Beaumont-le-Roger est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
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Beaumont-le-Roger
De haut en bas, de gauche à droite: l'hôtel de ville; le prieuré de la Sainte-Trinité; l'église Saint-Nicolas; le manoir du Hom; la Risle.
Mesnil-en-Ouche (comm. dél. de Gouttières et de Saint-Aubin-le-Guichard), Corneville-la-Fouquetière, Fontaine-l'Abbé
Barc, Grosley-sur-Risle
Le Noyer-en-Ouche
Le Noyer-en-Ouche
Le Noyer-en-Ouche
Boisement
Beaumont-le-Roger se situe au bord d'une forêt qui porte son nom. Cette forêt couvre une surface de 3 600ha et s'étend sur quatre communes. Elle constitue le plus vaste domaine forestier privé de Normandie.
Hydrographie
Plusieurs cours d'eau traversent Beaumont-le-Roger: la Risle[4], la Bave, la Georgette, la source de l'Abyme et la source du jardin public de Beaumont.
Voies de communication et transports
Beaumont-le-Roger se trouve à environ 30 km d'Évreux en allant rejoindre la route départementale 613 par la RD 31 ou la RD 133.
Elle se trouve aussi à environ 30 km de l'A28 en passant par Bernay.
La ville est traversée par la voie ferrée Paris-Cherbourg (gare de Beaumont-le-Roger).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]
Moyenne annuelle de température: 10,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Menneval», sur la commune de Menneval, mise en service en 1962[11] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6°C et la hauteur de précipitations de 780,8 mm pour la période 1981-2010[13].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Évreux-Huest», sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 32 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,3°C pour la période 1971-2000[15] à 10,8°C pour 1981-2010[16], puis à 11,2°C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Beaumont-le-Roger est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[18],[19],[20].
Elle appartient à l'unité urbaine de Beaumont-le-Roger, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[21] et 5 723 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[22],[23].
La commune est en outre hors attraction des villes[24],[25].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,9% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (75,1%), prairies (8,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,8%), zones urbanisées (5,7%), terres arables (4,2%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Belmont en l'an 1000[28], Bello monte vers 1040[29].
Le nom de la ville, Beaumont, est la contraction de «beau mont». Le nom évoquerait sa situation dominante sur les vallées des environs.
La ville porte ce nom en hommage à Roger de Beaumont, premier seigneur du bourg au XIesiècle et conseiller de Guillaume le Conquérant.
Histoire
Le prieuré de la Sainte-Trinité.
La ville de Beaumont, avant de prendre le nom de Beaumont-le-Roger, appartenait au seigneur local Roger de Beaumont. Par la suite, la ville s’agrandit autour de Beaumont, comprenant Beaumont-la-ville, les quartiers des Vieilles et du Bourg-Dessus. Il est à l'origine de la fondation du prieuré de la Sainte-Trinité, de l'église Saint-Nicolas ainsi que d'un château dont il ne subsiste aucune trace[30].
Beaumont faisait d'abord partie du domaine des ducs de Normandie et en fut détaché en 1008 au profit de l'épouse de Richard II, Judith de Bretagne, qui en fit don à l'abbaye Notre-Dame de Bernay.
Domaine royal jusqu'en 1310, quand Philippe IV le Bel, roi de France, érigea Beaumont en comté-pairie et le donna en apanage à Robert III d'Artois, arrière-petit-fils de Robert Ier d'Artois, frère du roi Louis IX, connu sous le nom de Saint Louis.
En 1354, à la suite du traité de Mantes, la ville est cédée par le roi Jean II le Bon à son gendre le roi Charles II de Navarre, avec de nombreuses autres terres normandes[31].
En 1651, le fief est cédé au duc de Bouillon en échange de la principauté de Sedan[30].
Du fait de sa proximité avec un important camp d'aviation installé par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, Beaumont-le-Roger fut bombardée à plusieurs reprises et l'église Saint-Nicolas, très endommagée, dut être en grande partie reconstruite. Plus de la moitié de la ville fut ainsi détruite (60%)[30], ce qui lui valut d'être décorée de la croix de guerre 1939-1945.
Politique et administration
Tendances politiques en 2020 et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 dans l'Eure.
Résultats des élections municipales de 2020 à Beaumont-le-Roger[32]
Ancien conseiller général, ancien président de l'Intercom du Pays beaumontais
28 mars 2014
En cours
Jean-Pierre Le Roux
UDI
Conseiller départemental
Politique de développement durable
En 2017, la commune a été labellisée «3 fleurs» par le Conseil national de villes et villages fleuris de France[37].
Jumelages
La commune de Beaumont-le-Roger est jumelée à trois villes étrangères:
Obersulm (Allemagne);
Hercegkút (Hongrie);
Wotton-under-Edge (Royaume-Uni).
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2019, la commune comptait 2 794 habitants[Note 7], en diminution de 5,99% par rapport à 2013 (Eure: +0,75%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
949
1 237
1 582
1 768
2 515
2 317
2 063
2 044
2 030
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 044
2 099
2 099
1 985
1 984
1 951
1 909
1 886
1 895
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 915
1 917
2 092
2 201
2 043
2 070
2 020
1 991
2 175
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
2 740
2 871
2 828
2 711
2 694
2 818
2 914
2 942
2 972
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 813
2 794
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La commune relève de l'académie de Rouen. Deux collèges sont situés à Beaumont:
le collège Saint-Georges, un établissement privé catholique, situé près du centre-ville;
le collège Croix-Maître-Renault, un établissement public inauguré en 1974, qui fut rénové en 2009-2010. Le , un nouveau bâtiment abritant les salles de classe et les services d'administration fut officiellement inauguré par le maire Serge Desson, le principal du collège, Yves Le Bras, Jean-Pierre Nicolas, député de la deuxième circonscription de l'Eure et Jean-Louis Destans, président du conseil général de l'Eure.
Économie
Trois industries sont installées dans la commune:
Schneider Electric: fabrication de composants électriques;
Scierie Croix Maître Renault;
Meunerie.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Beaumont-le-Roger compte trois édifices classés ou inscrits au titre des monuments historiques:
l'église Saint-Nicolas (XIIIe, XIVe et XVe) Classé MH(1909)[42];
le manoir du Hom (XVIe et XVIIe) Inscrit MH(1989)[43];
les vestiges du prieuré de la Sainte-Trinité (XIe et XIIIe) Classé MH(1916)[44].
Par ailleurs, de nombreux autres monuments sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel:
la chapelle Saint-Marc, Saint-Léger-des-Forges (XIXe) au lieu-dit Saint-Marc[45];
la mairie (XVIe et XIXe)[46]. Il s'agit de l'ancienne prison du bailliage du XVIesiècle;
le monument aux morts, œuvre du sculpteur Louis-Aimé Lejeune (1921), au lieu-dit les Vieilles[47];
le pont aux Chèvres de la RD 23 sur la Risle (XVIIIe)[48];
trois manoirs: le premier du XVIesiècle au lieu-dit les Vieilles[49], le deuxième du XVIIesiècle au lieu-dit Val-Boncœur[50] et le troisième du XVIIIesiècle au lieu-dit le Bourg-Dessus[51];
La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne[69].
Sites inscrits
Le pont aux Chèvres et ses abords[70]. Site inscrit (1939);
Le pont de l’Étang et ses abords[71]. Site inscrit (1939).
Personnalités liées à la commune
Époque médiévale
La famille de Beaumont, de par Roger de Beaumont (1015 – 29 novembre 1094), vicomte de Rouen, seigneur de Vatteville-la-Rue, Pont-Audemer et Beaumont, est la fondatrice de la ville. Elle fit partie des grandes familles baronniales anglo-normandes qui s'enracinèrent en Angleterre après la conquête normande.
Le comte Robert III d'Artois (1287-1342), seigneur de Conches-en-Ouche, de Domfront et de Mehun-sur-Yèvre, a reçu en 1310 en apanage le comté de Beaumont-le-Roger en dédommagement du comté d’Artois auquel il prétendait. Il est l'un des personnages principaux de la suite historique de Maurice Druon, Les Rois maudits.
Époque moderne
Michel de Castelnau Mauvissière (1517-1592), comte de Beaumont-le-Roger, peut-être seulement en titre, capitaine de cinquante hommes d'armes et diplomate, ambassadeur en Angleterre.
Louis de Marillac (1572-1632), comte de Beaumont-le-Roger, maréchal de France, exécuté le 10 mai 1632 sur la place de Grève à Paris.
Jean Charles Guillaume Le Prévost de Beaumont (1726-1823), homme de lettres qui resta vingt-deux années emprisonné pour délit d'opinion, est né à Beaumont-le-Roger.
Époque contemporaine
Jules Prior (1822-1903), grand poète de Beaumont, est né (probablement) en 1822 dans la ville. Lors de la guerre franco-allemande de 1870, Prior, grand patriote, rédigera Le Prisonnier de Metz, dix-huit ans plus tard, en 1888, qui sera une pièce en trois actes faisant état du ressentiment du conflit d'un point de vue local. Il sera récompensé de sa trop peu connue carrière littéraire par le prix Montbinne de l’Académie française en 1897, puis deux ans plus tard, des Palmes académiques. Décédé en 1903, Prior repose au cimetière de Beaumont-le-Roger. Une rue de Beaumont porte son nom de nos jours.
Louis Aston Knight (1873-1948), peintre franco-américain, a vécu avec sa famille à Beaumont-le-Roger, dans une grande propriété style Louis XIII en briques et pierres blanches construit par l'architecte François Mansart (manoir Chantereine, rue de l'Abbaye). Durant tout son séjour jusqu'en 1940, il ne cessa de peindre sa chaumière et le paysage local, qu'il trouvait magnifiques. La légende raconte que Knight, en compagnie de son épouse, rencontra le peintre Claude Monet, qu'il admirait, à l'hôtel du «Lion d'or» de Beaumont. Pour inciter les Beaumontais à cultiver un jardin bien fleuri, Knight offrait chaque année 1 000 francs à l'issue d'un concours, «la Chaumière fleurie». Lorsque la maison du couple Knight fut détruite par l'American Air Force le 17 août 1944, le peintre refusa toute reconstruction et s'exila avec sa femme à New York, ville dans laquelle il mourut quatre ans plus tard. Son jardin fut comparé à celui de Monet à Giverny. Il offrit une toile en 1935, exposée au musée d'Évreux.
Marcel Mule (1901-2001), saxophoniste, a passé son enfance à Beaumont-le-Roger. Son père, comptable aux usines Malhère, dirigea la fanfare de Beaumont, jouait du saxophone et donnait à ses heures libre des cours de musique. Devenu instituteur en 1920, Mule enseigna à l'école communale de Beaumont. Le , dans le cadre du centenaire de la Société musicale de Beaumont-le-Roger, Mule offrit aux Beaumontais un grand concert en compagnie de ses amis Georges Gourdet, Guy Lacour, Marcel Josse, Danièle Perriers (1erprix du Conservatoire national de Rouen) et enfin Nicole Bruyère (directrice actuelle de l’École de musique de Beaumont-le-Roger).
Eugénie de Grèce (1910-1989), princesse Radziwill, a vécu quelques années au Val-Saint-Martin.
Philippe Delerm (né en 1950), écrivain, par ailleurs professeur au lycée Marie-Curie de Bernay, réside à Beaumont-le-Roger, dans une belle propriété, en compagnie de son épouse Martine, illustratrice. Son fils, le chanteur Vincent Delerm (né en 1976) y a grandi.
Jean-Claude Camus (né en 1938), producteur français, a passé une partie de son enfance à Beaumont-le-Roger. Les obsèques de son père ont eu lieu fin 2006 dans la commune. Par ailleurs, il est le parrain de l'École de musique de la ville qui porte son nom.
Hervé Delamarre (né en 1967), sportif français, a été membre du club de canoë-kayak de la ville durant près d'une décennie.
Samuel Jouy (né en 1975), acteur, a grandi à Beaumont-le-Roger.
Héraldique
Les armes de la commune de Beaumont-le-Roger se blasonnent ainsi: d'azur semis de fleurs de lis d'or au lambel de quatre pendants d'argent brochant en chef sur le tout.
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
«Le pays d'Ouche», sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1157 - (ISBN2600001336).
Jean Adigard des Gautries-Fernand Lechanteur, Les noms des communes de Normandie - V [article] Annales de Normandie Année 1962 - page 5.
Jean-Marie Pérouse de Montclos, Le patrimoine en Normandie, Éditions Place des victoires, , 495p. (ISBN978-2-8099-1056-8), p.72.
André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll.«Inédits et introuvables du patrimoine Normand», , 319p. (ISBN978-2-91454-196-1), p.169.
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