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Chéraute est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Chéraute

La mairie de Chéraute.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Christelle Mange
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64188
Démographie
Gentilé Sohütar
Population
municipale
1 083 hab. (2019 )
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 13′ 57″ nord, 0° 52′ 02″ ouest
Altitude Min. 127 m
Max. 558 m
Superficie 35,26 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mauléon-Licharre
(banlieue)
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Chéraute
Géolocalisation sur la carte : France
Chéraute
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Chéraute
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Chéraute
Liens
Site web www.cheraute.fr

    Le gentilé est Sohütar[1].


    Géographie



    Localisation


    La commune de Chéraute se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 57 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 29 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Viodos-Abense-de-Bas (1,5 km), Berrogain-Laruns (1,5 km), Mauléon-Licharre (1,7 km), Garindein (3,9 km), Espès-Undurein (4,1 km), Moncayolle-Larrory-Mendibieu (4,2 km), Roquiague (5,1 km), Gotein-Libarrenx (5,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Chéraute fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[8]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule, et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

    Communes limitrophes de Chéraute[9]
    Berrogain-Laruns Moncayolle-Larrory-Mendibieu L'Hôpital-Saint-Blaise
    Viodos-Abense-de-Bas
    Mauléon-Licharre Roquiague Barcus

    Hydrographie


    Réseaux hydrographique et routier de Chéraute.
    Réseaux hydrographique et routier de Chéraute.

    La commune est drainée par le Saison, le Lausset, le Lausset, un bras du Lausset, le Gaillan, le lacherreca, le ruisseau Aiguette, le ruisseau Ascania, le ruisseau d'Aguerre, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 45 km de longueur totale[10],[Carte 1].

    Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[11].

    Le Lausset, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source dans la commune de Sauguis-Saint-Étienne et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Narp, après avoir traversé 14 communes[12].


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]

    • Moyenne annuelle de température : 13,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 434 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[18] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[19],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 40 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[22], à 13,4 °C pour 1981-2010[23], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[24].


    Milieux naturels et biodiversité



    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[26],[Carte 2] :


    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensée sur la commune[29],[Carte 3] : le « Lausset amont et zones tourbeuses associées » (190,06 ha), couvrant 11 communes du département[30] et deux ZNIEFF de type 2[Note 9],[29],[Carte 4] :


    Urbanisme



    Typologie


    Chéraute est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[33],[34],[35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mauléon-Licharre, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[36] et 6 314 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[37],[38].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,6 %), zones agricoles hétérogènes (30,3 %), prairies (18,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,3 %), zones urbanisées (1,5 %), terres arables (0,7 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].


    Lieux-dits et hameaux


    11 quartiers composent la commune de Chéraute[42] :


    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Chéraute est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].


    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saison et le Lausset. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2008, 2009, 2011 et 2014[45],[43].

    Chéraute est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[46]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[47],[48].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chéraute.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chéraute.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[49]. 98,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 12],[50].


    Toponymie


    Un lavoir.
    Un lavoir.
    L'église Saint-Barthélemy.
    L'église Saint-Barthélemy.
    Monument aux morts (sur le mur de l'église de Chéraute).
    Monument aux morts (sur le mur de l'église de Chéraute).
    Stèle à l'entrée de l'enceinte de l'église de Chéraute.
    Stèle à l'entrée de l'enceinte de l'église de Chéraute.

    Attestations anciennes


    Le toponyme Chéraute apparaît sous les formes Cheraltus (1224[51], titres de Barcelone[52]), Xeraute (1383[51], contrats de Luntz[53]), Xerauta (1496[51], contrats d'Ohix[54]), Sent-Barthelemi de Chéraute (1612[51], insinuations du diocèse d'Oloron[55]).


    Autres toponymes


    Aphezberro est attesté sous les formes Aspesberro, lo bordar d'Apezberro et Apesbero (respectivement 1476[51] et 1479[51] pour les deux dernières formes, contrats d'Ohix[54]).

    Les Arambeaux, ancien hameau de la commune (du basque Haranbeltz), est mentionné sous la forme L'Arambeus en 1475 (contrats d'Ohix[54]).


    Graphie basque


    Son nom basque actuel est Sohüta[1].


    Histoire


    Chéraute est une ancienne baronnie vassale de la vicomté de Soule[51].


    Héraldique


    Les armes de Chéraute se blasonnent ainsi :

    Écartelé aux 1 et 4 d'or au pin de sinople terrassé du même et un loup de gueules passant derrière le tronc de l'arbre ;
    aux 2 et 3 de gueules au lion d'or ;
    sur le tout de sable au lion regardant d'argent[56].


    Politique et administration


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2001 Michel Béguerie    
    2001 2008 Pierre-Dominique Aguer DVD  
    2008 2010 Laurent Etcheto    
    2010 En cours Christelle Mange DIV  

    Intercommunalité


    Chéraute appartient à huit structures intercommunales[57] :

    Chéraute accueille le siège du syndicat à vocation scolaire Gaztelaïa.


    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[59].

    En 2019, la commune comptait 1 083 habitants[Note 13], en diminution de 1,55 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2571 2801 3301 4941 5271 5501 5201 5071 530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2261 2121 2501 1681 1661 1791 1031 1251 116
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1001 1201 0591 0129919799981 008987
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 0541 0471 1911 1731 1931 1041 1631 1061 099
    2019 - - - - - - - -
    1 083--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee à partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


    La commune dispose de deux écoles : l'école primaire privée Eperra Ikastola et l'école primaire publique Gaztelaia[62]. L'école primaire privée propose un enseignement basque par immersion et l'école primaire publique un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[63].


    Économie


    L'activité est tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages) et l'artisanat (manufacture d'espadrilles). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.


    Culture locale et patrimoine



    Patrimoine civil


    Des fortifications protohistoriques, inscrites aux monuments historiques en 1983, sont présentes au lieu-dit Castelgayha.
    La famille des Bela-Chéraute possédait le château du XVIIe siècle qui se dresse sur le territoire de la commune.


    Patrimoine religieux


    L'église Saint-Barthélemy, dont les origines remontent à la fin du Moyen Âge, a été agrandie à la fin du XIXe siècle et son clocher et son porche ont été reconstruits au début du XXe siècle.

    La chapelle trinitaire de Notre-Dame de Hoquy a été construite par l'abbé Dominique Espaïn en 1936[64].


    Événements sportifs


    La commune se situe sur le trajet de la 16e étape du Tour de France 2007, qui a eu lieu le 25 juillet 2007. Le parcours de 218 kilomètres reliait Orthez à Gourette - col d'Aubisque.


    Équipements


    La commune dispose de deux écoles primaires, d'une ikastola et d'un lycée (lycée du pays de Soule).


    Personnalités liées à la commune



    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    12. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. « Carte hydrographique de Chéraute » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Chéraute », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Chéraute », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Chéraute », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références


    1. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Chéraute », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Chéraute et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Chéraute et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Chéraute et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Chéraute », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
    8. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
    9. Carte IGN sous Géoportail
    10. « Fiche communale de Chéraute », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    11. Sandre, « le Saison ».
    12. Sandre, « le Lausset ».
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    14. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    15. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    16. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    17. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Aicirits - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Chéraute et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station Météo-France Aicirits - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    21. « Orthodromie entre Chéraute et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    25. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    26. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Chéraute », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Liste des ZNIEFF de la commune de Chéraute », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF le « Lausset amont et zones tourbeuses associées » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF le « bassin versant du Lausset et du Joos : bois, landes et zones tourbeuses » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    35. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    63. Panneau d'information à l'entrée de l'église

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    [de] Chéraute

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    [en] Chéraute

    Chéraute (French pronunciation: ​[ʃeʁot]; Basque: Sohüta)[2] is a commune in the Pyrénées-Atlantiques department in south-western France.
    - [fr] Chéraute

    [ru] Шерот

    Шеро́т (фр. Chéraute) — коммуна во Франции, находится в регионе Аквитания. Департамент — Атлантические Пиренеи. Входит в состав кантона Монтань-Баск. Округ коммуны — Олорон-Сент-Мари.



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