Aucey-la-Plaine (prononcer /ose:laplɛn/) est une commune française située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 419 habitants[Note 1](les Aucéens).
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Aucey-la-Plaine est une commune limitrophe de la Bretagne à l'extrême sud-ouest de la Manche et de l'Avranchin, dans le canton de Pontorson. Son bourg est distant de 3,5 km au sud du chef-lieu de canton, de 8 km au nord d'Antrain, de 14 km à l'est de Saint-James et de 24 km au sud-ouest d'Avranches, chef-lieu d'arrondissement[1].
Aucey-la-Plaine est bordée de trois cours d'eau: le Couesnon, marquant la frontière historique avec la Bretagne, qui se jette dans la baie du mont Saint-Michel, et deux de ses affluents: au nord, le ruisseau des Landes-Besnel, en limite de la commune de Boucey (associée à Pontorson), et au sud le Loison, séparant Aucey des communes de Vessey et Sacey.
La superficie de la commune est de 939 hectares. Son altitude varie entre 5 × mètres. La partie la plus basse, le long du Couesnon est marécageuse et fréquemment inondée en hiver. La majeure partie des sols de la commune est schisteuse, à l'exception des alluvions qu'on trouve sur les terrains bordant le Couesnon.
Le paysage est assez plat et principalement agraire. La commune a été remembrée en 1985 mais on trouve encore un peu de talus et de haies, et quelques surfaces boisées. Dans la partie marécageuse ont été plantées un grand nombre de peupliers. L'économie est dominée par l'agriculture: la surface agricole utilisée représente 90% de la superficie totale. Les champs cultivés occupent le tiers des surfaces avec une dominance de prairies temporaires, de maïs fourrage et de céréales.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]
Moyenne annuelle de température: 11,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 0,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Pontorson», sur la commune de Pontorson, mise en service en 1997[10] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[11],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,8°C et la hauteur de précipitations de 838,6 mm pour la période 1981-2010[12].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], «Granville – pointe du Roc», sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 35 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,6°C pour la période 1971-2000[14] à 11,9°C pour 1981-2010[15], puis à 12,4°C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Aucey-la-Plaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pontorson, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,4% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (59,1%), prairies (25,5%), zones agricoles hétérogènes (10,8%), zones urbanisées (4,3%), zones humides intérieures (0,3%)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Attestations anciennes
Hance [lire Hancé] 1142[24]; AucieXIIesiècle[24]; Gelduinus de Auce 1172[24]; Galfridus de Auceio 1198[25]; Galfridus de Aucie 1198[26]; Jordoinus de Auceio 1234 [27]; Johannes de Auce 1268[28]; rector de Auceyo 1369/1370, 1371/1372[29]; ecclesia de Auceio 1412[30]; ecclesia de Auxeioc.1480[31]; Auxey 1612/1636[32]; Auxé 1677[33], 1713[34]; Aucey 1753/1785[35], 1854[36], 1903[37].
Étymologie
Toponyme gallo-roman °ALCIACU, formé avec le suffixe -ACU ajouté à un nom de personne. Le premier élément est l'anthroponyme (nom de personne) gallo-romain Alcius[38], d'où le sens global de «domaine rural d'Alcius[39]». Ce type toponymique se rencontre plusieurs fois en France sous les formes Auchy, Auxy, Auxi, etc.
Autrefois simplement Aucey, la commune a ajouté le déterminant -la-Plaine à son nom en 1927 pour éviter les confusions avec la commune d'Auxais, près de Saint-Lô. La région de plaine où se situe Aucey, sur la rive droite (normande) du Couesnon, contraste en effet avec le relief accidenté de la rive bretonne opposée.
Histoire
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Aucey-la-Plaine est cité par quelques historiens locaux du XIXesiècle:
l'abbé Desroches, dans son Histoire du Mont-Saint-Michel et de l'ancien diocèse d'Avranches.
«Une ancienne tradition veut que quelques familles errantes aient exhaussé le lieu où est actuellement l'église d'Aucey, et que cette paroisse tire son nom de cet exhaussement. S'étant fixés en ces lieux marécageux, ils se virent bientôt en proie à des fièvres dévorantes. Ils élevèrent aussi une petite chapelle, sous l'invocation de la Sainte Vierge, et l'appelèrent la chapelle de la fiévreuse. Aucey possède le château et le fief de la Crenne, un des plus anciens du pays; en faisant réparer la chaussée de l'étang, on a trouvé des pièces carolingiennes»[40].
Jacques-François Boudent-Godelinière dans son Essai historique et statistique sur l'Avranchin
«On voit, dans la commune d'Aucey, un château construit depuis environ un demi-siècle, nommé le Gué-Péroux, à très peu de distance du Couësnon. Cette dénomination annonce qu'il y avait jadis un gué dans cet endroit de la rivière, ce qui est en effet très exact. C'est par ce gué que le prince de Condé, qui s'était mis à la tête des protestants, passa, en 1585, de Normandie en Bretagne, pour de là se rendre en Angleterre»[41].
Édouard le Héricher dan son Avranchin monumental et historique
«Cette commune affecte la configuration que les botanistes appellent réniforme. La grande route d'Antrain forme la nervure médiane; le Couesnon tronque le lobe occidental, le réseau des chemins imite les fibrilles du tissu; une ligne à peu près idéale contourne le lobe oriental. Deux petits affluents du Couesnon côtoient le bord du sud en l'échancrant au milieu et celui du nord. Les marais du Couesnon se resserrent à Aucey par le rapprochement des rebords du bassin. En cette commune est un passage assez fréquenté: c'est le Gué-Perroux par lequel passa le prince de Condé déguisé qui se réfugiait en Angleterre. En fait de noms significatifs, on remarque le Haut-Gringeal, la Rue, la Lande-Chauve, la Herpoterie, la Croisade, la Porte, et l'ancien fief de la Crenne qui appartient à une branche des Verdun, et près duquel on a trouvé des monnaies carlovingiennes, et la chapelle dite des Fiévroux, dédiée à la Vierge.
Il ne reste plus rien de l'église que R. de Beaufou donna au commencement du XIIesiècle; celle d'aujourd'hui, vaste, propre, confortable, a une origine toute moderne: la tour est de 1762, la nef de 1775, et le reste est à peu près de ce temps. Il n'y a rien aux murs, rien à la voûte, rien aux autels qui ait un caractère d'art ou qui parle du passé. Le pavé seul a conservé quelques pierres plus vieilles que l'église. On remarque une dalle à grande croix, ornée de trois écussons losangés, la pierre tombale de Marie A. d'Aucey de Lambert 1776, inscription reproduite sur une dalle récente de marbre noir, placée dans le pavé du chœur, celle de Michel Lenglois 1622, une de 1572, celle d'Olyvier Guyon, prêtre et chanoine, de la Crenne 1639. Les murs du cimetière sont revêtus d'anciennes pierres taillées en prismes, venues sans doute de l'ancienne église.
En 1648, cette église rendait 300 livres; en 1698 elle en valait 500: 143 taillables payaient 1 172 livre. Notre épigraphe nous apprend que, dans l'origine, cette église était aux évêques d'Avranches, et qu'elle fut transférée à l'abbaye de Marmoutier.
Dans une ancienne charte du Livre Vert, on trouve un Gaufridus de Anceio et Auceio, et ailleurs on lit: «Unam plateam cum orto apud Auceium» Aucey est cité dans l'Echiquier, pour l'année 1198, dans la préfecture de Pontorson: «Galf. de Auceio deb. xl. so. quos habuit de Ric. Burnof de Taill. Fales.». Nous avons une charte de Montmorel relative à cette paroisse, intitulée: «Carta confirmationis Rolandi de Auce pro elemosinis datis à Joh. de Ciz. Polie. 1234... teneor garantizare abbatie M. Morelli elemosinam quam J. de Ciz. fecit de feodo presbiteri in parrochia de Poilleio... ad majorem firmitatem D. Jordoinus de Auceio miles hujus conventionis plegius sigillum suum apposuit.»
Aucey est latinisé en Alceium ou en son équivalent Auceium: ces mots signifient habitation d'Auci ou d'Alci. Il y a trois tenants en chef de ce nom dans le Domesday.
Dans le château de la Crenne est né le chef d'escadre, Verdun de La Crenne, illustré spécialement par le voyage scientifique qu'il fit avec Borda et Pingré, sur la Flore; il alla en Russie aider Catherine II dans l'organisation de sa marine, prit part à l'expédition franco-espagnole contre Gibraltar en 1782; après cette campagne, il alla prendre le commandement de la station des Antilles, et, en 1788, devenu chef d'escadre et chef de division, il entra dans le conseil supérieur de la marine. La Révolution arriva: il se retira en Espagne, rentra en France vers 1800, et vint mourir, en 1805, au lieu de son berceau»[42].
L'affaire criminelle Louis Lédenté s'est déroulée à Aucey-la-Plaine en novembre 1959[43].
Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et Yves Murie[47].
Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[48].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].
En 2019, la commune comptait 419 habitants[Note 9], en diminution de 6,89% par rapport à 2013 (Manche: −0,97%, France hors Mayotte: +2,17%).
Aucey-la-Plaine a compté jusqu'à 818 habitants en 1846.
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
769
551
611
700
745
778
790
818
757
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
817
810
815
763
766
765
786
746
712
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
733
750
665
552
529
555
561
553
512
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
472
444
442
419
430
362
440
451
444
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
427
419
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église paroissiale Notre-Dame, édifiée au XVIIIesiècle avec les pierres du château de Boucey. Elle abrite une Vierge à l'Enfant du XVIe, classée à titre d'objet aux monuments historiques[53].
La chapelle et la fontaine Notre-Dame de Fiévroux. Lieu de pèlerinage très ancien. Selon la tradition, un oratoire fut érigé à l'emplacement d'une source aux vertus curatives, à une époque où la fièvre des marais décimait la population. La chapelle date du XVIesiècle. En ruines à la Révolution, elle fut relevée vers 1820.
Le château de la Crenne, domaine de la famille de Verdun de la Crenne, construit entre 1851 et 1858 par l'architecte rennais Jacques Mellet. Sa décoration intérieure fut réalisée par Jobbé-Duval, et le parc fut dessiné par Paul de Choulot.
Le château du Guépéroux (fin XVIIIesiècle); site du «Gué Perroux», ancien passage à gué traversant le Couesnon. Il existait un poste de garde au Moyen Âge.
Personnalités liées à la commune
Jean-René de Verdun de La Crenne (1741 à Aucey - 1805), officier de marine et scientifique.
Voir aussi
Liste des communes de la Manche
Notes et références
Notes
Population municipale 2019.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
François de Beaurepaire, Les Noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 70.
Amédée Léchaudé D’Anisy et Antoine Charma, Magni Rotuli Scaccariæ Normanniæ sub regibus Angliæ, pars secunda, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XVI, 2esérie, 6evolume, Paris, 1852, p. 2a.
Amédée Léchaudé D’Anisy et Antoine Charma, op. cit., p. 26a.
Chartrier de Saint-Lô, cité dans Édouard Le Héricher, Avranchin monumental et historique, éd. E. Tostain (et H. Tribouillard), Avranches, vol. II, 1847, p. 162.
Léopold Delisle, Recueil de jugements de l’Échiquier de Normandie au XIIIesiècle, Paris, 1864, p. 195, § 832.
Comptes du Diocèse d’Avranches, dressés en 1369/1370 et 1371/1372, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 141C et 148E.
Pouillé du Diocèse d’Avranches, 1412, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 153B.
Pouillé du Diocèse d’Avranches, ~1480, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 169A.
Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [Paris BnF (Mss.), Français 4620]
Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [Paris BnF (Mss.), Cinq cents de Colbert 261, f° 229-275].
Dénombrement des généralités de 1713 [Paris BnF (Mss.), Français 11385, f° 1-132].
Carte de Cassini.
V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903.
Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIeauXIIesiècle, Paris, CNRS, t. III (les noms de personnes contenus dans les noms de lieux), 1985, p. 17a.
Ce nom gallo-romain est un dérivé en -ius à valeur patronymique d' Alce, cognomen latin d'origine grecque. Ce dernier repose sur le grec ἀλχή (alkhê) «chêne rouvre, arbre dur», d'où l'idée générale de «force» commune à la plupart des noms de cette famille.
Jean Jacques Desroches, Histoire du Mont Saint-Michel et de l'ancien diocèse d'Avranches, t.1, Caen, Mancel, (lire en ligne), p.123.
Jacques-François Boudent-Godelinière, Essai historique et statistique sur l'Avranchin, t.1, Avranches, Tostain, (lire en ligne), p.213.
Édouard Le Héricher, Avranchin monumental et historique, t.2, Avranches, Tostain, (lire en ligne), p.160-162.
Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, Éditions de Borée, Paris, 2012.
René Gautier et al. (préf.Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche: Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll.«Inédits & Introuvables», , 704p. (ISBN978-2-35458-036-0), p.61.
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