Champeaux est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 351 habitants[Note 1].
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La commune est au nord-ouest de l'Avranchin, bordée par une falaise dominant la baie du mont Saint-Michel. Son bourg est à 6,5 km à l'ouest de Sartilly, à 15 km au sud de Granville et à 17 km au nord-ouest d'Avranches[1].
Le point culminant recensé sur le répertoire géographique des communes de l'IGN s'élève à 103 m. Il se situe près du lieu-dit Bonneville dont les deux collines adjacentes atteignent la cote 102.
Champeaux est localisée dans le domaine centre armoricain[4], dans la partie nord-est du Massif armoricain qui est un socle ouest-européen de faible altitude (maximum 400 m), caractérisé par des surfaces d'aplanissement et qui résulte d'une histoire complexe composée de trois orogenèses: icartienne (Paléoprotérozoïque,ca. 2,2-1,8 Ga), cadomienne (Édiacarien 750-540 Ma)[5] et surtout varisque (ou hercynienne, au Dévonien-Carbonifère, 420-300 Ma)[6]. La structure du Massif armoricain résulte de la superposition de l'héritage[7] de ces deux derniers orogènes[8].
Le site géologique de Champeaux se situe plus précisément dans un bassin sédimentaire essentiellement briovérien dans lequel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs formant le batholite granodioritique mancellien[9], avec quelques pointements sécants de leucogranite[10].
Les falaises vives de Champeaux, de 50 à 70 m de hauteur, s'étendent sur 5 km, depuis Carolles-Plage au nord jusqu'à la plage de Saint-Michel (Saint-Jean-le-Thomas) au sud, et sont incisées par la vallée du Lude. Les falaises vives se prolongent à l'intérieur des terres par des falaises mortes. Ces falaises bordent le massif granitique de Carolles (constitué d'une granodiorite riche en biotite et en cordiérite parcourue par un réseau de diaclases souligné par une teinte rouille caractéristique d’un début d’altération)[11] qui forme un plateau bocager dont l’altitude varie entre 70 et 110 m, et qui constitue la prolongation occidentale du massif granitique de Vire-Carolles, élément de ce batholite mancellien (mis en place entre 540 et 560 Ma). Le massif de Vire-Carolles forme une barre transversale est-ouest sur environ 55 km de longueur, avec une largeur variant de 6 à 12 km. L'intrusion magmatique a développé à la périphérie de cette intrusion un métamorphisme de contact, à l'origine d'une auréole de cornéennes qui ceinture ce massif[12]. Cette ceinture s'imprime dans le paysage par les falaises escarpées, contrastant avec la surface faiblement ondulée du massif granitique. «Les cornéennes constituent l'essentiel des affleurements du platier et des falaises; elles se présentent en alternances rubanées de lits sombres et clairs dérivant des alternances siltosableuses granoclassées du Briovérien supérieur[13]: les lits dérivant des faciès silteux sont riches en cristaux de cordiérite tandis que les passées sableuses évoluent en cornéennes granoblastiques, riches en quartz et micas (muscovite, biotite), à cordiérite altérée. Le litage oblique initial des sédiments briovériens est parfois encore visible[14]». Au niveau de la pointe de Carolles, les cornéennes sont recoupées par des filons d'épaisseur décimétrique d'aplite et de quartz. Sur l’estran rocheux à Sol-Roc, on peut observer des bancs subverticaux de cornéennes et un développement de structures en plis pincés en leur sein[15].
Les cornéennes et granodiorite cadomiennes de la Pointe de Champeaux font partie de l’inventaire du patrimoine géologique national depuis le 5 janvier 2006[16].
Selon la légende locale, la Vallée du Lude[17] résulte d'un combat entre l'archange saint Michel et Satan. L'archange aurait fendu la falaise d'un coup d'épée, le diable se réfugiant derrière le Rocher du Sard (appelé aussi Rocher du Diable, cette crête rocheuse correspond à des cornéennes très redressées. De ce rocher Satan assistait, dit-on, au transport des dalles de granit de Chausey utilisées pour construire le Pont au Bault sur la Sélune au sud d’Avranches[18].
Une légende qui remonte probablement à la fin du XVIesiècle, place à l'angle des falaises, la grotte des Mines d'or où les habitants auraient extraient des métaux précieux. Cette légende que la toponymie a perpétuée dans le nom de Pignon Butor (c'est-à-dire Butte d'or) provient de la présence dans les cornéennes d'un minéral, la pyrite, dont l'éclat métallique et la couleur jaune l'ont souvent fait prendre pour de l'or («or des fous»)[19].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[21].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]
Moyenne annuelle de température: 10,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 0,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Granville – pointe du Roc», sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et qui se trouve à 12 km[26],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,6°C pour la période 1971-2000[27] à 11,9°C pour 1981-2010[28], puis à 12,4°C pour 1991-2020[29].
Urbanisme
Typologie
Champeaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[30],[31],[32].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Granville, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[33],[34].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[35]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[36],[37].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante: terres arables (40%), zones agricoles hétérogènes (37,4%), zones urbanisées (8,4%), forêts (5%), prairies (4,4%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2%), zones humides côtières (0,5%)[38].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[39].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Campels en 1071 - 1085, de Campellis en 1155 (Robert de Torigni) et 1162 (Cartulaire Lucerne), Campeaus en 1172 (Robert de Torigni)[40].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale basée sur l'appellatif normanno-picard campel «petit champ (cultivé)» au pluriel campiaus «petits champs», francisée plus tardivement en champeaux, et derivée en -el (suffixe diminutif) de camp / champ «plaine cultivée»[40]. Champeaux étant situé au sud de la ligne Joret, la forme du normand méridional en Ch- s'est imposée, alors que la forme septentrionale Campeaux subsiste ailleurs en Normandie[41].
Le gentilé est Champelais.
Histoire
La paroisse était un important point de surveillance de la baie du Mont-Saint-Michel ou passait la voie romaine de Bretagne et sur la falaise au Trait de Néron on y dressa un camp observatoire[42]. Guillaume de Saint-Jean-le-Thomas, seigneur de Champeaux au XIIesiècle fit construire une première église, dont il ne subsiste aucun vestige, et la léproserie Saint-Blaise[43].
Dans le Livre rouge de l'Échiquier de Normandie, il est fait mention d'un Willelmus de Campellis[44]. En 1367, il est mentionné que les places de Saint-Pair, Genest et Champeaux sont occupées par les Bretons. Cela pourrait laisser supposer l'existence d'un château. La tradition orale le situe près de l'église, à l'ouest; en 1820, on y voyait des restes de constructions, sans aucune certitude.
Sur la carte de Cassini, un château de Champeaux est figuré près du hameau des Telliers, y figure également une motte «Bourelle»[45] et il y aurait eu des retranchements dans la lande de Bevays-Beuvais.
Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[47].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].
En 2019, la commune comptait 351 habitants[Note 8], en diminution de 1,13% par rapport à 2013 (Manche: −0,97%, France hors Mayotte: +2,17%).
Champeaux a compté jusqu'à 636 habitants en 1800.
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
602
636
397
395
547
561
606
613
568
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
520
527
525
506
502
478
409
401
377
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
354
363
323
294
320
353
410
387
403
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
346
314
352
324
330
320
368
382
357
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
356
351
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
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Église Saint-Vigor. Elle fut fondée au XIIesiècle, mais a été transformée de nombreuses fois. Le porche, côté méridional, qui s'ouvre sur la nef a été rajouté au XIVesiècle[52]. Elle a subi un incendie en 1911 et la foudre a détruit son clocher en . Elle a d'abord dépendu de l'abbaye de La Lucerne, puis du doyenné de Genêts. Elle dépend aujourd'hui de la paroisse Saint-Auguste-Chapdeleine du doyenné du Pays de Granville-Villedieu[53].
Ruines de l'ancienne maladrerie de Saint-Blaise (XIIesiècle), fondée par Henri II Plantagenêt.
Falaises de Champeaux. Une des trois cabanes Vauban (XVIIesiècle) des falaises, la moins connue, est sur le territoire de Champeaux, la plus connue sur Carolles, la troisième sur Saint-Jean-le-Thomas.
Activité et manifestations
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Personnalités liées à la commune
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Voir aussi
Bibliographie
Édouard Le Héricher, Avranchin monumental et historique, t.2, Avranches, Tostain, (lire en ligne), p.596-600
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'orogenèse cadomienne est marquée au nord du massif par des directions N70 (groupes de direction N 60° à N 85° et quelques autres issus de failles associées). L'orogenèse varisque est la principale responsable de l'architecture de la majeure partie du massif, notamment au travers du Cisaillement Nord-Armoricain et des deux branches du Cisaillement Sud Armoricain de direction N110 (séparant les quatre grands domaines armoricains (Nord-armoricain, Centre-armoricain, Sud-armoricain et le Léon), des groupes de failles N 20° à N 40 °, et des directions N140 à N160, héritées du pré-rifting atlantique avorté du Permo-Trias. Ces groupes de failles façonnent les directions du tracé de nombreux plateaux et côtes. Cf Paul Bessin, «Évolution géomorphologique du Massif armoricain depuis 200 MA: approche Terre-Mer», thèse Sciences de la Terre. Université Rennes 1, 2014, p. 98; Jacques Garreau, «Remarques sur la tectonique post-hercynienne en Bretagne occidentale», Norois, no94, , p.179-192 (lire en ligne).
Michel Ballevre, Valérie Bosse, Marie-Pierre Dabard, Céline Ducassou, Serge Fourcade, et al, «Histoire Géologique du massif Armoricain: Actualité de la recherche», Bulletin de la Société Géologique et Minéralogique de Bretagne, nos10-11, , p.5-96.
De Mancellia, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Ce domaine cadomien normano-breton est caractérisé par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépôt des terrains paléozoïques; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.
Le bassin mancellien est le réceptacle de dépôts granoclassés et rythmés (turbidites), à base de vases, silts et sables argileux, dont l’accumulation monotone constitue le flysh. Les couches géologiques sont désignées dans cette partie de Normandie sous le terme de Formation de la Laize).
Les couches montrent de nombreuses charnières anguleuses d'anticlinaux et de synclinaux serrés à isoclinaux d'axe NE-SW à schistosité de plan axial, typiques de l'orientation et du style des plis cadomiens, antérieurs à l'intrusion granitique et au thermométamorphisme. Cf «La ceinture métamorphique - Cornéennes (page 2) Massif de Carolles (Sud-Manche)», sur geologie.discip.ac-caen.fr (consulté le ).
«Le massif granitique de Carolles», Guide de Carolles, , p.30.
Michel Hébert et Maurice Ernouf, Les stations balnéaires de Granville au Mont-Saint-Michel, CinémAction-Corlet, , p.75.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
François de Beaurepaire (préf.Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253p. (ISBN2-7084-0299-4, OCLC15314425).
René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN2-905461-80-2), p.84, 91.
Guy Le Hallé (préf.Hervé Morin, photogr.Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t.II, Louviers, Ysec Éditions, , 160p. (ISBN978-284673-215-4), p.83 ( Champeaux).
René Gautier et al. (préf.Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche: Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll.«Inédits & Introuvables», , 704p. (ISBN978-2-35458-036-0), p.147.
Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie: Années 1827 et 1828, t.4, Caen, Mancel, (lire en ligne), p.93.
Bernard Beck (photogr.Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises: 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204p. (ISBN2-7134-0053-8), p.101.
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