Bellegarde (Belagarda e Adolins en gascon) est une commune française située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.
Pour les articles homonymes, voir Bellegarde.
Bellegarde
La mairie.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Gers
Arrondissement
Mirande
Intercommunalité
Communauté de communes Val de Gers
Maire Mandat
Jean-Philippe Gerault 2020-2026
Code postal
32140
Code commune
32041
Démographie
Gentilé
Bellegardais, Bellegardaise
Population municipale
173 hab. (2019 )
Densité
12 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 25′ 32″ nord, 0° 37′ 28″ est
Altitude
264 m Min. 212 m Max. 315 m
Superficie
14,92 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton d'Astarac-Gimone
Législatives
Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Bellegarde
Géolocalisation sur la carte: France
Bellegarde
Géolocalisation sur la carte: Gers
Bellegarde
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Bellegarde
modifier
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Bellegarde est une commune rurale qui compte 173 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 485 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Bellegardais ou Bellegardaises.
Bellegarde se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].
Voies de communication et transports
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Arrats, le ruisseau de Bères, le ruisseau de Bésiau, le ruisseau de Mirando et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[4],[Carte 1].
L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[5].
Réseaux hydrographique et routier de Bellegarde.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]
Moyenne annuelle de température: 12,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Castelnau-Magnoac», sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986[11] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,6°C et la hauteur de précipitations de 861,3 mm pour la période 1981-2010[13].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Auch», sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 25 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,1°C pour 1981-2010[15] à 13,5°C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17]:
les «coteaux de Masseube» (1 029ha), couvrant 3 communes du département[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[17]:
les «coteaux de la Lauze et de l'Arrats» (5 264ha), couvrant 18 communes du département[19];
les «coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch» (13 191ha), couvrant 31 communes dont 28 dans le Gers et trois dans les Hautes-Pyrénées[20].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Bellegarde.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Bellegarde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[I 1],[22].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (86,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (60,9%), terres arables (17,4%), forêts (11,6%), prairies (10,2%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Bellegarde est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bellegarde.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 83 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 83 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 93% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1993 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Toponymie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Histoire
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
En 1822, la commune de Bellegarde absorbe les communes de Pis-Bajon (partagée avec Bézues-Bajon) et Adolins.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2019, la commune comptait 173 habitants[Note 7], en diminution de 0,57% par rapport à 2013 (Gers: +0,58%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1841
1846
1851
1856
286
265
298
279
485
446
434
416
412
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
428
384
384
371
365
349
333
329
335
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
323
303
286
290
277
269
255
240
232
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
2015
203
165
148
150
136
155
159
172
176
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
173
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Note: À partir de 1831, le recensement comprend également les populations des anciennes communes de Pis-Bajon (partagée avec Bézues-Bajon et Adolins, toutes deux réunies à Bellegarde en 1822.
Enseignement
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 66 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 158 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 830 €[I 4] (20 820 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 93 personnes, parmi lesquelles on compte 80% d'actifs (74,1% ayant un emploi et 5,9% de chômeurs) et 20% d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 25 en 2013 et 27 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 73, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,6% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,7%[I 10].
Sur ces 73 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 24% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 82,1% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,4% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
8 établissements[Note 10] sont implantés à Bellegarde au [I 13].
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à Bellegarde), contre 14,6% au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du départementle centre-nord du département du Gers, un quart de sa superficie, et correspond au pied de lʼéventail gascon[35]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 32 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 23 en 2000 puis à 16 en 2010[37] et enfin à 13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 59% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51% de ses exploitations[38],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 078ha en 1988 à 539ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 41ha[37].
Culture locale et patrimoine
Croix et panneau près du lieu-dit "Le Presbytère" à Bellegarde
Lieux et monuments
Château de Bellegarde. Fief des Lagossan dès 1300, puis, par alliance, des Saint-Lary aux XVe et XVIe siècles, la seigneurie de Bellegarde fut vendue en 1618 à Jean-Auguste de La Passe, gouverneur du château de Foix, seigneur de Poussignan et de Mont (Mont d’Astarac)[39]. Il fit faire des travaux considérables pour aménager ce qui est probablement un nouveau château: le cadastre de 1784 signale en effet un site castral plus ancien à l’est de l’église[40]. Le château dispose d’un corps principal et d'une aile en retour d’équerre sur les faces nord et ouest, d’une cour d’honneur fermée à l’est et au sud par une grille et un portail. Le corps de logis, d’un seul étage, est flanqué sur ses angles nord-est et sud-est de pavillons plus hauts d’un étage. La porte principale est particulièrement remarquable: "Précédée d’un perron, assez basse, elle découpe son ouverture rectangulaire entre deux pilastres cannelés. Un fronton cintré, brisé aux volutes supérieures rentrantes, et un édicule à jour ovale la couronnent dans tout un luxe de cuirs, palmettes, mufles léonins, mascarons et cornes d’abondance."[41] De larges douves baignent l’ensemble bâti[42]. Propriété privée, ne se visite pas.
La chapelle et la motte castrale de Pis. Le château de Pis, indiqué sur la carte de Cassini, a disparu en élévation. La chapelle de Pis est établie sur la motte castrale, dont la basse-cour, en partie cernée d’un fossé, porte la maison «L’Oustau». Propriété privée, ne se visite pas.
Le moulin à vent ruiné.
L'église de la Nativité-de-Notre-Dame de Bellegarde.
L'église Saint-Martin des Adoulins.
Personnalités liées à la commune
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol.III: Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437p. (ISBN2-9505900-7-1, BNF40101206)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[36].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Michel de La Torre, Gers: Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll.«Villes et villages de France», (ISBN2-7399-5032-2, BNF35576310).
David Bourdeau et Jacques Lapart, Châteaux et belles demeures du Gers. Astarac, Pardiac, Savès, Editions du Val d’Adour, , p. 91..
Archives départementales du Gers, C 113.
Jean-Henri Ducos, Dictionnaire des châteaux de France: Guyenne, Gascogne, Béarn, Pays-Basque, collection sous la direction d'Yvan Christ, sous la direction de Jacques Gardelles, Paris, Berger-Levrault, , p. 69.
Jean-Henri Ducos et Jacques Gardelles, Guide des Châteaux de France. Gers 32, Paris, Hermé, , 152p..
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии