Bus-Saint-Rémy est une ancienne commune française, située dans le département de l'Eure en région Normandie, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Vexin-sur-Epte[1].
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Bus-Saint-Rémy
Le portail de l'Abbaye du Trésor-Notre-Dame Inscrit MH (1989) Classé MH (1992).
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Toponymie
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Le nom de la localité est attesté sous la forme Busco en 1195 (charte de Richard Cœur de Lion)[2], Le Bus au XIIIe siècle (cartulaire du Trésor)[3].
Histoire
L'abbaye royale Notre-Dame du Trésor est fondée en 1225 par Raoul de Bus. Abbaye cistercienne, elle est placée sous la protection directe du roi saint Louis.
En 1842, la commune de Baudemont est absorbée.
Héraldique
Ces armes peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui:
d'azur à la croix d'or cantonnée de quatre besants du même
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001
2014
Léa Julien
mars 2014
31/12/2015
Pascal Renard
SE
Cadre supérieur
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[4]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[5],[Note 1].
En 2013, la commune comptait 327habitants, en augmentation de 9,36% par rapport à 2008 (Eure: 2,59%, France hors Mayotte: 2,49%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
203
191
282
267
239
233
248
558
335
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
322
309
318
357
340
390
335
318
316
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
317
322
302
288
285
274
249
234
232
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2010
2013
196
195
189
246
271
277
286
331
327
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[7].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Les trois églises que comportaient les hameaux de Baudemont (Saint-Martin[8]), Saint-Rémy (église éponyme[9]) et à Bus (église Notre-Dame[10]) ont été vendues à partir de 1809 puis détruites (la dernière en 1886).
Abbaye cistercienne du Trésor-Notre-Dame[11] (ancienne), des XIIIesiècle, XVIIeetXVIIIesiècles, partiellement inscrite et classée au titre des monuments historiques en 1989 et 1992[12].
Manoir de Bus, dit Manoir de la Dame Blanche, des XVIeetXVIIesiècles, classé au titre des monuments historiques en 1933[13].
Vestiges du château-fort de Baudemont, émanation directe du traité de Saint-Clair-sur-Epte selon Charpillon[14], censé fixer la frontière du roi de France Charles III le Simple. Les vestiges seraient ceux d'une nième reconstruction du XIIesiècle[15]. Il subsiste du château, des restes du donjon dressé sur une motte artificielle, et des débris du mur d'enceinte, flanqué de tours rondes[16].
Le manoir de Bus.
L'ancien château-fort de Baudemont.
Monument aux morts
Le monument aux morts de Bus-Saint-Rémy porte les noms de 10 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale:
Liste des morts pour la France inscrits sur le monument aux morts de Bus-Saint-Rémy
Pierre Avisse, caporal au 403e régiment d'infanterie, mort pour la France à Terny-Sorny (Aisne) par jugement déclaratif le 28 mai 1918[17].
Ernest Doulé, servant au 333e régiment d'artillerie lourde, mort pour la France au combat de Courtieux (Oise) le 5 juin 1918, tué à l'ennemi par éclats d'obus[18].
Fernand Bertheaume, 2e classe au 2e régiment de marche du 1er étranger, mort pour la France le 15 mai 1915 à l'ambulance 5/9 de La Targette (Pas-de-Calais) suite à blessures de guerre[19]
Albert Coville, caporal au 24e régiment d'infanterie, mort pour la France à Anderlues (Belgique), tué à l'ennemi le 22 aout 1914[20]
Fernand Coville, 2e classe au 2e bis régiment de zouaves, mort pour la France le 19 octobre 1918 à l’hôpital temporaire N°9 de Salonique (Grèce) des suites à une maladie contractée sur le champ de bataille[21].
Maxime Gouriou, 2e classe au 119e régiment d'infanterie (venu du 74e RI), mort pour la France le 25 septembre 1915 aux tranchées de la Folie (Neuville-Saint-Vaast-Pas de Calais), tué à l'ennemi[22]
Marceau Le Guyader, sapeur au 8e régiment du génie mort pour la France le 20 avril 1917 à l’hôpital sanitaire régional à Besançon (Doubs) de tuberculose pulmonaire, maladie contractée en service[23].
Henri Le Testu, maitre pointeur au 22e régiment d'artillerie, mort pour la France le 6 avril 1917 au combat de Verneuil-Courtonne (Aisne), tué à l'ennemi[24]
Constant Noyer, 2e classe à la 23e compagnie du 319e régiment d'infanterie, mort pour la France le 4 juin 1915 à Écurie (Pas de Calais), disparu[25].
Édouard Sauvage, 2e classe au 274e régiment d'infanterie, mort pour la France le 26 septembre 1915 à Neuville-Saint-Vaast (Pas de Calais), tué à l'ennemi[26]
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016,etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
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