Bages Écouter (en occitan Bajas Écouter) est une commune française, située dans l'est du département de l'Aude en région Occitanie.
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Bages | |
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![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Arrondissement | Narbonne |
Intercommunalité | Grand Narbonne |
Maire Mandat |
Jean-Louis Rio 2020-2026 |
Code postal | 11100 |
Code commune | 11024 |
Démographie | |
Gentilé | Bageois, Bageoises, Bageots |
Population municipale |
784 hab. (2019 ![]() |
Densité | 63 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 07′ 27″ nord, 2° 59′ 30″ est |
Altitude | Min. 0 m Max. 190 m |
Superficie | 12,53 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Narbonne (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Narbonne-2 |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Narbonnais, un pays comprenant Narbonne et sa périphérie, le massif de la Clape et la bande lagunaire des étangs. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau des Potences et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « étangs du Narbonnais » et le « complexe lagunaire de Bages-Sigean »), quatre espaces protégés (le « Bajole », l'« étang du Doul », la « saline d'Estarac » et les « étangs littoraux de la Narbonnaise ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Bages est une commune rurale et littorale qui compte 784 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne. Ses habitants sont appelés les Bageois ou Bageoises.
Bages est une commune située dans l'aire urbaine de Narbonne, sur le canal de la Robine et l'étang de Bages-Sigean.
Narbonne | ||
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Peyriac-de-Mer |
Bages se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].
La commune est desservie par la ligne 10 des Autobus de Narbonne.
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par le ruisseau des Potences, le ruisseau de Boutarel, le ruisseau de Boutoubouli, le ruisseau de Fenouillet, le ruisseau de la Plaine, le ruisseau de Plaisance, le ruisseau des Gourguets, le ruisseau des Plages, le ruisseau du Pech Vermeillé et le ruisseau Mairal, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[5],[Carte 1].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[6].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Narbonne », sur la commune de Narbonne, mise en service en 1989[11] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15,1 °C et la hauteur de précipitations de 652,3 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, dans le département des Pyrénées-Orientales, mise en service en 1924 et à 48 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[15], à 15,7 °C pour 1981-2010[16], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[17].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18],[19].
La commune fait partie du parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée, créé en 2003 et d'une superficie de 68 350 ha, qui s'étend sur 21 communes du département[20]. Composé de la majeure partie des milieux lagunaires du littoral audois et de ses massifs environnants, ce territoire représente en France l’un des rares et derniers grands sites naturels préservés, de cette ampleur et de cette diversité en bordure de Méditerranée (Golfe du Lion)[21].
Quatre autres espaces protégés sont présents sur la commune :
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[30] :
et un au titre de la directive oiseaux[30] :
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[33] :
et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[33] :
Bages est une commune rurale[Note 7],[40]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[41].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[42]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[43],[44].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des surfaces en eau (43 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (42,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux maritimes (43 %), 120182006cultures permanentes (24,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,6 %), forêts (7,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), zones humides côtières (2,4 %), zones urbanisées (1,2 %), mines, décharges et chantiers (0,3 %)[45].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le territoire de la commune de Bages est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[46]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[47].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Narbonne, regroupant 18 communes du bassin de vie de l'agglomération narbonnaise, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[48], retenu au regard des submersions marines et des débordements des cours d’eau l’Aude, l'Orbieu et la Berre. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[49],[50]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1992, 1994, 1996, 1999, 2009, 2014 et 2019[51],[46].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 63,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 499 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 499 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[52],[Carte 3].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[53].
Le nom de la localité est attesté sous les formes villa Baiae en 782, in villa Bajas en 806, Villam Baiano vers 844[54].
Le toponyme catalan Bage est lié à la présence d'un étang, d'une zone marécageuse.
Les origines du site de l'actuelle commune remontent à la préhistoire. Selon les historiens, les outils retrouvés à Bages attesteraient la présence de l'homme dès le Paléolithique inférieur (80 000 ans). Sans aucun doute, les hommes du Néandertal, puis de Cro-Magnon séjournèrent sur les rives du golfe Narbonnais (la mer, à l'époque). La découverte de sites du Néolithique prouve l'existence d'importantes communautés humaines à cette époque[55].
Ce fut sous l'occupation romaine que l'on assista à une véritable colonisation. En effet, de nombreux lots de terre étaient distribués à d'importants vétérans d'où la présence de nombreuses villae luxueuses. On pense même que l'origine du nom actuel viendrait de cette vocation (BAÏA ou BAÏES en latin, soit « lieu de plaisance »). Peu de vestiges subsistent de cette période, et ils sont souvent recouverts par la végétation. Les plus importants sont ceux du "Castellas" et des "Monadières", importantes villae du début de notre ère.
La population aurait ensuite quitté ces terrains plats à l'abri du vent pour venir s'implanter sur l'éperon rocheux que l'on connait.
Cette position légèrement dominante avait des raisons défensives mais aussi climatiques et d'exposition leur permettant ainsi de ne pas empiéter sur les terres cultivables. Témoignant des anciennes fortifications du village, la porte du Cadran Solaire (XIe siècle) marque l'entrée du vieux village. Depuis les rues étroites et en pente, on peut apercevoir un petit coin bleu d'étang.
Le village de Bages a les pieds dans l'eau, bien que l'agriculture, incluant bien sûr, la viticulture, ait constitué son activité essentielle (la principale place du village porte la date des événements de juin 1907), Bages est surtout considérée comme un village de pêcheurs.
Dans ce cadre exceptionnel, l’art trouve naturellement sa place. Peintres, sculpteurs, plasticiens,[non neutre]musiciens, conteurs, ébénistes y puisent leur inspiration. Les 4 galeries d’art proposent en permanence des expositions de qualité. Citons " La Maison des Arts ", " L'Etang d'Art "," Latuvu " et " NullepArt ".
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Blason | De gueules à la fasce fuselée d'or et de sinople. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
La commune de Bages est membre de l'intercommunalité Le Grand Narbonne[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Narbonne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[56].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Narbonne, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 4].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Narbonne-2 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la deuxième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[57].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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mars 2001 | 2008 | Claude Mulero | ||
mars 2008 | 2020 | Marie Bat | PS | |
mai 2020 | En cours | Jean-Louis Rio | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[59].
En 2019, la commune comptait 784 habitants[Note 9], en diminution de 10,4 % par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Histogramme de l'évolution démographique ![]() |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 396 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 853 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 890 €[I 5] (19 240 € dans le département[I 6]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 7] | 7,6 % | 11 % | 8,9 % |
Département[I 8] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 448 personnes, parmi lesquelles on compte 74,3 % d'actifs (65,4 % ayant un emploi et 8,9 % de chômeurs) et 25,7 % d'inactifs[Note 11],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Narbonne, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 147 emplois en 2018, contre 169 en 2013 et 154 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 296, soit un indicateur de concentration d'emploi de 49,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,2 %[I 11].
Sur ces 296 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 70 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 84,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 9,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
77 établissements[Note 12] sont implantés à Bages au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
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Nombre | % | % | |
Ensemble | 77 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 3 | 3,9 % | (8,8 %) |
Construction | 12 | 15,6 % | (14 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 31 | 40,3 % | (32,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 3,9 % | (2,7 %) |
Activités immobilières | 4 | 5,2 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 10 | 13 % | (13,3 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 3 | 3,9 % | (13,2 %) |
Autres activités de services | 11 | 14,3 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40,3 % du nombre total d'établissements de la commune (31 sur les 77 entreprises implantées à Bages), contre 32,3 % au niveau départemental[I 15].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[62] :
Quatre galeries d'art marquent la culture de ce paisible village de pêcheurs : La Maison des Arts juchée sur un promontoire ouvert sur l'étang, L'étang d'art ( des artistes régionaux au 8 rue de l'ancien puits ) qui possède en outre une activité éditoriale par le biais de Les Temps d'art graphique, Latuvu (avec surtout des artistes internationaux, 48 Rue de l'ancien puits) et finalement NullepArt (Domaine d'Estrac).
La commune a sur son territoire les appellations qualitatives suivantes :
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région viticole »[63]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture (appellation et autre)[64].
1988 | 2000 | 2010 | |
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Exploitations | 39 | 19 | 18 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 504 | 383 | 301 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole[Note 15] de 1988 à 19 en 2000 puis à 18 en 2010[64], soit une baisse de 54 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 52 % de ses exploitations[66]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 504 ha en 1988 à 301 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 13 à 17 ha[64].
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