Auvers-le-Hamon est une commune française, située dans le département de la Sarthe dans la région Pays de la Loire, peuplée de 1 478 habitants[Note 1].
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La commune repose sur le bassin houiller de Laval daté du Culm, du Viséen supérieur et du Namurien (daté entre -346 et -315 millions d'années)[4].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]
Moyenne annuelle de température: 11,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Loup-du-Dorat», sur la commune de Saint-Loup-du-Dorat, mise en service en 2000[11] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[12],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12,1°C et la hauteur de précipitations de 757,2 mm pour la période 1981-2010[13].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Le Mans», sur la commune du Mans, mise en service en 1944 et à 42 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 11,6°C pour la période 1971-2000[15], à 12°C pour 1981-2010[16], puis à 12,5°C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Auvers-le-Hamon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[18],[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sablé-sur-Sarthe, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 39 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (55,3%), prairies (28,3%), zones agricoles hétérogènes (8,5%), forêts (5,3%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5%), zones urbanisées (1,1%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
D'après Albert Dauzat, le toponyme aurait une origine gauloise, soit issu d'Arvernus, surnom ethnique, ou composé d'are, «devant», et vern-, «aulne»[25]. Le toponyme pourrait aussi faire référence à la géographie locale: le village étant un lieu à flanc de coteau (alversus en latin).
Le nom de la localité est attesté sous les formes Alversus vers 1050[26], Alvercus aussi en 1050[26], Alvers en 1064[25].
À partir du XIIesiècle, est rajouté «le Hamon» à Auvers[26]. Hamon est Hamon de Laval le fils du fondateur du prieuré.
En 1793, la commune porte brièvement le nom d'Auvers-l'Union[27].
Le gentilé est Auversois.
Histoire
Préhistoire: présence humaine constatée sur plusieurs sites: hommes de l'époque Néanderthal au bois de Sirion[28] et la Girardière, éperon barré néolithique de Rimer[29].
Antiquité: Traces de fermes antiques et d'un temple à double cella sur le territoire de la commune, découvertes par prospections aériennes[30]. Des fouilles récentes ont permis d'explorer une ferme gallo-romaine[31], un établissement agricole et un four de réduction du fer d'époque romaine[32].
XIesiècle: fondation du prieuré par Guérin, moine de Saint-Calais, sur volonté de Guy de Déneré (également appelé Guy Ier de Laval)[33].
Au XIIesiècle, une foire est créée à Auvers-le-Hamon par Guy VI de Laval.
1199: Signature du traité d'Auvers par le roi Jean sans Terre, en présence de Guillaume des Roches[34].
Guerre de Cent Ans: peu d'informations sont présentes dans les archives, mais une phase de grandes reconstructions notamment manoriales au XVesiècle fait penser à la destruction de nombreux bâtiments (de nombreux villages autour de Sablé-sur-Sarthe ont été détruits par les troupes anglaises à la fin de la guerre de Cent Ans).
XVIIIesiècle: Auvers-le-Hamon est le point de départ de plusieurs expérimentations agricoles comme l'implantation du trèfle irlandais pour le fourrage des bêtes par Philippe Jourdain de la Panne[35].
1780: déménagement définitif du petit cimetière vers le grand cimetière (cimetière actuel) libérant une place autour de l'église.
Révolution française: Auvers-le-Hamon est l'un des haut lieu de la Chouannerie du Maine, avec les agissements d'une troupe menée par le capitaine Armand. Le village est très brièvement renommé Auvers-l'Union en 1793[36].
1805: Découverte des premières mines d'anthracite de la vallée de la Sarthe sur les terres de la ferme de Chantemêle à Auvers-le-Hamon[37]. Cette découverte fut mise à profit pour la production de chaux destinée à l'amendement des terres. L'extraction de l'anthracite s'est faite de 1822 à 1859 sur la commune et s'est poursuivi jusqu'au milieu du XXesiècle dans la région malgré la mauvaise rentabilité de la production rendue difficile par la géologie peu favorable[4]. Quelques terrils subsistent encore, visibles de la route menant à Poillé-sur-Vègre (D 79).
1843: La route de Sablé est percée. Ce nouvel axe nord-sud traversant le village, perturbe le parcellaire ancien et constitue un nouveau pôle d'occupation.
1867: agrandissement du chœur de l'église.
1871: présence prussienne.
1902-1903: découverte par l'abbé Toublet de peintures murales dans la nef de l'église.
1919: stationnement de troupes américaines[38],[39],[40].
8 août 1945: libération d'Auvers-le-Hamon par la 2e DB.
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1791
1792
Louis Janin
Premier maire de la commune, prêtre de la paroisse.
1792
1813
Louis René Mathieu Lelasseux
Ancien fermier général du prieuré d’Auvers-le-Hamon (1782-1790), bourgeois (1791).
2 septembre 1816
13 mai 1821
Gabriel Géré Lamotte
13 mai 1821
6 janvier 1824
Pierre Noël Hamelin
6 janvier 1824
28 août 1830
Louis Jean Pioger
Propriétaire
28 août 1830
15 janvier 1834
Auguste-Pierre Charles
Notaire
15 janvier 1834
28 mai 1837
Auguste Toussaint Ozou
28 mai 1837
25 juillet 1837
François Dugué
25 juillet 1837
7 février 1841
Léon Géré
7 février 1841
30 septembre 1847
René Lebannier
30 septembre 1847
1855
Charles Girard de Charnace
Propriétaire; réélu en 1852.
1855
1868
Adolphe Théodule Chevallier
Notaire, réélu en 1865.
30 septembre 1847
1898
Charles Girard de Charnace
Propriétaire; réélu en 1874, 1878, 1892, 1896, il exerce la fonction de maire jusqu'à sa mort en 1898.
1898
8 mai 1905
Pierre Roger
Ingénieur agricole; réélu en 1904, il exerce la fonction de maire jusqu'à sa mort le 8 mai 1905.
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[42].
Jumelages
Hatten(de)(Allemagne)depuis 1980.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].
En 2019, la commune comptait 1 478 habitants[Note 8], en diminution de 2,7% par rapport à 2013 (Sarthe: −0,46%, France hors Mayotte: +2,17%).
Auvers-le-Hamon a compté jusqu'à 2 264 habitants en 1851.
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 997
1 981
1 926
1 994
2 170
2 088
2 183
2 233
2 264
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 162
2 078
2 029
1 876
1 864
1 756
1 750
1 695
1 615
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 613
1 511
1 464
1 306
1 256
1 207
1 192
1 251
1 279
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
1 180
1 066
935
1 201
1 197
1 374
1 493
1 510
1 524
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 473
1 478
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités
Une foire annuelle.
Un marché hebdomadaire.
Sports
L'Union Club Auvers-Poillé fait évoluer trois équipes de football en divisions de district[46].
Économie
Campagne auversoise: un marcassin adopté par des vaches.
Monoculture intensive: blé, maïs, tournesol. L'équipement dont bénéficient les cultivateurs allié au traitement des sols permettent deux, voire trois récoltes par an (lin).
Quelques administrations: centre d'entretien routier, centre d'études techniques de l'équipement, centre de traitement informatique des finances.
Tourisme
Un gîte rural.
Un restaurant.
Un camping à la ferme.
Une zone artisanale.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Pierre, datant des XIIeetXIXesiècles. Peintures murales du XVIesiècle, ainsi qu'un Dit des trois morts et des trois vifs, montrant trois jeunes gentilshommes interpellés dans un cimetière par trois morts, leur rappelant la brièveté de la vie et l'importance du salut de leur âme. L'édifice fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1978[47]. Les peintures murales sont classées à titre d'objets[48].
Manoir de Pantigné, inscrit au titre des monuments historiques depuis le 26 janvier 1989[49].
Camp retranché antique, inscrit au titre des monuments historiques depuis le 8 juillet 1976[29].
Pont muletier du moulin Fresnay, sur la Vaige, en limite avec Beaumont-Pied-de-Bœuf, inscrit au titre des monuments historiques depuis le 28 décembre 1984[50].
Croix de chemin dite Croix de Gât, du XVe ou XVIesiècle, en grès, recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[51].
L'église Saint-Pierre.
Le prieuré.
Le parc Philippe de Jourdain.
Labels
La commune a obtenu le niveau "trois fleurs" au concours des villes et villages fleuris[52].
Personnalités liées à la commune
Claude Dugué, prêtre, auteur et traducteur, né à Auvers-le-Hamon, mort après 1584[53]
Julien Alexandre Monique Lelasseux Lafosse (°9 octobre 1791 à Auvers-le-Hamon), polytechnicien —promotion 1810— officier d’artillerie, professeur de mathématiques à l’école militaire de La Flèche, auteur d’un traité sur le jeu de trictrac[54].
Abbé Emmanuel Toublet, prêtre curé d'Auvers-le-Hamon (1902-1920), historien, a écrit une "Histoire d'Auvers-le-Hamon", et de nombreux articles sur l'histoire de la commune. Il est "l'inventeur" des peintures murales de l'église en 1903 [55].
Michel Lejeune (né en 1946 à Auvers-le-Hamon et mort le 29 avril 2021), homme politique.
Armoiries du prieuré d'Auvers-le-Hamon signalées par M. D'HOZIER, dite de la commune d'Auvers-le-Hamon par l'abbé Toublet dans ses écrits sur l'histoire d'Auvers-le-Hamon et confirmées par la municipalité le .
Voir aussi
Liste des communes de la Sarthe
Notes et références
Notes
Population municipale 2019.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
H. Etienne et J.-C. Limasset, Ressources en charbon de la région Pays-de-la-Loire: Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et Vendée, Nantes, BRGM, (lire en ligne[PDF]).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
Bénédictins de Solesmes, sous les auspices et aux frais de M. P. d'Albert duc de Chaulnes, Cartulaire des abbayes de Saint-Pierre de la Couture et de Saint-Pierre de Solesmes, Le Mans, E. Monnoyer, , XV-530p. (lire en ligne).
Abbé mmanuel Toublet, Fondation du prieuré d'Auvers-le-Hamon, Mamers, Impr. Fleury, , 37p. (lire en ligne).
Dom Léon Guilloreau, «Séjour et itinéraires de Jean-sans-Terre dans le Maine, 1199-1203», Revue historique et archéologique du Maine, no61, , p. 251 (lire en ligne).
Nicolas Poitou, La seigneurie de la Panne au cours du XVIIIesiècle à Auvers-le-Hamon. (mémoire de maîtrise), Le Mans, Université du Maine, s.d., 144p..
Abbé Almire Belin et Abbé Emmanuel Toublet, «Auvers-le-Hamon, pendant la Révolution», La Révolution dans le Maine, no65, , p.380-395.
Pierre Aubin, «Sur les pas de l'anthracite», Revue historique et archéologique du Maine, , p.49-96.
(en) Through the war with company D 307th infantry 77th division. A history of the activities of company D from the time of its organization in september 1917 to the time of its demobilization in may 1919, New-York, s.n., , 36p. (lire en ligne).
(en) Julius Klausner Jr., Company B, 307th infantry, its history, honor roll, company roster., S.l., s.n, sept. 1917, may 1919, 1920, 31p. (lire en ligne).
(en) Douglas R. Eisenstein, Whispers in the wind, Bloomington, IN, Xlibris, , 271p..
B. Hauréau, Histoire littéraire du Maine, t.IV, Paris, Dumoulin libraire, (lire en ligne), p.195-197.
Julien Alexandre Monique Lelasseux-Lafosse, Le jeu de trictrac: ouvrage contenant des règles et des tables entièrement nouvelles, t.I, Paris, Chez Leboyen Libraire, (lire en ligne)
Le traité de trictrac a été publié anonymement sous les initiales J.L., mais il s'agit bien de Julien Lelasseux-Lafosse.
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