Banize est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.
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Dans la moitié sud du département de la Creuse, en Haute-Creuse, la commune de Banize s'étend sur 15,24 km2. Elle est bordée à l'ouest sur plus de deux kilomètres par le Thaurion et est arrosée par son affluent la Banize.
L'altitude minimale avec 471 mètres se trouve localisée à l'extrême ouest, au nord du lieu-dit le Meigneau, là où le Thaurion quitte la commune et entre sur celle de Chavanat. L'altitude maximale avec 653 mètres est située au nord-est, au puy de l'Arbre[1].
À l'intersection des routes départementales (RD) 10 et 16, le bourg de Banize est situé, en distances orthodromiques, quatorze kilomètres à l'ouest d'Aubusson, la sous-préfecture, et vingt-huit kilomètres au sud-sud-est de Guéret, la préfecture.
Le territoire communal est également desservi par les RD 36 et 940, cette dernière marquant les limites nord et nord-est de la commune.
En provenance de la commune de Chavanat, le GR 4 traverse le territoire communal, passe dans le bourg de Banize et rejoint à l'est du bourg le GR 46 qui continue vers le sud et la commune de Vallière, passant au lieu-dit la Mouline. Au nord-est, sur trois kilomètres, un tronçon commun à ces deux chemins de randonnée passe au lieu-dit la Vallade.
Communes limitrophes
Banize est limitrophe de cinq autres communes.
Au nord-ouest, son territoire est distant de moins de 400 mètres de celui de Saint-Georges-la-Pouge.
Communes limitrophes de Banize
Chavanat
Saint-Sulpice-les-Champs
Saint-Michel-de-Veisse
Le Monteil-au-Vicomte
Vallière
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 9,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 5,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 13,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Vallières», sur la commune de Vallière, mise en service en 1999[8] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 9,9°C et la hauteur de précipitations de 1 205,7 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Limoges-Bellegarde», sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 59 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour la période 1971-2000[12], à 11,4°C pour 1981-2010[13], puis à 11,8°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Banize est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aubusson, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,5% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (51,5%), prairies (36,7%), zones agricoles hétérogènes (8,7%), terres arables (3,2%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Banize est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier: le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 50,6% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 134 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 62 sont en en aléa moyen ou fort, soit 46%, à comparer aux 25% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Confolent, un ouvrage sur la Creuse de classe A[Note 7] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 4,7 millions de mètres cubes[26]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[27].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Banize est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].
Histoire
Banize est une commune de maçons-migrants essentiellement vers Paris et Lyon et leurs régions, dans la tradition des maçons de la Creuse (mouvement qui concernait au XIXesiècle 12% de la population creusoise, et 17% dans le canton de Saint-Sulpice-les-Champs dont faisait partie la commune), phénomène qui au cours des derniers siècles a façonné la physionomie actuelle du département et bien sûr de la commune. D'un côté, les simples ouvriers-maçons qui investissaient cependant le gain de leurs campagnes dans l'achat d'un lopin de terre pour s'installer et gagner ainsi leur indépendance. D'un autre côté, ceux plus ambitieux, voire opportunistes, qui sont devenus entrepreneurs en bâtiment, dont certains ayant pignon sur rue encore aujourd'hui. La politique de réforme de l'urbanisme du baron Haussmann et les reconstructions post-guerres mondiales leur ont été très favorables: des contemporains de Martin Nadaud, pour citer le plus célèbre d'entre eux, ont créé de véritables dynasties toujours très influentes dans les coulisses du pouvoir, tant la matière est cruciale. Terre ingrate et pauvre, la Creuse a atteint ses lettres de noblesse grâce à la maçonnerie qui est devenue une spécialité creusoise au cours des siècles. On peut parler de véritable ascenseur social, et Banize en est un exemple flagrant au travers des familles Despagnat, Georges, Mazet, Delavallade, Fiallon, Desgranges, Delouis, Chabanaud, etc.[Interprétation personnelle?][29],[30]
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1791
an II (1793)
François Boyer
Prêtre jureur; officier public
an II (1793)
an II (1793)
Léonard Desgranges
Maçon laboureur
an II (1793)
an III (1800)
Joseph Delavallade
Entrepreneur en bâtiment
an III (1800)
1814
Étienne Jarrijon
Juge de paix
1814
1848
Étienne Jarrijon (fils)
Juge de paix
1848
1854
Pierre Desgranges
Maçon propriétaire
1854
1865
Jean-Antoine-François Despagnat
Entrepreneur en bâtiment
1865
1880
François-Toussaint Mazet
Entrepreneur en bâtiment
1880
1881
Antoine Dubrujeaud
Tuilier rentier
1881
1892
François Jamot
Maçon propriétaire
1892
1900
Victor Dubrujeaud
Propriétaire rentier
1900
1919
Victor Chabanaud
Négociant en vins
1919
1925
Gustave Cathy
Propriétaire cultivateur
1925
1935
Joseph Therrine
Ébéniste
1935
1945
Lucien Dizier
Ingénieur agronome
1945
1959
Adrien Pacaud
Cultivateur
1959
1969
Henri Gloumeaud
Filateur
1969
1989
Roger Bord
Ébéniste
1989
1995
Marcel Bouard
Agriculteur
1995
1998
Didier Peyne
Instituteur
1998
2007
Georges Coudert
Agriculteur retraité
2007
2014
Benno Servazeix
Entrepreneur en travaux publics retraité
2014 (réélu en mai 2020)
En cours
Luc Escoubeyrou
SE
Agent d'État (DGDDI)
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2019, la commune comptait 182 habitants[Note 8], en augmentation de 2,25% par rapport à 2013 (Creuse: −3,52%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
780
706
710
691
689
732
700
702
686
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
640
635
573
594
586
618
594
641
612
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
622
578
623
554
398
354
346
334
307
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
290
225
172
174
149
134
159
155
160
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
182
182
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Sulpice: l'église du XIVesiècle de type «austère» au plan simple et chevet plat, dont l'intérieur est couvert de fresques médiévales. Dissimulées sous un badigeon blanc, leur mise au jour et leur restauration ont eu lieu en 2020 et 2021. Un autel en pierre auparavant recouvert de boiseries pour ne pas faillir à la mode en vogue au XVIIIeetXIXesiècles a également été dégagé. Elle a subi de très gros dégâts lors de la tempête de décembre 1999 qui ont occasionné d'importants travaux de restauration[réf.nécessaire]. L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 2007[35]. La châsse en émail champlevé classée au titre des monuments historiques depuis 1889 est en dépôt au musée de Guéret[36].
La chapelle mortuaire de la place de Banize[37]: cette chapelle est celle de la famille Georges de Rebéry, hameau de Banize. Si comme en témoigne encore une petite tombe dans le fond de la place, à l'origine le cimetière entourait l'église jusqu'en 1905, comme cela était de mise partout en France jusqu'à une disposition de la fin du XVIIIesiècle qui les fit éloigner des centres-bourgs pour des raisons d'hygiène; le terrain où est élevé cette chapelle appartenait quant à lui à ladite famille, laquelle a voulu l'édifice regardant leur propriété. Elle fit par la suite don de la parcelle, assorti d'une soulte en or à la commune de Banize, moyennant que la municipalité s'engage à créer une place arborée et à entretenir leur dernière demeure pour leur postérité.[réf.nécessaire]
Le canon de Banize: la commune de Banize a la particularité de posséder sur sa place un canon de siège de calibre 120, fabriqué à Liège en 1892 pour l'Armée royale belge, pris par l'Armée allemande lors de l'invasion de la France via la Belgique et mis en batterie par celle-ci, puis abandonné sur les champs de batailles des Ardennes après l'armistice de la Première Guerre mondiale, pour être enfin offert par le président Gaston Doumergue en 1924 en ornement du monument aux morts de la guerre de 1914-1918, par l'intermédiaire de son ami Eugène Despagnat (1863-1925), entrepreneur en bâtiment à Paris, président de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics. C'est cependant tout à fait par hasard qu'il s'est retrouvé à côté de la chapelle de la famille Georges sur la place. En effet, à l'origine placé face à la mairie, à gauche du monument aux morts auquel il est lié, il fut caché en 1944 de la vue de l'aviation alliée dans le bois de Lamand, aujourd'hui disparu, lors des opérations de libération de la France, afin que celle-ci ne l'assimile pas à de la DCA lors des repérages aériens et ne bombarde pas le bourg de Banize par erreur. Il y reste près d'une trentaine d'années jusqu'à ce qu'un régiment en manœuvre le pensant abandonné ne tente de se l'approprier vers 1973. C'est alors qu'à la suite de cet épisode, l'agriculteur du hameau de Lamant, désireux de défricher l'endroit en profita pour le déménager et, les roues étant en très mauvais état d'une part, et ne sachant qu'en faire d'autre part, le déposa sur la place du village à côté de la chapelle. Depuis le centenaire de l'armistice de la Première Guerre mondiale, il a retrouvé sa place originelle à gauche du monument aux morts face à la mairie.[réf.nécessaire] Seuls trois autres canons de ce type existent encore de par le monde: deux en Belgique, et un en Roumanie.
L'église Saint-Sulpice.
Son portail.
La chapelle funéraire.
Le canon.
Le monument aux morts.
Carte postale du village vers 1910.
Personnalités liées à la commune
Joseph Delavallade (1792-1880), né à Banize, résident au hameau du Mas, est un médecin et un homme politique qui s'opposa à la politique du prince-président[38].
Eugène Despagnat, né à Meizoux, hameau de Banize, le et décédé à Paris en 1925, entrepreneur en bâtiment à Paris, président de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics (FNBTP) de 1921 à 1925, mandat pendant lequel il sera à l'origine, de l'Office du BTP pour favoriser la reconstruction des régions dévastées par la guerre du nord-est[Quoi ?], de la Banque corporative du BTP, émanation des chambres syndicales de Paris et du département de la Seine, de l'Union technique du BTP, ainsi que de la Société corporative d'hygiène et de sécurité destinée à lutter contre les accidents du travail. Il est aussi un des pères-fondateurs de l'École nationale des métiers du bâtiment de Felletin. Il fit bâtir comme résidence un manoir style anglais fin XIXesiècle à Meizoux, commune de Banize, assorti d'un cloître dédié à son épouse, extrêmement pieuse.[réf.nécessaire]
Victor Despagnat, né à Paris (XVIIe) le et décédé à Meizoux, hameau de Banize, le , frère du précédent, artiste-peintre impressionniste[réf.nécessaire], élève de Tony Robert-Fleury (Académie Julian) et Jules Lefebvre, à qui l'on doit diverses œuvres, dont un tableau de 1897 dans l'église Saint-Sulpice de Banize intitulé «Les disciples de saint Jean-Baptiste ou l'Invention du chef de saint Jean-Baptiste et sa translation à Constantinople», classée au titre des monuments historiques en 2006[39].
Auguste Despagnat, dit Jules Despagnat, né le à Paris (XVe) et décédé à Paris en 1942, issu d'une lignée parallèle et cousine de la famille Despagnat de Meizoux, entrepreneur en bâtiment à Paris, membre de la Chambre syndicale des entrepreneurs de maçonnerie en 1894, en devient vice-président en 1931 au moment où elle crée la Chambre d'apprentissage de la maçonnerie du béton armé et fournisseurs de matériaux de la région parisienne, et président de la nouvelle commission d'apprentissage de la chambre syndicale. Il est aussi un des pères-fondateurs de l'École nationale des métiers du bâtiment de Felletin, première du genre, inaugurée en 1911, financée par des fonds des organismes paritaires. Il était originaire de Lascaux, hameau de Banize, où d'ailleurs il résidait régulièrement.[réf.nécessaire]
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de la Creuse.
Blason
Parti ondé: au 1er d'or à un canon de gueules, au 2d d'azur à un bourdon de pèlerin d'or à dextre et à une truelle du même posée en pal à senestre; au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or à la bande de gueules chargée de trois lions léopardés d'argent[40].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[25].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«Puy de l'Arbre» sur Géoportail(consulté le 18 septembre 2018)..
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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