La commune est traversée par la rivière l'Asse de Clumanc, une rivière torrentielle, qui se réunit à l'Asse de Moriez et à l'Asse de Blieux sur la commune de Barrême.
Ravins des Sauzeries, du Riou, de Gion, Saint-Martin.
Environnement
La commune compte 1 124ha de bois et forêts, soit 20% de sa superficie[1].
La commune est couverte par des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I et II[3] et une ZNIEFF géologique.
Climat
Neige à Clumanc.
L'altitude de la commune varie entre 773 et 1 703 mètres, ce qui influence énormément le climat; les différences de températures dans la même journée sont très importantes.
Article détaillé: Climat des Alpes-de-Haute-Provence.
Voies de communications et transports
Vieux pont métallique à platelage en bois sur l’Asse de Clumanc.
Voies routières
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Transports en commun
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Risques majeurs
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barrême auquel appartient Clumanc est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[4], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5]. La commune de Clumanc est également exposée à trois autres risques naturels[5]:
feu de forêt;
inondation (dans la vallée de l’Asse);
mouvement de terrain: les versants inférieurs de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[6].
La commune de Clumanc n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[7]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7], mais le Dicrim existe depuis 2011[8].
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle en 1994 pour des inondations et des coulées de boue[5]. Les tremblements de terre ressentis de la manière la plus sensible dans la commune sont ceux[9]:
du 31 octobre 1997, avec une intensité macro-sismique de III et demi sur l’échelle MSK et Prads-Haute-Bléone pour épicentre[10];
et celui du 8 février 1974, avec une intensité de V et Thorame pour épicentre[11].
Toponymie
Le nom de la localité apparaît sous la forme in valle Clumanci vers 1046-1066. Il est probablement formé sur une racine oronymique (désignant une montagne) *Kl-[12]. Ce toponyme est probablement antérieur aux Gaulois[13].
Histoire
Monument aux morts, au centre de la commune.
Auguste fait la conquête de la vallée des Asses en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en 14 av. J.-C. Il est difficile de connaître le nom du peuple gaulois qui peuplait la vallée, et le nom de la civitas dont Clumanc dépendait au Haut-Empire: Eturamina (Thorame) ou Sanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle de Sanitensium, et à son diocèse, sont avérés, avec la disparition de l’évêché de Thorame[14].
Presbytère du prieuré Saint-Honorat, incendié par la Wehrmacht en juillet 1944.
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1046[15], les comtes de Provence y possédaient une maison forte[16]. Le prieuré de Saint-Honorat relevait de l’abbaye de Lérins, du milieu du XIesiècle à la Révolution[17]. L’église Notre-Dame relevait elle de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, ou de l’évêque de Digne[17]. Ces églises étaient situées dans des petits castrum[17].
En 1342, les communautés de Clumanc, Labaud et Saint-Honorat sont rattachées à la viguerie de Castellane par le comte de Provence [18] avant de relever de celle de Barrême[17]. Les communautés de Labaud (Labaudum au XIIIesiècle[19]) et de Saint-Honorat, qui comptaient respectivement 24 et 49 feux en 1315, sont fortement dépeuplées par la crise du XIVesiècle (peste noire et guerre de Cent Ans) et annexées par celle de Clumanc au XVesiècle[16].
Durant une longue période, les seigneurs de Clumanc étaient les membres de la famille de Perier[20].
Durant la Révolution, la société patriotique de la commune y est créée précocement, pendant l’été 1792[21].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1837 que le cadastre dit napoléonien de Clumanc est achevé[22].
Comme de nombreuses communes du département, Clumanc se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, elle en possède trois, dont une aux Sauzeries Basses, qui dispensent une instruction primaire aux garçons[23]. Aucune instruction n’est donnée aux filles: la loi Falloux (1851), qui impose pourtant l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, n’est pas appliquée[24]. Quand la première loi Duruy (1867) abaisse ce seuil à 500 habitants, la commune ouvre enfin une école de filles[25]. La commune profite de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve[26].
Héraldique
La commune utilise ses armoiries sur la signalisation de voirie.
Article connexe: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: «Fascé d'or et d'azur de six pièces, et un chef d'argent, chargé du mot CLUMANC de sable.»[27],[28]
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[35]:
total des produits de fonctionnement: 220 000 €, soit 1 140 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 202 000 €, soit 1 046 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 130 000 €, soit 673 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 43 000 €, soit 224 € par habitant.
endettement: 328 000 €, soit 1 698 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 9,82%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 7,14%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 17,52%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 58,73%;
cotisation foncière des entreprises: 26,91%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014: Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation: 16 470 €[36].
Intercommunalité
Clumanc a fait partie jusqu'en 2016 de la communauté de communes du Moyen Verdon. Depuis le , elle est membre de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.
Urbanisme
Typologie
Clumanc est une commune rurale[Note 1],[37]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[38],[39].
La commune est en outre hors attraction des villes[40],[41].
La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[42].
Occupation des sol
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,7% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (42,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,6%), zones agricoles hétérogènes (8%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8%), terres arables (6,1%), prairies (2,3%)[43].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[44].
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
En 2019, la commune de Clumanc comptait 220 habitants. À partir du XXIesiècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011, 2016, etc. pour Clumanc). Les autres «recensements» sont des estimations.
Évolution démographique
1315
1471
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
78 feux
44 feux
793
823
808
753
940
1 013
1 052
1 043
Évolution démographique, suite (1)
1846
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1 115
1 090
1 040
1 039
919
842
859
772
755
710
Évolution démographique, suite (2)
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
611
560
506
501
418
341
315
276
250
247
Évolution démographique, suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2019
199
177
135
137
156
154
172
188
211
220
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999; population municipale depuis 2006 (Sources: Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[16], EHESS[45], Insee à partir de 1968[46],[47],[48])
L’histoire démographique de Clumanc, après la saignée des XIVeetXVesiècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXesiècle, est marquée par une période d’«étale» où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1831 à 1861. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique rapide, et de longue durée. Dès 1901, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1846[49]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’à la fin des années 1970. Depuis, le mouvement s'est inversé, avec une croissance faible sur quarante ans.
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Santé
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Cultes
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Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 81 personnes, dont 7 chômeurs[51] (12 fin 2011[52]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (64%)[53] et travaillent majoritairement hors de la commune (60%)[53].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 29 établissements agricoles actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et un emploi salarié[54].
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de 13 en 2010. Il était de 18 en 2000[55], de 31 en 1988[56]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevage ovin et bovin, et le maraîchage[55]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement baissé, de 1 796ha à 492ha[56]. La SAU a continué sa chute lors de la dernière décennie, pour s’établir à 206ha[55].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait quatre établissements, n’employant aucun salarié[54].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait quatre établissements (avec deux emplois salariés), auxquels s’ajoutent les trois établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant neuf personnes[54].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[57], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande[58]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune, mais uniquement sous la forme de meublés[59].
Les résidences secondaires apportent un complément important à la capacité d’accueil[60]: au nombre de 113, elles représentent presque la moitié des logements. Trois résidences secondaires possèdent plus d’un logement, et quatre sont des logements mobiles installés à l’année[61],[62].
Lieux et monuments
Architecture civile
Château des Périers.
Château de Seisset.
À Valaury, porte gravée 1789.
À Valaury, autre porte au linteau daté de 1832.
Le château des Périers, proche de la mairie, relève du style du XVIe mais peut avoir été construit dans le deuxième quart du XVIIesiècle. Carré, encadré de quatre tours d’angle également carrées, il est inscrit à l’inventaire des monuments historiques[63],[64]. Aujourd'hui à moitié en ruines, ce château appartenait aux membres de la famille de Perier, seigneurs de Clumanc[65].
Au-dessous du château des Périer, le bâtiment dit «couvent ou tour de l’Annonciade», ou encore «tour de Boriane» est peut-être une maison campagnarde appartenant à un bourgeois aisé ou à un seigneur local: elle est construite en appareil régulier, est ornée d’une baie géminée et date de la fin du XIIesiècle ou du XIIIesiècle[66]; c’est un monument inscrit[67]. Sur sa façade, un cadran solaire de 1879 gravé sur pierre a été restauré en 1988[68].
Au Riou, se trouve une ferme du XVIIesiècle, avec une cheminée en gypserie[69].
Le château de Seisset est situé au sud de la commune[15].
Art religieux
Église Notre-Dame
Église de Clumanc.
Article détaillé: Église Notre-Dame de Clumanc.
L’église paroissiale Notre-Dame (inscrite à l’inventaire des monuments historiques), est un ancien prieuré de l’abbaye Saint-Victor de Marseille fondé au XIesiècle, mais dont l’état actuel remonte au plus tôt au XIIIe, voire au XIVesiècle selon la DRAC[70]. La première chapelle date du XVe ou du XVIesiècle[71], ce qui la rendrait contemporaine de la façade. La DRAC penche pour une construction des quatre chapelles au XVIIesiècle. Le clocher-mur est construit au-dessus du chevet. Des travaux de réparation ou de construction de chapelles latérales sont datés: 1677, 1675. D’autres travaux ont lieu au milieu du XIXesiècle. La toiture d’everite, qui remplace en 1975 les lauzes posées sur la voûte, a permis de conserver le bâtiment[72]. Elle est inscrite aux monuments historiques[73].
Entre la nef et une chapelle nord, l’arcade est soutenue par des colonnes médiévales, données pour carolingiennes par Raymond Collier. Elles sont ornées, sur plusieurs registres, d’entrelacs, de colonnettes torsadées, d’étoiles et de rosaces, classées[74],[75].
Dans son mobilier, se trouvent:
un tableau de la Vierge, encadrée de saint Augustin et saint Martin, peint en 1609 par François Mimault (1580-1652)[76], classé[77],[78];
une Nativité, avec saint Luc et saint Marc, datée de 1636, classée au titre objet[79];
une statue-reliquaire de saint Marc, en bois doré, classée[80];
la clôture de la chapelle, en bois, est ornée de pampres, mais en mauvais état[81],[82]; l’autel du XVIIesiècle, classé, a disparu[83].
À côté de l’église Notre-Dame, la croix en fonte est signalée pour son décor végétal[84].
L’église Saint-Honorat est fondée au XIesiècle, et son état actuel date de 1645 (selon Raymond Collier), ou du XIIIesiècle au plus tôt (selon la DRAC): c’est alors un prieuré de l’abbaye de Lérins, construit selon les principes de l’architecture romane. Sa nef comprend cinq travées. Deux chapelles latérales, dans la dernière travée, forme transept. Le chevet est plat, l’abside voûtée en berceau. Elle est restaurée entre 1750 et 1779, sa nef allongée en 1862, restaurée en 1969 et sa couverture a été refaite en 1987[85],[86]. Les cloches sont logées dans un clocher mur, situé au-dessus du portail.
Son mobilier comprend:
un tableau représentant saint Sébastien, daté du XVIIesiècle et classé[87];
Du fait des nombreux hameaux, la commune compte de nombreuses chapelles:
deux chapelles à Douroulles, dont la chapelle Saint-Paul datant du XVIIIe, orientée au nord et dépendant autrefois de la paroisse de Lambruisse[89],[15];
deux aux Sauzeries, dont la chapelle Sainte-Agathe[90], datant du XVIIesiècle, étroite et rustique[91],[15];
deux au Riou, dont la chapelle Saint-Jean-Baptiste, qui est une chapelle déplacée entre 1837 et 1840, le précédent édifice voisinant de trop près avec le torrent[92],[15];
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 12 juillet 2012
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95
BRGM, «fiche 40203», Sisfrance, consulté le 12 juillet 2012
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Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1reédition 1950), p 123
Charles Rostaing, «Toponymie d’origine pré-gauloise» in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
Brigitte Beaujard, «Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s.», Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22-23
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Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p. 171
Daniel Thiery, «Clumanc», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 20 décembre 2010, consulté le 11 juillet 2012
Robert de Brianson et Claude-François Ménestrier, L'état de la Provence dans sa noblesse, Bibliothèque nationale, , p.450
Patrice Alphand, «Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no307, 1ertrimestre 1989, 108eannée, p 296-297
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[Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], «La Libération», Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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Raymond Collier, op. cit., p 520
Raymond Collier, op. cit., p 211
Elisabeth Sauze, «Église paroissiale Saint-Honorat», notice noIA04000487, base Mérimée, ministère français de la Culture, 2 août 2008, consultée le 5 novembre 2008
Arrêté du 7 septembre 1988, «Tableau: saint Sébastien», notice noPM04000084, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2008
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Maïna Masson-Lautier, Olivia Pelletier, «Chapelle Sainte-Agathe», notice noIA04000335, base Mérimée, ministère français de la Culture, 12 septembre 2008, consultée le 25 septembre 2010
Maïna Masson-Lautier, Olivia Pelletier, «Chapelle Saint-Jean», notice noIA04000250, base Mérimée, ministère français de la Culture, 12 septembre 2008, consultée le 25 septembre 2010
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