez les paysans ou dans les auberges. Il prêchait l’évangile de Jésus avec charité et douceur aux personnes qu’il rencontrait sur son chemin. Il parlait aux laboureurs, aux vignerons, aux bergers, aux bûcherons et leur apprenait la charité et l’amour de Dieu. Il leur conseillait d’abandonner les cultes païens, hérités des Romains[89].
Comme le Vaisonnais avait séjourné à Gonfaron et converti la population, celle-ci fit construire une chapelle, en son honneur, au Xesiècle. Située en haut du vieux village; elle subit de nombreux avatars. Elle fut détruite, une première fois, au XVIesiècle au cours des guerres de Religion et restaurée en 1638 puis en 1849, un peu plus bas que l’ancienne. Pourtant, une quarantaine d’année de nouveaux travaux de réfection s'imposèrent, enfin au XXesiècle une ultime rénovation fut nécessaire. Chaque année, au mois de février, les paroissiens du village fête leur saint lors d'une neuvaine. Celle-ci a perduré quant à la fête de l’âne, elle se déroule fin mars, et la statue de saint Quinis l'accompagne en procession jusqu'à la chapelle[90].
Personnalités liées à la commune
Le peintre Janusz de Rola a vécu à Gonfaron de 1981 à sa mort. Un pont[91] porte d'ailleurs son nom.
Le pilote Henri Julien(en), né en 1927, qui créa en 1968, l'écurie de course automobile AGS Automobiles Gonfaronnaises Sportives. Cette marque participa à d'innombrables compétitions en Formule France, Formule Renault, Formule 3, Formule 2, Formule 3000, et même Formule 1 de 1986 à 1991. C'est sur son initiative que fut fondé le Circuit du Var au Luc que l'équipe utilise toujours. AGS survit à son départ de la Formule 1, dès 1992 germe l'idée d'utiliser le matériel de l'équipe dans le cadre de stages de pilotage haut de gamme. En 2002, AGS a même conçu des toutes nouvelles Formule 1 répondant à la réglementation technique en vigueur: les SH01, SH02, SH03 et deux biplaces. Outre ces dernières et les anciennes JH24, l'entreprise propose aussi de piloter dans le cadre de ses stages des anciennes Arrows, Prost Grand Prix, Jordan Grand Prix ainsi qu'une Peugeot 905. Henri Julien est aussi détenteur du record du monde de l'heure des Racer 500 le 3/9/1997 à la vitesse de 222,557km/h en collaboration avec son ami Bernard Boyer[92].
Jeannine Leïd, conservatrice des valeurs gonfaronnaises et de l'histoire de ce village[93]. L'association Les Amis de Saint-Quinis a pour but de venir en aide aux plus démunis mais aussi à l'amélioration de la vie des paroissiens.
Lucien Sapin, peintre et sculpteur est arrivé à Gonfaron à l'âge de 6 mois. Très jeune, il fera de la sculpture son métier. Chef d'atelier des Marbres Français, il dirige 32 ouvriers; attaché au musée du Louvre au titre de meilleur ouvrier de France, il restaure: La grande galerie du Louvre avec son équipe de spécialistes en ce qui concerne la marbrerie, et le pavillon de Flore. Chargé de mission par le ministère de la Culture, il travaille dans les musées étrangers. Il visite des carrières et sélectionne des marbres pour les restaurations futures[94].
Fernand Briano, leveur de liège, à qui le musée du liège de Gonfaron[95] consacre un encart, puis pompier bénévole où il applique des contre feux, système interdit actuellement[96], et toute sa vie il forme les jeunes à la chasse, passion qu'il a pratiqué jusqu'à 90 ans. Il œuvra aussi à la Résistance de Gonfaron durant la Seconde Guerre mondiale où il fut maquisard; il alimentait ses collègues abrités dans un cabanon dans les Maures, notamment[97].
Guide du Tourisme industriel et technique en Provence-Alpes-Côte d’Azur-Corse, Monuments, Étapes et Curiosités, Paris, Éditions Solar, , 152p. (ISBN2-263-01872-7)
Collection EDF – La France contemporaine. p. 108 Gonfaron: Bollery et fils (SARL) (Menuiserie artisanale)
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«parc du château des Houerts», notice noIA83000396, base Mérimée, ministère français de la Culture pré-inventaire (jardins remarquables; documentation préalable)
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