La commune est drainée par la Boralde Flaujaguèse, le Rioumau, le Ruisseau de Menepeyre, le Dourtigouse, le ruisseau du Moulin de Cayral et par divers petits cours d'eau[3].
La Boralde Flaujaguèse, d'une longueur totale de 29,3 km, prend sa source dans la commune de Curières et se jette dans le Lot à Saint-Côme-d'Olt, après avoir arrosé 6 communes[4].
Le Rioumau, d'une longueur totale de 20,6 km, prend sa source dans la commune de Saint-Urcize (15) et se jette dans le Bès à Saint-Urcize (15), après avoir arrosé 4 communes[5].
Le Ruisseau de Menepeyre, d'une longueur totale de 14,2 km, prend sa source dans la commune de Condom-d'Aubrac et se jette dans la Boralde Flaujaguèse à Condom-d'Aubrac, après avoir arrosé 2 communes[6].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[7].
La commune fait partie du SAGE Lot amont, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE concerne le bassin d'alimentation du Lot depuis sa source jusqu'à Entraygues-sur-Truyère dans l'Aveyron, où il reçoit la Truyère en rive droite. Il couvre ainsi 91 communes, sur deux départements (Lozère et Aveyron) et 2 régions – une superficie de 2 616 km2 et 1 400 km de cours d'eau permanents auxquels s'ajoutent jusqu'à 576 km de cours d'eau temporaires[8],[9]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte Lot-Dourdou (SMLD), qualifié de «structure porteuse». Cet organisme a été créé le par rapprochement de trois syndicats de rivières[Note 1] et est constitué de quatorze communautés de communes[10].
Climat
Article connexe: Climat de l'Aveyron.
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
Moyenne annuelle de température: 8,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 6,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,4 j
La commune bénéficie d’un «climat de montagne», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'extrême nord du département de l'Aveyron, regroupe tous les lieux où les influences montagnardes et/ou semi-continentale sont prépondérantes, ce qui se traduit par un nombre de jours et un cumul élevés de précipitation, une température moyenne inférieure à 9,4°C et, corrélativement, plus de 25 jours au cours desquels la température minimale a été inférieure à −5°C et moins de 4 avec un maximum supérieur à 30°C[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[13]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 40 km à vol d'oiseau de la commune[14], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[15], à 10,7°C pour 1981-2010[16], puis à 11,1°C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Sites Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»[19]:
Le «Plateau central de l'Aubrac aveyronnais», d'une superficie de 7 067ha, est un ensemble des principales zones tourbeuses tourbières et landes de la partie occidentale du plateau de l'Aubrac, ainsi que des prairies et forêts montagnardes. Il s'agit de la seule station de Midi-Pyrénées pour la Ligulaire de Sibérie, ainsi que diverses espèces boréales des tourbières. La Loutre est également présente[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Curières comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 4],[21]:
le «Plateau de l'Aubrac Aveyronnais» (11 613ha), couvrant 17 communes dont 11 dans l'Aveyron, 4 dans le Cantal et 2 dans la Lozère[22]
le «Plateau de l'Aubrac» (18 330ha), qui s'étend sur 21 communes dont 6 dans l'Aveyron, 10 dans le Cantal et 5 dans la Lozère[25];
le «Vallon de la Boralde flaujaguèse et ses affluents» (2 341ha), qui s'étend sur 7 communes de l'Aveyron[26];
le «Versant occidental des monts d'Aubrac» (32 040ha), couvrant 24 communes dont 17 dans l'Aveyron, 4 dans le Cantal et 3 dans la Lozère[27].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Curières est une commune rurale[Note 6],[28]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[29].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Infrastructures et occupation des sols de la commune de Curières.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,6% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (40,4%), forêts (31,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,9%), zones agricoles hétérogènes (7%)[30].
Planification
La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée et un plan local d'urbanisme était en élaboration[31].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Curières est vulnérable à différents aléas naturels: climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible).
Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[32],[33].
Risques naturels
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept «bassins de risque» et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[34].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[32], conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[35]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[36]
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Curières est classée à risque moyen à élevé[38]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[39] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[40].
Histoire
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En 1833, Curières absorbe la commune de La Roquette-Bonneval[41].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Curières est membre de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Laguiole. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[42].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aubrac et Carladez pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[43].
Curières dans le canton d'Aubrac et Carladez en 2020.
Curières dans l'arrondissement de Rodez en 2020.
Élections municipales et communautaires
Élections de 2020
Le conseil municipal de Curières, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[44] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[45]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[46] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 68,72%[47].
Martine Bessière est élue nouvelle maire de la commune le [48].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[49]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène[50].
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[54].
En 2019, la commune comptait 228 habitants[Note 8], en augmentation de 4,59% par rapport à 2013 (Aveyron: +0,67%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
328
404
1 077
1 221
1 291
1 184
1 237
1 266
1 294
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 298
1 240
1 241
1 131
1 091
1 020
1 019
949
849
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
784
724
700
597
636
565
520
511
462
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
408
371
323
277
285
264
259
223
225
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
228
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 93 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 198 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 900 €[I 5] (20 640 € dans le département[I 6]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 126 personnes, parmi lesquelles on compte 84,8% d'actifs (78,4% ayant un emploi et 6,4% de chômeurs) et 15,2% d'inactifs[Note 10],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 10]. Elle compte 64 emplois en 2018, contre 66 en 2013 et 81 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 102, soit un indicateur de concentration d'emploi de 63,1% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,4%[I 11].
Sur ces 102 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 49 travaillent dans la commune, soit 49% des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 81,2% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,8% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
29 établissements[Note 11] sont implantés à Curières au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 14].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 58,6 % du nombre total d'établissements de la commune (17 sur les 29 entreprises implantées à Curières), contre 17,7% au niveau départemental[I 15].
Agriculture
La commune est dans l'Aubrac, une petite région agricole occupant le nord du département de l'Aveyron[56]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 57 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 36 en 2000 puis à 28 en 2010[58] et enfin à 27 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 53% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51% de ses exploitations[59],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 2 024ha en 1988 à 3 039ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 36 à 113ha[58].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le château du Puech appartenait à la famille de Frayssinous[60].
La croix de la Roussarie du XVesiècle est classée au titre des monuments historiques en 1928[61].
L'église paroissiale Saint-Pierre-ès-Liens recèle une croix de procession du XVIesiècle, classée au titre des monuments historiques en 1938[62].
L'église.
Halle dans le bourg.
Calvaire dans le bourg.
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Personnalités liées à la commune
Mgr Denis Frayssinous (1765–1841), évêque d'Hermopolis(it) et ministre de l'Instruction publique (1824-1827), membre de l'Académie française.
Guillaume Amans Pons, né à Curières le 10 novembre 1789. Député de l'Aveyron, 3ecollège (Espalion) de 1839 à 1848, il est conseiller général du canton d'Estaing de 1848 à 1862. Avocat, il devient en 1845 juge au tribunal d'Espalion. Il prend sa retraite en 1859. Il est décédé à Espallion le 28 juillet 1860.
Héraldique
Les armes de la commune de Curières se blasonnent ainsi: D'azur au lévrier courant d'argent.
(oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf.Guy Dumas), La Guiòla: Cassuèjols, Curièiras, Mont-Peirós, Solatges / Christian-Pierre Bedel e les estatjants del canton de La Guiòla, Rodez, Mission départementale de la culture, coll.«Al canton», , 372p., ill., couv. ill.; 28 cm (ISBN2-907279-51-3, ISSN1151-8375, BNF37658504)
Le Syndicat mixte Lot-Dourdou est issu de la fusion des trois syndicats de rivières -Syndicat mixte Lot Colagne (Lozère), SIAH de la Haute Vallée du Lot et SIAH de la Vallée du Dourdou de Conques (Aveyron).
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le périmètre de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène est identique à celui du canton d'Aubrac et Carladez.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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