Boueilh-Boueilho-Lasque (en béarnaisBuelh-Buelhòu-Lasque ou Boélh-Boelho-Làsquẹ) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Boueilh, Boueilho et Lasque.
Boueilh-Boueilho-Lasque
L’école du village
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement
Pau
Intercommunalité
Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire Mandat
Pierre Costadoat 2020-2026
Code postal
64330
Code commune
64141
Démographie
Gentilé
Boueilhais-Lasquais
Population municipale
375 hab. (2019 )
Densité
22 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 32′ 36″ nord, 0° 18′ 42″ ouest
Altitude
Min. 117 m Max. 263 m
Superficie
17,35 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Pau (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives
Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Boueilh-Boueilho-Lasque
Géolocalisation sur la carte: France
Boueilh-Boueilho-Lasque
Géolocalisation sur la carte: Pyrénées-Atlantiques
Boueilh-Boueilho-Lasque
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Boueilh-Boueilho-Lasque
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Géographie
Localisation
La commune de Boueilh-Boueilho-Lasque se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 33 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 22 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Garlin[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4]:
Lauret (3,4 km), Claracq (3,6 km), Pouliacq (3,8 km), Garlin (3,9 km), Ribarrouy (3,9 km), Coublucq (4,3 km), Baliracq-Maumusson (4,7 km), Garlède-Mondebat (4,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Boueilh-Boueilho-Lasque fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Communes limitrophes de Boueilh-Boueilho-Lasque[6]
Réseaux hydrographique et routier de Boueilh-Boueilho-Lasque.
La commune est drainée par le Gabas, le Bahus, la Rimblé, L'Arriutort, la Brioulette, le Tourniquet, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 23 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le Gabas, d'une longueur totale de 116,7 km, prend sa source dans la commune d'Ossun et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Souprosse, après avoir traversé 43 communes[8].
Le Bahus, d'une longueur totale de 47,9 km, prend sa source dans la commune de Claracq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Sever, après avoir traversé 16 communes[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]
Moyenne annuelle de température: 13°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Mont-Disse», sur la commune de Mont-Disse, mise en service en 1971[15] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7°C et la hauteur de précipitations de 979,8 mm pour la période 1981-2010[17].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 19 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[19], à 13,4°C pour 1981-2010[20], puis à 13,8°C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[22],[Carte 2]:
la «retenue de Miramont» (119,69ha), couvrant 4 communes dont 2 dans les Landes et 2 dans les Pyrénées-Atlantiques[23].
Urbanisme
Typologie
Boueilh-Boueilho-Lasque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[24],[25],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[27],[28].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,8% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (48%), prairies (23%), forêts (19,6%), zones agricoles hétérogènes (7,8%), eaux continentales[Note 9] (1,5%)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
La commune est desservie par la route nationale 134 et les départementales 296, 297 et 946.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Boueilh-Boueilho-Lasque est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Bahus et le Gabas. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 2008, 2009 et 2013[32],[30].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Boueilh-Boueilho-Lasque.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. 66,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[34].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 11]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[36].
Toponymie
Le toponyme Boueilh apparaît sous les formes Boeil (1681[37], réformation de Béarn[38]), Boeilh (1793[39] ou an II) et Boeilhe (1801[39]). Ce toponyme provient du latin bovillum qui désigne un domaine à bœufs[40].
Le toponyme Boueilho apparaît sous les formes Boilho et Boeilho (respectivement 1538[37] et 1673[37], réformation de Béarn[38]), Boeilho (1793[41] ou an II) et
Boielho (1801[41]). Le nom Boueilho tire, comme Boueilh, ses origines du latin bovillum[40].
Le toponyme Lasque est mentionné en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[37].
Le nom béarnais de la commune est Buelh-Buelhòu-Lasque[42] ou Boélh-Boelho-Làsquẹ[43].
Le toponyme Fortisson est mentionné en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque qui indique que la ferme concernée tire son nom des seigneurs de Fortisson[37].
Le toponyme Roquefort apparaît sous la forme Arroquefort (XIIIesiècle[37], fors de Béarn[44]). Ce hameau est également appelé Roquefort-de-Tursan, pour le distinguer de Roquefort-de-Marsan.
Histoire
Paul Raymond[37] note que Boueilh dépendait du Tursan et de la subdélégation de Saint-Sever, tout comme Boueilho.
La commune a été formée en 1843[37] par la réunion des villages de Boueilho et Lasque à Boueilh. Cependant cette union est pour le moins particulière: chaque village ayant gardé longtemps une sorte d’indépendance et des fonctionnements distincts. Chacun possède son église où la messe dominicale est célébrée à tour de rôle.
L’origine des 2 premiers noms aurait un lien avec «l’étable à bœufs». Lasque serait plutôt d’origine ligure et signifierait «au-dessus du ruisseau».
Ces 3 villages ne furent rattachés véritablement au Béarn que de 1240 à 1452, date à partir de laquelle ils furent annexés au royaume de France. Pointe avancée vers la Chalosse, les échanges se font indifféremment vers les Landes ou le Béarn.
Roquefort faisait partie du Tursan et de la subdélégation de Saint-Sever[37].
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la commune de Boueilh-Boueilho-Lasque, a joué un rôle important pour les résistants. En effet, sur les terres appelées «Landes», longues parcelles de terre noire, les résistants aménagèrent une piste d'atterrissage pour leur convois. Lorsque les habitants entendaient le message suivant à la radio: «les feux d'Albanie doivent être éteints», cela signifiait qu'il fallait éteindre toutes les lumières afin que les lampes à huile disposées les unes derrière les autres sur la Lande pour délimiter la piste deviennent visibles.[réf.nécessaire]
Politique et administration
Liste des maires
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995
En cours
Pierre Costedoat
Intercommunalité
Boueilh-Boueilho-Lasque fait partie de six structures intercommunales[45]:
la Communauté de communes des Luys en Béarn;
le SIVU de la voirie de la région de Garlin;
le SIVU du Lées et affluents;
le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Léès;
le syndicat intercommunal des cinq rivières.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47].
En 2019, la commune comptait 375 habitants[Note 12], en augmentation de 8,38% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
287
288
610
342
335
397
860
881
855
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
800
787
752
712
731
673
691
630
614
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
615
621
553
527
456
454
439
411
389
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
350
347
302
283
323
329
336
342
364
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
342
375
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Culture locale et patrimoine
La mairie.
Le monument aux morts.
Le foyer municipal.
Une des églises de Boueilh-Boueilho-Lasque.
Un des habitants de ce village, Jean Lacoste, alias «Jan de Mounic», a signé un ouvrage bilingue (patois béarnais/ français) contant la vie dans ce village avant 1950[50].
Patrimoine civil
L'ensemble fortifié[51] de Boueilho-Castéra pourrait être un ancien camp préhistorique.
L'édifice fortifié[52], dit Moutha, sis au lieu-dit Lasque-Roquefort, date des XIIIeetXIVesiècles.
Un château[53] datant du XVIIIesiècle se dresse au lieu-dit Lasque-Fortisson.
La commune présente un ensemble de fermes et de maisons[54] datant des XVIIIeetXIXesiècles. Le presbytère[55] de Boueilh date, quant à lui, de 1843.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Aignan[56], à Boueilh, date de 1850. Son cimetière[57] est également inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel, tout comme les objets[58], tableaux[59], statues[60] et divers mobiliers[61] qu'elle renferme.
L'église Saint-Jean[62], à Boueilho, pourrait tirer ses origines du haut Moyen Âge. On y trouve des objets[63] et une lithographie (chemin de croix[64]) référencés par le ministère de la Culture.
L'église Saint-Martin[65], de Lasque, a été reconstruite, quant à elle, au début du XXesiècle, mais son abside provient du XIIesiècle. Elle recèle du mobilier[66], des tableaux[67], des statues[68] et des objets[69] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[35].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208p. (BNF31182570, lire en ligne)..
Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll.«manuscrits du XVIeauXVIIIesiècle».
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Boueilh», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 3, page 1859 Lire en ligne
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Boueilho», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
Titre du livre: Atàu bibè lou biladje (Mon village était vivant) - Achevé d'imprimer le 11 juillet 1994 sur les presses de l'imprimerie Bihet (64320 Bizanos)
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