Cavillargues est une commune française située dans le nord-est du département du Gard en région Occitanie.
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Cavillargues | |
Ermitage Notre-Dame-du-Saint-Sépulcre. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Gard Rhodanien |
Maire Mandat |
Laurent Nadal 2020-2026 |
Code postal | 30330 |
Code commune | 30076 |
Démographie | |
Gentilé | Cavillarguais, Cavillarguaise |
Population municipale |
854 hab. (2019 ![]() |
Densité | 76 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 06′ 56″ nord, 4° 31′ 22″ est |
Altitude | Min. 105 m Max. 262 m |
Superficie | 11,27 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Bagnols-sur-Cèze (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bagnols-sur-Cèze |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Tave, le ruisseau de la Brives et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Valat de Solan ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cavillargues est une commune rurale qui compte 854 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze. Ses habitants sont appelés les Cavillarguais ou Cavillarguaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'ermitage Notre-Dame-du-Saint-Sépulcre, inscrit en 1981, et le château de la Fare, inscrit en 1990.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1961 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[6]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 0,6 | 1,1 | 3,7 | 6,2 | 10 | 13,3 | 15,7 | 15,6 | 12,3 | 9,2 | 4,5 | 1,8 | 7,9 |
Température moyenne (°C) | 5,2 | 6,3 | 9,6 | 12,2 | 16,4 | 20,1 | 22,9 | 22,8 | 18,7 | 14,4 | 9 | 5,9 | 13,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,7 | 11,4 | 15,4 | 18,3 | 22,9 | 27 | 30,2 | 30 | 25 | 19,7 | 13,5 | 10,1 | 19,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−15 05.01.1971 |
−14 05.02.1963 |
−10,6 02.03.05 |
−3,6 05.04.1975 |
−0,2 03.05.1979 |
4 04.06.1984 |
6,2 19.07.1966 |
5,6 29.08.1986 |
1,9 27.09.10 |
−2,5 27.10.1973 |
−8,4 23.11.1998 |
−14 28.12.1962 |
−15 1971 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21,6 10.01.15 |
24,2 23.02.20 |
28 18.03.1997 |
30,5 24.04.07 |
34,2 30.05.01 |
41,5 28.06.19 |
39,8 06.07.1982 |
41 01.08.20 |
36,2 04.09.16 |
31,1 02.10.11 |
24 07.11.13 |
21,1 29.12.21 |
41,5 2019 |
Précipitations (mm) | 68,8 | 48,2 | 48,9 | 73,8 | 70,7 | 45,2 | 35,3 | 44,4 | 102,5 | 126,6 | 92,6 | 68,1 | 825,1 |
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Valat de Solan »[8], d'une superficie de 58 ha, présentant une intéressante diversité d'habitats naturels sur une superficie réduite[9].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[10] : le « domaine de Solan » (58 ha), couvrant 2 communes du département[11] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[10] : le « plateau de Lussan et Massifs Boisés » (37 159 ha), couvrant 40 communes du département[12].
Cavillargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[13],[I 1],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (53,9 %), forêts (34,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,3 %), zones urbanisées (4,9 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Cavillargues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Tave. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 1994, 1996, 1997, 1998, 2002 et 2014[18],[16].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[19]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 460 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 460 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1983[16].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Cavillargues est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[22].
Occitan Cavilhargas[23], Couvihargue, du roman Cavilhargues, du bas latin Cavalhargæ, Cauverglanicæ, Cavilhanicæ, Cavillanicæ[24].
Arrivés près de la vallée du Rhône, au début de 1382, les Tuchins campèrent dans les gorges de la Cèze où ils furent rejoints par des nobles dont Régis de Saint-Michel-d'Euzet, Étienne Augier, dit Ferragut du Pin, Vachon de Pont-Saint-Esprit et Verchère de Vénéjan qui prirent leur tête. Ils s’emparèrent alors de Cavillargues, Chusclan et Tresques, avant de piller les châteaux de Sabran, La Roque-sur-Cèze, Saint-Laurent-des-Arbres et Cornillon. Dans ce dernier château se trouvait le trésor de Clément VI. Son neveu, Guillaume III Roger de Beaufort, alors Lieutenant des armes du Sénéchal de Beaucaire, organisa la répression. En septembre 1382, il recruta des mercenaires et fit venir une compagnie d’arbelètiers d’Avignon. Ses troupes cantonnées à Bagnols-sur-Cèze attaquèrent alors Cornillon. Dirigées par Gantonnet d'Abzac, Commandant du Saint-Père pour le Païs de Saint-Esprit, elles semèrent la terreur. Guillaume III fit ensuite intervenir son capitaine des gardes de Bagnols, Jean Coq. Ce dernier réussit à pacifier le pays en expulsant les chefs du Tuchinat. Ce qui permit de signer la paix en février 1383[25].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1995 | 2014 | Paul Givaudan | DVD | |
2014 | En cours | Laurent Nadal | DVG | Contremaître |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2019, la commune comptait 854 habitants[Note 8], en augmentation de 5,56 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
681 | 680 | 674 | 812 | 846 | 856 | 853 | 811 | 814 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
832 | 833 | 795 | 804 | 754 | 733 | 737 | 677 | 710 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
679 | 650 | 645 | 687 | 645 | 590 | 524 | 514 | 508 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
525 | 510 | 445 | 492 | 601 | 645 | 744 | 772 | 809 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
858 | 854 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 406 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 859 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 950 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 6,3 % | 7,9 % | 6,8 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 487 personnes, parmi lesquelles on compte 71,9 % d'actifs (65,1 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs) et 28,1 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 122 emplois en 2018, contre 123 en 2013 et 113 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 323, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49 %[I 10].
Sur ces 323 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 83 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 5,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
68 établissements[Note 11] sont implantés à Cavillargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 68 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 8 | 11,8 % | (7,9 %) |
Construction | 12 | 17,6 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 15 | 22,1 % | (30 %) |
Information et communication | 1 | 1,5 % | (2,2 %) |
Activités immobilières | 3 | 4,4 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 13 | 19,1 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 6 | 8,8 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 10 | 14,7 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,1 % du nombre total d'établissements de la commune (15 sur les 68 entreprises implantées à Cavillargues), contre 30 % au niveau départemental[I 14].
L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[30] :
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 52 | 46 | 32 | 27 |
SAU[Note 14] (ha) | 556 | 605 | 552 | 561 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 52 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 46 en 2000 puis à 32 en 2010[33] et enfin à 27 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 48 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[34],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 556 ha en 1988 à 561 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 11 à 21 ha[33].
Historiquement la commune était peuplée de vignerons. Mais Cavillargues est située à 23 km à peine de Roquemaure, site de la première atteinte phylloxérique qui a touché la France, en 1862. Les vignes locales ont donc dû souffrir de cette maladie dès avant 1870. D'où la baisse prononcée de la population entre 1860 et 1900. Une coopérative viticole a été créée en 1914. En 1979, elle vinifiait 41966 hl de vins dont 1616 d'AOC Côtes du Rhône[35]. Cela devait correspondre approximativement à 150 adhérents cultivant 400 ou 500 ha de vigne.
![]() |
Blason | D'azur à la bande losangée d'or et d'azur. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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