Assevillers est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
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Le limon argilo-siliceux prédomine au niveau de la consistance du sol. Le sous-sol est composé de potasse et d'acide phosphatique[1].
Relief, paysage, végétation
Le relief de la commune est celui du plateau du Santerre. Le terrain est particulièrement plat mais présente de petits vallons vers Flaucourt, Estrées-Deniécourt et Fay[1].
Hydrographie
Aucun cours d'eau ne traverse la commune. La nappe phréatique se trouve à une vingtaine de mètres de profondeur[1].
Climat
Le climat de la commune est tempéré océanique avec vents dominants de sud-ouest et de nord-est. Ce village picard se trouve à 110 km de la Manche.
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Géographie humaine
Urbanisme et aménagement du territoire
La commune d'Assevillers présente un habitat groupé en son chef-lieu. Détruit au cours de la Première Guerre mondiale, le village a été reconstruit durant l'entre-deux-guerres.
Activité économique et de services
L'agriculture demeure une activité essentielle de la commune sur le territoire de laquelle a été aménagée une aire de repos et de service autoroutière de l'autoroute A1. Y furent ouverts le premier Quick autoroutier et aussi les premiers hôtels Accor[réf.nécessaire].
Voies de communication
Assevillers est située à proximité immédiate de l'autoroute A1, sur l'axe Lille - Paris et de l'autoroute A29 sur l'axe Amiens - Saint-Quentin.
Assevillers se trouve également à 2 km de la gare TGV Haute Picardie où se situe une zone d'activité portant le même nom.
Transports en commun routiers
La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no59, Harbonnières - Péronne)[2].
Assevillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (81,8%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,1%), zones urbanisées (5,1%)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Assa villa en 1214[10], Assevilliers en 1415 et en 1429[11].
Plusieurs hypothèses ont été émise quant à l'origine du nom Assevillers: 'Assa villa signifierait soit «village brûlé», soit «lieu exposé aux rayons du soleil», soit «lieu où les habitants façonnent le bois de la forêt voisine»[12],[Note 3].
Le nom Assevillers est très certainement de formation germano-romane. Villers proviendrait du latin villare (de villa, domaine agricole) signifiant partie de la villa démembrée pour former un nouveau domaine[13]. Asson dériverait d'un anthroponyme d'origine germanique, celui du premier propriétaire de ce nouveau domaine, selon toute vraisemblance[1].
Histoire
Préhistoire
La présence d'un polissoir datant de l'époque néolithique, sur le territoire de la commune prouve une occupation humaine en ces lieux dès la préhistoire.
Antiquité
Il n'y a pas trace de présence d'un habitat gallo-romain sur le territoire de l'actuel Assevillers.
Moyen Âge
1214, première mention du lieu nommé Assa villa (Assevillers) appartenant à Simon de Moreuil. Jusqu'au XVesiècle, Assevillers n'a été qu'un hameau, qui se développa à la fin du Moyen Âge, dépendant de la paroisse voisine de Fay.
Au XVesiècle, Assevillers était la possession de la famille de Caulaincourt et de la famille d'Ailly. Le 16 juin 1409, Colard d'Ailly reconnut, dans un aveu, tenir du roi un fief à Assevillers[12].
Époque moderne
En 1528, Lancelot de Chambly possédait un fief à Assevillers, relevant de la seigneurie de Villers-Carbonnel.
En 1576, un d'Assevillers fut signataire de la Ligue de même qu'un Tassart-Assevillers. Cependant, en 1577, la seigneurie d'Assevillers était la possession de la famille d'Amerval. En 1574, Marie-Louise d'Amerval épousa Oudard de Mailly-Couronnel et la seigneurie d'Assevillers resta dans cette famille jusque 1789[12].
Époque contemporaine
Première Guerre mondiale
Articles détaillés: Bataille de la Somme et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
La commune d'Assevillers a été au cœur de la Première Guerre mondiale. Elle fut occupée dès le mois d'août 1914 par l'armée allemande.
Elle fut pratiquement entièrement détruite en juin-juillet 1916, durant la bataille de la Somme. Lors cette bataille, plusieurs millions d'obus ont été tirés en direction des tranchées allemandes. C'est ainsi que l'église d'Assevillers, qui représentait un point d'observation pour l'armée allemande, a été détruite par l'artillerie franco-britannique. Elle fut définitivement libérée le par l'armée australienne[14] La commune est l'une des 338 qui établirent un plan de reconstruction prescrit par la loi du 14 mars et du 17 avril 1919[15].
Seconde Guerre mondiale
Lors de la bataille de France, de 1940, Assevillers fut occupée par l'armée allemande le 19 mai. Le village avait été évacué le 17, par ordre de la préfecture de la Somme. Le 26 mai, le 1er bataillon du 41e régiment d'infanterie français déclencha une attaque pour reprendre le village. Le bilan fut très lourd pour l'armée française qui ne put reprendre le village, 50 morts et 75 blessés. Le 5 juin, les chars allemands concentrés entre Barleux et Assevillers attaquaient l'armée française[16].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaulnes[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.
Intercommunalité
La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[18].
Le projet préfectoral prévoit la «fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre», le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[19],[20],[21]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[22], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [23].
Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[24].
Agriculteur, fabricant de sucre, Directeur des sucreries d'Epenancourt et de Génermont (Fresnes-Mazancourt) Conseiller général de Chaulnes (1882 → 1919) Décédé en fonction
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2019, la commune comptait 303 habitants[Note 4], en augmentation de 5,94% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
604
329
492
444
492
465
465
480
464
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
419
406
405
389
416
401
388
411
414
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
405
401
307
124
189
187
202
188
190
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
199
203
221
262
256
228
260
260
287
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
290
303
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
En 1898, une râperie, à un kilomètre du village, compte six habitants[1].
Enseignement
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Équipements
À la suite de la fermeture de l'école municipale en 2017, le bâtiment a été rénové. Il est devenu une salle des fêtes en 2019[31] .
Économie
L'aire de service autoroutière d'Assevillers, généralement qualifiée la plus importante d'Europe, peut accueillir 30 000 personnes par jour lors des grandes pointes de déplacements. Elle compte, en 2017, quatorze boutiques ou restaurants qui emploient 350 salariés.
L'aire fait l'objet en 2018-2019 d'une profonde restructuration qui comprend le démontage de la passerelle piétonne au-dessus de l'autoroute[32].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Polissoir dit «Grès de Saint-Martin», du Néolithique, bloc de grès gris de 2,50 m de long sur 1,20 m de large environ, initialement implanté à 1,5 km au nord du village, dans la plaine de la Croix de Saint-Martin, et désormais déplacé à côté de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption[33].
Article détaillé: Grès de Saint-Martin.
Ensemble mairie-église labelisé «Patrimoine du xxe siècle» par le ministère de la Culture en 2005. Cet édifice, conçu par l'architecte Louis Duthoit, a été inauguré en 1929[34]. L'ancienne église a été totalement détruite durant l'offensive franco-britannique lors de la bataille de la Somme, fin .
Oratoire Notre-Dame-de-Lourdes, en forme de triangle. Une chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours avait été construite en 1834 puis détruite pendant la guerre[35].
Le Cimetière militaire britannique d'Assevillers (Assevillers New British Cemetery) contient un peu plus de 800 soldats dont 482 identifiés[36].
L'aire d'Assevillers, l'une des plus grandes aires d'autoroute d'Europe, abrite une dizaine d'enseignes dont plusieurs hôtels. Elle s'étale des deux côtés de l'autoroute. Une passerelle permet de passer d'un côté à l'autre[32] .
Personnalités liées à la commune
Cecil Healy, médaillé olympique de natation aux jeux de Stockholm en 1912, sous-lieutenant au 19ebataillon australien d'infanterie tué le 29 août 1918 à l'âge de 34 ans lors de la bataille du Mont Saint-Quentin, inhumé au «Assevillers New British Cemetery»[37].
Héraldique
La commune a repris les armoiries de la famille d'Amerval, seigneur d'Assevillers du XVe au XVIIIesiècle, les couleurs étant simplement inversées. On ignore si et à quelle date Assevillers releva officiellement ces armes qui figuraient sur le site internet de la commune en 2012[38].
Blasonnement:
De gueules à trois besants d'argent posés 2 et 1.
Ornement extérieur:
Croix de guerre 1914-1918
Pour approfondir
Bibliographie
Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, - réédition partielle sous le titre: Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, , 213p. (ISBN978-2-87760-916-6, BNF35548185), p.81
Henri Douchet «Fasol», L'Arrondissement de Péronne sous l'occupation (1914-1918), Inval-Boiron, La Vague verte, coll.«Jusant», (ISBN978-2-35637-059-4)
Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, coll.«Souvenance», , 187p. (ISBN978-2-913924-99-4, BNF41223031)
Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, coll.«Souvenance», , 340p. (ISBN978-2-35637-035-8, BNF42482331).
Articles connexes
Liste des communes de la Somme
Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme
Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Ces hypothèses ne sont plus retenues aujourd'hui.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Dans les écrits dans un dénombrement destiné à Philippe-Auguste, Roi de France.
Dans un registre concernant les recettes de droits de bâtardise de la prévôté de Péronne.
Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Paris, P.U.F., , p.74-76.
«Il y a 100 ans, notre village était libéré du joug allemand», S'investir pour Assevillers, noSupplément au numéro 2, (lire en ligne[PDF], consulté le ).
«Assevillers», Les circuits du Bleuet, Santerre 2014-2018: La mémoire de la Grande Guerre dans la Somme (consulté le ).
Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, coll.«Souvenance», , 340p. (ISBN978-2-35637-035-8, BNF42482331).
Vincent Fouquet, «Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières?: Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre», Le Courrier picard, (lire en ligne).
Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, «Haute-Somme: La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents: La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits», Le Courrier picard, (lire en ligne).
«Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017: L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre: les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments», Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
«Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI», Décideurs en région, (lire en ligne).
«Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre», Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos2016-031, , p.78-79 (lire en ligne[PDF]).
Aude Collina, «C’est le dernier mandat pour Michel Guilbert, à Assevillers: Michel Guilbert ne briguera pas de mandat supplémentaire à la tête de la commune d’Assevillers, qui compte autour de 300 habitants», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«J’ai effectué quatre mandats de maire et deux de conseiller municipal, c’est-à-dire trente-sept ans, dont 25 ans de maire», chiffre le retraité, très investi dans le développement de son village natal».
Vincent Fouquet, «Didier Jacob, nouveau maire d’Assevillers», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Avec huit nouveaux élus sur 11, le conseil municipal d’Assevillers a subi un important lifting après le départ annoncé du maire, Michel Guilbert, élu depuis 35 ans et maire depuis 27 ans. Pour lui succéder, c’est Didier Jacob qui a été élu avec 9 voix (contre deux blancs)».
Aude Collina, «Les anciennes écoles revitalisent les villages de Haute-Somme: La vie ne s’arrête pas dans les écoles où les enfants ont rejoint des regroupements scolaires. Du futur pôle santé d’Harbonnières à la Maison du temps partagé à Tincourt-Boucly, en passant par la salle des fêtes d’Assevillers, de nouveaux services en milieu rural éclosent dans ces bâtiments libérés», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Vincent Fouquet, «L’aire d’autoroute d’Assevillers va se métamorphoser en 2018: L’aire d’autoroute la plus fréquentée d’Europe va aborder une longue période de travaux et d’aménagements afin de mieux répondre aux attentes et aux consommations des usagers», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
G. Boulanger, «La Pierre de Sainte-Radegonde et le Grès de Saint-Martin», Bulletin de la Société préhistorique de France, t.15, no5, , p.279-283 (lire en ligne, consulté le ).
André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll.«Richesses en Somme», 4e trimestre 2003, 302p., p.239 (ASINB000WR15W8).
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