Brouilla Écouter est une commune française située dans l'est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.
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Brouilla | |
![]() Église Sainte-Marie de Brouilla | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Pyrénées-Orientales |
Arrondissement | Céret[1] |
Intercommunalité | Communauté de communes des Aspres |
Maire Mandat |
Pierre Taurinya 2020-2026 |
Code postal | 66620 |
Code commune | 66026 |
Démographie | |
Gentilé | Brullanencs - Brullanencques |
Population municipale |
1 532 hab. (2019 ![]() |
Densité | 192 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 34′ 03″ nord, 2° 54′ 16″ est |
Altitude | Min. 27 m Max. 108 m |
Superficie | 8 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Les Aspres |
Localisation | |
Liens | |
Site web | brouilla.fr |
modifier ![]() |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Tech, le ruisseau du Dilouby et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Tech ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Brouilla est une commune rurale qui compte 1 532 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Brouillanencs ou Brouillanencques.
La commune de Brouilla se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 15 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 15 km de Céret[3], sous-préfecture, et à 14 km de Thuir[4], bureau centralisateur du canton des Aspres dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Cyprien[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Ortaffa (2,3 km), Banyuls-dels-Aspres (3,0 km), Saint-Génis-des-Fontaines (3,2 km), Saint-Jean-Lasseille (3,4 km), Bages (4,4 km), Villelongue-dels-Monts (4,6 km), Palau-del-Vidre (4,8 km), Montescot (5,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Brouilla fait partie de la région des Aspres. Compris entre les sillons de la Têt au nord et du Tech au sud, ce minuscule territoire roussillonnais tire son nom de la nature caillouteuse de ses sols[6].
Villemolaque (par un quadripoint) |
Bages | |
Saint-Jean-Lasseille | ![]() |
Ortaffa |
Banyuls-dels-Aspres | Villelongue-dels-Monts | Saint-Génis-des-Fontaines |
La superficie de la commune est de 783 hectares. L'altitude varie entre 27 et 108 mètres[8].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[10].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tresserre », sur la commune de Tresserre, mise en service en 1983[15] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 649,4 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 15 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[19], à 15,7 °C pour 1981-2010[20], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[21].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Tech »[23], d'une superficie de 1 467 ha, héberge le Barbeau méridional qui présente une très grande variabilité génétique dans tout le bassin versant du Tech. Le haut du bassin est en outre colonisé par le Desman des Pyrénées[24].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[25] : la « vallée du Tech de Céret à Ortaffa » (611 ha), couvrant 10 communes du département[26] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[25] : la « rivière le Tech » (933 ha), couvrant 14 communes du département[27].
Brouilla est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[28],[I 2],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (64,2 %), zones agricoles hétérogènes (19,3 %), forêts (7,7 %), zones urbanisées (7,6 %), terres arables (1,2 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
La ligne 572 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan depuis Banyuls-dels-Aspres, et la ligne 573 relie également la commune à la gare de Perpignan.
Le territoire de la commune de Brouilla est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[31],[32].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech[33].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains[34]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[35].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations et mouvements de terrains[36].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une infrastructure ferroviaire. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].
En catalan, le nom de la commune est Brullà[38].
Les premières mentions du nom sont Brulianum en 944, Ebrullianum en 981, Brulliano en 1271[39].
En 1790, la commune de Brouilla est incluse dans le canton d'Elne. Elle est rattachée en 1801 au canton de Thuir, qu'elle ne quitte plus par la suite[40].
À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Aspres.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1793 | 1794 | Thomas Billerach | ||
1794 | 1809 | Jean Fourniouls | ||
1809 | 1813 | ? | ||
1813 | 1823 | Pierre Tiche | ||
1823 | 1834 | Jean Cabira | ||
1834 | 1848 | Jean Jorda | ||
1848 | 1865 | Baptiste Reynal | ||
1865 | 1870 | François Cutzach | ||
1870 | 1871 | Joseph Simon | ||
1871 | 1874 | Jean-François Debord | ||
1874 | 1876 | Paulin Balalud | ||
1876 | 1878 | Baptiste Reynal | ||
1878 | 1884 | Thomas fils Dalbiez | ||
1884 | 1888 | Jean Baretge | ||
1888 | 1892 | Thomas Dalbiez | ||
1892 | 1908 | Jules Escarra | ||
1908 | 1913 | Joseph Casademon | ||
1913 | 1919 | François Acézat | ||
1919 | 1922 | Zacharie Ausseil | ||
1922 | 1925 | Albert Brousse | ||
1925 | 1928 | Zacharie Ausseil | ||
1928 | 1941 | Jean Baills | ||
1941 | 1944 | Raymond Albiach | ||
1944 | 1959 | Michel Capdet | ||
1959 | 1971 | François Nègre | ||
1971 | 1991 | Michel Capdet | ||
1991 | 1995 | Roger Parada | ||
1995 | En cours | Pierre Taurinya[42],[43] | PS |
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
1358 | 1365 | 1378 | 1470 | 1515 | 1553 | 1643 | 1709 | 1720 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
29 f | 28 f | 19 f | 9 f | 13 f | 8 f | 20 f | 20 f | 18 f |
1730 | 1767 | 1774 | 1789 | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
16 f | 98 H | 16 f | 18 f | - | - | - | - | - |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].
En 2019, la commune comptait 1 532 habitants[Note 10], en augmentation de 27,14 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +3,73 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
94 | 80 | 119 | 176 | 207 | 225 | 233 | 255 | 259 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
240 | 206 | 212 | 230 | 266 | 324 | 440 | 351 | 428 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
420 | 427 | 400 | 409 | 396 | 408 | 435 | 424 | 457 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
530 | 537 | 564 | 616 | 565 | 630 | 918 | 965 | 1 061 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 304 | 1 532 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[47] | 1975[47] | 1982[47] | 1990[47] | 1999[47] | 2006[48] | 2009[49] | 2013[50] |
Rang de la commune dans le département | 80 | 81 | 94 | 92 | 92 | 80 | 81 | 77 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
En 2018, la commune compte 642 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 541 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 890 €[I 5] (19 350 € dans le département[I 6]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 10,8 % | 14,1 % | 10,8 % |
Département[I 8] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 861 personnes, parmi lesquelles on compte 80,5 % d'actifs (69,7 % ayant un emploi et 10,8 % de chômeurs) et 19,5 % d'inactifs[Note 12],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 10]. Elle compte 125 emplois en 2018, contre 126 en 2013 et 123 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 606, soit un indicateur de concentration d'emploi de 20,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,4 %[I 11].
Sur ces 606 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 70 travaillent dans la commune, soit 12 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 91,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 3,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
177 établissements[Note 13] sont implantés à Brouilla au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 177 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 106 | 59,9 % | (8,7 %) |
Construction | 16 | 9 % | (14,3 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 15 | 8,5 % | (30,5 %) |
Information et communication | 1 | 0,6 % | (1,9 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 1,7 % | (3 %) |
Activités immobilières | 5 | 2,8 % | (6,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 10 | 5,6 % | (13 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 8 | 4,5 % | (13,9 %) |
Autres activités de services | 13 | 7,3 % | (8,5 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 59,9 % du nombre total d'établissements de la commune (106 sur les 177 entreprises implantées à Brouilla), contre 8,7 % au niveau départemental[I 15].
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[52] :
La commune est dans la « plaine du Roussilon », une petite région agricole occupant la bande cotière et une grande partie centrale du département des Pyrénées-Orientales[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 55 | 28 | 20 | 16 |
SAU[Note 16] (ha) | 319 | 298 | 331 | 193 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 55 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 28 en 2000 puis à 20 en 2010[55] et enfin à 16 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 71 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 73 % de ses exploitations[56],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 319 ha en 1988 à 193 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à 12 ha[55].
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Blason | D’argent à la croix latine alésée d’azur mouvant d’un enté d’argent bordé d’azur, à trois étoiles à sept rais de sable, deux accostant la croix en pointe, la troisième chargeant l’enté ; le tout bordé d’azur.
Le blason de la commune ressemble à celui de l'Ordre des Carmes déchaux séculier. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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