Bougarber (prononcer [buɡaʁbe]; en béarnaisBorg Garbèr ou Bougarbè) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Bougarber
Centre bourg
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement
Pau
Intercommunalité
Communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées
Maire Mandat
Corinne Hau 2020-2026
Code postal
64230
Code commune
64142
Démographie
Population municipale
844 hab. (2019 )
Densité
82 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 23′ 54″ nord, 0° 28′ 16″ ouest
Altitude
Min. 154 m Max. 269 m
Superficie
10,29 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Pau (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton d'Artix et Pays de Soubestre
Législatives
Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Bougarber
Géolocalisation sur la carte: France
Bougarber
Géolocalisation sur la carte: Pyrénées-Atlantiques
La commune de Bougarber se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 17 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 10 km d'Artix[4], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5]:
Viellenave-d'Arthez (1,5 km), Viellenave-d'Arthez (2,7 km), Beyrie-en-Béarn (2,8 km), Uzein (3,2 km), Labastide-Monréjeau (4,3 km), Aussevielle (4,8 km), Casteide-Cami (4,8 km), Denguin (4,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Bougarber fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Au nord-est, le territoire de Momas n'est distant que d'une cinquantaine de mètres.
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier de Bougarber.
La commune est drainée par la Geüle, l'Aïgue Longue, l'Uzan, le Lata, un bras de l'Aygue Longue, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La Geüle, d'une longueur totale de 21,2 km, prend sa source dans la commune de Denguin et s'écoule d'est en ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Mont, après avoir traversé 9 communes[9].
L'Aïgue Longue, d'une longueur totale de 24,4 km, prend sa source dans la commune de Pau et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Luy du Béarn à Momas, après avoir traversé 13 communes[10].
L'Uzan, d'une longueur totale de 23,6 km, prend sa source dans la commune de Lons et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Luy du Béarn à Uzan, après avoir traversé 12 communes[11].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]
Moyenne annuelle de température: 13,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921[17] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[18],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[19], à 13,4°C pour 1981-2010[20], puis à 13,8°C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: le «gave de Pau»[23], d'une superficie de 8 194ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 7] encore vivace[24],[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Bougarber est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[25],[26],[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28],[29].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (66,4%), prairies (13,5%), zones agricoles hétérogènes (10%), forêts (5,9%), zones urbanisées (4,3%)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Lieux-dits et hameaux
Les Abésiaux
Affiusat
Arbus
Bédat
Casales
Cloutet
la Lanne
L'espiau
Liret
Luchane
Pétarrère
La Peyre
Pont-Long
la Serre
l'Uzan
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales 208, 233, 733 et 945.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Bougarber est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Aygue longue, l'Uzan et la Geüle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2008 et 2009[33],[31].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[34]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[35].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bougarber.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[36]. 38,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[37].
Toponymie
Bougarber est une bastide béarnaise dont le nom Bourg Garbè signifie 'bourg gerbier'.
Le toponyme Bougarber apparaît sous les formes
Borc-Garber et Borc-Garbe (respectivement 1385[38] et XIVesiècle[38], censier de Béarn[39]),
Montgerbiel (XIVesiècle[38], Jean Froissart, livre IV),
Borgarber (1402[38], censier de Béarn[39]),
Mongarber (1538[38], réformation de Béarn[40]) et
Bourgarber (1625[38], titres de Béarn[41]).
Le toponyme provient de deux mots d'origine germanique borc /burk/ 'bourg' et garbè (bas-latin garbarius) dérivé de garba 'gerbe de blé'[42].
Les Abésiaux, ancienne école, est mentionné sous la forme la Bésiau (1778[38], terrier de Bougarber).
Affiusat, lande de la commune, est cité en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[38].
Le toponyme Arbus apparaît sous la forme Arbuus (1385[38], censier de Béarn[39]).
Espiau, ancien hôpital pour les pèlerins, est mentionné en 1170[38] (d'après Pierre de Marca[43]), et apparaît sous les formes
Lespiaup (1290[38], titres de Béarn[41]),
Lespiaub (XIIIesiècle[38], fors de Béarn[39]), l'espitau de Lespiaub (1385[38], censier de Béarn[39]) et
Commenda Sancti Jacobi de Spinalba (1527[38], titres des Barnabites de Lescar[44]). Le toponyme Spinalba signifie 'épine blanche', une étymologie romane crédible, peut-être une réfection savante qu'il faut comparer avec Espiaubaig à Andrein en 1527.
Histoire
Protohistoire
Tumulus posthallstattiens
à environ 800 m au sud-est du château, un tumulus fouillé en 1913 par l'abbé André Pédebucq[45] a livré des débris de bronze; une urne funéraire à col évasé, pied étroit et panse légèrement carénée, recouverte d'une coupe; et un vase rempli de cendres, recouvert d'une coupe ornée de gravures rectilignes. Fabre attribue ce mobilier au premier âge du fer[46].
En 1920, l'abbé Pédebucq continue les fouilles sur le premier tumulus et en fouille deux autres[47]. Ils ont livré des les vases recouverts de coupes et remplis de cendres, de formes atypiques, qui peuvent aussi bien dater de l'âge du cuivre (Chalcolithique) que du post-Hallstatt. Une datation est cependant possible grâce à des fragments de fibules: une fibule en fer dont le pied courbé en angle droit se termine par un bouton et une fibule à arbalète dont l'axe en fer est orné de disques de bronze[46]. Ces vestiges sont comparables au mobilier équivalent d'Avezac-Prat et du Tursan. La fibule en fer à bouton est fréquente sur le plateau de Ger. Mais les modèles en forme d'arbalète et dont l'axe est orné de disques de bronze n'y ont pas été signalés, alors qu'ils sont très nombreux à Avezac et dans le Tursan où ils ont été trouvés avec une fibule de La Tène II. Ces formes appartiennent à la première ou à la deuxième période posthallstattienne, ou peut-être aux deux[48].
Moyen-Âge
Paul Raymond[38] note qu'en 1385, Bougarber comptait cinquante-neuf feux et dépendait du bailliage de Pau.
Les Hospitaliers
L'Espiau était une commanderie[38] de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, qui dépendait de Sainte-Christine (Espagne). L'hôpital était situé dans les landes du Pont-Long, sur le chemin Romiu, nom qui s'appliquait à tous les chemins suivis depuis le XIesiècle par les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, couramment bordés de commanderies, d'hôpitaux ou auberges.
Temps modernes
Beyrie a été unie à Bougarber de l'an XII à 1809[49].
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1995
2008
Guy Weber
2008
2014
Guy Weber
2014
En cours
Corinne Hau
Intercommunalité
La commune de Bougarber fait partie de quatre structures intercommunales[50]:
la communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées;
le SIVU pour le service de soins infirmiers à domicile pour personnes âgées du canton de Lescar;
le syndicat «eau et assainissement» des Trois Cantons;
le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].
En 2019, la commune comptait 844 habitants[Note 11], en augmentation de 4,07% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
345
360
458
381
444
461
441
425
398
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
375
388
378
384
351
364
377
360
332
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
314
345
300
288
258
292
295
289
273
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
372
376
403
469
600
650
683
697
811
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
834
844
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique
La commune fait partie de l'aire urbaine de Pau.
Économie
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Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Bougarber s'étend aujourd'hui au-delà des limites de la bastide, le long des voies perpendiculaires à la rue principale médiévale, la Carrère. La bâti s'est un peu densifié le long de cette voie. Les fossés ont été comblés. La porte nord du XIVesiècle, spécimen du système défensif des bastides béarnaises, reste visible. Cette porte[55] est inscrite aux monuments historiques.
Patrimoine religieux
L'église Notre-Dame[56] date partiellement du XVIIesiècle.
Équipements
Éducation
La commune dispose d'une école primaire et maternelle[57].
Personnalités liées à la commune
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Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208p. (BNF31182570, lire en ligne)..
Fors de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit du xivesiècle (lire en ligne)..
Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll.«manuscrits du XVIeauXVIIIesiècle».
Titres de la vicomté de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1reéd. 1963), 738p. (ISBN2-85023-076-6)..
D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
Titres des Barnabites de Lescar - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
[Pedebucq 1922] Abbé André Pedebucq, «Fouilles de trois tumuli à Bougarber», Bulletin de la Société des Sciences, Lettres et Arts de Pau, t.45, 2e série, , p.223-227 (lire en ligne[sur gallica]), p.224-225. Cité dans Fabre 1943, p.59.
[Fabre 1943] Gabrielle Fabre, «Contribution à l'étude du protohistorique du Sud-Ouest de la France», Gallia, vol.1, no1, , p.43-79 (lire en ligne[sur persee]), p.59.
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