Durban-sur-Arize est une commune française située dans le nord du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat.
Pour les articles homonymes, voir Durban (homonymie).
Durban-sur-Arize | |
![]() Château Saint-Barthélémy. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Ariège |
Arrondissement | Saint-Girons |
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées |
Maire Mandat |
Hervé Claustres 2020-2026 |
Code postal | 09240 |
Code commune | 09108 |
Démographie | |
Gentilé | Durbanais |
Population municipale |
178 hab. (2019 ![]() |
Densité | 26 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 01′ 13″ nord, 1° 20′ 42″ est |
Altitude | Min. 335 m Max. 622 m |
Superficie | 6,75 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton du Couserans Est |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arize, l'Artillac et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Durban-sur-Arize est une commune rurale qui compte 178 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 211 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Durbanais ou Durbanaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, inscrit en 1992.
La commune de Durban-sur-Arize se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 17 km de Saint-Girons[2], sous-préfecture, et à 7 km de La Bastide-de-Sérou[3], bureau centralisateur du canton du Couserans Est dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Girons[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Montseron (1,6 km), Castelnau-Durban (2,1 km), Allières (2,6 km), Clermont (4,1 km), Esplas-de-Sérou (5,6 km), Larbont (5,6 km), Rimont (5,7 km), Sentenac-de-Sérou (6,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Durban-sur-Arize fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[5].
Le Mas-d'Azil | Allières | |
Montseron | ![]() |
La Bastide-de-Sérou |
Castelnau-Durban |
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles « n°1056 - Le Mas d'Azil » et « n°1074 - Saint-Girons » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7],[8] et leurs notices associées[9],[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 6,75 km2[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 6,87 km2[8]. Son relief est relativement accidenté puisque la dénivelée maximale atteint 287 mètres. L'altitude du territoire varie entre 335 m et 622 m[14].
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par l'Arize, l'Artillac, un bras de l'Arize, le ruisseau de la Fargue et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[16],[17].
L'Arize, d'une longueur totale de 83,78 km, prend sa source dans la commune de Sentenac-de-Sérou et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Carbonne, après avoir traversé 20 communes[18].
L'Artillac, d'une longueur totale de 14,13 km, prend sa source dans la commune d'Esplas-de-Sérou et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Arize à La Bastide-de-Sérou, après avoir traversé 4 communes[19].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[21]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[22].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[20].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25],[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Bastide-de-Sérou », sur la commune de La Bastide-de-Sérou, mise en service en 1991[27] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[28],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 060,5 mm pour la période 1981-2010[29]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 18 km[30], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[31], à 12,3 °C pour 1981-2010[32], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[33].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[34],[35].
La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973 ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d'Estats, le mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[36].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[37] : l'« Arize et affluents en aval de Cadarcet » (379 ha), couvrant 21 communes dont 18 dans l'Ariège et 3 dans la Haute-Garonne[38] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[37] : « le Plantaurel » (42 116 ha), couvrant 72 communes dont 68 dans l'Ariège, 2 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[39].
Durban-sur-Arize est une commune rurale[Note 8],[40]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[41]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,4 %), forêts (34,2 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %)[42].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Francou, Ponlat, Ordas, Ségalas, Camp Bataillé ...
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 162, alors qu'il était de 158 en 2013 et de 147 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 59,6 % étaient des résidences principales, 34,8 % des résidences secondaires et 5,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3 % des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Durban-sur-Arize en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (34,8 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,6 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].
Typologie | Durban-sur-Arize[I 5] | Ariège[I 7] | France entière[I 8] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 59,6 | 65,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 34,8 | 24,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,6 | 9,7 | 8,2 |
Le territoire de la commune de Durban-sur-Arize est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[43],[44].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, l'Arize, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant l'Arize figurent les crues de 1977, de 1992, de 1993, de 2000 et de 2007[45].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Durban-sur-Arize[46]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[47].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 14 août 2009[48].
Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[49].
La seigneurie a longtemps appartenu à la famille de Mauléon après avoir appartenu aux seigneurs d’Arnave, puis à Loup 1er de Foix.
Montseron a été créée en 1892 par démembrement de Durban. Durban a pris le nom de Durban-sur-Arize en 1936.
Ouverte de 1903 à 1955, la ligne ferroviaire de Foix à Saint-Girons disposait d'une gare au lieudit Ségalas, sur la commune. Vers 2010, l'ancien ballast sera valorisé en voie verte.
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Blason | D'azur aux trois fasces d’or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
La commune de Durban-sur-Arize est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[50].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Est pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[51].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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mars 2001 | mai 2020 | Pierre Eychenne[52] | Retraité de la fonction publique | |
mai 2020 | en cours | Hervé Claustres[53] | Contremaître, agent de maîtrise | |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[55].
En 2019, la commune comptait 178 habitants[Note 9], en augmentation de 1,71 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,39 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
931 | 807 | 1 000 | 1 028 | 1 140 | 1 189 | 1 160 | 1 178 | 1 211 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 083 | 1 081 | 1 134 | 1 210 | 1 189 | 1 122 | 1 019 | 1 002 | 513 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
528 | 503 | 506 | 502 | 417 | 410 | 341 | 313 | 240 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
223 | 183 | 154 | 135 | 142 | 135 | 150 | 152 | 178 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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185 | 178 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, la commune compte 83 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 161 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 860 €[I 10] (19 820 € dans le département[I 11]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 12] | 3,1 % | 7,5 % | 16,7 % |
Département[I 13] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 14] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 106 personnes, parmi lesquelles on compte 81,5 % d'actifs (64,8 % ayant un emploi et 16,7 % de chômeurs) et 18,5 % d'inactifs[Note 11],[I 12]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 15]. Elle compte 31 emplois en 2018, contre 26 en 2013 et 20 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 74, soit un indicateur de concentration d'emploi de 41,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,7 %[I 16].
Sur ces 74 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 76 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4 % les transports en commun, 12 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].
18 établissements[Note 12] sont implantés à Durban-sur-Arize au [I 19]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 18 entreprises implantées à Durban-sur-Arize), contre 27,5 % au niveau départemental[I 20].
1988 | 2000 | 2010 | |
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Exploitations | 13 | 8 | 8 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 562 | 916 | 783 |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région sous-pyrénéenne »[58]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage de bovins pour la viande[59]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 14] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 783 ha[59].
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