Fleury-Mérogis (prononcé [flœʁi meʁɔʒis]Écouter) est une commune française située à vingt-six kilomètres au sud de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France. Elle est notamment connue pour sa maison d'arrêt, qui est l'une des plus grandes prisons d'Europe.
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Fleury-Mérogis est située à vingt-six kilomètres au sud de Paris-Notre-Dame[3], point zéro des routes de France, six kilomètres au sud-ouest d'Évry[4], sept kilomètres à l'est de Montlhéry[5], neuf kilomètres à l'ouest de Corbeil-Essonnes[6], neuf kilomètres au nord-est d'Arpajon[7], treize kilomètres au sud-est de Palaiseau[8], seize kilomètres au nord de La Ferté-Alais[9], vingt-six kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[10], vingt-six kilomètres au nord-est d'Étampes[11], vingt-huit kilomètres au nord-est de Dourdan[12].
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Hydrographie
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Relief et géologie
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Le point le plus bas de la commune est situé à soixante-seize mètres d'altitude et le point culminant à cent un mètres[13].
Communes limitrophes
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Morsang-sur-Orge
Viry-Châtillon
Grigny
Sainte-Geneviève-des-Bois
N
Ris-Orangis
OFleury-MérogisE
S
Le Plessis-Pâté
Bondoufle
Bondoufle
Climat
Article connexe: Climat de l'Essonne.
Fleury-Mérogis, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé aux hivers frais et aux étés doux, en étant régulièrement arrosée sur l'ensemble de l'année. En moyenne brute annuelle, la température s'établit à 10,8°C, avec une moyenne maximale de 15,2°C et une moyenne minimale à 6,4°C. Les températures moyennes mensuelles extrêmes relevées sont de 24,5°C en juillet au maximum et 0,7°C en janvier au minimum, mais les records enregistrés s'établissent à 38,2°C le et −19,6°C le . Du fait de la moindre densité urbaine entre Paris et sa banlieue, une différence négative de un à deux degrés Celsius se fait sentir, surtout en début de journée. L'ensoleillement est comparable à la moyenne des régions du nord de la Loire avec un total de 1 798 heures par an, une moyenne haute à deux cent quarante heures en juillet et basse à cinquante trois heures en décembre. Les précipitations sont également réparties sur l'année, avec un total annuel de 598,3 millimètres de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimètres par mois.
Données climatiques à Fleury-Mérogis.
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
0,7
1
2,8
4,8
8,3
11,1
13
12,8
10,4
7,2
3,5
1,7
6,4
Température moyenne (°C)
3,4
4,3
7,1
9,7
13,4
16,4
18,8
18,5
15,6
11,5
6,7
4,3
10,8
Température maximale moyenne (°C)
6,1
7,6
11,4
14,6
18,6
21,8
24,5
24,2
20,8
15,8
9,9
6,8
15,2
Ensoleillement (h)
59
89
134
176
203
221
240
228
183
133
79
53
1 798
Précipitations (mm)
47,6
42,5
44,4
45,6
53,7
51
52,2
48,5
55,6
51,6
54,1
51,5
598,3
Source: Climatologie mensuelle à la station départementale de Brétigny-sur-Orge de 1948 à 2002[14],[15].
Voies de communication et transports
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Lieux-dits, écarts et quartiers
Quartier des Aunettes, reconstruit et réhabilité en 2013-2016.
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À l'ouest de la ville, dans le quartier des Aunettes, un écoquartier, les Joncs-Marins, est construit à partir de 2013[16] avec seize lots devant totaliser onze cents logements familiaux (labellisés «effinergie +»[Quoi ?]), sociaux, résidence pour personnes âgées à mobilité réduite, centre commercial. Les petits immeubles, en majorité de cinq étages, sont quadrillés de rues ombragées d'arbres avec des allées de verdure et des pelouses. S'étendant sur 17 hectares, il comprend aussi des parkings et des commerces de proximité. Des appartements sont accessibles à la propriété, les derniers étant livrés pour 2016. Le lot no2 comprend dix-neuf maisons individuelles construites selon les normes écologiques[réf.nécessaire].
Urbanisme
Typologie
Fleury-Mérogis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[17],[18],[19].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[20] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].
Toponymie
Fluriacum en 1093[25], Floriacum, Floriacum Merogii, Fleury-Merongis, Flori[26] ou Flory au XIIIesiècle.
De florus «être riche», -acum «fortification» et de l'anthroponyme Méraugis[27].
La commune fut créée en 1789 avec son nom actuel[28].
Histoire
L'histoire de la ville commence en l'an 1093: c'est à l'époque un domaine agricole appartenant à un seigneur du nom de Florus (d'où le nom de Floriacum = de Florus). L'endroit est la possession du seigneur Robertus de Floriacus en 1140, puis de Guillaume de Mérogis[29], et ainsi le village se nomme Flory-Mérogis au début du XIVesiècle. Il est construit autour de sa petite église et du château fort médiéval détruit en 1722. Guillaume Joly de Fleury (1675-1756), propriétaire des terres, fait construire un nouveau château dans les années 1720. La vocation agricole de Fleury-Mérogis se perpétue jusqu'au début des années 1960. En parallèle, on sait aussi qu'au XIXe siècle, la commune comptait aussi une carrière de pierres meulières, destinées à la ville de Paris, dont le lieu-dit du "Bois des trous" tire son nom[30]. Fleury-Mérogis comptait 261 habitants en 1946 et 361 en 1962.
Depuis 1968, la ville accueille sur son territoire la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis, le plus grand centre pénitentiaire d'Europe[31].
La population de la commune explose à partir des années 1970[28], intégrant des travailleurs immigrés et des populations issues de l'exode rural par vagues successives. Cette période marquée par la politique de regroupement familial est gérée par une municipalité communiste (jusqu'en 2009) qui doit faire construire des infrastructures ex nihilo. Les habitants sont au nombre de 4 953 en 1990[29], de 7 419 en 1982 et de 9 219 en 2013[32]. De grandes cités de logements sociaux sont construites rapidement dans les années 1970-1990. La politique de la ville évolue au début du XXIesiècle avec la destruction de tours et la réhabilitation de certains quartiers. Il est à noter que 37% de la surface de la commune sont constitués d'espaces verts ou boisés[29].
Une nuit d'émeute a éclaté en juin 2016 dans la partie ouest de la ville[non pertinent].
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Politique et administration
Position de Fleury-Mérogis en Essonne.
Rattachements administratifs et électoraux
Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[33], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à l'Essonne et à son arrondissement d'Évry après un transfert administratif effectif le . Pour l'élection des députés, la commune est rattachée à la dixième circonscription de l'Essonne.
La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Longjumeau. Celui-ci est scindé en 1964 et la commune rattachée à celui de Juvisy-sur-Orge. Lors de la mise en place du département de l'Essonne, la commune intègre en 1967 le canton de Viry-Châtillon, puis, en 1975, celui de Morsang-sur-Orge. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Ris-Orangis.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté d'agglomération du Val d'Orge créée au .
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le projet de schéma régional de coopération intercommunale de février 2015 prévoyait la création, en Essonne, d’une agglomération de plus de 500 000 habitants regroupant 48 communes, allant de l’Arpajonnais au SAN de Sénart Ville Nouvelle en Seine-et-Marne. Après concertation, ce projet a été amendé et le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la «fusion de la communauté d'agglomération du Val d'Orge et de la communauté de communes de l'Arpajonnais[34]»
Cette fusion est intervenue le , créant la communauté d'agglomération Cœur d'Essonne Agglomération[35], dont la commune est désormais membre.
Tendances et résultats politiques
Élections présidentielles
Résultats des deuxièmes tours:
Élection présidentielle de 2002: 79,46% pour Jacques Chirac (RPR), 20,54% pour Jean-Marie Le Pen (FN), 72,78% de participation[36].
Élection présidentielle de 2007: 51,81% pour Ségolène Royal (PS), 48,19% pour Nicolas Sarkozy (UMP), 83,03% de participation[37].
Élection présidentielle de 2012: 62,65% pour François Hollande (PS), 37,35% pour Nicolas Sarkozy (UMP), 78,13% de participation[38].
Élection présidentielle de 2017: 62,55% pour Emmanuel Macron (LREM), 37,45% pour Marine Le Pen (FN), 72% de participation[39].
Élections législatives
Résultats des deuxièmes tours:
Élections législatives de 2002: 58,80% pour Julien Dray (PS), 41,20% pour Francis Decoux (UMP), 47,35% de participation[40].
Élections législatives de 2007: 57,25% pour Julien Dray (PS), 42,75% pour Laurence Gaudin (UMP), 51,92% de participation[41].
Élections législatives de 2012: 58,48% pour Malek Boutih (PS), 41,52% pour Marianne Duranton (PR), 48,28% de participation[42].
Élections législatives de 2017: 51,35% pour Charlotte Girard (FI), 48,65% pour Pierre-Alain Raphan (EM), 32,02% de participation.
Élections européennes
Résultats des deux meilleurs scores:
Élections européennes de 2004: 23,26% pour Harlem Désir (PS), 21,82% pour Francis Wurtz (PCF), 33,06% de participation[43].
Élections européennes de 2009: 24,32% pour Patrick Le Hyaric (PCF), 16,59% pour Harlem Désir (PS), 32,22% de participation[44].
Élections européennes de 2014: 29,01% pour Aymeric Chauprade (FN), 21,33% pour Pervenche Berès (PS), 35,12% de participation[45].
Élections européennes de 2019: 29,09% pour Jordan Bardella (RN), 12,25% pour Nathalie Loiseau (LREM), 36,99% de participation.
Élections régionales
Résultats des deux meilleurs scores:
Élections régionales de 2004: 62,62% pour Jean-Paul Huchon (PS), 21,82% pour Jean-François Copé (UMP), 55,77% de participation[46].
Élections régionales de 2010: 71,59% pour Jean-Paul Huchon (PS), 28,41% pour Valérie Pécresse (UMP), 39,25% de participation[47].
Élections régionales de 2015: 50,27% pour Claude Bartolone (PS), 25,99 pour Wallerand de Saint-Just (FN), 23,74% pour Valérie Pécresse (LR), 48,03% de participation.
Élections cantonales puis départementales
Résultats des deuxièmes tours:
Élections cantonales de 2004: 69,66% pour Marjolaine Rauze (PCF), 30,34% pour Laurence Gaudin (UMP), 56,00% de participation[48].
Élections cantonales de 2011: 68,14% pour Marjolaine Rauze (PCF), 31,86% pour René Delmas (FN), 36,91% de participation[49].
Élections départementales de 2015: 60,15% pour Hélene Dian-Leloup et Stéphane Raffali (PS) , 39,85% pour Isabelle Rossignol et Claude Stillen (FN), 36,96% de participation.
Élections municipales
Articles détaillés: Élections municipales de 2008 dans l'Essonne, élections municipales partielles de 2009 et élections municipales de 2014 dans l'Essonne.
Résultats des deuxièmes tours
Élections municipales de 2001: données manquantes.
Élections municipales de 2008: 100% pour Michel Humbert (PCF) élu au premier tour, 40,61% de participation[50].
Élections municipales partielles de 2009: 54,43% pour David Derrouet (PS) élu au premier tour, 45,57% pour Michel Humbert (PCF), 52,42% de participation[51].
Élections municipales de 2014: 57,45% pour David Derrouet (DVG) élu au premier tour, 15,60% pour Bruno Hyson (DVD), 15.55% pour Abdel Yassine (DVG), 11,38% pour Annie Saltzmann (FDG), 62,07% de participation[52].
Élections municipales partielles de 2019: 56% pour Olivier Corzani (PCF), élu au premier tour, 29% pour Nadia Le Guern, adjointe sortante et 15% pour Abdel Yassine, 39,05% de participation[53].
Élections municipales de 2020: 79,72% pour Olivier Corzani (PCF) élu au premier tour, 20,28% pour Nadia Le Guern, 42,39% de participation[54].
Référendums
Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel: 69,86% pour le Oui, 30,14% pour le Non, 19,63% de participation[55].
Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe: 73,73% pour le Non, 26,27% pour le Oui, 65,54% de participation[56].
Politique locale
Le maire réélu au terme des élections municipales de 2014 dans l'Essonne, David Derrouet, annonce en juin 2017 sa démission pour des raisons personnelles[57]. Le conseil municipal élit en octobre 2017 son successeur, Aline Cabeza[58], malgré la contestation de certains élus[59]. Celle-ci annonce toutefois sa démission dès novembre 2018, au terme d'un conseil municipal où le quorum n'avait pas été réuni et où des élus avaient reprochés au maire le départ de médecins[60].
Les élections municipales partielles organisées le voient la victoire de la liste « Fleury pleinement citoyenne » (SE) menée par Olivier Corzani (PCF) dès le premier tour[61] et celui-ci est élu maire le [62].
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[77].
Jumelages
Article connexe: Coopérations décentralisées des communes de l'Essonne.
La commune de Fleury-Mérogis n'a développé[Quand?] aucune association de jumelage.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[78],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 13 641 habitants[Note 4], en augmentation de 47,97% par rapport à 2013 (Essonne: +3,81%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
137
251
211
199
210
226
223
225
217
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
217
230
236
235
224
198
201
180
237
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
239
287
268
248
349
324
238
201
445
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
351
1 194
6 551
7 419
9 677
9 074
9 167
9 110
11 430
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
13 641
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[79].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 50,3%, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 6,0% la même année, alors qu'il est de 20,1% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 9 207 hommes pour 4 710 femmes, soit un taux de 66,16% d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,98%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[80]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,0
90 ou +
0,5
0,7
75-89 ans
1,7
3,9
60-74 ans
6,5
14,6
45-59 ans
15,4
30,2
30-44 ans
26,0
37,3
15-29 ans
25,7
13,3
0-14 ans
24,2
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2018 en pourcentage[81]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,2
5,2
75-89 ans
6,9
12,7
60-74 ans
13,6
20,2
45-59 ans
19,6
20
30-44 ans
20,2
19,9
15-29 ans
18,3
21,6
0-14 ans
20
Enseignement
Fleury-Mérogis est rattachée à l'académie de Versailles. Elle dispose[Quand?] des groupes scolaires Robert Desnos, Frédéric Joliot-Curie et Paul Langevin.
Santé
Le centre hospitalier Manhes a été créé initialement en 1965 par la FNDIRP (Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes) pour les anciens déportés [82]. Aujourd'hui, le centre hospitalier propose :Soins de Suite et de Réadaptation (SSR), Hôpital de Jour , Psychiatrie, Hémodialyse rénale, un service de consultations externes . La commune dispose sur son territoire de l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes Marcel-Paul (rattaché au centre Manhes, a vu le jour à l'initiative d'anciens déportés). Le centre Jean-Moulin fondé en 1948, est également rattaché au centre Manhes [83]. Un centre de la protection maternelle et infantile est implanté dans la commune[84].
Culture
La ville dispose[Quand?] de plusieurs infrastructures culturelles, dont[85]:
la salle André-Malraux (théâtre, danse, musique);
la médiathèque Elsa-Triolet;
l'espace Jean-Wiener (centre musical et artistique);
Le Onze (studio de répétition et d'enregistrement).
Sports
Le stade Auguste-Gentelet.
Le club de football, le FC Fleury 91, la D1 Féminine, les réserves, et les jeunes évoluent au Complexe Sportif Auguste Gentelet. Tandis que l'équipe première masculine réside au stade Robert-Bobin de Bondoufle[réf.nécessaire].
Services publics
La commune dispose en 2010 sur son territoire d'une brigade de gendarmerie nationale[86] et d'une agence postale[87].
Lieux de culte
L'église du Saint-Rédempteur.
La paroisse catholique de Fleury-Mérogis est rattachée au secteur pastoral du Val d'Orge-Sainte-Geneviève-des-Bois et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église du Saint-Rédempteur[88], datant du XVIIIesiècle[89].
Médias
L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Économie
La ville est principalement connue pour accueillir sur son sol la prison de Fleury-Mérogis.
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Emplois, revenus et niveau de vie
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En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 729€, ce qui plaçait la commune au 12 100e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au cent quatre-vingtième rang départemental[90].
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
Agriculteurs
Artisans, commerçants, chefs d’entreprise
Cadres et professions intellectuelles supérieures
Professions intermédiaires
Employés
Ouvriers
Fleury-Mérogis
0,0%
1,5%
8,8%
18,2%
44,7%
26,9%
Zone d’emploi d’Orly
0,1%
4,6%
15,2%
27,8%
30,3%
22,1%
Moyenne nationale
2,2%
6,0%
15,4%
24,6%
28,7%
23,2%
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
Les bois communaux ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[94].
Lieux et monuments
Une borne routière marquée d'une fleur de lys, aujourd'hui disparue, a été inscrite aux monuments historiques le [95].
Personnalités liées à la commune
Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Fleury-Mérogis:
Georges Marrane (1888-1976), homme politique y est mort.
Florimond Bonte [1890-1977), homme politique y est mort.
Martine Lefeuvre-Déotte (1951-), sociologue y enseigna.
La famille Joly de Fleury possédait le domaine sous l'Ancien Régime.
Grégoire Ludig (1982-), humoriste et acteur, y est né.
Héraldique et logotype
Article connexe: Armorial des communes de l'Essonne.
La commune de Fleury-Mérogis ne dispose pas de blason. Elle s'est dotée d'un logotype.
Fleury-Mérogis dans les arts et la culture
Trust - Le Mitard (musique): 8emorceau de la version française de l'album Répression, et 10e pour la version anglaise. Les auteurs sont Bernie Bonvoisin (chanteur du groupe) et Jacques Mesrine (ancien criminel français, connu comme "l'ennemi public numéro un", et principal protagoniste du morceau). Dans cette chanson, Fleury-Mérogis désigne la maison d'arrêt de ladite commune, où Jacques Mesrine fut incarcéré. Elle visait à dénoncer le traitement des détenus.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Julien Heyligen (avec Florian Loisy et Isoline Fontaine), «Nouvelles agglomérations en Essonne: qu’est-ce que ça change vraiment?», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne).
«Essonne: Présidentielle 2017: Les résultats à Fleury-Mérogis», Essonne Info | Site d'actualité et d'information en Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
Cécile Chevallier, «Municipale à Fleury-Mérogis: la liste menée par Olivier Corzani l’emporte dès le 1er tour», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le )«Sa liste (SE) «Fleury pleinement citoyenne» arrive en tête avec 56% des suffrages exprimés. L’abstention frôle les 61%.».
N. C., «Fleury-Mérogis: David Derrouet reste silencieux sur les raisons de sa démission: Maire (DVG) de la commune depuis 2009, il avait déjà démissionné en mars dernier de son poste de vice-président de l’agglomération pour «raisons personnelles», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
Sébastien Morelli, «Aline Cabeza, nouvelle maire de Fleury-Mérogis», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
N.C., «Fleury-Mérogis: le recours contre l’élection de la maire rejeté par la justice», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
Nolwenn Cosson, «Essonne: la maire de Fleury-Mérogis jette bien l’éponge: Essonne: la maire de Fleury-Mérogis jette bien l’éponge», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le )«Elle aura tenu un an et un mois. C’est dans un excès de colère qu’Aline Cabeza, maire (DVG) de Fleury-Mérogis, a annoncé vouloir rendre son mandat lors du conseil municipal organisé ce lundi soir. Alors que le quorum n’était pas atteint, l’élue a été prise à partie par les membres de l’opposition sur l’absentéisme, mais aussi sur la question de la santé».
Nolwenn Cosson, «Fleury-Mérogis: Olivier Corzani prend les rênes de la ville: Le «gamin de la ville» comme il aime à le rappeler n’avait jamais imaginé devenir maire en 2019. Sa liste a remporté l’élection municipale partielle dès le premier tour ce dimanche.», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
Nolwenn Cosson, «Olivier Corzani devient le nouveau maire de Fleury-Mérogis», Le Parisien, édition Île-de-France & Oise, (lire en ligne, consulté le )«La tête de liste du groupe (SE) Fleury pleinement citoyenne a été élu avec 26 voix. Il promet de mener son mandat «sans rancœur ni amertume».
«Edmond Bartissol», sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
Thomas Segissement, «Roger Clavier passe la main: Le maire se retire au profit de son premier adjoint», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
«Carnet: Roger Clavier», L'Humanité, (lire en ligne, consulté le ).
«Bientôt de nouvelles élections municipales», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le )«Annette Tau est la dixième élue, depuis septembre, à quitter le conseil municipal de Fleury-Mérogis. Le quota du tiers de conseillers démissionnaires est donc désormais atteint, synonyme d'organisation d'élections municipales partielles».
«Le Parti communiste perd la mairie: L'UMP, qui n'avait pas respecté la date limite du dépôt des candidatures, est restée hors jeu. Ce résultat, à l'issue d'un duel «fratricide» entre deux hommes qui faisaient cause commune en mars 2008, constitue un vrai séisme au sein de la gauche essonnienne. Le PC perd un de ses derniers fiefs. Michel Humbert était en poste depuis 1998», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
«Le pari gagné de David Derrouet», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
Nolwenn Cosson, «Démission du maire de Fleury-Mérogis: «Je ne regrette rien, j’ai fait du mieux que j’ai pu»: Comme annoncé dans une lettre distribuée il y a quelques semaines à ses concitoyens, David Derrouet, le maire (DVG) de Fleury-Mérogis, vient de démissionner de son mandat. Il dévoile les raisons de son départ», Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
«Un deuxième maire, David Derrouet, annonce son départ du Parti socialiste car François Hollande "s'est détourné de ses promesses"», Le Lab politique Europe 1, (lire en ligne, consulté le ).
«Le maire David Derrouet claque la porte du PS», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
N. C., «Le maire de Fleury-Mérogis quitte l’agglomération», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
«Fleury-Mérogis: la démission de la maire effective ce vendredi: Aline Cabeza (DVG) avait annoncé qu’elle quittait son poste le 12 novembre dernier.», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
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