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Chanaz (prononcée [ʃɑnɑ][Note 1]) est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Chanaz

Le canal de Savières à Chanaz en soirée.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Lac
Maire
Mandat
Yves Husson
2020-2026
Code postal 73310
Code commune 73073
Démographie
Gentilé Chanaziens
Population
municipale
535 hab. (2019 )
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 34″ nord, 5° 47′ 38″ est
Altitude Min. 220 m
Max. 572 m
Superficie 6,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bugey savoyard
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Chanaz
Géolocalisation sur la carte : France
Chanaz
Géolocalisation sur la carte : Savoie
Chanaz
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Chanaz
Liens
Site web chanaz.fr

    La commune est surnommée la Petite Venise savoyarde en raison de la présence du canal de Savières[4]. Elle est d'ailleurs labellisée Petite Cité de caractère.


    Géographie


    Plan du territoire de Chanaz.
    Plan du territoire de Chanaz.

    Chanaz se trouve à l'extrémité nord de la chaîne de l'Épine, à une altitude moyenne de 250 mètres. Le village borde le canal de Savières reliant le lac du Bourget au Rhône, pratiquement à l'embouchure du canal côté Rhône. La commune comprend aussi un hameau du nom de Portout qui se trouve à trois kilomètres du village, près de l'autre bout du canal de Savières.


    Climat


    Le climat y est de type montagnard cependant celui-ci est plus tempéré en raison de la présence du lac du Bourget.


    Voies de communication et transports



    Pistes cyclables

    Chanaz est située le long de la route cyclable ViaRhôna reliant le Léman à la mer Méditerranée.


    Transport ferroviaire

    Chanaz n'est traversée par aucune ligne ferroviaire mais la ligne de Culoz à Modane (frontière) passe par la commune limitrophe de Vions, où se situe la gare de Vions - Chanaz, située à environ km au nord de Chanaz.


    Urbanisme



    Typologie


    Chanaz est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[5],[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].


    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,2 %), zones agricoles hétérogènes (20,4 %), eaux continentales[Note 3] (8,9 %), terres arables (5,5 %), prairies (3,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %), zones humides intérieures (1,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Toponymie


    Chanaz a pour formes anciennes Chanassum (1259), Channas (1272), Apud Chanas, Cura de Chagnaz (vers 1344) ou encore Castellanus Channaci (1433)[11],[12]. Le chanoine Gros ajoute que « Les citations ci-dessus sont de simples formes romanes ou des latinisations plus ou moins maladroites. Elles ne nous apprennent rien sur l'étymologie de Chanaz »[11]. Il lui semble plus probable que le nom soit un ancien Cassanate[11].

    Cassanate tout comme Chanaz est issu du gaulois casnos/cassanos, avec le suffixe collectif patois -az[12], désignant un lieu où les chênes sont abondants[11],[13]. Le z final ne sert qu'à marquer le paroxytonisme et ne doit pas être prononcé[Note 1].

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Shânâ, selon la graphie de Conflans[14].


    Histoire



    Période antique


    De tout temps Chanaz a été un lieu de passage, dès le Ier siècle av. J.-C. le village était traversé par une voie romaine.

    En 58 av. J.-C., passage de Jules César.


    Moyen Âge


    Le , passage du pape Innocent IV accompagné de douze cardinaux, pour aller présider le concile de Lyon.

    Le , passage du cortège funèbre du comte rouge Amédée VII de Savoie, sur le canal de Savières en direction de l'abbaye de Hautecombe.

    En , passage sur le canal de Savières du nouveau comte Amédée VIII de Savoie en direction de l'abbaye de Hautecombe.

    Le , Claude de Mareste, fils du seigneur du château de Culoz, épousait Jeanne de Luyrieu, fille de feu Christophe de Luyrieu, seigneur du Villard, qui lui apportait en dot de nombreux biens de Chanaz et d'Yenne, exceptant le fief du Villard, réservé[15].


    Époque moderne


    En 1598, le cardinal légat du pape Alex de Médicis, arrêté par l'épidémie de peste de la vallée du Rhône, séjourne à Chanaz en attente de la visite du duc de Savoie Charles Emmanuel Ier de Savoie.

    Lors du traité de Lyon le qui vit le transfert du Bugey, du pays de Gex de La Bresse et du Valromey de la Savoie à la France, Chanaz fut accordé à la France comme tête de pont sur la rive gauche du Rhône. Le traité de Turin, ou traité des limites, du vit la frontière reportée sur le fleuve[16].

    En , le roi Victor-Amédée III de Sardaigne, vient visiter les digues. La même année, le comte de Provence, le futur Louis XVIII de France, fait escale à Chanaz.


    Châtellenie de Chanaz

    Chanaz est le siège d'une châtellenie, dit aussi mandement (mandamentum), avant 1289[17] (année de mention d'un châtelain). Elle est l'une des six châtellenies du bailliage de Novalaise[17]. Elle est associée, dans le bailliage du Bugey, avec celle d'Yenne, créée vers 1310[17] et Rochefort, en 1295[18].

    Les comptes de châtellenie, conservés aux archives départementales de la Savoie, concernent Chanaz ainsi que la châtellenie de Yenne pour la période de 1296 à 1571. Par ailleurs, une partie des comptes de Chanaz, Yenne et Rochefort se trouvent aux archives départementales de la Côte-d'Or (comprenant trente et un rouleaux de 1295 à 1442, ainsi que neuf registres de 1458 à 1533).

    Dans l'organisation du comté de Savoie, le châtelain est un « [officier], nommé pour une durée définie, révocable et amovible »[19],[20], qui « depuis les débuts de la résidence, est toujours allé à un fidèle »[21]. Il est chargé de la gestion de la châtellenie, il perçoit les revenus fiscaux du domaine, et il s'occupe également de l'entretien du château[22]. Son rôle est donc multiple (judiciaire, financier et militaire).

    Le châtelain est parfois aidé par un receveur des comptes, qui rédige « au net [...] le rapport annuellement rendu par le châtelain ou son lieutenant »[23].


    Période contemporaine


    Le , passage sur le canal de Savières du prince Napoléon et de sa suite.


    Politique et administration



    Administration municipale


    Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du conseil municipal de Chanaz :

    GroupePrésidentEffectifStatut
    DVGYves Husson15majorité

    Liste des maires


    Liste de l'ensemble des maires qui se sont succédé à la mairie de Chanaz :

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1965 1977 Antoine Gianetto DVG ...
    1977 En cours
    (au octobre 2021)
    Yves Husson DVG  

    Population et société


    Les habitants de la commune sont appelés les Chanaziens[25].


    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2019, la commune comptait 535 habitants[Note 4], en augmentation de 7,21 % par rapport à 2013 (Savoie : +3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    488379596644698822782677697
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    680693689693647636592576528
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    596595525481411374269263276
    1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2019 -
    323416442477483513507535-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


    Chanaz relève de l'académie de Grenoble. Celle-ci évolue sous la supervision de l'inspection départementale de l'Éducation nationale.


    Manifestations culturelles et festivités



    Sports


    La commune de Chanaz possède une équipe de football : Entente Sportive de Chanaz, créée en 1984 et dont les couleurs sont le jaune et le noir. L'équipe fanion évolue en promotion d'excellence de Savoie et se maintient honorablement à ce niveau qu'elle a atteint pour la première fois de son histoire en 2008.


    Médias



    Économie


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    Culture locale et patrimoine


    La commune possède le label Petite Cité de caractère décernée par l'association des Petites Cités de caractère de France en 2019[32].


    Lieux et monuments


    Le canal de Savières (Chanaz, Savoie), reliant le lac du Bourget au Rhône.
    Le canal de Savières (Chanaz, Savoie), reliant le lac du Bourget au Rhône.
    Église Sainte-Appolonie.
    Église Sainte-Appolonie.
    Article détaillé : Canal de Savières.
    La proximité du canal, avec une écluse et un port de plaisance, ainsi que la situation géographique attirent plus de 150 000 touristes à Chanaz chaque année[33].
    Le port de plaisance de Chanaz a une capacité de 115 anneaux[34]. Le hameau de Portout dispose également d'un port, plus petit.

    Édifié en 1868 sur les hauteurs du village et mis en mouvement par l'eau d'un canal (le Biez), il fut abandonné en 1960, puis restauré dans les années 1990 à l'initiative de la municipalité et avec le concours des élèves du lycée technique Monge de Chambéry et de la section "Savoie" de l'association des amis des moulins savoyards . Depuis lors, il a retrouvé la fonction qui fut la sienne dans les années 1950 : le pressage de noix et noisettes pour la fabrication d'huiles[35]. Cet artisanat d'exception (ne subsiste aujourd'hui qu'une dizaine de pressoirs à huile de noix traditionnels en France), couplé à la dimension historique du lieu, en font un emblème du patrimoine savoyard.

    Portout comporte également un site archéologique de poterie datant du Ve siècle de notre ère. Des fouilles y ont été effectuées entre 1976 et 1987. La chapelle gothique Notre-Dame-de-Miséricorde , dans le village, abrite le Musée gallo-romain comportant des réalisations de l'époque (amphores, bijoux, monnaies, etc.).
    Article détaillé : Maison forte de Chanaz.
    L'ancienne maison forte de Chanaz dite « Grande Maison de Boigne » est une ancienne maison forte, du XIIIe, remaniée au XVIIe siècle. Elle se dresse au cœur du bourg, face au canal de Savières, et abrite aujourd'hui les services de la mairie de la commune. La maison forte fut au Moyen Âge le siège de la seigneurie de Chanaz, élevée en marquisat. Elle doit son nom de « Maison de Boigne » en raison du nom de son ancien propriétaire le comte de Boigne.
    La maison de Boigne, les façades et les toitures, la terrasse, le four à pain, l'escalier intérieur à volées droites, les trois cheminées, fait l’objet d’une inscription partielle au titre des monuments historiques depuis le [36],[37].
    De nouvelles chambres d'hôtes ont ouvert le 1er avril 2012 dans l'ancien relais de poste du XVIIIe siècle, situé dans le centre du village le long du canal de Savière : Le Doux Nid.
    Autres lieux

    La mairie a créé des chalets sur pilotis, appelés « Ilôts » avec un port de 48 anneaux réservés aux bateaux électriques, le tout dans le respect écologique. Le projet a été déclaré d'utilité publique le 5 avril 2007 et un permis de construire a été délivré le 15 mai 2007.


    Patrimoine naturel



    Espaces verts et fleurissement


    En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[38].


    Personnalités liées à la commune


    Benoît de Boigne.
    Benoît de Boigne.

    Voir aussi



    Bibliographie



    Fonds d'archives


    Articles connexes



    Liens externes


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Le -az final ne se prononce pas, mais indique que l'accentuation du mot va sur la première syllabe[1],[2],[3].
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références


    1. Henri Dénarié, « Berlioz ne rime pas avec myxomatose », La Voix des Allobroges, (lire en ligne) (Article publié dans le numéro 13 de La Voix des Allobroges, été 2007)
    2. Jean-Baptiste Serron avec Marc Bron, « Comment bien prononcer les noms de nos communes? », L'Essor savoyard, (lire en ligne).
    3. « Toponymie arpitane : les noms en -oz, -az, -ex, -ix », sur Arpitan.com - Fédération internationale de l'arpitan (consulté le ).
    4. Le dauphiné libéré 27/07/08 p.7
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 98..
    12. Henry Suter, « Chanaz », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur site henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté en ).
    13. Henriette Walter, L'aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44.
    14. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    15. Jean Létanche, Les vieux châteaux maisons fortes et ruines féodales du canton d'Yenne en Savoie, Le livre d'Histoire-Lorisse, coll. « Monographie des villes et villages de France », 2005 (réédition de 1907), 99 p. (ISBN 978-2-8437-3813-5), p. 9.
    16. « Traité entre le Roi et le roi de Sardaigne, conclu à Turin le 24 mars 1760 (p.4) », sur Gallica.bnf.fr.
    17. Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 2-05-101676-3), p. 475.
    18. Alain Kersuzan, Défendre la Bresse et le Bugey : les châteaux savoyards dans la guerre contre le Dauphiné, 1282-1355, vol. 14, Presses universitaires de Lyon, coll. « Collection d'histoire et d'archéologie médiévales », , 433 p. (ISBN 978-2-7297-0762-0, lire en ligne), p. 138.
    19. Christian Sorrel, Histoire de la Savoie : images, récits, La Fontaine de Siloé, , 461 p. (ISBN 978-2-84206-347-4, lire en ligne), p. 146-147.
    20. Nicolas Carrier, « Une justice pour rétablir la « concorde » : la justice de composition dans la Savoie de la fin du Moyen Âge (fin XIIIe début XVIe siècle) », dans Dominique Barthélemy, Nicolas Offenstadt, Le règlement des conflits au Moyen Âge. Actes du XXXIe Congrès de la SHMESP (Angers, 2000), Paris, Publications de la Sorbonne, , 391 p. (ISBN 978-2-85944-438-9), p. 237-257.
    21. Demotz 2000, p. 411.
    22. Alessandro Barbero, « Les châtelains des comtes, puis ducs de Savoie en vallée d'Aoste (XIIIe – XVIe siècle) », dans Guido Castelnuovo, Olivier Mattéoni, « De part et d'autre des Alpes » : les châtelains des princes à la fin du moyen âge : actes de la table ronde de Chambéry, 11 et 12 octobre 2001, , 266 p. (lire en ligne).
    23. Nicolas Carrier, « A travers les archives médiévales de la principauté savoyarde - Les comptes de châtellenies », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - Sabaudia.org (consulté en ).
    24. ADS1.
    25. « Chanaz », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. Music mag 73 du jeudi 24 mars 2016 sur Radio Aix-les-bains
    31. émission Musik Mag sur Radio Aix-les-Bains le 12 mai 2016
    32. « Chanaz | Petites cités de caractère », sur petitescitesdecaractere.com (consulté le ).
    33. Site officiel de Chanaz
    34. Ports de plaisance liés au lac du Bourget
    35. « Le Moulin de Chanaz », sur www.moulindechanaz.com (consulté le ).
    36. « Maison de Boigne », notice no PA00118248, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Site officiel de la mairie de Chanaz - Traditions et patrimoine
    38. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).

    На других языках


    [de] Chanaz

    Chanaz ist eine französische Gemeinde mit 535 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Savoie in der Region Auvergne-Rhône-Alpes. Sie gehört zum Kanton Bugey savoyard im Arrondissement Chambéry.

    [en] Chanaz

    Chanaz is a commune in the Savoie department in the Auvergne-Rhône-Alpes region in Southeastern France. In 2018, it had a population of 524.
    - [fr] Chanaz



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