Chaillé-les-Marais est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.
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Commune de la région naturelle du Marais poitevin, elle est incluse dans le parc naturel régional du marais poitevin.
Hydrographie
Chaillé-les-Marais: le canal du Clain.
Creusé en 1217, afin d'assécher le marais entre Chaillé-les-Marais et Marans, le canal des Cinq Abbés, long de neuf kilomètres, est le plus célèbre du Marais poitevin.
Son affluent, le canal du Clain, reçoit par un système de bondes le trop-plein des fossés intermédiaires, lors des crues[1].
Géographie
Chaillé-les-Marais est une ancienne île du «golfe des Pictons» à l'origine du marais Poitevin. Cette butte calcaire est le centre du «marais desséché».
Le territoire municipal de Chaillé-les-Marais s’étend sur 4 010 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 2 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 23 mètres[2],[3].
Chaillé-les-Marais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Rochelle, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,8% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (64,3%), prairies (17%), zones agricoles hétérogènes (13,5%), zones urbanisées (5,2%)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Parmi les soldats morts pendant la Première Guerre mondiale, en voici quelques-uns qui sont inscrits sur le monument aux morts de la commune.
Alexis Pierre Jean: né le 28 août 1872 à Chaillé-les-Marais en Vendée, mort le 14 juin 1916 à Broons dans les Côtes-du-Nord. Fils de Pierre Alexis et de Marie Rose Duraud, Alexis Pierre Jean était employé de commerce. Lors de la Première Guerre mondiale, il est recruté à Fontenay-le-Comte. Il intègre le 33e Colonial et devient adjudant. Il meurt le 14 juin 1916 à l’hôpital complémentaire n°42 à Broons des suites d'une «tuberculose ouverte du poumon droit-tenant du front»[14] à l’âge de 43 ans. Il s’était «engagé volontaire»[15] pour 3 ans à Fontenay-le-Comte le 10 août 1893.
Ballanger René Flavien Narcisse: né le 13 avril 1890 à Chaillé-les-Marais en Vendée, mort le 11 juin 1916 à Verdun dans la Meuse. Fils de Pierre Jean Ballanger et de Marie Léontine Sagot, il était cultivateur. Il est recruté à Fontenay-le-Comte. Il fait partie du 137e Régiment d’Infanterie, il devient alors caporal. «Tué à l’ennemi»[16], il meurt le 11 juin 1916 à Verdun à l’âge de 26 ans. Il est nommé caporal le 11 octobre 1914. Il obtient des «mentions, des lettres de félicitations»[17] et de diverses récompenses. Le jour de sa mort, «le 11 juin 1916 à Thiaumont, près de Verdun, 57 hommes du 137e Régiment d’Infanterie de Fontenay-le-Comte, qui se préparaient à un assaut, sont enfouis après un effroyable bombardement de canons lourds. Les fusils émergeant du sol marquent l’endroit où certains soldats vendéens ont été enterrés vivants.»[18] La bataille de Verdun était «la plus longue bataille de la Première Guerre mondiale et l’une des plus dévastatrices.»
Batard Henri Auguste Eugène: né le 21 novembre 1892 à Saint-Cyr-du-Doret en Charente-Inférieure, mort le 28 août 1917 à Verdun dans la Meuse. Fils de Pierre Eugène Batard et de Maria Victoria Caillaud, il était cultivateur. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 161e Régiment d’Infanterie et devient caporal fourrier (c’est le sous-officier chargé de l’intendance). Il est «tué à l’ennemi»[19] le 28 août 1917 à l’âge de 24 ans[20]. Il entre en guerre le 2 août 1914. Il obtient la «croix de guerre avec 2 étoiles de bronze»[20].
Benotteau Henri Alexandre Fernand: né le 18 février 1897 à Chaillé-les-Marais en Vendée, mort le 6 mai 1917 à Hurtebise dans l’Aisne. Fils d’Alexandre Benotteau et de Céleste Bertrand, il était «coiffeur perruques»[21]. Il est recruté à Fontenay-le-Comte et intègre le 19e Régiment d’Infanterie comme soldat de 2e classe. Il est «tué à l’ennemi»[22] le 6 mai 1917 à l’âge de 20 ans. Il entre en guerre le 7 janvier 1916.
Berjonneau Gaston Alfred Marcel: né le 24 janvier 1896 à Challé-les-Marais en Vendée, mort le 4 octobre 1916 à Fleury dans la Meuse. Fils d’Alfred Berjonneau et de Honorine Graton, il était cultivateur. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 39e Régiment d’Infanterie comme soldat. Il meurt «tué à l’ennemi»[23] le 4 octobre 1916 à l’âge de 20 ans. Il entre en guerre le 8 avril 1915.
Billaud Arthur Eugène: né le 23 mai 1895 à Chaillé-les-Marais, meurt le 19 novembre 1916 à Tauberbischofsheim en Allemagne. Fils d’Honoré Billaud et de Marie Pageaud, il était cultivateur. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 402e Régiment d’Infanterie comme soldat de 2e classe. Il décède «en captivité»[24] en Allemagne à l’âge de 21 ans[25]. Il entre en guerre le 15 décembre 1914.
Bouchonneau Pascal Henri: né le 19 avril 1881 à Chaillé-les-Marais en Vendée, mort le 21 novembre 1917 à Illois en Normandie. Fils de Pierre Jean Bouchonneau et de Marie Rose Leguy, il était cultivateur. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 33e Régiment d’Infanterie et devient sergent. Il meurt des suites «d’accident survenu dans un exercice de grenades»[26] à Illois à l’âge de 36 ans. Il entre en guerre le 13 août 1914.
Brodu Eugène: né le 16 décembre 1873 à la Chaize-le-Vicomte en Vendée et mort le 8 janvier 1918 à Oullins dans le Rhône. Fils d’Auguste Léon Brodu et de Marie Rosalie Thibaudeau, il était maçon. Il intègre le 63e Régiment d’infanterie comme soldat de 2e classe. Il décède «à l’hôpital complémentaire N°13 à Oullins»[27] à l’âge de 38 ans.
Casseron Léon François Pierre: né le 20 août 1897 à Chaillé-les-Marais en Vendée, mort le 7 octobre 1916 dans la Somme. Fils de Pierre Jean Casseron et de Marie Claire Jean, il était tailleur de pierres et maçon. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 118e Régiment d’artillerie lourde comme soldat de 2e classe. Il meurt «tué à l’ennemi»[28] dans le «Bois de Hem»[28] dans la Somme à l’âge de 19 ans. Il entre en guerre le 16 novembre 1915. Il est «engagé volontaire pour 4 ans le 16 novembre 1915 à la mairie de Fontenay-le-Comte»[29].
Delorme Louis Marie Victor: né le 13 mars 1888 à Saint-Philbert-du-Pont-Charrault en Vendée, mort le 27 août 1914 à Chaumont-Saint-Quentin en Ardennes. Fils de Jean Louis François Delorme et d’Augustine Henriette Bregeon, il était son «propre cultivateur»[30]. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 137e Régiment d’Infanterie comme soldat de 2e classe. Il meurt «tué à l’ennemi»[31] en Ardennes à l’âge de 26 ans. Il entre en guerre le 3 août 1914. Il est «signalé décédé sur une liste officielle allemande Z.N.B»[30]. Dès 6 heures, le jour de sa mort le 27, c’est la contre-offensive du 1er bataillon. «A sept reprises, les soldats du 137e Régiment d’Infanterie partent à l’assaut des lignes ennemies»[32]. Durant cette bataille, «près de 800 hommes, tous grades confondus, seront mis hors de combat»[33] lors des affrontements de Chaumont-Saint-Quentin.
Dreneau Paul Gabriel: né le 4 janvier 1894 à Chaillé-les-Marais en Vendée, mort le 28 septembre 1917 Bezonvaux dans la Meuse. Fils de Gabriel Frédéric Dreneau et de Marie Madeleine Tessier, il était comptable. Recruté à La Roche-sur-Yon, il intègre le 415e Régiment d’Infanterie comme soldat. Il meurt «tué à l’ennemi»[34] dans la Meuse à l’âge de 23 ans. Il entre en guerre le 15 décembre 1914.
Girard Eugène Auguste Gustave: né le 3 décembre 1894 à Chaillé-les-Marais, mort le 15 décembre 1916 à Louvemont dans la Meuse. Fils de Pierre Girard et de Marie Girard, recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 4e Mixte de Zouaves et Tirailleurs comme soldat de 2e classe. Il meurt «tué à l’ennemi»[35] dans la Meuse à l’âge de 21 ans. Il entre en guerre le 12 septembre 1914. Louvement-Côte-du-Poivre est «l’un des 9 villages français détruits durant la Première Guerre mondiale qui n’a jamais été reconstruit. Déclaré «village mort pour le France» à la fin des hostilités»[36].
Guichard Louis Pierre Joachim Napoléon: né le 9 octobre 1881 à Mouzeuil en Vendée, mort le 19 novembre 1916 à Besançon dans le département de Doubs. Fils de François Pierre Guichard et de Eulalie Guichard, il était cultivateur. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 54e Régiment d’infanterie Territorial comme soldat de 2e classe. Mort d’une «maladie tuberculose pulmonaire»[37] à l’hôpital régional Saint-Claude à l’âge de 34 ans.
Joseph Maximilien Célestin: né le 16 février 1894 à Chaillé-les-Marais en Vendée, mort le 21 août 1916 à Cerisy-Gailly dans la Somme. Fils d’Emilien Joseph et de Juliette Texier, il était domestique cultivateur. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 35e Régiment d’Infanterie comme soldat de 2e classe. «Touché par éclats d’obus au bras droit et poitrine»[38], il meurt des suites «de blessures de guerre»[39] à l’hôpital d’évacuation n°18 à Cerisy-Gailly à l’âge de 22 ans. Il entre en guerre en décembre 1914. «Près de 10000 blessés HOE (hôpitaux d’évacuation) ont été [...] rapatriés» de Cerisy-Gailly «par les péniches»[40].
Ouvrard Léon Louis Emmanuel: né le 5 mars 1896 à Chaillé-les-Marais, mort le 21 avril 1917 à Vaux-Varennes dans la Marne. Fils de Louis Ouvrard et de Marie Chaigneau, il était cultivateur. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 114e Régiment d’Infanterie comme soldat. Il décède «des suites de blessures de guerre»[41] dans la Marne à l’âge de 21 ans[42]. Il est «blessé le 19 avril 1917 à Sapigneul»[42] par un éclat d’obus qui provoque une «plaie perforante du thorax»[42].
Pacaud Gustave Pierre Alcide: né le 11 mars 1881 à Marans en Charente-Inférieure, mort le 25 septembre 1916 à Bouchavesnes dans la Somme. Fils de Pierre Joseph Pacaud et de Marie Adèle Véronique Constantin, il était cultivateur. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 89e Régiment d’Infanterie comme soldat de 1re classe. Il meurt «tué à l’ennemi»[43] dans la Somme à l’âge de 35 ans. Il entre en guerre en août 1914.
Papon Stanislas Victor: né le 2 juillet 1876 à la Chaize-le-Vicomte en Vendée, mort le 21 juillet 1917 à Louvemont dans la Meuse. Fils de Victor Papon et Marie Ardouin, il était jardinier. Recruté à la Roche-sur-Yon, il intègre le 9e Régiment du Génie comme «Sapeur mineur»[44] «Un sapeur mineur est un soldat de l’armée du génie chargé de l’exécution des sapes, c’est-à-dire des ouvrages souterrains». Il meurt «tué à l’ennemi»[44] dans la Meuse à l’âge de 41 ans. Il entre en guerre le 11 août 1914.
Robin Marcel Adolphe Camille: né le 19 septembre 1896 à Chaillé-les-Marais en Vendée, mort le 10 mars 1917 dans le secteur de Reillon en Meurthe-et-Moselle. Fils de Edmond Robin et de Eugènie Robin, il était cultivateur. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 367e Régiment d’Infanterie comme soldat de 2e classe. Il meurt «tué à l’ennemi»[45] en Meurthe-et-Moselle à l’âge de 20 ans. Il entre en guerre le 8 avril 1915.
Roy Maurice Constant: né le 29 septembre 1892 à Chaillé-les-Marais en Vendée, mort le 24 septembre 1917 à Bezonvaux dans la Meuse. Fils de Alexandre Felix Léon Roy et de Berthe Marie Augustine Brunet, il était domestique cultivateur. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 53e Régiment d’Infanterie comme soldat. Il meurt «tué à l’ennemi»[46] dans la Meuse à l’âge de 24 ans. Il entre en guerre le 2 août 1914.
Simon Fernand Jules Eugène: né le 24 octobre 1879 à Chaillé-les-Marais en Vendée, mort le 7 septembre 1918 dans le secteur de Laffaux dans l’Aisne. Fils de Pierre Jean Jules Simon et de Marie Julie Goureaud, il était maçon. Recruté à Fontenay-le-Comte, il intègre le 3e Régiment d’Infanterie comme soldat de 2e classe. Il meurt dans l’Aisne à l’âge de 38 ans. Il entre en guerre le 3 août 1914.
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes de la Vendée.
Blasonnement:
Écartelé: au premier, d'or au château de gueules, ouvert et ajouré du champ, maçonné de sable; au deuxième, d'azur à l'île d'argent; au troisième, d'azur à l'anguille d'argent ondoyant en pal; au quatrième, d'or à la fasce fuselée de gueules de cinq pièces.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].
En 2019, la commune comptait 1 883 habitants[Note 4], en diminution de 1,98% par rapport à 2013 (Vendée: +4,57%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 702
1 748
1 809
1 998
2 084
2 136
2 296
2 402
2 454
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 495
2 487
2 377
2 368
2 405
2 372
2 330
2 296
2 196
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 162
2 151
1 992
1 690
1 677
1 600
1 589
1 564
1 583
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
1 556
1 443
1 292
1 486
1 553
1 599
1 782
1 834
1 921
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 884
1 883
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,4%, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,4% la même année, alors qu'il est de 31,0% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 926 hommes pour 958 femmes, soit un taux de 50,85% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[52]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,7
90 ou +
4,7
6,9
75-89 ans
13,0
19,7
60-74 ans
18,6
21,9
45-59 ans
19,7
17,6
30-44 ans
17,1
13,7
15-29 ans
11,0
18,5
0-14 ans
15,9
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[53]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,8
90 ou +
2,1
8,4
75-89 ans
11
19,5
60-74 ans
20,4
20
45-59 ans
19,4
18
30-44 ans
17,1
14,9
15-29 ans
13,2
18,5
0-14 ans
16,8
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Sainte-Marie-Madeleine
Pompe à eau, rue du 11-Novembre
Le théâtre Jean-Baptiste
Le monument aux morts
Pompe à eau, rue du 11-Novembre.
Théâtre Jean-Baptiste, rue du 11-Novembre.
Eglise Sainte-Marie-Madeleine
Monument aux morts
Personnalités
Pierre-Ferdinand Simon MEP (1855-1893), évêque missionnaire en Birmanie
Notes et références
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Réélu en 2001, 2008.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
«Commune 24470», Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
«Chaillé-les-Marais», Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll.«Geste Poche» (no14), , 3eéd. (1reéd. 1995), 443p. (ISBN2-84561-263-X), p.75.
«Alexis Pierre Jean», sur Mémoire des Hommes. Ministère des Armées. (consulté le ).
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